L'udi change de candidat

L'UDI a décidé de retirer son soutien à François Fillon, son président Jean-Christophe Lagarde demandant "solennellement aux Républicains de changer de candidat", aujourd'hui dans une interview à Ouest France.

Nous demandons solennellement aux Républicains de changer de candidat, faute de quoi nous ne saurions poursuivre cette alliance dans un tel aveuglement", déclare Jean-Christophe Lagarde. "Chacun sait, qu'à son corps défendant, François Fillon est devenu un danger pour l'alternance et donc pour la France", ajoute M. Lagarde.

Sans précision sur le plan B

l'UDI n'a surement aucune influence sur la stratégie d'élaboration du plan B. Seules les instances des républicains géreront le plan B. l'UDI qui représente pour les Républicains ce que les Verts représentent pour les socialistes c'est à dire pas grand chose en tant que force et appuis politique.
Si ils persistent dans leur bouderie, l'UDI n'aura d'autre alternative que de rejoindre Macron. Une occasion en or de réunir enfin les centristes de droite avec les centristes de gauche (les radicaux de gauche sont en train de lâcher Hamon) et le Modem c'est à dire reconstituer une véritable force centriste qui pourrait avoir une réussite a la législative.

En effet on peut toujours imaginer un rassemblement de Bayrou, Lagarde, Borloo, Morin, Yade....qui représenterait effectivement une vraie force politique.

On s'en éloigne. Retour à la dépendance de Lr au marchandage pour les indépendants. Enfin pour l'instant.

L'UDI a confirmé mardi soir son alliance électorale avec le Parti Les Républicains (LR) mais dit attendre des gestes de François Fillon avant de renouveler son soutien au candidat de la droite à l'élection présidentielle.

Sont notamment en jeu la quarantaine de circonscriptions gagnables accordées par LR au parti centriste, en plus de celles de 27 députés sortants, pour les législatives de juin.

Moins d'une semaine après avoir suspendu sa participation à la campagne de l'ex-Premier ministre, menacé de mise en examen dans l'affaire des emplois fictifs présumés dont aurait profité sa famille, l'UDI se résigne à l'absence de "plan B".

Dans une motion adoptée par 48 voix pour, dix contre et trois abstentions, son bureau exécutif rappelle que le parti a souhaité "majoritairement" un changement de candidat. Mais il prend acte "avec regret" de la décision du maire de Bordeaux, Alain Juppé, de ne pas être un candidat de substitution.

"Nous prenons acte du souhait de François Fillon (...) de poursuivre sa campagne et de la volonté qu'il a exprimée de prendre des initiatives de rassemblement en direction de l'UDI comme des élus LR qui avaient souhaité un changement de candidat", lit-on dans ce texte.

"Pour ce qui concerne l'UDI, nous sommes en attente de ces initiatives annoncées", ajoute le bureau exécutif.

Le parti centriste n'en approuve pas moins l'accord électoral "qui était en passe d'être signé" avec LR et valide le projet politique négocié avec le candidat de la droite, "tout en conservant un certain nombre de différences qui seront défendues par l'UDI lors de la prochaine législature".

Selon la sénatrice UDI Chantal Jouanno, le parti attend notamment de François Fillon qu'il dénonce les "positions anti-centristes" émises ces jours-ci par certains de ses partisans.

Lors du rassemblement du Trocadéro, dimanche, le candidat de la droite s'est laissé allé à fustiger les "socialo-centristes".

Un de ses soutiens, l'entrepreneur Charles Beigbeder, s'est pour sa part réjoui d'un QG de campagne "épuré" et "nettoyé" de ses "perturbateurs", après les défections de la semaine.

Dans sa motion, le bureau exécutif de l'UDI déplore des "propos lamentables" et regrette que ceux-ci n'aient pas été "publiquement dénoncés avec la plus grande fermeté".

A rapprocher de cette sentence de septembre 2016 d'Hervé Morin sur l'alliance avec les Républicains : "La politique girouette, c'est fini"

UDI comme EELV, la recherche d' alliances a tout pris pour la survie. Encore que cette absolue nécessité soit plus vitale pour EELV que pour l' UDI.

Tant de partis jouent leur avenir en ce moment...

Reste que la question de l'existence même de l'UDI est désormais posée.

Même des ténors s'interrogent. "Selon moi, mardi soir, l'UDI aura vécu", a pronostiqué dans Le Monde l'ancien ministre Maurice Leroy. "Si François Fillon reste, l'UDI risque d'exploser", Chantal Jouanno.

Déjà éparpillée pendant la primaire - la plupart des cadres avaient soutenu Juppé (Lagarde, Jouanno...) mais d'autres avaient rallié Le Maire (Morin, Jégo) ou Sarkozy (Sauvadet, Leroy...) - l'UDI s'était ressoudée après la victoire de François Fillon pour construire un accord en vue des législatives.

Puis Jean-Christophe Lagarde annoncait que son parti se retirait de la campagne de François Fillon, demandant son retrait. Un choix qui a pris de court certains cadres du parti qui disent ne pas avoir été concertés et ne sont pas d'accord. Deux jours plus tard, il réclamait toujours ce départ et ajoutait une menace: s'il ne part pas, l'UDI présentera son propre candidat, affirmait le député de Seine-Saint-Denis avançant notamment le nom de Jean-Louis Borloo.

Devant tant de solutions de repli, ses ouailles risquent de partir dans tous les sens, accélérant la décomposition de la formation qui ne cesse de traverser des turbulences.

Première alternative: suivre le candidat Fillon comme prévu avant le Penelope Gate. Cette option est celle de trois anciens ministres de Nicolas Sarkozy: Hervé Morin, François Sauvadet et Maurice Leroy. Tous font partie du courant Les Centristes fondé sur les cendres du Nouveau centre, l'un des partis fondateurs de l'UDI.

Deuxième choix possible: rester en retrait de la campagne présidentielle, comme un certain nombre de juppéistes. Avec ce scénario, l'UDI peut espérer sauver l'accord législatif quasiment conclu avec François Fillon avant que le parti centriste ne lâche le candidat. Cela impliquerait un revirement de la parole de son président mais pourrait maintenir l'UDI en vie.

"François Fillon a indiqué qu'il allait prendre des initiatives. L'une de ces initiatives, c'est de renouer avec nos amis centristes. Donc il va y avoir des discussions qui vont être engagées.

Mais il y a une troisième option, celle incarnée par Emmanuel Macron. Jusqu'à présent, très peu d'élus UDI et seulement quelques centaines de militants ont rejoint le candidat d'En Marche! Mais le Penelope Gate pourrait bien accélérer le processus. Aucun cadre ne l'annonce encore publiquement mais hors micro, les questionnements sont légion.

Et ce n'est pas cette déclaration de Jean-Louis Borloo qui va les dissuader. "Nous sommes peut-être à l'aube d'un bouleversement qui ne s'arrête pas à la présidentielle", dit-il dans Le Monde, évoquant "une recomposition politique entre des forces de gauche modernes et une droite progressiste". Exactement ce que prépare l'ancien ministre de l'Economie. Une chose paraît certaine pour l'ancien ministre: l'alliance du centre-droit avec la droite a vécu. Reste à savoir si son parti y survivra.

Mais si l'UDI explose que devient notre ami Gildas Lecoq?

Gérard a écrit:

Mais si l'UDI explose que devient notre ami Gildas Lecoq?

Il changera d' étiquette comme les anciens UMP sont passés au Républicains, la SFIO au PS et j' en passe.

Libellule a écrit:

On s'en éloigne. Retour à la dépendance de Lr au marchandage pour les indépendants. Enfin pour l'instant.

L'UDI a confirmé mardi soir son alliance électorale avec le Parti Les Républicains (LR) mais dit attendre des gestes de François Fillon avant de renouveler son soutien au candidat de la droite à l'élection présidentielle.

Sont notamment en jeu la quarantaine de circonscriptions gagnables accordées par LR au parti centriste, en plus de celles de 27 députés sortants, pour les législatives de juin.

Moins d'une semaine après avoir suspendu sa participation à la campagne de l'ex-Premier ministre, menacé de mise en examen dans l'affaire des emplois fictifs présumés dont aurait profité sa famille, l'UDI se résigne à l'absence de "plan B".

Dans une motion adoptée par 48 voix pour, dix contre et trois abstentions, son bureau exécutif rappelle que le parti a souhaité "majoritairement" un changement de candidat. Mais il prend acte "avec regret" de la décision du maire de Bordeaux, Alain Juppé, de ne pas être un candidat de substitution.

"Nous prenons acte du souhait de François Fillon (...) de poursuivre sa campagne et de la volonté qu'il a exprimée de prendre des initiatives de rassemblement en direction de l'UDI comme des élus LR qui avaient souhaité un changement de candidat", lit-on dans ce texte.

"Pour ce qui concerne l'UDI, nous sommes en attente de ces initiatives annoncées", ajoute le bureau exécutif.

Le parti centriste n'en approuve pas moins l'accord électoral "qui était en passe d'être signé" avec LR et valide le projet politique négocié avec le candidat de la droite, "tout en conservant un certain nombre de différences qui seront défendues par l'UDI lors de la prochaine législature".

Selon la sénatrice UDI Chantal Jouanno, le parti attend notamment de François Fillon qu'il dénonce les "positions anti-centristes" émises ces jours-ci par certains de ses partisans.

Lors du rassemblement du Trocadéro, dimanche, le candidat de la droite s'est laissé allé à fustiger les "socialo-centristes".

Un de ses soutiens, l'entrepreneur Charles Beigbeder, s'est pour sa part réjoui d'un QG de campagne "épuré" et "nettoyé" de ses "perturbateurs", après les défections de la semaine.

Dans sa motion, le bureau exécutif de l'UDI déplore des "propos lamentables" et regrette que ceux-ci n'aient pas été "publiquement dénoncés avec la plus grande fermeté".

A rapprocher de cette sentence de septembre 2016 d'Hervé Morin sur l'alliance avec les Républicains : "La politique girouette, c'est fini"

Vous ne vous rendez même pas compte que vos calculs de petite tambouille politique donnent la nausée aux Français et après vous jouez à la pucelle effarouchée lorsque les « extrêmes montent ».

Erreur. Je me rends surtout compte que s'en tenir à une seule ligne de conduite par les porte parole politique n'est plus la règle. Pour cause de tambouille électorale. Je n'y suis pas personnellement favorable. Je défends depuis des années le besoin de convergences. On en est loin.

Pour l'instant il n' y a que Macron et son mouvement "En marche" qui n'offre pas d'investiture pour ses nouveaux soutiens. Pour l'UDI les 60 investitures offertes par les Républicains valent plus que le programme du candidat. Dito pour EELV qui jouera sa survie lors des prochaines législatives.

Comme quoi la recherche de prébendes est bien la préoccupation première des hommes politiques, la France et les français viennent après.

matmut a écrit:

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Pour l'UDI les 60 investitures offertes par les Républicains valent plus que le programme du candidat. Dito pour EELV qui jouera sa survie lors des prochaines législatives.

Pourquoi 60 et pas 45 ?

La réponse dans cette discussion: http://www.plateaufontenay.net/t3051-un-autre-enjeu-des-legislatives-pour-les-partis-politiques-leur-financement

Le parti centriste a conclu un accord avec LR pour les législatives mardi soir dernier, selon les Echos;
l'UDI se verrait réserver 96 circonscriptions avec seulement 1/3 de femmes ce qui lui vaudra des pénalités financières. Cet accord acte aussi 42 primaires avec des candidats LR.
Pour la 6ième circonscription on attend des informations....

a.nonymous a écrit:

Pourquoi 60 et pas 45 ?

La réponse dans cette discussion: http://www.plateaufontenay.net/t3051-un-autre-enjeu-des-legislatives-pour-les-partis-politiques-leur-financement

Parce que les investitures sont comme les prix elles augmentent avec le temps qui passe et les besoins grandissant.
Plus de soutiens pour la présidentielle et plus d' investitures, normal!!!

Après plusieurs retournage de veste et alors qu'ils ont été totalement oubliés dans les négociations du plan B, F.Fillon et JC.Lagarde,président de l'UDI, ont signé leur accord d'alliance seulement quelques heures après la mise en examen du candidat Fillon.
L'UDI montre ainsi que quelque soient les casseroles du candidat "Républicain" leur attachement à la droite dure prévaut, contrairement à ce que veulent nous faire croire les élus locaux de l'UDI.

Actuellement comme vous dites, matmut, les élus locaux de l'UDI et de la droite en général, font preuve d'une très grande discrétion. Ne parlons pas du Modem ou du PS, ils ont complètement disparu des radars Fontenaysiens
Pour les législatives on se prépare à un curieux face à face, à gauche, entre la candidate des Insoumis, Mme Michel, et le candidat communiste, M.Damiani.

Gérard a écrit:

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Ne parlons pas du Modem ou du PS, ils ont complètement disparu des radars Fontenaysiens
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Non, non, pas tous......

https://www.facebook.com/christophe.mathieu.315428/posts/1832314563689516

Christophe Mathieu n'etait il pas dans l'equipe de Murielle Michon l'APPEL?

a.nonymous a écrit:

Non, non, pas tous......

https://www.facebook.com/christophe.mathieu.315428/posts/1832314563689516

Le Ps local serait-il en profond désaccord avec le phare départemental (Carvounas, soutien de Hamon)? Ferait il bande à part?

@matmut :
Les retournements de veste sont, comment dire, une spécialité de la majorité des partis politiques.
Chez les Républicains comme au P.S. c' est du retournement interne (Valls contre Hamon après la grand messe des primaires: qui est le plus "traître"?)
Le plan B qui n' en ai pas un à droite (comme pour le P.S.).
Pour ce qui concerne les adhérents et les élus locaux des partis, ils n' ont pas droit à la parole, tout se fait au niveau des directions (malgré les paroles des dirigeants).

Gérard a écrit:

Christophe Mathieu n'etait il pas dans l'equipe de Murielle Michon l'APPEL?

Si, si. Et Murielle Michon était avant au PS avant de glisser vers l'Appel. Le voir aux côtés de M. Bénédicte n'a rien de surprenant. Mais ce sont deux exemples concrets de la volatilité partisane qui règne sur l'ensemble du territoire, sur le plan du communal, départemental, régional et national. La disruption politique est bien en cours partout.

A cette époque anonymous du même groupe appelant se disait Hollandiste avant qu'il ne le range au rang de tocard, David Dornbusch faisait campagne accompagné de photos de Hollande avec ces stand up, avec le statut de dissident, et Js, toujours issu de la même liste prônait l'installation d'un boulodrome sur la ville mais surtout sur un plan plus large une large redistribution des cartes à venir, ce qui était bien vu.

http://www.plateaufontenay.net/t2601-disrupter-l-offre-politique?highlight=disrupter

Mais bon revenons au sujet : Ce que prévoit l'accord conclu entre l'UDI et François Fillon

Après s'être désolidarisé lors de la polémique sur les présumés emplois fictifs de François Fillon, le parti présidé par Jean-Christophe Lagarde est parvenu à quelques compromis.
15/03/2017 07:16 CET | Actualisé 15/03/2017 07:18 CET

AFP: Le candidat de la droite à la présidentielle François Fillon et le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde ont signé mardi 14 mars leur accord d'alliance au QG du candidat, "condition" du rassemblement et de la formation d'une "vraie majorité parlementaire", selon un communiqué commun.

L'accord a été paraphé un peu plus d'une heure après que soit connue la mise en examen de François Fillon, notamment pour "détournements de fonds publics". Devant le QG du candidat, où la presse questionnait les arrivants, les centristes ont fait de discrètes entrées ou n'ont pas voulu faire de commentaires.


Tout en demandant la semaine dernière des "initiatives" dans leur direction du candidat de droite, les centristes de l'UDI avaient indiqué qu'ils validaient l'accord sur les législatives.

"Le rassemblement de la droite et du centre est l'une des conditions du rassemblement plus large de tous les Français qui se retrouvent dans l'objectif du redressement national porté par François Fillon. Il est aussi l'une des conditions pour bâtir une vraie majorité parlementaire capable d'agir efficacement pour notre pays", indiquent les deux dans ce communiqué.

"Cet accord est fondé sur un respect ancien et mutuel entre nos formations politiques. Nous avons, par le passé, gouverné ensemble. Nous gérons ensemble des villes, des départements, des régions, au service de nos concitoyens", ont-ils ajouté.

Ça se complique à Fontenay !

http://citoyens.us6.list-manage.com/track/click?u=e4f18acdb8ac98cef96799161&id=a68e0cdcac&e=35f5eff2e8

Y-a-t-il encore un correspondant à l'APPEL?

Citation :

Y-a-t-il encore un correspondant à l'APPEL?

L'APPEL existe-t-elle encore? A ma connaissance l'assemblée générale 2017n'a toujours pas été convoquée, il serait bon, par respect des fontenaysiens qui lui ont accordé leur confiance, que l'on nous donne des nouvelles du défunt.

matmut a écrit:

L'APPEL existe-t-elle encore? A ma connaissance l'assemblée générale 2017n'a toujours pas été convoquée, il serait bon, par respect des fontenaysiens qui lui ont accordé leur confiance, que l'on nous donne des nouvelles du défunt.

Ce sera difficile a moins que les défunts ne nous parlent

Pour être sérieux, il serait bon d' avoir des nouvelles, quelles qu' elles soient.

Je relaie l'information que j'ai moi-même reçue par mail.....

Citation :

ASSEMBLEE GENERALE de l’association L’ APPEL pour Fontenay

Cher(e)s ami(e)s,

J’ai le plaisir de vous convier à l’assemblée générale de l’association L’APPEL pour Fontenay qui se tiendra le :

MARDI 28 MARS 2017 à 20h30 salle 209

à la MAISON DU CITOYEN ET DE LA VIE ASSOCIATIVE 16 rue du Révérend Père Lucien Aubry 94120 Fontenay sous bois.


L’ordre du jour est le suivant :

- Présentation et approbation du rapport d’activité 2016
- Présentation et approbation du rapport financier 2016
- Présentation du budget prévisionnel et des orientations politiques 2017
- Election du conseil d’administration


En cas d’indisponibilité, vous avez la possibilité de vous faire représenter par un mandataire, lui-même adhérent et à jour de sa cotisation, muni du pouvoir ci-dessous. Si vous souhaitez participer au conseil d’administration, vous êtes invité(e) à faire connaître votre candidature.

En espérant pouvoir vous rencontrer lors de cette assemblée générale,

Bien sincèrement,

Murielle Michon, Présidente

Merci de relayer cette info.