Les parents d'enfants scolarisés en école primaire publique à Fontenay sous bois ont reçu, cette année encore, une enquête réalisée par l'inspection académique.
Le but est de connaitre les parents qui souhaiteraient que leurs enfants bénéficient de l'enseignement d'une langue de leur culture d'origine (arabe, turque, espagnole, croate, serbe, portugaise, italienne).
La condition :
"sont concernés prioritairement les enfants dont les parents ont la nationalité de la langue demandée".
Ce principe, qui n'émeut pas les défenseurs de l'égalité vers le niveau zéro, est d'une part discriminatoire (les enfants de parents Français y sont exclus), et d'autre part contribue à parcelliser encore un peu plus les communautés vivant en France...
Un enfant qui est devenu Français pas la naissance n'est pas vraiment Français ?
Un enfant se voit accordé des droits différents selon ses origines ?
Les Français seraient-ils des sous-hommes, dépourvus de tous les droits dont les autres (que l'inspection académique défini par des critères fondés sur l'appartenance à une origine distincte du corps social) disposent en totalité ?
La maison mère brulent, ils l'arrosent d’essence et accusent les pompiers de ne pas venir plus vite...