Migrants - La Belgique rétablit des contrôles à sa frontière avec la France

Il y a encore quelques mois encore certains guignols affirmaient que la libre circulation à l'intérieur de l'espace Schengen était gravée dans le marbre...

Aujourd'hui le rétablissement de contrôles entre la France et la Belgique, pays fondateurs de l'Union, doit réellement nous alarmer et nous inquiéter....

Et si c'était le début de la fin de l'espace Schengen ?

Et si les islamistes qui ont mis sur les routes ces migrants qui aujourd'hui affluent étaient en train de gagner une bataille ?


"« On a informé la Commission européenne qu’on va temporairement déroger à Schengen, a indiqué Jan Jambon, en référence aux règles de libre circulation en vigueur au sein de l’Union européenne, Cela durera aussi longtemps que nécessaire. »"

http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/02/23/la-belgique-retablit-des-controles-a-sa-frontiere-avec-la-france_4870392_3214.html a écrit:

La Belgique rétablit des contrôles à sa frontière avec la France

Le Monde.fr avec AFP | 23.02.2016 à 16h38 • Mis à jour le 23.02.2016 à 17h55

La Belgique a annoncé, mardi 23 février, le rétablissement temporaire de contrôles à sa frontière avec la France, pour faire face à un éventuel afflux de migrants quittant la « jungle » de Calais, vaste camp situé près de l’entrée française du tunnel sous la Manche, qui pourrait être en partie fermé prochainement.

Quelque 250 à 290 policiers vont ainsi être déployés de manière permanente à la frontière franco-belge, a annoncé le ministre de l’intérieur belge, Jan Jambon, lors d’une conférence de presse. De premiers contrôles ont déjà eu lieu lundi soir, aboutissant à l’« interception » de 32 personnes à Adinkerke, a déclaré le ministre.

   « Lorsque les camps en France seront évacués, nous pourrions faire face à un afflux de plusieurs milliers de personnes. On va contrôler la frontière à différents lieux stratégiques, sur des lieux utilisés par les passeurs et que la police a détectés. »



« Aussi longtemps que nécessaire »

« On a informé la Commission européenne qu’on va temporairement déroger à Schengen, a indiqué Jan Jambon, en référence aux règles de libre circulation en vigueur au sein de l’Union européenne, Cela durera aussi longtemps que nécessaire. » Le ministre de l’intérieur a précisé vouloir éviter que des camps soient établis en Belgique et aient un « impact économique [sur] la côte et le port de Zeebrugge », d’où partent des ferrys pour la Grande-Bretagne, surtout alors que « la saison touristique va bientôt commencer ».

   « On veut éviter à tout prix des camps de tentes “à la Calais” en Belgique. C’est une question de maintien de l’ordre ».

Les autorités françaises ont émis un ultimatum pour procéder à l’évacuation d’une partie du camp de Calais. Une décision du tribunal administratif de Lille, attendue mercredi ou jeudi, pourrait toutefois venir contrecarrer ce plan, après la demande de plusieurs associations en faveur d’un maintien du camp.

La Belgique est le septième pays membre de l’espace Schengen de libre circulation à rétablir des contrôles temporaires à ses frontières après la France, l’Allemagne, l’Autriche, le Danemark, la Norvège et la Suède. Ils y sont autorisés dans des situations exceptionnelles.

Source: http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/02/23/la-belgique-retablit-des-controles-a-sa-frontiere-avec-la-france_4870392_3214.html

Nous n'entendons plus les grandes tirades :
"ils ne faut pas faire de tri chez les "migrants (mots qui ne veut rien dire)" parce qu'il recouvre volontairement des situations différentes
Prêcher le jihad n'est pas une infraction... celle là il fallait la sortir ! tout ça pour finir ministre de l'intérieur...
Le 49/3 est une brutalité et un déni de démocratie... signe flanbi en 2006
On n'arrive pas à contrôler des tôlards et on a la prétention de tenir le pays avec l'état d'urgence, des forces de l'ordre à bout de souffle, des frontières passoires... et des terroristes qui se promènent librement en Europe.
On ne nous explique plus que nous allons recevoir des intellectuels...avocats, médecins, professeurs... ils ont une allure curieuses nos élites arrivantes et surtout des comportements fâcheux !
On se demande où sont les familles et en particulier les femmes...
On cherche les chrétiens... mais visiblement personne ne s'en soucie, il est vrai qu'il faut protéger les homos et leur faire des résidences spéciales.

Pas grave nous avons encore Bedos pour nous expliquer la vie... Encore un an et demi avant les législatives et les présidentielles si la marmite n'a pas explosé d'ici là et on pourra crier "FN facho" pour se donner bonne conscience.

TRois pas en avant et quatre en arrière c'est la danse gouvernementale ! on vide la jungle dit on hier et maintenant on attend pour le faire... risible !

Un motif de satisfaction : air sarko one le symbole de la gestion de sarko qui devait être vendu est en état de marche et fanbi semble s'y être habitué.
Les écolos sont contents ils sont à la table des puissants ! En tout cas ils ont leur chauffeur et passent à la caisse

L'Europe sombre, mais ce n'est pas grave on commissionne et la réunionite bat son plein... donc nos grands chefs existent ! Les voitures sont propres, le chauffeur en tenue et on passe à la caisse.

AFP 24-02-2016 - 04:12
Migrants : Vienne évoque la crise avec neuf pays des Balkans, agacement d'Athènes

L'Autriche réunit mercredi neuf pays des Balkans pour évoquer la gestion du flux de migrants qui arrivent depuis la Grèce, provoquant l'agacement d'Athènes qui n'a pas été convié et subit les conséquences d'une restriction du nombre de migrants admis à transiter par les Balkans.
Parallèlement, Amnesty International épingle l'Europe sur la crise des migrants.
Les ministres de l'Intérieur et des Affaires étrangères des pays de la route balkanique empruntée par les migrants (Albanie, Bosnie, Bulgarie, Kosovo, Croatie, Macédoine, Montenegro, Serbie et Slovénie) ont été invités par Vienne à une réunion de coordination sur la "gestion migratoire".
La Grèce y voit une initiative "unilatérale et inamicale" visant à prendre, sans elle, "des décisions concernant directement ses frontières".
Vienne a fait valoir mardi qu'une telle réunion n'était pas une première. Ce à quoi Athènes a répondu : "Répéter une erreur ne la corrige pas."
Prenant acte de l'impuissance jusqu'à présent de l'Union européenne à réguler le flux de migrants et à en assurer la répartition parmi les Vingt-Huit, l'Autriche a instauré le 19 février des quotas quotidiens d'entrées sur son territoire : 80 demandeurs d'asile et 3.200 personnes en transit.
Cette annonce, qui a engendré un effet domino de mesures restrictives dans les pays des Balkans situés en amont du flux, a été vivement critiquée par l'Union européenne, qui a évoqué mardi le risque d'une "crise humanitaire".
Et Athènes, qui doit gérer dans l'urgence le blocage de milliers d'exilés arrivés de Turquie et jusque-là autorisés à poursuivre leur périple en Europe, a protesté tant auprès de Vienne qu'auprès de l'UE, sur l'absence de concertation migratoire européenne.
Près de 4.000 migrants restaient bloqués mardi soir à la frontière d'Idomeni, la Macédoine, qui n'est pas membre de l'UE, ayant barré dimanche le passage aux Afghans et exigé des réfugiés autorisés à passer, Syriens et Irakiens, qu'ils disposent de papiers d'identité en plus du laissez-passer délivré dans les centres d'enregistrement.
Quelque 300 réfugiés ont toutefois pu passer dans l'après-midi, selon la police grecque.
Le filtrage se fait sur la base de "critères imposés par les pays de destination finale", a indiqué une source gouvernementale macédonienne.
Depuis l'île grecque de Lesbos, principale porte d'entrée des migrants en Europe, le haut-commissaire aux réfugiés de l'ONU, Filippo Grandi, a estimé mardi que la "fermeture croissante" des passages aux réfugiés et migrants sur la route balkanique risquait de créer un "chaos" en Europe.
Plus de 102.000 migrants et réfugiés sont arrivés depuis janvier sur les îles grecques en provenance des côtes turques, soit autant qu'au premier semestre 2015, a annoncé l'Organisation internationale pour les migrations.
Quelque "2.000 personnes dont un tiers sont des Afghans" continuent d'arriver quotidiennement, selon le responsable du HCR en Grèce, Philippe Leclerc.
Dans ce contexte, le secrétaire général d'Amnesty International a qualifié mercredi de "honteuse" l'attitude des pays européens face à la crise des migrants qui fuient la guerre au Proche-Orient.
"L'UE, qui compte plus de 500 millions d'habitants et qui constitue l'ensemble politique le plus riche de la planète, s'est singulièrement montrée incapable d'apporter une réponse cohérente, humaine et respectueuse des droits humains", insiste l'organisation dans son rapport annuel sur la situation des droits de l'Homme dans le monde.
"Seule l'Allemagne a fait preuve d'une volonté politique à la mesure de l'importance du problème", estime l'ONG. "La plupart des dirigeants européens ont préféré prêter l'oreille aux discours tonitruants hostiles aux immigrés, motivés par la peur de l'insécurité et d'une perte de souveraineté nationale. Résultat : les seules mesures sur lesquelles ils ont pu s'entendre sont celles qui visaient à renforcer la "forteresse Europe+", ajoute-t-elle.

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Depuis plusieurs années que les "migrants" débarquent de manière anarchique et illégales sur le continent européen ou franchissent de force les frontières de notre espace de "libre circulation" nos institutions n'ont pas été en mesure de rendre étanches les limites de l'Europe. Rien de sérieux et encore moins d'efficace n'a été mis en place !

Les autorités de Bruxelles sont les premières à transgresser les règles qu'elles ont fait adopter. Actuellement elles recommandent qu'au lieu de traiter le dossier des migrants dans le pays d'arrivée comme les textes le prévoient on les traitent dans le pays de destination ce qui induit si on respecte la législation de recourir à des procédures sans fin aux termes desquelles l'expulsion n'est pas réalisée.
Où sont les "hot spots" dont on nous rabat les oreilles ?

La nature à horreur du vide et se révolte lorsque l'on veut trop la forcer. Il en est de même avec les peuples.
Certains de nos dirigeants nationaux voient arriver avec angoisse le moment où ils vont être remplacés. Il est à craindre (ce n'est pas une vue de l'esprit) que des troubles nationaux gravissimes viennent à bout de tranquillité de plusieurs pays.
Il semble en découvrant l'apathie de nos technocrates bruxellois assurés de leur rente de situation qu'ils leur soit impossible d'envisager la catastrophe.
La lecture du CV de nos dirigeants explique largement qu'ils soient en permanence à coté du sujet.

IL est tout de même plus facile de légiférer sur la norme des toilettes du continent que d'assurer la sécurité des frontières !

Et nous ne sommes qu'au début d'un long processus d'arrivées successives de migrants.

Attention ça va faire mal !
Le ministre de l'intérieur français est en colère contre les Belges qui tiennent à contrôler leur frontière avec la France... et en plus il ne l'on pas prévenu avant... les sournois ! Prévenir après ça ne s'est jamais vu, il faudra là aussi sans doute l'expliquer à notre ministre.
Ces salauds de Belges ne veulent pas servir de dépotoir à la "jungle de Calais" ! Ils préfèrent nous envoyer leurs flingueurs à Paris.

Chose curieuse avec la répartition des "migrants" qu'il fallait accueillir sans distinction et répartir (sans leur demander leur avis) ça ne se passe pas comme nos brillants technocrates bruxellois et nos politicards à courte vue le pensaient.
Surprise qui plus est, il semble même que les manants des différents pays ne soient pas d'accord... et commencent à le manifester de manière si visible qu'il devient impossible de le cacher.

Cette affaire traitée de manière catastrophique va t elle amener des ennuis et quelques désillusions électorales ?
Là ça commence à inquiéter ! C'est un coup à perdre sa sinécure...

Il est serait bon que nos amis Belge contrôlent aussi leurs immigrants vers la France.