En pleine période d'état d'urgence, l'Allemagne a perdu 130 000 "migrants"

AFP 26-02-2016 - 13:18

L'Allemagne ne sait pas où se trouvent plus de 130.000 migrants enregistrés

Le gouvernement allemand a indiqué vendredi que les autorités ne savaient pas où se trouvent 13% du million de migrants enregistrés en 2015, ceux-ci ne s'étant pas présentés dans les foyers où ils devaient se rendre.
"Les causes possibles (de l'absence de ces migrants) pourraient être par exemple un retour dans le pays d'origine, la poursuite du voyage vers un autre pays ou bien une plongée dans l'illégalité", explique le gouvernement dans une réponse écrite à des parlementaires du parti de gauche Die Linke et transmise à l'AFP par cette formation.
Une autre possibilité est l'existence de doublons dans l'enregistrement EASY qui comptabilise les migrants souhaitant déposer une demande d'asile et sur la base duquel il leur est attribué un foyer dans l'une des régions allemandes[/i].
Ce système a enregistré 1,09 million de migrants en 2015, un record en Allemagne et en Europe.
Dépassées par cet afflux, les autorités ont adopté fin 2015 et début 2016 une série de mesures pour accélérer l'examen des demandes d'asile et les expulsions mais aussi donner aux autorités une meilleure vision d'ensemble.
L'Allemagne vient ainsi de créer son premier fichier centralisant les identités de tous les migrants enregistrés et tous doivent désormais recevoir une pièce d'identité appelée "preuve d'arrivée".
Par ailleurs, la chambre basse du Parlement allemand a adopté jeudi une loi prévoyant entre autres que tout migrant ne se présentant pas dans le foyer qui lui a été attribué ne pourra pas bénéficier de toutes les aides sociales.
Enfin, certaines catégories de demandeurs d'asile, notamment ceux dont la demande n'a que peu de chance d'aboutir car originaires de pays dits "sûrs", auront une obligation de résidence.
"Nous avons pris les mesures qui s'attaquent justement à ce phénomène (des migrants dont les autorités perdent la trace) et elles vont à l'avenir participer à la réduction de ce phénomène", a souligné le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Johannes Dimroth, lors d'un point presse régulier.
"Il est encore trop tôt (...) pour évaluer les effets", a-t-il souligné, alors que certaines de ces mesures viennent seulement d'entrer en vigueur et d'autres ne le sont pas encore.
Il a par ailleurs exclu de limiter la liberté de circulation des migrants pour juguler le problème.
"Il n'y a pas en Allemagne de bases légales pour priver ou limiter la liberté des" demandeurs d'asile, a-t-il souligné.
La chancelière allemande Angela Merkel est de plus en plus critiquée dans son pays pour avoir ouvert grand les portes de son pays aux réfugiés.[/i]

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Ils ne sont pas ou mal enregistrés, ils disparaissent, ils circulent librement en Europe... Si Angie est critiquée en Allemagne peut être que dans d'autres pays à qui elle donnait des leçons y a t il un sentiment d'énervement voire de colère.

Il y a du travail en perspective pour les "radars" de la police française ! Tout va bien dormez braves gens !

On en n'est plus à l'époque de l'italien ou de l'espagnol qui passait les Alpes ou les Pyrénées à pieds....

Citation :

Un réseau d'immigration clandestine démantelé en Seine-Saint-Denis

Par France 3 Paris IDF avec AFP Publié le 11/10/2017 à 11:14
Le coup de filet a eu lieu mardi. Des opérations conjointes des polices française et allemande ont permis de démanteler une filière d'immigration clandestine indienne. Six personnes, présentée comme des organisateurs de ce réseau à destination de l'Europe, ont été arrêtées en Seine-Saint-Denis par les policiers de l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (Ocriest).


De faux touristes

Selon l'Ocriest, soutenu dans cette opération par Europol, l'organisation créait de faux comptes bancaires chargés de falsifier le patrimoine des personnes transférées. Ce fonctionnement permettait de faire croire à des visites de loisir d'Indiens aisés et facilitait "l'obtention indue de visas touristiques".

Les immigrants étaient ensuite accueillis par des familles en Seine-Saint-Denis, d'après le Parisien, puis véhiculés vers l'Allemagne ou le Portugal. Ils y étaient employés comme main-d'oeuvre clandestine. Selon le quotidien, la filière pratiquait des tarifs allant de 7 000 euros pour une personne seule à 25 000 euros pour un couple avec enfants.

Huit familles d'immigrants illégaux ont été également arrêtées en Allemagne. L'enquête a été confiée au tribunal de Bobigny.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-saint-denis/reseau-immigration-clandestine-demantele-seine-saint-denis-1345003.html

Il y a un "business" de l'immigration.
Comment expliquer que des miséreux qui n'ont pas de quoi vivre trouvent 2 ou 3000 dollars à donner à des passeurs ?
Comment expliquer que des gens qui déboulent du désert disposent des derniers Smartphones ?

Un de ces jours il faudra tout de même répondre à ces simples questions... il y en a d'autres (des questions) pour la suite. Le trafic d'immigrés (non de migrants, de réfugiés... on ne sait plus trop mais le toréador a dit que c'était kif kif et que tout était bon pour venir en France) est une chose lorsqu'il se double de l'entrée sur notre sol de terroristes on complique le débat... oui il faut débattre !

Le trafic humain répond aux mêmes exigences que celui des armes et de la drogue... in fine que ce soit les hommes ou les femmes, les flingues ou la came tout arrive au même endroit... Est il possible sans stigmatiser de dire où ?

Conclusion : on laisse les zones de non droit tranquilles pour des raisons faciles à comprendre... et les affaires continuent.

Le refrain à reprendre tous en chœur : Fiches S, attentats, peluches, grosses bougies, "plus jamais ça", commémore, sévèrement puni, on chougne, vous n'aurez pas ma haine... on déplace les pandores pour garder flanby et on recommence un peu plus tard avec les flingués, les écrasés, les éventrés, les égorgés... radars de la police toujours en panne et l'anarchie dans la rue.

Heureusement l'Europe veille et on s'occupe de la Catalogne !

a.nonymous a écrit:

On en n'est plus à l'époque de l'italien ou de l'espagnol qui passait les Alpes ou les Pyrénées à pieds....

Aux temps jadis, on parlait des Alpes et Pyrénées comme des "frontières naturelles" de la France. Même si localement les bergers s'en fichaient pas mal, et leurs brebis encore plus.
Il y avait là assez de reliefs, en effet, pour freiner les ardeurs migratoires. Mais les voyages aériens ont tout aplati. La perméabilité (ou flux de migrations) doit néanmoins rester très variable selon les lieux.

Que fait la Police aux frontières (DCPAF) ? (ex Police de l'air et des frontières) Quelques chiffres :
"En France métropolitaine, la DCPAF doit surveiller 7 660 kilomètres de frontières, dont 2 940 terrestres (belges 630 km, espagnoles 690 km, suisses 550 km, italiennes 500 km, allemandes 435 km, luxembourgeoises 75 km) et 4 720 maritimes ; les points de passages carrossables frontaliers : 4 tunnels, les 64 aéroports internationaux, de nombreux ports, etc."

Penser que la police des frontières puisse traiter le dossier des clandestins en contrôlant les accès est me semble t il une vision assez réductrice de la question.
On vient en France pour y séjourner frauduleusement parce que l'on ne risque rien à le faire.
On séjourne en France clandestinement parce que l'on sait que l'on y sera soigné (certains y viennent d'ailleurs pour cela) gratuitement.
On séjourne en France parce que l'on y trouvera un travail et au pire que l'on sera pris en charge.

Je peux au besoin poursuivre la liste car il y a de la matière.
Si on cherche les clandestins au lieu de jouer au chat et à la souris dans la montagne ce qui prend du temps, coute cher et n'est pas l'endroit où les trouver il est plus simple de se balader en ville ce sera moins difficile et plus productif... les services spécialisés manqueront de moyens pour transporter la récolte.

Pourquoi ne procède t on pas ainsi ? c'est une excellente question... à laquelle tout le monde a la réponse mais que nos lois compliquées par les règles européennes interdisent de mettre en pratique et par là même de trouver une solution.

En résumé le problème est connu et il est interdit de le résoudre.

Pour ce qu'il en est de la reconduite matérielle à la frontière nous sommes dans le domaine du dérisoire...

Certains esprits chagrins voient dans la page de couverture du journal municipal soit une provocation, soit une ironique remarque aux communes voisines, soit, enfin, une charitable démarche co gérée par le Front de gauche de Fontenay et certains responsables de la communauté religieuse catholique locale.
Un fait est certain...la communication de M.Gautrais a donné un sérieux coup de vieux à celle de son prédécesseur
Qu'en pensez-vous?

Office français de protection des réfugiés et apatrides

l'OFPRA c'est à Fontenay.

https://www.ofpra.gouv.fr/l-ofpra/presentation-generale

Je lis donc sur cette couverture des mots surprenant. Voyons en deux étapes :

Demandeurs d'asile : mais où est passé l'écriture "inclusive" ? Tant promue par la mairie, qui se vante d'en avoir fait des pages. Le/la correcteur mérite un camp de rééducation à la parité ; où alors, Fontenay n'accueille que des mâles étrangers ? Et la parité, b..

Welcome to Fontenay : tiens, pas de bienvenue aux francophones à Fontenay ? Soyons ouverts, accueillons l'anglais en couverture, mais pourquoi pas le français ? Et pourquoi pas d'autres langues aussi, parce que là on dirait un accueil de touristes.

Fontenay version english : que vont penser les visitors de cette anecdote, lisible en ce moment sur le Wikipedia anglais (va-t-elle y rester ? that is the question) Bien sûr, c'était avant 2014. Mais c'était où ?

Citation :

Jean-François Voguet, mayor from 2001 to 2014, ordered the expulsion of people living in a house belonging to the city. The mayor is now part of the few PCF mayors who practice the expulsion of squatters.

Chapeau Salamandre, ++++++

Quel contresens!¡¡!!!!!!!!

Que dit l'article au fond?

En France, tout demandeur d’asile est convoqué pour un entretien personnel à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), situé à Fontenay.

Si l'es personnes doivent venir de province pour un rendez-vous à 9h, il vaut mieux passer la nuit précédente en Île-de-France.

Parfois, elles ont besoin d’être aidées pour arriver à bon port.

C’est à partir de ce constat que François et Martine Demaison ont créé et coordonnent Welcome Fontenay.

«Ce service peut paraître tout simple, mais il n’est pas que matériel. Dans un moment important pour le demandeur
d’asile, il reçoit un peu de chaleur, le temps d’une ou deux nuits, ce qui est bien plus qu’une chambre d’hô-
tel! », explique François Demaison, diacre permanent. Ce sont les antennes diocésaines du Secours catholique, du Service jésuite des réfugiés (JRS) et de la Pastorale des migrants qui orientent les demandeurs d’asile vers les époux Demaison.

«Avant, on ne faisait rien, à part aiguiller les demandeurs d’asile perdus à la sortie de la gare. C’est après l’appel du
pape en 2015 qu’on s’est demandé ce qu’on pouvait faire de plus. », se souvient-il.

Le pape François avait appelé à ce que « chaque paroisse, chaque communauté religieuse, chaque monastère, chaque sanctuaire d’Europe, accueille une famille » de réfugiés.

«Ce n’est pas une affaire de religion mais d'implication»

Quelques précisions utiles : En complément de « Welcome 94 », monté avec le Service Jésuite des Réfugiés (JRS) et qui mobilise familles et congrégations religieuses dans le diocèse, une cellule spécifique à la ville de Fontenay a été créée.

Mary Gorgette, responsable de la Pastorale des Migrants témoigne.Tout demandeur d’asile en France est convoqué pour un entretien personnel à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), à Fontenay-sous-Bois (94). Si une personne doit venir de province pour un rendez-vous à 9h, il vaut mieux passer la nuit précédente en Ile-de-France. Parfois les personnes ont besoin d’être accueillies à la gare ou accompagnées pour prendre les transports.

Source http://www.jrsfrance.org/jrs-welcome-refugie/

Jesuit Refugee Service - Service Jésuite des Réfugiés - Accompagner | Servir | Défendre

Contresens? Un titre est porteur du message qui le suit. L'observation de Salamandre, illustrée par la citation de Wikipedia concernant le prédécesseur du maire actuel, et opposant leur position est intéressante notamment au plan de la communication.

Reprendre le titre du service des Jrs ne permet aucun détournement vers JFV. Cela peut faire sourire mais n'est pas sérieux.

où JRS Welcome est présent :

AIX EN PROVENCE – ALES – AVIGNON – BEAUVAIS – BOUCHES-DU-RHÔNE – BOURG EN BRESSE – BORDEAUX – CALVADOS – CHAMBERY – CHERBOURG – CLERMONT-FERRAND – DIJON – FRANOIS ET SERRE LES SAPINS – GAP – GRENOBLE –  LAVAL – LIMOGES – LONS LE SAUNIER – LYON– METZ – MONTPELLIER ET HERAULT – NANTES – NICE – ORLÉANS – POITIERS – PARIS ET IDF – QUIMPER – REIMS – SAINT -BRIEUC – SAINT ETIENNE – SALON DE PROVENCE – STRASBOURG – TOULON – TOURS – TOULOUSE – TROYES – YVELINES (78) – VALENCIENNES – VANNES

Et maintenant Fontenay

*JRS Welcome n’est pas une association. C’est un programme de l’association JRS France.
Juppé ou Estrosi accueillent ce programme.

Mélanger les notions de squatters et réfugiés migrants aidés par Jrs est bien un contresens.

Juppé et surtout le motodidacte mis en exergue par notre anti droito permanent rien ne nous sera épargné !

C'est un signal fort du naufrage de la gauche écolo on se raccroche aux murs pour rester debout.