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Sujet: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos Dim 03 Nov 2013, 13:42
Rappel du premier message :
«Je ne contrôle plus les femmes voilées. Ça part presque systématiquement au clash.» «Elles ne marchent presque jamais seules dans les cités. Donc on a pris le parti de ne plus les contrôler du tout, pour éviter ce qui s’est passé à Trappes.» « Une autocensure totale de plus en plus courante sur différents types de délits «pour acheter la paix sociale, pour éviter les émeutes, pour ne pas avoir de collègues blessés». «Il y a quinze jours, j’ai contrôlé des mecs suspectés d’un vol avec violence . Nous étions deux contre dix. On n’a pas fait le poids.» «Maintenant, lors d’un contrôle, on n’a pas le temps de dire bonjour qu’on se fait déjà insulter.»
En réponse à Manuel Valls qui prétendait encore lundi que «la loi de la République est la même pour tous et doit être appliquée sans exception» : «Dans la Creuse, si vous conduisez votre scooter sans casque, vous prendrez 90 euros. En Seine-Saint-Denis, on vous laissera faire. Il ne faudrait pas prendre le risque d’une émeute…»
Ainsi, en plus des ordres officieux dans le genre « pas de vagues, pas d’emmerdes », les courageux policiers de base sont obligés d’abandonner le terrain face au nombre, et face aux risques de représailles et d’émeutes, et pas seulement pour le contrôle des niqabées, mais pour toutes sortes de délits.
Ils ont donc gagné une bataille contre ce gouvernement d'’impuissants, contre Manuel Valls, contre Christiane Taubira qui ne rêve que de vider les prisons (1)au lieu de poursuivre les délinquants.
(1) Peut être pour pouvoir y mettre les policiers ?
C'est simple, bref mais c'est ce que constatent les gens sur le terrain !
Les politiques vous expliqueront la réalité (bien rose) avant les élections...
Auteur
Message
tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
Sujet: Re: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos Mer 13 Juin 2018, 05:49
a.nonymous a écrit:
Le problème des rodéos est pour ceux qui y sont régulièrement confrontés beaucoup plus important que celui des fake news !
La manière dont sont appréhendées les urgences à traiter par les "z'élites " nationales et gouvernementales illustre à merveille les raisons de l'abstention ou les progrès du vote populiste. Sans compter que des nouvelles supposées fausses ou véridiques arrivant au mauvais moment peuvent se révéler politiquement plus néfastes qu'une mère de famille malmenées ou une brave petite vieille tuée.
D'un coté un "fait divers" de l'autre un avenir politique national pouvant être malmené le choix est vite fait. En revanche le fait divers peut devenir "cause nationale" s'il provoque une importante réaction de l'opinion publique.
Il n'en reste pas moins que le code de la route contient toute la panoplie répressive nécessaire pour sanctionner les "rodéos" si toutefois il est possible de l'appliquer. La bonne question étant est il possible d'appliquer le code de la route dans certains quartiers de notre pays où ce sport est le plus souvent pratiqué si non pourquoi ?
Il est toujours possible de légiférer il est moins facile de faire respecter la loi... pour ce qu'il en est de sanctionner les contrevenants nous sommes dans l'utopie.
a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
Sujet: Re: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos Mar 26 Juin 2018, 17:01
Pas bon de s'opposer aux rodéos!
C'est sans doute pour ça que dans ce que j'appellerai la "zone de non-droit" Fernand Léger certains s'amusent avec leurs quads en ne respectant aucunes règles du Code de la route !
Citation :
Val-de-Marne : un père frappé pour s’être opposé à un rodéo Denis Courtine| 26 juin 2018
Il en a eu assez, il lui a fait savoir, il a été frappé. Un père de famille de 40 ans s’est retrouvé au milieu d’une quinzaine de personnes après avoir osé s’opposer à un rodéo lundi après-midi à Choisy-le-Roi. Le pilote de l’engin a été interpellé et placé en garde à vue.
Vers 17 heures, le père se promène avec sa femme et son bébé sur la place de l’Ile-de-France. A cet endroit réservé aux piétons, les enfants profitent du soleil pour jouer. Mais un jeune qui habite le quartier enchaîne les tours de moto. L’homme décide d’intervenir. Il va voir le pilote, lui dit d’arrêter parce qu’il risque de blesser quelqu’un et lui demande de partir. Le jeune lui aurait répondu en sortant un couteau et une bombe lacrymogène.
Une bagarre éclate avec le mari. Des copains du pilote se précipitent pour lui venir en aide. Le père aurait été légèrement blessé. Au cours de la rixe, son téléphone a disparu.
Des témoins appellent les policiers de Choisy-le-Roi. Quand ils interviennent, les copains prennent la fuite. Il n’y a plus d’engin, plus de couteau et plus de bombe lacrymogène. Il ne reste que la famille et le pilote.
Ce lycéen de 17 ans a expliqué qu’il avait été pris à partie par le père alors qu’il roulait. Il a été conduit sans difficulté au commissariat.
Depuis le retour des beaux jours, les incidents liés aux rodéos se multiplient dans le département. Fin mai à Vitry, un pilote de mini-moto et trois policiers avaient été blessés alors que les fonctionnaires tentaient de l’interpeller. Quasiment au même moment, un accident similaire survenait à Orly.
Deux semaines plus tard, c’est une mère de famille de Maisons-Alfort qui avait été rouée de coups par plusieurs personnes alors qu’elle tentait elle aussi de s’opposer à un rodéo. Comme elle n’avait pas voulu porter plainte de peur de représailles, ses agresseurs avaient dû être relâchés.
Sujet: Re: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos Lun 02 Juil 2018, 04:15
Avec les beaux jours Fontenay, bien sûr pas du coté du bois mais du coté populaire du Val, n'échappe hélas pas aux rodéos...
C'est sans doute ce qu'on appelle le "Vivre ensemble"...
Citation :
Val-de-Marne : «l’agression sonore», la nouvelle arme juridique anti-rodéos Denis Courtine| 01 juillet 2018, 17h28 | MAJ : 01 juillet 2018, 20h04 |7
Peut-on lutter efficacement contre les rodéos ? La question se pose plus que jamais dans le département. Selon nos informations, depuis le début de l’année, les policiers sont intervenus à 104 reprises pour tenter d’arrêter ces tours à moto qui pourrissent la vie des habitants, en particulier dans les cités. L’année dernière, ce chiffre s’élevait à 78 interventions.
Du coup, la nouvelle patronne des policiers du Val-de-Marne a fait passer des consignes pour tenter une nouvelle parade. Les commissariats sont incités à poursuivre les auteurs pour « agression sonore réitérée ». L’exemple a été donné la semaine dernière à Chevilly-Larue et devrait être évoqué ce lundi soir au cours d’une réunion publique.
Tout part de rodéos quotidiens dans le quartier des Sorbiers, autour du city-stade. Les policiers, notamment ceux de la Brigade anti-criminalité qui connaissent particulièrement bien le terrain, relèvent les noms des auteurs. Une procédure est ensuite montée pour ce délit qui recouvre habituellement des troubles de voisinage.
Trois jeunes de la cité — deux mineurs et un majeur — sont interpellés ensuite chez eux. Ils ont été déférés mardi soir. Leur placement sous contrôle judiciaire a été assorti pour le majeur d’une interdiction de paraître dans le quartier et pour les deux autres d’une interdiction de conduite d’un véhicule.
Suffisant pour dissuader ? « L’objectif, confie le commissaire de L’Haÿ-les-Roses, c’est que si on les interpelle de nouveau, des sanctions beaucoup plus lourdes soient infligées pour non-respect du contrôle judiciaire. »
Selon la préfecture, une dizaine de procédures de ce type seraient en cours dans le département.
Si les policiers en sont à utiliser ce genre de parade c’est que les méthodes d’interception « traditionnelles » sont extrêmement difficiles à appliquer. « Dès que nous lançons une chasse pour un jeune qui prend la fuite après un rodéo, on nous demande de laisser tomber », résume un policier. La crainte, c’est évidemment qu’un accident survienne et que les conséquences soient beaucoup plus lourdes qu’une nuisance sonore.
Il faut aussi que les habitants préviennent la police en cas de rodéo. Et contrairement aux idées reçues, c’est loin d’être toujours le cas. « Nous n’avons reçu qu’un seul appel le mois dernier pour un rodéo et aucune plainte, assure le commissaire de l’Haÿ. Pourtant on sait évidemment que cela survient souvent mais les gens préviennent les élus plutôt que d’appeler la police. »
Quant aux riverains courageux qui ont tenté d’y mettre un terme eux-mêmes, les conséquences peuvent être graves. Lundi après-midi sur la dalle de Choisy, un père de famille a été frappé devant sa femme et son bébé. Et il y a quelques semaines, une mère qui revenait de son footing avait été rouée de coups pour avoir elle aussi réprimandé des jeunes qui enchaînaient des tours de moto.
Des années qu’elle vit dans la cité des Sorbiers à Chevilly. Des années qu’elle subit à l’arrivée des beaux jours le problème des rodéos. « Il y en a toujours eu, se remémore Renée, une retraitée qui souhaite garder l’anonymat. Cela commence toujours en fin d’après-midi. A une époque, c’était les quads qui pétaradaient. Là en ce moment ce sont les motos. »
Prévient-elle la police quand le bruit devient insupportable ? « Je le faisais l’année dernière, explique l’habitante. Des fois ils se déplaçaient, d’autres fois non. Cela dépendait s’ils avaient des voitures disponibles me disaient-ils. Après je comprends que ça soit difficile de les coincer ».
En tout cas pas question de porter plainte. « Une certaine peur s’installe, constate-t-elle. Même si on en parle entre voisins, on n’a pas envie qu’on nous crève les pneus de notre voiture. » L’idée de poursuivre les pilotes pour agression sonore réitérée ? « Pourquoi pas. On pourrait le faire rien que pour les pots d’échappement. Et s’ils ont une amende, ça peut les dissuader. »
Sujet: Re: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos Mar 22 Oct 2019, 02:10
2019
Citation :
Rodéos : 52 motards interpellés dans le Val-de-Marne depuis le 1er janvier
Par Denis Courtine et Agnès Vives Le 21 octobre 2019 à 16h15
Davantage d'interpellations et de défèrements. La lutte contre les rodéos s'intensifie dans le Val-de-Marne. Lors de son audition devant l'assemblée départementale, interpellé par le conseiller Métin Yavuz (DVD), le préfet a fait le point sur le sujet.
Depuis le 1er janvier, 54 procédures ont été diligentées (chiffre arrêté au 13 septembre). Ce qui a conduit à 52 interpellations dont 42 gardes à vue. 45 engins ont été identifiés, la moitié placée en fourrière ou sous scellés, la moitié immobilisée ou détruite.
« C'est un bon résultat, compte tenu des difficultés pour intervenir », a estimé Raymond Le Deun. « On nous a clairement demandé de mettre l'accent sur la lutte contre les rodéos, souligne un gradé de la police. On est davantage suivi par les magistrats. » « C'est vrai qu'on est plus réactifs via des défèrements et la confiscation des motos, confirme une source judiciaire. Franchement, c'est efficace ».
Exemple à Bonneuil. À la suite d'une plainte déposée par le maire, un motard avait été interpellé et condamné à deux mois de prison ferme.
À Villeneuve-Saint-Georges, en avril, une fillette de 7 ans avait été percutée par la moto-cross d'un ado de 16 ans. Il avait été interpellé par la brigade anticriminalité alors qu'il essayait de cacher l'engin.
C'est là que le bât blesse. Arrêter un pilote reste toujours aussi difficile. « Cela fait des années qu'on nous demande quasi systématiquement d'arrêter les courses-poursuites de peur qu'un drame arrive, peste un policier de terrain. C'est démoralisant car les habitants nous demandent des comptes. »
L'an dernier, comme à L'Haÿ-les-Roses, les policiers avaient tenté de lutter contre les rodéos en lançant des procédures pour agression sonore réitérée. L'avantage : les policiers peuvent l'arrêter chez lui le lendemain matin. Le problème : c'est difficile à caractériser.
« La loi anti-rodéo, c'est un peu comme les occupations de halls d'immeubles, analyse un gradé. Sur le papier, c'est une bonne idée. Dans les faits, c'est plus compliqué. »
Sujet: Re: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos Mer 01 Juil 2020, 00:07
2020
Citation :
En Seine-Saint-Denis, les policiers se disent privés de courses-poursuites
Par Jean-Michel Décugis Le 29 juin 2020 à 16h06, modifié le 30 juin 2020 à 07h00
Les forces de l'ordre ont-elles l'interdiction de poursuivre les véhicules à deux, trois et quatre-roues en Seine-Saint-Denis en cas de refus d'obtempérer, de suspicion d'infraction ou même d'infraction? La question fait polémique depuis la visite au commissariat de Bobigny de Laurent Nunez, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, le 26 juin.
Ce jour-là lors d'une rencontre avec les forces de l'ordre, des policiers s'insurgent auprès du secrétaire d'Etat de devoir systématiquement stopper les prises en charge (interceptions) des deux-roues et même des véhicules. « Dès que nous signalons par radio au CIC (NDLR : centre d'information et de commandement) que nous sommes sur un véhicule, on reçoit l'ordre de lâcher, on ne peut plus travailler », déplore un policier de la Brigade anticriminalité (BAC).
Aussitôt François Léger, le directeur territorial de la sécurité publique de la Seine-Saint-Denis, intervient pour relativiser les déclarations de l'agent. « Ce n'est pas exactement cela », affirme-t-il. Les policiers maugréent, mais ne renchérissent pas. Le secrétaire d'Etat, lui, ne semble pas dupe de la situation tandis que le syndicat Alliance se fend d'un tract sévère vis-à-vis du DTSP. « Pourquoi ne pas dire la vérité devant le secrétaire d'Etat ? Les prises en charge des deux, trois et quatre-roues sont systématiquement arrêtées dans le département. » Et Frédéric Lagache, délégué général du syndicat, d'enfoncer le clou : « Certains responsables policiers préfèrent s'assurer une douce carrière plutôt que de s'attaquer véritablement à la délinquance. »
Sollicité, François Léger refuse toute idée de polémique avec les forces de l'ordre. « Je suis trop respectueux des effectifs sur le terrain », confie-t-il, tout en précisant qu'il a découvert le problème lors de la visite du secrétaire d'Etat. Le responsable des policiers en tenue de la Seine-Saint-Denis ajoute : « Nous ne faisons qu'appliquer les instructions que nous recevons, même si celles-ci peuvent être trop restrictives et doivent sans doute évoluer. Il s'agit de faire preuve de discernement en fonction des horaires, des lieux et de l'infraction. »
L'affaire aurait pu en rester là si Laurent Nunez ne s'était pas depuis approprié le sujet. Selon nos informations, le secrétaire d'Etat a demandé à Didier Lallement, le préfet de police de Paris, de lui faire des propositions sur les cas dans lesquels la prise en charge d'un véhicule peut être rendu possible. Ce que nous confirme la préfecture de police de Paris. « Une réflexion est en cours et les choses vont évoluer », affirme-t-on au Parisien.
Le sujet est particulièrement sensible notamment devant la multiplication de rodéos sauvages dans les cités sensibles en période estivale qui représentent un véritable fléau et défi pour les forces de l'ordre. Les prises en charge en Ile-de-France sont actuellement encadrées par une note qui remonte à mars 2015 et qui est signée de Jacques Méric, l'ancien directeur de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP). Depuis, la DSPAP a changé deux fois deux directeurs sans modifier la doctrine.
Que dit cette note ? « La poursuite des véhicules, qu'il s'agisse de deux ou quatre-roues ne peut se justifier qu'en raison d'un fait particulièrement grave », indique le document. Quels sont ces faits ? La fuite ou l'évasion d'un individu armé ayant tenté de s'en prendre à la vie d'une personne ; la fuite d'un auteur, armé ou non, d'un crime de sang ; la fuite d'un ou plusieurs auteurs de crimes et délits aggravés entraînant un préjudice corporel. Dans toutes les autres situations, les prises en charge sont proscrites, même en cas de refus d'obtempérer. La note indique que les motifs de la poursuite, l'identification du véhicule et la direction de sa fuite doivent être transmises par radio au CIC.
Voilà pour la théorie. En pratique les choses sont différentes, semble-t-il, notamment en Seine-Saint-Denis, où selon les policiers qui se sont plaints à Laurent Nunez, les poursuites pour les deux, trois et quatre-roues sont systématiquement proscrites. « On préfère utiliser la vidéosurveillance pour faciliter l'interpellation de certains suspects plutôt que de jouer avec la vie des habitants ou des effectifs », explique un responsable policier de Seine-Saint-Denis, sous couvert d'anonymat.
Notre pays est à la merci d'un évènement mineur pouvant à tout moment déclencher des insurrections urbaines majeures, dont nul ne sait jusqu'où elles pourraient aller en terme de dégâts et de victimes.
Le saccage de Paris n'est plus un fantasme.
Le Ministère de l'Intérieur marche sur des œufs, on le voit bien chaque fois qu'il doit traiter la délinquance des minorités. Il suffit de voir l'incroyable discrétion de ce gouvernement lors des affrontements ethniques à Dijon. Il ne fait guère de doute, qu'en cas de dérapage de la Police, les adversaires du moment se seraient fait une joie de conjuguer leurs forces.
Il est plus facile au gouvernement de montrer ses muscles lorsqu'il s'agit des GJ ou des manifs identitaires que dans la moindre rébellion dans un quartier.
Il suffit de voir les invraisemblables conséquences de l'arrestation d'un délinquant récalcitrant du simple fait qu'il est noir!
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Sujet: Re: Ce que pensent les policiers "de terrain" - Rodéos 2 roues - Motos
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