la grogne monte dans le pays... macron parle et se déguise on commémore... la "majorité silencieuse" se réveille !

Face aux installations de gens du voyage, les paysans vont bloquer des routes
PUBLIÉ LE 25/07/2017
Le Pays Gessien

Excédés par les installations sauvages de groupes de gens du voyage dans leurs champs, les Jeunes Agriculteurs de Haute-Savoie ont décidé de mener une action d’envergure ce mardi 25 juillet. « En fin d’après-midi, nous bloquerons des axes routiers sur l’ensemble du département de la Haute-Savoie », écrivent-ils dans un communiqué. Ils entendent «protester contre ces individus qui ne respectent rien, et dénoncer le fait que l’Etat ne contrôle pas la situation et est dans l’incapacité d’assurer la sécurité publique et la protection des biens ».
Les paysans haut-savoyards dressent un portrait alarmant de ce début d’été 2017 : « Cette année les records sont battus en nombre d’installations illégales. Pour le premier semestre, nous avons comptabilisé près de 60 stationnements illicites qui ont fait l’objet de demande d’expulsion, contre 36 pour la même période en 2016. »
« Les terres agricoles et les terrains communaux sont envahis par les gens du voyage. Les récoltes de fourrage sont abîmées ou perdues, les terrains agricoles saccagés », protestent-ils. Les opérations de blocage des routes de ce mardi auront pour but de faire entendre leur voix.
Jeudi 20 juillet, la RD 1005, entre Thonon et Douvaine, avait été bloquée par une remorque de fumier déversée sur la chaussée, en amont d’un cortège de caravanes.

Hautes-Pyrénées : des riverains érigent un mur devant un futur centre pour migrants
>Région>Midi-Pyrénées|Y.E.A avec AFP|24 juillet 2017, 15h06|10

Quelques dizaines de riverains et commerçants ont construit un mur de 1,80 mètre de haut sur 18 mètres de long sur une parcelle située à l'entrée de l'ancien hôtel Formule 1 de Séméac (Hautes-Pyrénées)
Des riverains ont érigé un mur, bloquant l'accès à un hôtel transformé en centre d'accueil pour migrants.
«Nous ne sommes pas contre l'accueil», se défend Laurent Teixeira. Le collectif Séméac, dont il est responsable, revendique pourtant la construction d'un mur de près de 20 mètres de long à l'entrée de l'ancien hôtel Formule1 de Séméac (Hautes-Pyrénées), près de Tarbes. L'hôtel était en cours de transformation en centre d'accueil pour migrants.

L'action s'est passée «sans incident», a indiqué la préfecture, qui précise que le mur a été érigé sur un terrain appartenant à un particulier situé devant l'accès à l'établissement. Selon le collectif, qui regroupe quelques dizaines de riverains et commerçants opposés au centre d'accueil, l'hôtel ne dispose pas de servitude de droit de passage sur cette parcelle. Alors que la remise des clefs doit avoir officiellement lieu mardi matin, la direction n'était pas joignable.


«Il faut faire quelque chose pour ces personnes en difficulté, mais il faut prendre également en compte les citoyens», a ajouté lee patron du collectif. Cet hôtel Formule 1, appartenant au groupe AccorHotels, fait partie des 62 établissements premier prix de l'enseigne rachetés par la SNI (filiale de la Caisse des Dépôts). Destinés à devenir des structures d'hébergement et d'accueil, ces centres gérés par Adoma (ex-Sonacotra) sont régulièrement visés par des opposants à l'accueil des migrants.

Le navire "anti-migrants" affrété par les Identitaires immobilisé à Chypre

Ce navire, affrété par le réseau d'extrême droite Génération identitaire, avait pour but d'empêcher les migrants en Méditerranée d'accoster en Europe.

Les autorités chypriotes turques ont immobilisé, mercredi 26 juillet, le C-Star, ce navire affrété par des militants identitaires pour empêcher les migrants en Méditerranée d'accoster en Europe.
Le capitaine du navire et son second ont été interpellés au port chypriote turc de Famagouste, dans l'est de l'île méditerranéenne, a rapporté le journal local Kibris Postasi. D'après le titre de presse, qui ne donne que peux d'informations, les deux hommes sont soupçonnés de détenir de "faux documents".
76 000 euros récoltés auprès des militants d'extrême droite
Ce bateau a été affrété par le réseau Génération identitaire - et en particulier par ses antennes française, italienne et allemande - dans le cadre d'une "opération" baptisée "Defend Europe (Défendons l'Europe, en français)". Grâce à une collecte de fonds sur internet, les militants d'extrême droite ont récolté plus de 76 000 euros pour louer le C-Star et son équipage, parti de Djibouti début juin.

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Continuons la même politique : recevoir et répartir... si nous avons des troubles dans les différents pays il suffira de qualifier les opposants de fachos, réacs et populistes...
Ne nous inquiétons pas des désordres dans les pays d'accueil et surtout tenons bon !

Recevoir, répartir... quitte à faire éclater l'Europe ! sanctionnons ceux qui ne sont pas d'accord..

Les ennemis des ethnomasochistes -sic- se dévoilent dans Minute...

(NOVOpress) : propos de Clément Galant, de Génération identitaire, parus dans l’hebdomadaire Minute daté du 5 juillet dernier.

Face aux flots montants des peuples du Sud, Génération identitaire a décidé d’agir. Concrètement. Sans financement public. Sans dons des grandes entreprises. Sans appui des grands partis de droite. A la mi-juillet, un navire quittera un port avec à son bord un équipage composé de Français, d’Italiens, d’Allemands et d’Autrichiens. Cap au Sud, vers les côtes de Libye. Objectif : détruire les embarcations des passeurs et, le cas échéant, ramener les migrants à leur point de départ.

« Notre époque est folle. Les événements s’accélèrent. Des millions de non-Européens sont déjà installés en Europe. Des millions d’autres sont en marche. Les Etats européens de l’Ouest ne font rien ou plutôt, sous couvert d’humanitarisme, prêtent la main à cette invasion. Alors que faire ? Un tract ? Une manif ? Écrire à son nouveau député ? Attendre 2022 ?

Nous, à Génération Identitaire, sommes de ceux qui pensons que l’exemple peut devenir la règle, que les choses ne dépendent que de nous. Encore faut-il s’engager. Sommes-nous plus sots que les organisations de gauche comme SOS Méditerranée qui a un bateau pour récupérer les migrants ? Moins riches, moins appuyés par les grandes entreprises, certainement. Mais pas moins organisés, pas moins capables et sans aucun doute beaucoup plus déterminés.

Alors c’est ce que nous nous sommes dits. Il faut aller là-bas, sur place. Il faut répliquer. A partir de là, quand on sait ce qu’on veut, quand on met en adéquation son idéal avec une solution, un objectif, tout devient simple.

« Nous voulons que les flux s’inversent »

Concrètement d’où sort ce bateau ? Et l’équipage ?

Il y a des milliers de navires à louer. C’est ce que nous avons fait. L’extrême gauche allemande, qui est une force de police auxiliaire de madame Merkel, a tenté de faire pression sur son propriétaire pour faire capoter la transaction. Ils ont échoué. Nous disposons donc d’un chalutier d’une quarantaine de mètres. Il est loué avec son capitaine.

Mais nous embarquons également avec deux autres capitaines, appartenant eux au mouvement identitaire en Italie et en Autriche. L’équipage se compose donc de professionnels de la mer mais aussi de la communication ainsi que de militants sélectionnés venus de France et d’Allemagne.

Les « humanitaires » n’ont jamais une seule seconde en tête que sur 1 000 migrants qu’ils embarquent, un, dix ou trente voleront, violeront, tueront.

Ces gens portent une terrible responsabilité dans la mort ou les souffrances de milliers d’Africains. Nous ferons tout pour qu’un jour ces groupes soient interdits et leurs dirigeants jugés. Criminels contre l’Europe, criminels contre l’Afrique. La misère africaine leur permet d’assouvir leurs pulsions ethnomasochistes.

Détails et anecdotes insignifiantes...

Guillaume Faye est l'inventeur du néologisme ethnomasochisme

Classé effectivement à l'extrême droite, il est pendant les années 1970-1980 l'un des principaux théoriciens de la Nouvelle Droite, dans le cadre du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GRECE). Il milite au sein de la mouvance identitaire, dans la deuxième moitié des années 1990.

En 2001, il déclare : « J’ai été élevé dans le culte du nationalisme français, de tendance bonapartiste, et le résultat paradoxal en fut un patriotisme européen.

L'historien Nicolas Lebourg précise que ce cercle est « le GRECE de l'IEP de Paris dirigé alors par Jean-Yves Le Gallou », et explique que « le nom du cercle fait signe : Pareto eut, certes, une grande influence sur le fascisme, mais aussi sur les textes de Thiriart qui aimait à le citer très régulièrement et le faisait systématiquement apprendre dans ses écoles de cadres ».

Faye contribue à diffuser certains des grands thèmes des extrêmes droites radicales des années 1970-1980 : défense de l'« identité » culturelle et biologique contre le métissage, euro-fédéralisme, soutien à l'Iran de Khomeyni, antisionisme, etc.

D'après l'historien Nicolas Lebourg, il joue le « rôle de passerelle entre les nouvelles droites françaises et étrangères, entre les divers courants radicaux ».

Robert Steuckers, ancien membre du GRECE, considère qu'il est « sans doute la figure historique de la dite “nouvelle droite” qui était la plus proche, par la pensée, de Jean Thiriart : même intérêt pour les questions géopolitiques, même aversion pour les fanatismes religieux, même engouement pour la pensée politique pure ».

A partir de 2007 il tient un discours plus virulent sur la question raciale et fortement islamophobe. Nicolas Lebourg note à cet égard un retour aux positions d'Europe-Action. Il développe une philosophie raciste fortement influencée par les thèmes « blubo » (de Blut und Boden, « Sang et Terre »), c’est-à-dire par une idéologie de type nazie ».

. Guillaume Faye  déplore par ailleurs que le GRECE n'ait pas pratiqué l'entrisme au sein du Front national plutôt que de s'opposer à lui.

Sa thèse « l’Europe serait soumise à une colonisation afro-maghrébine, les « tournantes » qui font la une de l’actualité seraient des opérations d’« épuration ethnique », et il faudrait enclencher la « Reconquista » puis organiser l’alliance du monde blanc ».

Guillaume Faye finit par être condamné à une amende par la XVIIe chambre correctionnelle de Paris pour incitation à la haine raciale.

Ce qui ne change en rien les phénomènes décrits...
On peut être d'accord ou non mais ils existent et sont de plus en plus visibles et nombreux.

Soit on néglige l'opinion publique en considerant comme derisoire ce qui deplait soit on en tient compte. Dans un cas comme dans l'autre il y a des conséquences.