95e anniversaire du 11 novembre 1918.

Ce 11 novembre 2013 marque le 95e anniversaire de la fin de la première Guerre mondiale. Cette date est célébrée à Fontenay comme tous les ans.






Comme l'a annoncé le 7 novembre dernier le président de la République, les commémorations officielles du centenaire de cette guerre démarrent partout dans le pays.


A Fontenay-sous-Bois, un programme pour le centenaire de ces événements va rythmer la prochaine période. Elaboré par les services municipaux dont celui, fort dynamique, archives - patrimoine il a aussi été travaillé avec les associations d'anciens combattants et de souvenir.

En voici quelques éléments :

- Le 8 mars 2014  à l'occasion de la journée internationale de la femme on reviendra sur ce que cette guerre a changé pour les femmes qui entrent dans l'industrie, se retrouvent chefs de familles et accèdent à de nouvelles responsabilités, sans toutefois obtenir directement de nouveaux droits civiques.

- Le 31 juillet sera commémoré l'anniversaire de l'assassinat de Jaurès tragique accélérateur de la marche à la guerre.

- Le 3 août 2014 jour du centenaire de la déclaration guerre le tocsin sonnera aux cloches des églises pour rappeler le début du bain de sang.

- En septembre 2014 sera mis en mise en place sur le nouveau portail archives un mémorial virtuel avec l'identité des plus de 500 Fontenaysiens morts durant cette guerre. Avec pour chacun de ses poilus une fiche biographique et parfois des informations complémentaires sur eux lorsqu'il y en a. Les recherches historiques et archivistiques récentes ont permis de consolider la liste de ces jeunes hommes. Parmi eux 74 reposent dans le carré militaire du cimetière communal et 42 autres dans les sépultures familiales. Près de 400 autres sont enterrés dans les cimetières militaires du Nord et de l'Est de la France ou pour beaucoup aussi sont éparpillés dans les champs de batailles de Verdun au Chemin des Dames en passant par la Somme.

- En octobre 2014 une exposition sera présentée simultanément à Fontenay et à Trucy, village du Chemin des Dames. Elle reviendra sur le lien entre les deux communes et sera l'occasion de la pause dune plaque commémorative ici et là bas avec une partie numérique.

D'autres initiatives sont prévues, notamment autour du cinéma lors de la Grande Guerre mais aussi avec la publication de documents inédits dont la correspondance de poilus fontenaysiens.

Ces initiatives devraient jalonner les 4 ans de commémoration…



Loïc Damiani-Aboulkheir
élu en charge de la ville numérique.

Je profite de cet anniversaire de l'armistice de 1918 pour rappeler que depuis les dernières journées du patrimoine, la ville de Fontenay a développé une série de parcours historiques et patrimoniaux à partir de la technologie numérique des QR codes.





L'un de ses parcours est intitulé Fontenay dans les Guerres.


Ce parcours qui repère les lieux et monuments des guerres de la Révolution à l'Algérie comporte plusieurs éléments en rapport avec la guerre de 1914-1918. Parmi ceux-ci on a :

- L'école Jules Ferry qui en août 1914 fut un cantonnement d'artilleurs où la chanson La Madelon connu un succès jusqu'alors inconnu.

- La rue de Trucy avec le rappel du lien entre les deux communes consécutifs à l'action de solidarité par laquelle Fontenay a financé la reconstruction de ce village rasé en 1914 et en 1917 lors lors de l'offensive Nivelle.

- La pleureuse du cimetière communal, monument en hommage aux morts de cette guerre.

- Un vitrail de l'église Saint-Germain réalisé après guerre et rappelant le conflit.


Voici des images de ce dernier :













Un texte accompagne les images de ce vitrail :


Ce vitrail mis en place après 1918 est un hommage aux soldats français disparus lors de la Grande guerre. Il se situe dans la chapelle du Souvenir. Il est rempli de symboles dans les décors et les personnages.

L’encadrement de la scène est d’inspiration néo-gothique. Il rappelle la Sainte-Chapelle et la longue tradition catholique du pays dont les fervents fidèles entendent rappeler qu’elle était «la fille aînée de l’Eglise».

Le caractère guerrier de la scène est très présent jusque dans la figure divine. C’est en effet Dieu le père, le dieu guerrier de l’Ancien Testament qui trône au sommet du vitrail. S’il a les bras tendus en signe de bénédiction, ce sont les soldats qui sont bénis. Sous lui se trouve l’Esprit Saint. L’image du Christ n’est présente, au centre de la scène que de façon réduite sur un crucifix doré posé sur l’autel. Le Christ est présent dans l’hostie que le prêtre est en train de consacrer.

Le servant de messe est un soldat en uniforme bleu horizon qui ont équipé les troupes à partir de la fin de l’année 1914 et de début 1915. Il porte à la ceinture le fourreau une baïonnette modèle Rosalie. A sa droite son casque de modèle Adrian (lui aussi mis en service en 1915) est posé au sol. Le moment représenté est celui de la consécration. Moment solennel, pendant l’élévation, le servant soulève délicatement le fond de la chasuble du prête qu’il remonte légèrement en sonnant trois coups. A gauche du vitrail, la figure de Marie en couronnée en génuflexion regarde vers Dieu.

A droite un soldat un genou à terre est en oraison. Il est sur un nuage adossé à un archange, ses yeux son mi-clos. Il porte sur son col le chiffre 42, référence au 42e régiment d’infanterie basé à Belfort en 1914. Ce régiment a participé aux grandes batailles de la guerre :
- Alsace et Aisne en 1914
- Soisson en 1915
- Somme en 1916
- Verdun en 1916 et 1917
- Chemin des Dames en 1917 et 1918

Il représente l’ensemble des soldats tombés durant le conflit. En bas du vitrail huit personnages sont pris dans les flammes. On pourrait penser à des damnés, mais plusieurs sont en prières comme celui de gauche juste à côté d’une femme éplorée alors qu’une autre se couvre la tête d’un voile en signe de deuil. Il s’agit des victimes de la guerre.

Autour de ce vitrail, figurent sur 4 colonnes les noms de 255 noms paroissiens morts durant cette guerre. C’est presque la moitié des plus de 512 Fontenaysiens morts durant les opérations de 1914-1918.

Plus loin,  chapelle Saint Germain au pied de la statue de Jeanne d’Arc deux plaques rappellent la guerre. La première, verticale, porte les noms de 11 fontenaysiens membres du « Cercle Jeanne d’Arc » morts au combat. Elle est ornée d’une croix tréflée, surmontant deux drapeaux tricolores et une croix de guerre 14-18 avec palme. La seconde, horizontale, prend la forme d’un ex-voto. C’est un hommage à leur sainte protectrice par les membres de cette association, plus nombreux, paroissiale qui ont survécu à la tuerie des tranchées.

EUH, on chipote là. La page d'histoire c'est 1914 1918. Pour celle de 2014 il faudra patienter un peu pour l'écrire sur le monument aux morts au combat.

La guerre de 1914-1918 est déjà arrivée et je peux vous le confirmer. Le premier Fontenaysien qui y a perdu la vie se nommait Gaston Gerardin il est décédé le 10 septembre 1914 lors de la première bataille de la Marne.

Charles Gantner lui a été tué le 26 octobre 1918 à 15 jours de l'armistice.


Et je peux vous dire aussi, ce n'est qu'une petite anecdote, que ma grand-mère maternelle qui avait 10 ans le 11 novembre 1918 et qui était scolarisée a l'école Jules Ferry, alors que les enfants avaient quitté la classe au son des cloches et de hourras, est restée avec son institutrice que l'annonce de l'armistice avait fait fondre en larmes elle qui avait perdu ses deux fils durant le conflit.

Pour Loïc l'écharpe tricolore doit être une option, franchement pour un élu c'est vraiment honteux de ne pas la porter, c'est comme pour la marseillaise cet élu ne la chante pas et après il se dit " élu du peuple ", vraiment honteux.

Cet élu doit quitter la scène politique fontenaysienne.

Loïc mangeur d'octets sur ce forum ne recule devant rien pour sa propagande marxiste léniniste d'une époque révolue.

Pour revenir au sujet deux images du vitrail 14-18 de l'Eglise Saint-Germain.

La première encadrée des noms de près de la moitié des soldats fontenaysiens tombés pendant le conflit :





La seconde d'un peu plus près :



Un très beau vitrail qui renferme de nombreuses images symboliques et références à la fois religieuses et historiques.

La ville de Fontenay a aussi un monument aux morts érigé après la grande Guerre.






La pleureuse du cimetière municipal.


La volonté de créer un moment aux morts de la guerre de 1914-1918 se fait jour rapidement après la fin de ce conflit qui a tué plus de 500 hommes de cette commune qui ne comptait guère que 16 000 habitants. Un comité pour l’érection du monument aux morts est constitué. Il organise des collectes de fonds afin de financer le projet.

Il est fait appel au sculpteur Paul Roussel (1867-1928), prix de Rome en 1895 pour réaliser la statue. Il s’agit d’une femme en deuil, voilée de crêpe et en pleur qui dépose  de la main droite une fleur en souvenir des enfants de Fontenay morts pour la France. La statue est posée sur un socle circulaire où figure une dédicace. Elle représente la commune qui pleure ses disparus.

L’inauguration a lieu le 6 juillet 1924, soit presque 10 ans jour pour jour après le début de la Grande guerre. Une cérémonie grandiose est organisée avec un défilé venant de la mairie précédé de l’harmonie locale la Lyre, les drapeaux et la fanfare du 21e régiment d’infanterie. De nombreuses personnalités ont fait le déplacement : parlementaires, président du Conseil général ainsi que le Maire Henri Gaveau, la municipalité et des centaines d’habitants qui ont souvent perdu un ou plusieurs membres de leur famille.

Le monument, situé au centre du cimetière est déplacé de 25 mètre lors de la réfection du cimetière et de la refonte du carré militaire. Le socle est supprimé et la pleureuse devient un hommage aux morts des différentes guerres : 1870-1871, 1914-1918 et 1939-1945.

Loïc votre poussée de foi religieuse ne réussit toujours pas à vous rendre crédible dans vos interventions. Votre foi marxiste transpire dans chacune d'elles.
Vous êtes un homme d'appareil, un cyber, et vous ne réussissez pas ou plus a vous faire entendre par les humains peuplant notre cité.

Aucune poussée religieuse de ma part ici, mais un travail sur le patrimoine historique et l'histoire de notre cité. Rien de marxiste ni de léniniste dans cette pleureuse mais une oeuvre de Paul Roussel artiste reconnu du début du XXe siècle.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Roussel

Pas faux. Ce lien en témoigne. http://www.actuacity.com/fontenay-sous-bois_94120/monuments/page2

La pleureuse a eu sa contradictrice en la personne de la Madelon
http://musique-militaire.fr/tradition/de-la-defaite-a-la-revanche/la-madelon-de-la-victoire

Collecte nationale du centenaire à Fontenay

La ville de Fontenay-sous-Bois participe à la collecte nationale 14-18. Il s’agit de rechercher tous les documents, les photos, les objets ayant un lien avec la Grande guerre afin de les valoriser et de faire ainsi progresser la connaissance historique de cette époque.

Même des documents qui peuvent vous sembler insignifiants ou anecdotiques au premier abord sont intéressants et porteur de mémoire. Que vos ancêtres ou les auteurs des documents aient été fontenaysiens ou pas, peu importe. Il s’agit d’une collecte nationale qui a pour but de sauvegarder et de mettre en valeur ces archives.

Six familles ont déjà déposé des fonds ces dernières semaines. Si vous avez des documents, n’hésitez pas à les apporter aux Archives municipales. Ils seront numérisés et les originaux vous seront restitués. La signature d’une convention de dépôt garantira que vous gardez les droits sur ces documents. Une autorisation vous sera systématiquement demandée si la ville souhaite les utiliser. Cette valorisation numérique permet que vive la mémoire et l’histoire de cette guerre et de ceux qui l’ont faite en payant souvent très cher leur engagement.


http://www.fontenay-sous-bois.fr/actualites-videos/a-fontenay/actus/collecte-nationale-du-centenaire-a-fontenay/index.html

L'association des Ami-e-s de Fontenay-sous-Bois qui s'intéresse particulièrement au patrimoine historique, architectural et humain de notre commune a été très intéressée par le dossier paru dans l'almanach 2014, supplément au n° 67 du mensuel A Fontenay qui traite de la guerre de 1914-1918 et de ses conséquences sur notre ville.

Avec des documents inédits (de très belle photographies) et une approche histotiographique renouvellée (sur le Mythe de la Madelon par exemple) on y trouve une foule d'informations nouvelles.

Le graphique avec la mortalité des Fontenaysiens morts pour la France est tout à fait édifiant des ravages de cette guerre d'août 1914 à novembre 1918.

A lire avec intérêt donc.





http://lesamisdefontenay.overblog.com/

Voici le dossier en question :











http://lesamisdefontenay.overblog.com/2014/01/cent-ans-de-la-guerre-de-1914-%C3%A0-fontenay-sous-bois.html

Venant de terminer le traitement du sujet historique sur la querelle de l’Unigenitus à Fontenay, qui est bien sûr libre de toute reproduction, si l’on en cite la source, j’ai regardé si je pouvais apporter ma contribution a celui-ci.

En voici le résultat en utilisant mon procédé habituel de recherches

Mon premier récit commence dans la nuit 30 au 31 janvier 1918 qui fut de toutes la plus sanglante en relation avec les bombardements de la Grosse Bertha. Les Gothas lâchèrent sur la ville de Paris et ses envirions 91 bombes. Il y eut 51 morts et 204 blessés dans l’agglomération parisienne.

Au matin, le soldat Lapie, un permissionnaire du 118e d’artillerie, arriva heureux, pour dix jours, auprès de sa femme et de ses deux enfants : Marcelle, 8 ans, Lucien, 3 ans. Dans le train de banlieue qui l’amenait à Fontenay-sous-Bois où il avait son foyer, des conversations de voyageurs l’instruisirent : sa maison écrasée ; Marcelle, Lucien, morts ; sa femme à l’hôpital, le bras gauche arraché, une jambe broyée. La guerre avait toujours exigé que des enfants pleurent leur père. Mais il avait fallu la guerre à l’allemande pour que des pères vinssent du front ensevelir leurs enfants assassinés !

Sources : l’Illustration Copyright © 2014 L'encrier du poilu. Tous droits réservés

Les obsèques de Marcelle et Lucien Lapie, enfants de huit et trois ans, tués par les bombes allemandes à Fontenay-sous-Bois, dans la nuit du 30 au 31 janvier 1918.



Leur père arrivant en permission, heureux de les serrer dans ses bras, ne put que les ensevelir.



Aujourd’hui le nom de cette famille a donné le nom de la Villa Lapie.

Voici une photo de la mère avec ses enfants



Une collectionneuse de cartes postales a reproduit sur un site privé par ailleurs le recto verso de celle-ci





Le brancardier Georges Lapie est né en 1890 à Fontenay sous Bois ; il écrivait à son père Gustave (résidant toujours à cet endroit). Il est décédé le 31 décembre 1914 de la fièvre typhoïde (maladie de service) à Bar le Duc. La carte datant du 11 septembre 1914 (période de la Bataille de la Marne) elle a cherché à localiser ce petit village d'où il a écrit une de ses dernières cartes sans doute, en nous faisant remarquer que la censure avait gratté l'indication du lieu.  

Deux intervenants lui précisèrent d'une part qu'au 11 Septembre 14 le 113e RI était en Barrois/sud d'Argonne, région de Laimont, Louppy le Petit. Et d'autre part qu'il s'agissait d'Auzéville, rue de la scierie, commune rattachée à Clermont-en-Argonne.

Ajoutant que le 24 août 1944 (30 ans plus tard donc) : les miliciens (gestapo française) étaient intervenus à Auzéville; tendant une souricière dans la maison  de Louis Revault qui exploitait une scierie. C'était le PC local, départemental et régional de la Résistance. Et que les résistants conduits à la chapelle des Senades, puis au lycée Chanzy à Sainte-Ménehould allaient y être être interrogés, avant d'y être torturés, puis se retrouver parmi les déportés. Une stelle FFI (entretenue par le Souvenir français) rappellant l'évènement.

Source Guy BIGORGNE, président du Souvenir français du Centre Argonne

Pour ce qui est du sujet proprement dit le 95e anniversaire du 11 novembre 1918, il faut peut-être y regarder à deux fois avant d'envisager une célébration pile poil ce jour là à Fontenayn sans en prévoir une seconde à l'occasion du centenaire.

En effet la signature de l'armistice n'a pas signifié à proprement parlé que la guerre était finie et que tout le monde est retourné dans son foyer du jour au lendemain comme en témoigne cette photo où l’on voit le 132e régiment d'infanterie de retour à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), le 31 mai 1919.



Autre mort parmi d'autres :

Son grade et unité : Aumonier Militaire au 31e Corps d'Armée
Date de naissance : le 10/08/1859 Département ou pays : 11 - Aude Commune de naissance : Chalabre
Genre de mort : Mort des suites de maladie contractée en service Mention Mort pour la France : Oui
Date du décès : 04/07/1916 Département ou pays : 75 - Paris Commune du décès : Paris 14 Lieu, complément : Hôpital Saint-Joseph

Et ce lien qui rend hommage à ce membre du Diocèse de Paris (à l'époque couvrant le département de la Seine avant la création des départements limitrophes de Paris) mort pour la France ou figure cette mention 1916 •Sylvestre Pierre (croix de guerre), second vicaire de Fontenay Sous-Bois http://notredamecroixparis.free.fr/Visite/morts_pour_la_france.html

Sa particularité : il apparaît sur plusieurs plaques de monuments aux morts de diverses villes dont deux fois à Fontenay sous Bois, une plaque lui étant dédiée dans l'Eglise indépendamment du Monument aux morts.

Et pour finir un mot sur Émile Bertaux (né le 23 mai 1869, à Fontenay-sous-Bois et mort le 8 janvier 1917 à Paris qui lui est inhumé à Villecresnes)

C'était un historien de l’art français. Il fait ses études à Notre-Dame de Sainte-Croix (dont je viens de mettre un lien) puis au lycée Condorcet à Paris. Agrégé de lettres de l'ENS en 1894, il devient professeur d’histoire de l’art chrétien au Moyen Âge à la Sorbonne. Il est ensuite directeur d’études de la section d’histoire de l’art à l’Institut français de Florence (1909), puis le premier directeur du musée Jacquemart-André à partir de 1912 et le rédacteur en chef de la Gazette des Beaux-Arts. Officier interprète et aussi affecté à l'aéronautique, il effectue des missions notamment sur le front italien à Gorizia où il retrouve Gabriele D'Annunzio. Il décéde le 8 janvier 1917 à 47 ans d'une maladie contractée lors d'une mission dans la Somme. Son nom est inscrit au Panthéon sur le mur à la mémoire des écrivains morts pour la France.

Son croquis portrait.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/78/Ramon_Casas_-_MNAC-_%C3%89mile_Bertaux-_027293-D_006448.jpg

Belle photo que celle de ce RI place d'Armes...

Un article qui se laisse lire sur un tableau à valeur historique http://m.leparisien.fr/fontenay-sous-bois-94120/ce-tableau-exceptionnel-de-1917-offert-a-la-ville-de-fontenay-10-11-2015-5264013.php

Centenaire de 1915, rétrospective :
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/l-annee-1915-la-guerre-a-tombeau-ouvert_1638576.html
Combien de Fontenaysiens morts au combat cette année-là ?