USA - Donald Trump Elu

Je vais être clair, j'ai aucun avis sur le futur Presudent des États Unis, j'ai pas lu son programme, pas plus que celui dHilary Clinton.

Mais quand je vois comment nos médias ont craché dessus depuis des mois, et que malgré cela il soit Elu, je me dis qu'il y a des problèmes de compréhension des enjeux chez nos journaleux.

Les journalistes ne sont pas là pour informer objectivement la population mais pour la formater. A la limite le microcosme médiatique qui fonctionne en vase clos s'auto intoxique.
Il suffit de regarder une émission politique, l'invité surtout s'il est de droite ne peut pas parler c'est le show du journaliste... le flot de pensée unique et le politiquement correct impliquant les limites de la réflexion.
Pour faire bonne mesure on arrive y compris en mentant ou en utilisant des procédés contestables à ne pas recevoir certaines personnalités dérangeantes.

La supercherie ne peut plus perdurer et les gens s'informent par d'autres moyens...

Pour ce qu'il en est des politicards point n'est besoin de les déglinguer ils font ça très bien... Dommage pour eux que les électeurs contribuables ne marchent plus dans le système.

Dans le domaine des institutions européennes ce sera sous peu la même chose avec à la clé  l'éclatement de la structure, personne parmi ceux qui flanquent la pagaille ne se remet en question.

La Bérézina n'est qu'une question de temps.

et oui en France, même problème, les médias promotionnent leurs candidats, ils pensent aussi influencer les électeurs.
Hier ils ont encore fait le choix du second tour de la primaire, 2 journaux télé une le midi sur une chaine, seul Juppé et Sarkosy ont été interviewés, le soir sur une autre chaîne, les 2 mêmes avec en "coup de vent" Fillon. Les autres candidats à leurs yeux doivent être quantité négligeable.

A la lecture des échos aujourd'hui, un article sur les casseroles d'Hilary Clinton dont financement occulte de la fondation Clinton par le Qatar, fondation qui finance le mariage de la fifille Clinton etc.

Les mêmes qui nous disaient tant de biens d'Hilary condamnent souvent Sarko pour ces liens avec le Quatar...

J'ai honte de vous infliger ce texte mais je vais oser tout de même...

Du Zemmour pur jus est ce convenable de le lire ?
Siroter du BHL qui veut faire une nouvelle guerre tous les 6 mois et se plante régulièrement voila qui croire et qui est intéressant !

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Le facteur sonne toujours deux fois !

Après le Brexit, Donald  Trump ! Après l’Europe, les Etats-Unis ! Et la France dans tout ça ?

La menace se précise … pour la bien-pensance !

Pour les élites, pour les médias, pour les sondeurs qui se sont encore trompés, pour les communicants qui conseillent toujours aux politiques de lisser leurs discours, de l’édulcorer, de lutter contre les discriminations, de lutter contre le réchauffement climatique. Trump, c’est la défaite du féminisme, de l’antiracisme, du cosmopolitisme, de l’écologie.

La défaite de l’idéologie dominante aux Etats-Unis, ce n’est pas comme en Angleterre, en Hongrie ou en Pologne, en Autriche ou même en Russie. L’Amérique, c’est le coeur de l’économie mondiale. L’Amérique, c’est le modèle culturel de la planète ! La référence idéologique !

Trump, c’est une subversion inouïe de l’idéologie dominante !

Le nouveau président américain est élu par une Amérique blanche et populaire, l’Amérique de souche qui ne veut pas mourir, qui se bat contre les tendances démographiques. Trump est le candidat des « Ploucs », des mâles blancs, des ouvriers, le candidat de l’Amérique périphérique, dédaignée et méprisée par les grandes métropoles.

« So, what about France ? »

La suite : http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/apres-le-brexit-donald-trump-et-la-france-dans-tout-ca/

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Surtout ne changeons rien, conservons le même discours, appliquons les mêmes mesures aussi inefficaces que stupides... surtout l'exception française ayant force de loi universelle verrouillons les portes du bunker intellectuel.

On ne modifie pas une équipe qui perd !

Pas la peine de me jeter des pierres, gardez vos forces pour les élections.

Ah Le peuple vu selon Zemmour... Un coup d’œil aux enquêtes post-électorales montre d’abord que le FN a tort de ne pas vouloir regarder les résultats en les «racialisant», comme dit Marine Le Pen. Autant nier l’évidence. Aux États-Unis, où les statistiques ethniques sont autorisées, le profil des électeurs est établi en fonction de leur genre, leur niveau d’éducation, leurs revenus mais aussi ethnies. Les électeurs blancs, qui ont représenté 70% de l’électorat mardi, ont voté à 58% pour Donald Trump selon un sondage de sortie des urnes mené par Edison et publié, notamment, par le New York Times. Chez les Noirs (12% des votants), il n’a recueilli que 8% des voix contre 88% pour Hillary Clinton. Un score légèrement au-dessus de celui du candidat républicain de 2012, Mitt Romney, qui n’avait récolté que 6% des voix chez les Noirs (Barack Obama avait reçu 93% du suffrage noir en 2012, et 95% en 2008). Même en regardant les autres minorités, leur vote pour la candidate démocrate au détriment de Trump reste massif. Celui-ci n’a obtenu que 29% des voix dans la catégorie hispanique/latino et 29% chez les Asiatiques. Contre 65% pour Clinton. Le clivage est net.

L’autre lecture contestable du FN consiste donc à analyser cette victoire comme celle «du peuple contre les élites», comme le fait Nicolas Bay. Si le 45e président des États-Unis a convaincu le «peuple», on ignore de quel peuple il s’agit. Mais en tout cas, il n’a pas séduit les plus pauvres. Les sondages de sortie des urnes divisent les Américains en six catégories de revenus. Et les deux catégories les plus basses sont justement celles qui ont voté pour la démocrate. Ceux qui gagnent moins de 30 000 dollars par an ont voté à 41% pour Trump et à 53% pour Clinton, et ceux qui ont un revenu annuel situé entre 30 et 50 000 dollars ont voté à 42% pour Trump et 51% pour Clinton. La tendance s’inverse à partir de la troisième catégorie, celle où les personnes ont des revenus qui se situent entre 50 000 et 100 000 dollars annuels. Dans les deux catégories suivantes, les deux candidats sont à peu près à égalité, avec toujours un point de plus en faveur de Trump. Si les plus pauvres ont voté pour la candidate démocrate, les plus riches ont voté Trump. Les Américains qui gagnent plus de 250 000 dollars par an ont voté à 46% pour la démocrate contre 48% pour Trump.

Source Libération

Quand on considère les pourcentages d'abstentions et la représentativité des candidats on constate qu'au bout du compte Trump n'a obtenu par délégation des grands electeurs qu'un quart des voix des américains et moins même (0,2% soit environ 200 000 voix) que Hillary Clinton.
En France, et dans notre ville même, on observe des décalages similaires dans certaines élections.

Si l'info est dans libé, le nouvel obs et le monde... on tire le rideau ! les autres sont condamnés au silence... c'est reparti pour un tour !
on se trompe, on énonce des contre vérités, on tente de manipuler les électeurs mais rien ne sert de leçon... on est sonné deux ou trois jours et ça repart de plus belle !
Dommage qu'ils ne soient pas aussi résolus pour traiter les dossiers qui posent problème.

La messe est dite ! pas question que les électeurs puissent avoir un avis différent ! les "sachants" donne le ton .

Le peuple vu par Zemmour n'est pas crédible... et vu par qui est il représenté ? Par flanbi ? par la danseuse de flameco ? par méluche ? par juppé ? par le toréador ?

En bref par ceux qui se plantent depuis des années ! Ceux qui au fil du temps ont une constante qui dépasse les partis dits de gouvernement : l' ECHEC !

Pour Zemmour, "une guerre de Sécession" guette les Etats-Unis. Youpi une bonne guerre civile comme dans le bon vieux temps...

Outre un nombre indéterminé de victimes civiles, la première guerre du genre provoqua la mort de 620 000 soldats, dont 360 000 nordistes et 260 000 sudistes. La très grande majorité des soldats étaient natifs des États-Unis. Et les États non encore unis étaient bien moins peuplés que les stars and stripes d'aujourd'hui.

Concernant la participation non américaine, on a avancé le nombre de 600 000 étrangers, principalement européens ; parmi eux on a recensé environ 26 000 Français dont environ 40 % combattirent avec le Nord, et 60 % environ avec le Sud. Aujourd'hui on dit latinos, noirs et musulmans ça fait moins nationnaliste.

Belle perspective. Un Brexit ici, un Calexit là-bas. Retour aux nations non unies partout.

Et peut-être un exit tout court d'une certaine partie de la population française. On pourrait l'appeler Zemmourxit.

Pour sûr Poutine va apprécier.

Côté historique ce qu'on appelle aujourd'hui'hui le mur des bleus (on y votait généralement démocrate) occupe la zone anciennement appelée la Rust Belt ou ceinture de rouille (usines industrielles aujourd'hui désaffectées :

La Rust Belt était nommée jusque dans les années 1970 la Manufacturing Belt (« ceinture des usines »).

Ce changement d'appellation en dit long sur l'évolution économique de la région. Celle-ci correspondait de longue date à une zone de développement des industries lourdes.

Lors de la guerre de Sécession, lorsqu'on comparait le Nord industrialisé au Sud des plantations, c'est de cette région qu'il était déjà question. Malgré son déclin, la Rust Belt réalise encore 40 % de la production industrielle du pays. Y vivent en nombre des anciens 'cols bleus' qui ont vu disparaître des villes entières comme Detroit voici quelques temps. Les États qui ont fait basculer l'élection sont là.

La perspective effrayante d'une guerre civile existe aussi en France.
Notre doux pays en a tant connu, la Croisade contre les Albigeois, les Armagnacs contre les Bourguignons, les guerres de religions, les Frondes, les guerres de Vendée, la Commune... qui dit mieux?

tonton christobal a écrit:

En bref par ceux qui se plantent depuis des années ! Ceux qui au fil du temps ont une constante qui dépasse les partis dits de gouvernement : l' ECHEC !

Pour faire simple et direct, ceux qui se plantent ce sont bien les électeurs car, que je sache, ce sont bien les électeurs qui ont votés pour ceux au pouvoir.
A moins d' être de parfait crétins (il y en a sans aucun doute) les électeurs sont dotés d' un cerveau et peuvent réfléchir.

Gérard a écrit:

La perspective effrayante d'une guerre civile existe aussi en France.
Notre doux pays en a tant connu,  la Croisade contre les Albigeois, les Armagnacs contre les Bourguignons, les guerres de religions, les Frondes, les guerres de Vendée,  la Commune... qui dit mieux?

Sans compter celle qui n'est pas déclarée... et fait des victimes.

On nous répète assez que les assassins islamistes qui ont massacré plus de 200 personnes et blessé un millier d'autres sont des Français.

Gérard écrit:

Citation :

La perspective effrayante d'une guerre civile existe aussi en France.

Perso j'aurai écrit La perspective effrayante d'une guerre civile existe-t-il aussi en France. Cela laisse en effet ouvert la perspective ou non de guerre civile dans notre pays. Franchement je verrai plutôt des révoltes comme on en a eu dans les banlieues en 2005 ou des mouvements libertaires comme les zadistes qui certes peuvent faire des morts mais qui ne peuvent déboucher par une révolution sanglante et la victoire d'un camp sur un autre. Une guerre ethnique ou religieuse ? je n'y croit pas à court terme ou moyen terme, les forces, ne sont pas pas prêtes et par trop déséquilibrées.

mamiea a écrit:

Pour faire simple et direct, ceux qui se plantent ce sont bien les électeurs car, que je sache, ce sont bien les électeurs qui ont votés pour ceux au pouvoir.
A moins d' être de parfait crétins (il y en a sans aucun doute) les électeurs sont dotés d' un cerveau et peuvent réfléchir.

Il est dommage effectivement que les électeurs n'aient pas le don de prévoir quelles sont les promesses des politicards qui s'avéreront avec le temps passé au pouvoir des mensonges... et souvent aussi la matérialisation d'incompétence crasse.

Doit on être plus indulgent pour pardonner un politicard menteur ou stupide que pour excuser un électeur de s'être trompé ?
Bonne question...

Thème du prochain bac philo à traiter en 4 heures.

Variante de la question : est il plus critiquable étant un brave type de se faire entuber par un voyou que d'être l'auteur du méfait ?
A une époque où la société marche sur la tête la victime devient coupable et inversement.

En promettant de "ramener des emplois" dans la Rust belt Trump a gagné les États clefs.

"Nous ne produisons plus rien. Les produits arrivent en masse de Chine, du Vietnam et du reste du monde", a-t-il martelé. Pendant la campagne, il n'a cessé de dénoncer l'impact, des accords de libre-échange avec le Mexique et le Canada.

"Ce discours a plu aux électeurs de la classe ouvrière"

Sa principale cible reste toutefois le partenariat transpacifique (TPP) signé en 2015 entre les Etats-Unis et 11 pays de la région Asie-Pacifique et en attente de ratification.

Cet élan protectionniste lui a coûté le soutien de puissants groupes patronaux traditionnellement acquis au camp républicain, telle que l'US Chamber of Commerce qui prédisait récemment un "affaiblissement" économique s'il arrivait à la Maison Blanche.

Mais il lui a rapporté l'essentiel.

"Durant la primaire du Michigan, Trump a posé devant une usine de Ford et menacé d'imposer un tarif douanier de 35 % sur toutes les voitures fabriquées au Mexique dans le cas où Ford y déménagerait ses activités. Ce discours a plu aux électeurs de la classe ouvrière.

Et lorsque Trump a menacé de contraindre Apple à fabriquer ses iPhone aux États-Unis plutôt qu'en Chine, leur cœur a basculé et Trump a remporté une autre victoire locale, celle de Ohio après le Michigan.

A suivre...

Libellule a écrit:

En promettant de "ramener des emplois" dans la Rust belt Trump a gagné les États clefs.

"Nous ne produisons plus rien. Les produits arrivent en masse de Chine, du Vietnam et du reste du monde", a-t-il martelé. Pendant la campagne, il n'a cessé de dénoncer l'impact, des accords de libre-échange avec le Mexique et le Canada.

"Ce discours a plu aux électeurs de la classe ouvrière"

Ce discours qui a permis à Trump de se faire élire est-il transposable en France alors qu'un tocard s'est lui fait élire en 2012 en affirmant "n'avoir qu'un seul ennemi la finance" et "le changement c'est maintenant" pour qu'en final durant son quinquennat le nombre de chômeurs de catégorie A passe de 2,9 à 3,5 millions ?

Côtoyant hélas un certains nombre de personnes ayant perdu leur emploi depuis 2012 parce que celui-ci est parti en Roumanie ou ailleurs, je peux affirmer que parmi ces chômeurs nombre sont hélas aujourd'hui prêts à voter populiste...

Pour faire bref : TRUMP rien à cirer !

Si nos dirigeants franchouillards s'occupaient de leur pays et si les électeurs franchouillards voulaient et mettaient en place des dirigeants compétents ce serait plus productif...
Nous préférons nous occuper des ricains qui soit dit en passant n'ont pas grand chose à faire de la France sauf pour y venir en vacances.

L'image que nous renvoyons de notre pays ces dernières années n'étant pas la meilleure qui soit.

Mais comme d'habitude la France patrie de .... la liste est longue est sans doute à la fois le phare de l'univers et l'exception mondiale en matière de non conformité on en déguste les effets tous les jours.

On voit le résultat et nous constatons les dégâts.

Conclusion : à défaut de réussir à faire fonctionner notre pays nous ouvrons notre clapet pour donner une fois de plus des leçons aux Américains...

Oui, l'électorat de Trump c'est la classe moyenne qui se voit reléguée suite à la mondialisation : délocalisation ou emplois pris par de nouveaux arrivants.
D'où le discour face à une usine automobile menacée, l'injonction faite à Apple de faire revenir la production ou la menace de fermer la frontière avec la Mexique pour freiner le dumping social.

Et face de Trump, H Clinton représente la mondialisation, le "on a pas le choix" et l establishment

J'ai peur que nous ayons le même choix à faire en mai 2015: une démagogique ou un vieux cheval

De toute manière le débat est vérolé !
On nous bassine avec TRUMP... est ce lui le responsable du chômage en France ? le responsable de l'insécurité générale, le responsable des attentats ... la cause des stupidités de flanbi qui raconte n'importe quoi à n'importe qui ?

Si nous prenions la situation en compte au lieu de chercher des excuses ? ce serait un progrès.

Comme nous n'en sommes pas à une stupidité près nos "sachant" directeurs de pensée unique nous expliqueront que les causes du boxon généralisé et de la ruine du pays sont liées à l'existence sur terre de Marine (qui n'est pas au pouvoir)...

On nous a bien expliqué que la crise n'existait pas et que c'était une conséquence de l'élection de sarko voire une invention franco-facho

Attendons donc que Trump ait constitué son equipe et ait pris les commandes.

Gérard a écrit:

Attendons donc que Trump ait constitué son equipe et ait pris les commandes.

Un esprit sain penserait que c'est la moindre des choses.
Lorsque j'ai appris que TRUMP était élu... un moment "informé" par les médias qui nous bassinait avec Clinton, j'ai pensé que le soleil ne se lèverait pas sur la terre le lendemain... finalement les bourses à la dérive ne se portent pas plus mal qu'il y a 15 jours.

Dans le genre "idée pré conçue" nous avions la catastrophe annoncée lors de l'élection de REGAN (le cow boy acteur raté) qui n'a pas été plus mauvais que d'autres (y compris en participant à la disparition de l'URSS) portés au pinacle ou celle de Arnold Schwarzenegger qui devait faire couler la Californie dans l'océan Pacifique s'il était gouverneur de l'état.

matmut a écrit:

Gérard écrit:

Citation :

La perspective effrayante d'une guerre civile existe aussi en France.

Perso j'aurai écrit La perspective effrayante d'une guerre civile existe-t-il aussi en France. Cela laisse en effet ouvert la perspective ou non de guerre civile dans notre pays. Franchement je verrai plutôt des révoltes comme on en a eu dans les banlieues en 2005 ou des mouvements libertaires comme les zadistes qui certes peuvent faire des morts mais qui ne peuvent déboucher par une révolution sanglante et la victoire d'un camp sur un autre. Une guerre ethnique ou religieuse ? je n'y croit pas à court terme ou moyen terme, les forces, ne sont pas pas prêtes et par trop déséquilibrées.

oui vous avez sans doute raison, il ne faut pas être trop pessimiste. Mais....

Au delà du prix des pains au chocolat, une analyse assez juste....


"Marine Le Pen parle avec de très mauvaises solutions à des gens qui entendent surtout 'on vous a compris'"

https://fr.news.yahoo.com a écrit:

Jean-François Copé : "Marine Le Pen parle à cette France déclassée"

Franceinfo 11 novembre 2016

Marine Le Pen a été la première à se féliciter de la victoire de Donald Trump à l'éction présidentielle américaine. Jean-François Copé est l'invité du journal de France 3 ce vendredi 11 novembre. Il estime qu'"il ne faut pas se tromper de lecture. La victoire de Trump est la victoire de tous ceux aux États-Unis qui sont les perdants de la mondialisation. Je pense qu’il y a une erreur d’analyse très française. (...) Le match n’est pas pour ou contre les minorités. Le match est de voir comment un grand pays peut embrasser tous ses enfants et en particulier ceux qui sont abandonnés".



Marine Le Pen parle à la France déclassée

Concédant que "Marine Le Pen parle à cette France déclassée", le maire de Meaux (Seine-et-Marne) reconnaît les torts de la gauche et de la droite qui, elle, n'a pas su s'adresser à cette France invisible. "Marine Le Pen parle avec de très mauvaises solutions à des gens qui entendent surtout 'on vous a compris'. Mon message, celui que je défends depuis des mois et des années avec mon expérience de maire de Meaux est de dire qu'il faut d’abord s’occuper de celles et ceux qui ont été victimes de la désindustrialisation, de la violence du communautarisme radical islamiste", conclut Jean-François Copé.

Source: https://fr.news.yahoo.com/jean-fran%C3%A7ois-cop%C3%A9-marine-pen-parle-%C3%A0-france-223201551.html

Contrairement à ce que certains pensent, les intérêts US en France sont énormes "93,7 milliards d'euros en investissements directs en 2012". Il est certain que ce n' est pas le cas de Trump qui a localisé Paris en Allemagne (il n' est pas le seul américain a avoir une "grande connaissance" de la géographie).
Quand a savoir ce que va faire ce président, il est bon d' attendre un peu. Ce qui est certain c' est qu' il y a du flottement dans l' air. La dernière serait que l' Obama-Care ne serait plus supprimé mais amendé, une idée phare remisée aux oubliettes?
C' est sûr cela ne nous concerne pas mais l' on a là un exemple supplémentaire de ce que donne la démagogie et cela est transposable partout ailleurs (même en France), après Chavez, Hollande, Syriza et les promesses non tenues il serait bon de rester prudent et d' analyser les programmes proposés.

Pour ce qui concerne la géographie de l'Europe ou de la France ... que les Américains aient des lacunes en la matière est évident.

On relativisera lorsque examine le résultat des tests remplis par des gens qui sont en terminale chez nous.

C'est affligeant !

Au début de chaque année des enseignants de ma connaissance distribuent à leurs élèves des cartes où figurent les villes de France et demandent à ce que l'on écrivent les noms de celles ci à la bonne place... itou sur une carte d'Europe et du monde en ce qui concerne les pays...

Dans le passé on utilisait la carte Michelin, maintenant heureusement que l'on a inventé Google et le tom tom ! sans ces outils il y aurait du monde sur orbite lors des départs en vacances.

@tonton christobal :
La géographie n' est qu' un détail sans peu d' importance (mais qui donne une idée de l' intérêt que les américains portent à ce qui leur est extérieur). Le principal est dessous et universel: le gouffre entre propositions et réalité.
Restons sur le principal. La géographie est à revoir dans l' éducation, vaste sujet qui ne semble pas intéresser au premier chef nos politiques

mamiea a écrit:

@tonton christobal :
La géographie n' est qu' un détail sans peu d' importance (mais qui donne une idée de l' intérêt que les américains portent à ce qui leur est extérieur). Le principal est dessous et universel: le gouffre entre propositions et réalité.
Restons sur le principal. La géographie est à revoir dans l' éducation, vaste sujet qui ne semble pas intéresser au premier chef nos politiques

normal : tout le monde à un tom tom !
itou pour l'orthographe on se contente du correcteur automatique...
Depuis l'invention de la calculette plus besoin d'apprendre les tables.

Pour ce qui concerne l'importance du monde extérieur pour les Américains... tout est dit et connu. Ils ont déjà du mal à s'en sortir avec les 50 états...

Croyez vous que pour les Chinois ou les Indiens nous comptions beaucoup ? les temps ont changé et le dernier dinosaure, le général de Gaulle pour qui la grande France emmerdait la minuscule Russie et n'avait que faire de la microscopique Amérique n'est plus de ce monde.

Il est vrai que ce ne sont pas les pâlichons de ces dernières années qui vont porter haut les couleurs du pays.

Gérard a écrit:

oui vous avez sans doute raison, il ne faut pas être trop pessimiste. Mais....

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http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/guerre-civile-un-processus-en-marche/

Gilles Kepel :

« nous sommes face à un processus de guerre civile »

Directeur de la chaire Moyen-Orient-Méditerranée à l’Ecole normale supérieme (université Paris Sciences et Lettres) et professeur à Sciences- Po, Gilles Kepel livre dans La Fracture une analyse détaillée des événements des années 2015-2016. « L’objectif de ces provocations meurtrières, explique-t-il, est de fracturer la société française par une guerre civile larvée dressant, au nom d’une religion dévoyée, un nouveau prolétariat d’enfants d’immigrés contre les classes moyennes. Pour y parvenir, les djihadistes tentent d’ embrigader les musulmans de France, qui leur sont massivement hostiles. Des stratégies de rupture sont mises en oeuvre afin de souder cette communauté contre l’ « islamophobie » imputée à la société. Cela nourrit la propagande de politiciens, qui cherchent leur avantage en vue des élections de 2017, tombant dans le piège des terroristes, alors même que la patrie est en danger, tandis que l’Europe se fissure et que le Moyen-Olient explose. »
Conçu autour des chroniques radiophoniques qu’il a tenues chaque semaine sur France Culture entre les étés 2015 et 2016, son essai restitue en contexte cette période terrible et plaide pour un engagement lucide de nos concitoyens.

la suite : http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/guerre-civile-un-processus-en-marche/

C'est ainsi, on a un certain nombre d'intellectuels,  d'observateurs, de journalistes voire de politiques, éclairés et lucides qui voient la crue réalité des choses, et à côté des manipulateurs souvent intéressés ou carriéristes qui s'appuient sur leur idéologie de groupe pour conduire la France ou l'Europe dans le mur.

A l’usage des Français, 10 leçons sur la victoire de Trump

édifiant... mais pourquoi le cacher ?

https://medium.com/@jeromegodefroy/a-lusage-des-fran%C3%A7ais-10-le%C3%A7ons-sur-la-victoire-de-trump-aa3938f96389#.2brlhgg8w

En 2000, le démocrate Al Gore avait une avance nationale d’au moins (ou seulement) 500 000 voix quand il a perdu face à George W. Bush.
Hillary Clinton va rentrer dans l'Histoire comme la candidate battue qui a le plus grand nombre de voix d'avance sur le vainqueur :
Clinton-Kaine : 62 825 754 (47,9 %)
Trump-Pence : 61 486 735 (46,9 %)

Soit à ce jour 1 339 019 voix d'avance pour Clinton, et le dépouillement continue (notamment en Californie). On rappelera au passage une abstention voisine de 46%, et les quelques 6 millions de votes sur d'autres candidats.

Il reste beaucoup de votes Trump, pour se poser des questions. Et vérifier (sur les données) des hypothèses d'explications. Par exemple,
http://www.telos-eu.com/fr/le-peuple-quel-peuple-les-elites-quelles-elites.html

L'auteur y analyse la répartition des votes Clinton vs Trump selon plusieurs critères : "le clivage ethnique, ou racial selon la terminologie américaine" ; le clivage religieux ; le niveau d'études ; le niveau de revenus ; le genre (ou le sexe si vous préférez) ; l'âge des votants.

La raison d'un échec !

Tout est dit, c'est simple, bref et explicite...

J'admire le respect de l'expression démocratique des américains...

J'imagine comment celui qui afficherait en France "Jamais Alain" ou François, Manuel, Nicolas ou un autre retrouverait sa voiture dans certains quartiers...

a.nonymous a écrit:

J'admire le respect de l'expression démocratique des américains...

J'imagine comment celui qui afficherait en France "Jamais Alain" ou François, Manuel, Nicolas ou un autre retrouverait sa voiture dans certains quartiers...

Lors du premier mandat de Clinton à l'occasion des élections de mi-mandat (au bout de deux ans de pouvoir) Hillary qui avait pris en main la question de la sécurité sociale et se mêlait de tout a été mise rapido en veilleuse.

C'est l'époque où elle disait "en élisant mon mari vous en avez deux pour le prix d'un..."

Fleurissait alors des stickers sur les bagnoles : "virez le président Hillary et son mari Bill"...

a.nonymous a écrit:

J'admire le respect de l'expression démocratique des américains...

J'imagine comment celui qui afficherait en France "Jamais Alain" ou François, Manuel, Nicolas ou un autre retrouverait sa voiture dans certains quartiers...

vu lors de la campagne d'OBAMA pour son second mandat :



à quelques dizaines de métres... se trouvait la voiture des partisans d'OBAMA... que l'on ne pouvait pas manquer de voir, il faudrait que je cherche sa photo.
Les uns et les autres ne se tiraient pas dessus...


Où celle ci contre le mariage homo...



La voiture n'était pas incendiée...

Que se passerait il dans le même cas de figure chez nous ? où comme nous le savons tous règne la concorde et la paix...

Un peu de lecture
http://m.huffingtonpost.fr/patrick-martingenier/en-quoi-lelection-de-donald-trump-entraine-une-theatralisation/ pathétique du pouvoir

Donald Trump pourra se vanter d’avoir fait descendre dans la rue des milliardaires de la Silicon Valley. Sergueï Brin, le cofondateur de Google, se trouvait, samedi 28 janvier, au milieu de la foule qui manifestait à l’aéroport de San Francisco contre le décret Trump.

Brin s’est laissé photographier avec un bébé dans sa poussette portant un écriteau : « Je veux que mes grands-parents reviennent d’Iran. » Né à Moscou, l’inventeur est arrivé en 1979 aux Etats-Unis, à l’âge de 6 ans « Je suis ici parce que je suis moi-même un réfugié ».

Autre figure de la Silicon Valley : Sam Altman, 31 ans, qui dirige Y combinator, l’une des pépinières de start-up les plus courues. « Il est temps que les sociétés high-tech prennent position, . Nous sommes maintenant à ce stade où quelque chose est en train de se mettre en place qui sera enseigné dans les livres d’histoire, et pas dans un sens positif (…). C’est une brèche ouverte dans le contrat de l’Amérique avec tous les immigrants du pays. »

Le décret de Donald Trump sur les étrangers a fait l’effet d’un retour en arrière atterrant. Nombre d’employés ont des cartes vertes qui donnent le droit de travailler aux Etats-Unis. Quand ils ont découvert que les mesures « antiterroristes » de Trump s’appliquaient aussi à eux ou que leur situation serait examinée au cas par cas, selon le bon vouloir des agents de l’immigration, les entrepreneurs ont été sidérés.

« Je croyais qu’on avait passé le point où le lieu de naissance comptait plus que l’éducation et les choix de vie, confie Reza Malekzadeh, investisseur d’origine iranienne, ... A croire que tout ce que j’ai fait dans ma vie ne compte plus. »

Par la voix de Sundar Pichai, son PDG (né en Inde), Google a demandé à la centaine d’employés originaires de l’un des sept pays de la liste noire et se trouvant en voyage de rentrer immédiatement aux Etats-Unis. Satya Nadella, le PDG de Microsoft (également d’origine indienne), a fait état de 76 employés affectés.

Sur les réseaux sociaux, beaucoup ont publié la photo de Steve Jobs, dont le père était syrien. Ou reproduit la liste des entreprises phares de la Vallée fondées par des immigrants de la première ou deuxième génération : Google, Facebook, Amazon, Oracle, IBM, Uber, eBay, Tesla…

Sous le hashtag #MuslimBan, les enfants ou petits-enfants de réfugiés ont partagé leur émotion. Les commentaires assimilent souvent réfugiés, migrants, détenteurs de cartes vertes, dans un même élan généreux : « Let them in » (« Laissez-les entrer »). Jusqu’à faire référence à l’Holocauste, et au refus en 1939 des Etats-Unis d’accueillir les juifs fuyant l’Allemagne nazie.

http://www.lemonde.fr/donald-trump/article/2017/01/29/donald-trump-fache-encore-plus-la-silicon-valley-avec-ses-decisions-sur-l-immigration_5070898_4853715.html

Si même les américains se mettent à se réferer aux années noires où va-t-on?

Lui au moins on le voit bosser... ensuite chacun en pense ce qu'il veut.

Pour mettre du monde dans la rue il peut prendre des cours avec flanbi... il fait manifester les gens qui ont contribué à l'élire.

L'activité de Trump président commence à augmenter celle des juges US saisis par des opposants.
Mais la grande affaire va être la nomination par Trump d'un 9e juge à la Cour suprême, car le dernier nommé y fera pencher la balance en faveur des conservateurs. Nomination annoncée pour le 2 Fevrier par tweet Donald T. Ceci dit, contrairement à chez nous où le président fait ce qu'il veut, aux USA il faudra que le Sénat approuve la nomination.

"la Cour Suprême a la charge de dire ce qui est conforme ou ne l'est pas à la Constitution, au niveau national. Avortement, peine de mort, droit des affaires, droit du travail, mariage homosexuel, port d'armes : c'est elle qui décide et qui définit comment fonctionnent les Etats-Unis."
https://www.franceinter.fr/monde/la-nomination-d-un-juge-de-la-cour-supreme-premiere-decision-du-president-donald-trump

La liste des patrons mécontents s'allonge.
L’immigration, premier accroc entre Trump et les entreprises américaines
Donald Trump
AFP

De nombreuses entreprises américaines se sont cabrées devant le décret anti-immigration de Donald Trump, dénonçant des mesures qui pourraient remettre en question leur fonctionnement et leur politique de recrutement tournée vers le monde.

Hors high-tech, les grands patrons essaient de trouver le ton juste pour ne pas s’attirer les foudres du nouveau président américain qui leur a, par ailleurs, promis des baisses massives d’impôts et un allègement de la réglementation.

M. Trump n’hésite pas non plus à tancer directement, sur Twitter, des entreprises qui ne se plient pas à ses injonctions. Ford, General Motors et Toyota, entres autres.

«Ce n’est pas une politique que nous soutenons et je (vous) ferai remarquer qu’elle a déjà été contestée devant un tribunal fédéral et certaines dispositions du décret ont déjà été bloquées, au moins temporairement», a fustigé Lloyd Blankfein, le PDG de Goldman Sachs, l’une des grandes banques d’affaires de Wall Street dont de nombreux responsables ont rejoint l’administration Trump. Et de poursuivre: «Si le décret devait s’appliquer en l’état, je reconnais qu’il y a un risque potentiel de perturbation pour la firme et en particulier pour certains de nos employés et leurs familles».

Jamie Dimon, le PDG de JPMorgan Chase et président du lobby des grandes entreprises Business Roundtable, explique que le pays est «plus fort avec la richesse de la diversité du monde qui l’entoure».

Environ 30% de personnes ayant un emploi dans la ville universitaire de Boston, dont les biotechnologies sont le poumon économique, sont des immigrés, selon un rapport de 2015 du Boston Planning & Development Agency. «Nous avons beaucoup d’employés dans les pays nommés et faisons des affaires un peu partout dans la région» (Moyen et Proche-Orient), rappelle Jeffrey Immelt, le PDG de General Electric (GE) qui a récemment installé son siège social à Boston. Le conglomérat industriel, qui a de gros intérêts en Iran et en Irak, deux pays bannis, craint des représailles.

Le lobby patronal de l’US Chamber of Commerce indique que les sociétés sont «désorientées» par les incertitudes autour des binationaux et des détenteurs de la carte verte, le permis de résidence aux États-Unis.

Boeing, autre cible du nouveau président, est resté muet, de même qu’ExxonMobil, dont l’ancien PDG Rex Tillerson devrait devenir dans les prochains jours le chef de la diplomatie américaine. L’avionneur a vu Donald Trump exiger une baisse des coûts de l’avion présidentiel Air Force One et lui faire miroiter un contrat potentiel concernant des avions de combat

J'aime ces gens de la gauche française qui sont aussi à l'aise qu'une poule qui a trouvé un couteau avec les personnalités de notre pays en mesure de figurer comme candidat à le présidence mais qui savent comment gouverner les USA...

Le PS est en lambeau, le PC disparait... savoir pour qui voter chez nous est un problème, l'Europe est une passoire pour les migrants, son fonctionnement devient problématique et au lieu de remettre de l'ordre dans la boutique on nous on explique la nocivité de la politique américaine.

C'est merveilleux !

NB on nous bassine avec la liste des mécontents de TRump pourrait on nous faire la liste de ceux qui sont satisfaits et n'éprouvent pas le besoin de manifester ?
Curieusement c'est comme en France : on s'occupe de ceux qui contestent et on ne prend pas en compte ceux qui sont d'accord.

Le texte posté par Libellule est-il une citation ou une création personnelle?

Un Relevé de sources canadiennes et Afp. Donc un travail de synthèse personnel. Donald Trump se prend pour le Pdg des Etats Unis, s'en prend à ce qu''il considère comme ses salariés, le syndicat des patrons utilisant des migrants comme main d'oeuvre pas chère en ignorant le contrôle du Sénat. Un patron qui de sa tour s'assoit sur les droits fondamentaux de son pays. Des effets boomerang sont à craindre. Il les aura cherchés.

J'avoue trouver prodigieusement amusant que les mêmes qui il y a quelques années en France trouvaient tout à fait normal que l'équipe arrivant au pouvoir "détricote" ce que les précédents avaient fait sont remontés comme des coucous suisses contre Trump qui fait strictement la même chose chez lui.

Ce qui autorisé à flanbi en France (nous en percevons les bénéfices) est interdit à Trump aux USA... la logique est remarquable !

A moins que nous soyons une fois encore dans la logique sélective spécificité nationale qui nous amène de grands bénéfices.

Là Donald Trump ne détricote pas, le décrêt muslinban est une pure création. Qu'il n'y a pas besoin de qualifier.

Le procureur général de l'Etat de Washington va poursuivre Donald Trump après le décret pris contre la venue des citoyens originaires de Syrie, Libye, Somalie, Irak, Iran, Soudan et du Yémen. Il qualifie l'ordre présidentiel d'"anti-américain" et d'"illicite". On verra comment cela tourne.

Quand le peuple, les patrons et la justice se mobilisent ainsi, ce n'est plus anodin. Que penser par ailleurs du fait que la visite à Londres du chef des tueurs soit source de contestation de ce côté ci de l'océan atlantique en terme non équivoques ; "Non au racisme, non à Trump". Le hasard d'un détricotage malveillant? Unlucky unluck s'il pense cela, il se gourre.

Question du moment : Donald Trump est-il digne de la reine? Près de 1,4 million de Britanniques (4 millions en europe) estimaient le contraire lundi à travers une pétition qui réclame du gouvernement qu'il annule la visite d'Etat du président américain prévue pour 2017. Une pétition, des manifestations programmées dans plusieurs villes, des députés qui se pincent le nez et une Première ministre sous le feu des critiques: l'euphorie est vite retombée au Royaume-Uni après la fierté d'avoir vu Theresa May devenir le premier dirigeant étranger à être reçu à Washington, vendredi.

Au pays du Brexit, on veut bien sortir de l'Europe, mais on reste pour la défense du multiculturalisme.

Je m'en fout !

Je ne suis pas fana de Trump mais si les démocrates n'avaient pas manœuvré pour avoir Hillary comme candidate ils n'en seraient pas là.

D'autre part même si Trump est incompétent (pour l'instant il est président et des incompétents présidents on en connait d'autres) , dire que le problème du terrorisme n'a rien à voir avec la religion ou l'islam me semble une sérieuse imbécilité.

Les attentats des ces deux dernières années commis en France l'on été avec des revendications religieuses et ce ne sont pas les Inuits qui en sont les auteurs.

Lorsque l'on veut défendre une position il serait souhaitable de ne pas la défendre stupidement.

Pour quoi dire "Même si Trump est incompétent", il l'est. Il ne connait pas les procédures américaines, sort son stylo à tout bout de champ et crois que , ce faisant son décret s'impose à tous.

Il serait temps qu'il quitte l'ambiance de ses anciens reality show, sinon c'est à lui qu'on risque de dire : You are Fired. Aux Etats Unis c'est possible. En France aussi plus ou moins sauf qu'il y a eu le 49.3...

Libellule a écrit:

Pour quoi dire "Même si Trump est incompétent", il l'est. Il ne connait pas les procédures américaines, sort son stylo à tout bout de champ et crois que , ce faisant son décret s'impose à tous.

Il serait temps qu'il quitte l'ambiance de ses anciens reality show, sinon c'est à lui qu'on risque de dire : You are Fired. Aux Etats Unis c'est possible. En France aussi plus ou moins sauf qu'il y a eu le 49.3...

S'il n'y avait que Trump comme incompétent parce qu'il signe n'importe quoi je me demande comment on doit qualifier l'équipe de bras cassés qui a ouvert les frontières de l'Europe au mépris de nos lois à une immigration incontrôlée dont nous dégustons les apports bienfaisants.

Au lieu de tomber sur le dos de Trump on pourrait s'occuper de nos affaires qui ne sont pas brillantes.

On peut faire les deux.

Critiquer Trump de France est aussi intelligent que de pisser dans un violon pour faire de la musique. Efficacité ZERO !
C'est d'autant plus stupide que Trump ou pas il sera nécessaire à un moment où à un autre pour de multiples raisons d'avoir des contacts avec les Américains... on aura l'air malin !

S'occuper de l'Europe et des finances de notre pays pourrait changer la vie des gens...

Une fois de plus échange inutile...