C'est au pied du mur que l'on voit le maçon ! mais alors comment voit on le président ?

Moi Président avait donné une brillante leçon lors de la campagne électorale... et ne se privait pas de juger sévèrement son prédécesseur.

http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/0203922522797-quand-hollande-fustigeait-le-bilan-de-sarkozy-a-mi-mandat-1062193.php


Le résultat actuel est parlant, d'autres diront accablant !

Dans l'article ci-dessus, Hollande promettait de réformer "jusqu'au bout" pour pouvoir, en 2017 "se regarder dans une glace".

Florilège de réformes, vues par l'économiste (plutôt de gauche) Thomas Piketty :
"Le problème de Hollande, c’est surtout qu’il n’a pas de politique. (). En arrivant au pouvoir, Hollande a commencé par supprimer - à tort - les baisses de cotisations patronales décidées par son prédécesseur. Avant de mettre en place, six mois plus tard, le CICE (crédit d’impôt compétitivité emploi), qui est une gigantesque usine à gaz consistant à rembourser avec un an de retard une partie des cotisations patronales payées par les entreprises un an plus tôt. Avec, au passage, une énorme perte liée à l’illisibilité du dispositif. Et maintenant, on envisage de revenir d’ici à 2017 à une baisse de cotisations. On a besoin de réformes fiscales et sociales de fond, pas de cette improvisation permanente."
http://www.liberation.fr/economie/2015/06/07/thomas-piketty-on-a-besoin-de-reformes-fiscales-et-sociales-de-fond-pas-de-cette-improvisation-perma_1324837

Pour ce qui est de la réforme territoriale, et de celles des retraites ou de l'éducation, chantiers toujours en cours.
Une métropole Grand Paris à géométrie variable, avec le PS Bartolone chaud partisan quand il s'en voyait président, puis reconverti candidat président de région et de métropole régionale.
Le déficit des retraites aggravé par les décisions (et non décisions) de début de quinquennat. Un blocage des négociations en cours sur les retraites complémentaires, mais des décisions urgentes à prendre.
La réforme permanente, en quelque sorte.
(je précise que l'agitation frénétique dans tous les sens du Sarkozy en fin de mandat n'est pas non plus pour moi une référence à suivre).

Il y avait une agence qui s'appelait "tourisme et travail"

Notre président c'est tourisme sans travail... pas près d'être vendu "air sarko one" ..

Pas de problème avec "super sarko" lui il est prêt !