Des journalistes de TF1 agressés à Compiègne
Partie pour réaliser un reportage à Compiègne, une équipe de journalistes a été confrontée à la virulence des habitants d'un HLM.
Ils étaient partis couvrir un fait local de trafic de drogue, dans l'Oise, mais leur reportage ne s'est finalement pas passé comme prévu. Des journalistes de TF1 ont en effet été agressés, ce mardi 10 janvier dans la matinée, à Compiègne.
Dans le JT de 13h00 de la chaîne, Jean-Pierre Pernaut a expliqué aux télespectateurs qu'une équipe s'était rendue dans la ville pour réaliser un sujet sur la fermeture de HLM pour lutter contre les trafiquants de drogue : « On a essayé d'y tourner un reportage ce matin. Notre équipe a été attaquée et caillassée par des voyous qui ont volé notre caméra dans cette zone de non-droit d'un quartier qui a pourtant un joli nom, Le Clos des roses».
Le présentateur a ensuite rassuré sur l'état de santé des journalistes, précisant qu'ils n'étai qui ne sont pas bléssés. Une interview du président de l'Opac de l'Oise a ensuite été diffusée, dans laquelle ce dernier explique la situation dans ce quartier. "C'est une état de non-droit absolu, c'est la barbarie chimiquement pure au Clos des roses" lâche t-il.
Une deuxième agression en quelques mois seulement
L'information a elle aussi été reprise par LCI, une chaine du groupe. Le journaliste a quant à lui expliqué qu'il ne pouvait pas diffuser des images de ce reportage : « Malheureusement, Benjamin Dard et son équipe se sont faits subtiliser, ce matin, leurs caméras donc pas d'images de Compiègne. » a-t-il lancé. En octobre dernier, une équipe de TF1 avait déjà été agressée, cette fois à Paris, pendant le tournage de plusieurs scènes de la série Une femme d'exception.
http://actu.orange.fr/france/des-journalistes-de-tf1-agresses-a-compiegne-magic-CNT000000AZrOp.html
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D'habitude ce sont les archers du roi impolis et non respectueux de ces petits mignons qui se font tabasser... on va nous servir deux grands bols de "vivre ensemble".
Curieusement les chantres du vivre ensemble qui nous bassinent avec la mixité sociale se gardent bien de résider dans ces endroits.
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