Quérulence, vous connaissez ce mot?

Je viens de lire dans un document qui m'a été transmis, un mot que j'ignorais. Le mot quérulence. C'est bizarre il me semble concerner un monsieur connu pour ses débordements délirants.

QUÉRULENCE, subst. fém.

Un truc ecrit avant la naissance de Jésus Christ.

“difficilis, querulus, laudator temporis acti se puero,” from Horace (Quintus Horatius Flaccus, 65 to 8 BC)

Dans une société où ne pas savoir lire et écrire et ne pas savoir compter sauf les biffetons n'est pas une tare après 10 ans d'école, tenir à ce que l'on enseigne le latin et pire encore le grec relève de la provocation réactionnaire !

Après avoir déglingué sciences po, raboté les classes prépas, reste encore à foutre par terre les grandes écoles et on s'attaque à l'X...

Nous serons sauvés par les journaleux labellisés de gauche et par l'ENA pourrie par les recrutements à la gueule du client dispensant de passer le moindre concours...

Tous nullos, pas de jaloux et en marche "tous ensembles"  pour la médiocrité générale !

En même temps nos structures d'enseignement de haut niveau prennent des beignes lors des évaluations internationales mais on est content nous fonctionnons pour le bien et le confort des moins doués... qui sont les plus nombreux ! c'est ainsi que l'on peut gagner les élections...

Un convoi roulant toujours à la vitesse du plus lent la dégringolade est assurée... être nullard n'est plus un problème les autres m'attendront !

Et oui, aujourd'hui plus besoin d'être "smart". Le téléphone l'est à notre place.

Phone, aphone, iPhone. On en reste sans voix.

hic etiam Latio risus praenomine cultor stagnorum, querulis vis infestissima ranis, lucius, obscuras ulva caenoque lacunas obsidet. Là aussi, ce poisson plaisamment désigné par un prénom latin, l’hôte des étangs, l’ennemi acharné des criardes grenouilles, le Brochet, recherche des trous obscurs dans les herbes et la vase. —

Et Si vraiment il faut mettre un nom au brochet, c'est là.
http://m.leparisien.fr/politique/jean-marie-le-pen-attaque-le-fn-en-justice-02-06-2015-4825825.php

Qu'elle est le rapport entre le sujet de départ écrit par Gérard (Quérulence, vous connaissez ce mot?) et un lien du Parisien nous emmenant vers un article sur Le Pen, vraiment il ne sait plus quoi faire pour détourner les sujets, cela devient vraiment affligeant.

Collard y écrit que Lepen père en est atteint. Tout simplement.

L'extrait : le député Bleu marine Gilbert Collard, invité à réagir à la plainte de Jean-Marie Le Pen, a eu cette drôle de phrase : «Ce serait dommage qu'il tombe dans la quérulence processive»

Dans l'article il y a le mot "justice" alors faisons un paquet cadeau à Taubira...

Dommage que l'on ne trouve pas "avion"... on aurait évoqué le foutre bol, l'Espagne non la Catalogne, l'Italie, les teutons, Angie et le toréador...

tout cela est très logique.

Le sujet est d'apprendre à connaître le mot querulence et de donner des exemples tirés de l'actualité qui inclut le latin.

Libellule a écrit:

Le sujet est d'apprendre à connaître le mot querulence et de donner des exemples tirés de l'actualité qui inclut le latin.

Non. Le sujet est d'enfin parvenir à nommer la maladie d'un certain personnage à qui tout le monde pense immédiatement sur ce forum. Et qui n'est pas latin. Un grand Merci Gérard!

Oui, non, on ne va pas sabrer un si beau sujet... Disons que les approches s'additionnent sans forcément se neutraliser : Moi je me contente de relever que lorsqu'on s'intéresse au nom d'un brochet (c'est bien le sujet), qui se plaint de son sort (c'est toujours le sujet) il y a sans doute pas loin des grenouilles qui croassent fort... Dis avec l'humour qu'il convient. En me référant à l'actualité du moment. La pensée immédiate est forcément réactive, toute pensée construite souvent la complète utilement. N'en déplaise à ceux qui s'affligent vite.

étonnant qu'une personne qui s'acharne à soutenir la réforme des collèges, qui est pro XXXXXXX * avec à la clé la suppression de l'étude du latin nous explique l'utilité de connaitre de cette langue morte... ceci alors que la ville de Fontenay fait des dépenses somptuaires pour éditer un opuscule susceptible de rendre intelligible aux "bourgeois" la langue des cités.

On peut vouloir se battre sur tous les fronts mais en général on évite de s'auto trucider (lorsque l'on est cohérent)

Nul doute que des esprits supérieurs vont expliquer l'inexplicable et justifier l'injustifiable... comme d'hab !

A la fin ça lasse ! surtout ceux qui financent les fantaisies ruineuses...



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