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Forum d'échanges et de débats concernant les quartiers de Fontenay-sous-Bois (94120), la ville dans son ensemble, son environnement et sa gestion, ou des sujets d'intérêt général. |
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| Un fil sur la police | |
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+10tonton christobal Salamandre Robin coufsur mamiea Gérard Clovis Libellule Erable vieux-breton 14 participants | |
Auteur | Message |
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joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Un fil sur la police Sam 22 Avr 2017, 11:31 | |
| Rappel du premier message :
Je m 'autorise à créer un fil sur la Police. Pour ma part j ' y posterai les articles, se rapportant à ce thème, qui me semblent intéressant. J ' aurai aussi l 'occasion de donner ma vision des choses.
Je commence par un article du Figaro :
Les Femmes des Forces de l'Ordre en Colère se mobilisent Les familles des policiers et gendarmes, qui ne sont pas soumises à l'obligation de réserve, entendent dénoncer samedi «les conditions de travail, le manque de considération et de moyens».
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/04/22/01016-20170422ARTFIG00015-les-femmes-des-forces-de-l-ordre-en-colere-se-mobilisent.php | |
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Auteur | Message |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Lun 15 Jan 2018, 17:01 | |
| Des rappeurs foncent délibérément sur la police dans une voiture volée
Délinquance. Les cinq membres du groupe MGZ, originaires de l’Essonne, ont été arrêtés et placés en garde à vue. Cinq rappeurs du groupe MGZ, originaires de Crosne dans l’Essonne, ont été arrêtés et placés en garde à vue vendredi soir, après avoir délibérément foncé en voiture sur des agents de la police municipale, rapporte Le Parisien.
En les croisant, les policiers ont demandé aux rappeurs, qui conduisaient un véhicule volé, de s’arrêter. Mais au lieu d’obtempérer, ces derniers ont accéléré et percuté volontairement en marche arrière la voiture de police.
Trois rappeurs interpellés à Bordeaux après la diffusion d’un clip Les forces de l’ordre ont alors tiré quatre coups de feu dans les pneus pour immobiliser le véhicule et brisé ses vitres avec leurs matraques, précise le quotidien. Les cinq rappeurs ont été arrêtés et placés en garde à vue.
Le groupe MGZ, dont les clips sur Youtube totalisent quelques dizaines de milliers de visionnages, « aime exhiber des armes réelles ou factices », indique un connaisseur de la ville, interrogé par le Parisien, qui rappelle que la violence a augmenté sur place au cours des dernières années.
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Pas de problème ce sont des artistes pas des loubards ! | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 16 Jan 2018, 14:29 | |
| Jura : fauché par un chauffard ivre, un gendarme grièvement blessé
Un conducteur fortement alcoolisé a foncé sur un gendarme lors d’un contrôle, dimanche après-midi, à hauteur de Cesancey. Un gendarme du Jura a été fauché dimanche par un chauffard, rapportent 20 Minutes et Le Progrès. Le parquet de Lons-le-Saunier devrait prochainement ouvrir une information judiciaire pour « tentative d’homicide ».
Le conducteur âgé de 46 ans avait un taux d'alcoolémie de 3,35 grammes d’alcool par litre de sang au moment des faits, a précisé le procureur Jean-Luc Lennon.
La victime souffre de 12 côtes cassées et d’une fracture du bassin, ainsi que de l’enfoncement du pneumothorax, a-t-il ajouté. Selon le magistrat, cet adjudant d’une quarantaine d’années « est resté conscient et son pronostic vital n’est pas engagé ».
Dimanche en milieu d’après-midi, à Lons-le-Saunier, un gendarme en civil a aperçu un individu manifestement ivre sortir d’un débit de boissons et prendre le volant d’une camionnette. Une patrouille de gendarmerie a tenté de l’immobiliser, mais il a pris la fuite, conduisant dangereusement pendant plusieurs kilomètres.
Le conducteur a finalement été intercepté sur la départementale 1083, aux abords de Cesancey. Un gendarme s’est rendu à pied à sa hauteur, mais le conducteur a brusquement redémarré : il a renversé le militaire et lui a roulé sur le corps avant de prendre la fuite.
Un appel à témoins pour reconstituer le parcours L’homme a été interpellé une heure plus tard à son domicile à Trenal et placé en garde à vue. « Il minimise les faits et dit qu’il n’avait pas vu le gendarme », a noté le procureur.
Le parquet « envisage d’ouvrir une information judiciaire devant le pôle criminel pour tentative d’homicide sur un militaire de la gendarmerie nationale », a-t-il annoncé. La gendarmerie a lancé un appel à témoins pour reconstituer le parcours du mis en cause.
Le bistrotier a également été placé en garde à vue pour avoir servi de l’alcool à une personne déjà alcoolisée et pour non-assistance à personne en danger. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 16 Jan 2018, 19:50 | |
| Général Soubelet : «violences contre la police : les mots ne suffisent plus»
FIGAROVOX/TRIBUNE - Après le passage à tabac de deux policiers à Champigny, Bertrand Soubelet prend le temps d'analyser les facteurs qui poussent aujourd'hui des populations à s'en prendre ainsi aux forces de l'ordre. Pour reconquérir les «territoires perdus» de la République, l'indignation médiatique risque fort de n'être pas suffisante. ________________________________________ Général de corps d'armée et ex-numéro trois de la gendarmerie nationale, Bertrand Soubelet est l'auteur de Tout ce qu'il ne faut pas dire (Plon). Il est aussi vice-président d'Objectif France. ________________________________________ Les images «choc» de la jeune policière rouée de coups à Champigny sur Marnes'ajoutent à celles de l'incendie du véhicule de police quai Valmy, à celles de Viry-Châtillon, à celles de la gendarmerie de Meylan, au terrible assassinat de deux fonctionnaires à Magnanville et à toutes celles qui ne sont pas médiatisées.
Autant d'actes révoltants qui illustrent la profonde dégradation du climat social dans certaines parties de nos villes. Il est essentiel de prendre le temps de l'analyse, pour éviter les contre-sens et tâcher de comprendre les événements dans leur complexité. Les réactions «à chaud» sont souvent dictées par l'émotion et prêtent aux polémiques. Certains commentateurs concluent hâtivement à un probable sentiment de haine envers les policiers. Certains auteurs de tweets totalement déconnectés du réel ont même invoqué l'attitude irrespectueuse de certains policiers, pour expliquer voire justifier le phénomène. Mais toutes ces réactions relèvent d'une vision tronquée et partiale de la réalité. Bien sûr, quelques fonctionnaires de police se comportent mal et méritent de sévères sanctions. Mais cela n'est pas une généralité et ne peut en aucun cas justifier ces agressions sauvages contre les représentants de l'ordre. Nos villes comptent trop de «territoires», pas toujours très étendus, des immeubles, des cages d'escalier, des espaces publics qui deviennent à certaines heures la propriété des bandes et des caïds. Il existe un sentiment de haine contre les policiers ou les gendarmes chez certains individus, empêchés dans leurs activités criminelles ou leurs divers trafics. Il faut s'en féliciter. Mais lorsque cette haine s'exerce physiquement, il revient à la justice de sanctionner sévèrement les auteurs. C'est généralement le cas lorsqu'ils sont identifiés.
La suite : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/01/11/31003-20180111ARTFIG00117-general-soubelet-violences-contre-la-police-les-mots-ne-suffisent-plus.php
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avec de beaux discours "en même temps" des menaces et au bout du compte des promesses nul doute que macron va ramener l'ordre... | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 17 Jan 2018, 21:41 | |
| bonne analyse :
https://www.polemia.com/apres-lagression-de-policiers-a-champigny-vers-la-partition-de-la-france/ | |
| | | Libellule
Messages : 15053 Date d'inscription : 23/01/2012
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 17 Jan 2018, 22:58 | |
| Derrière cette analyse et Polemia https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Jean-Yves_Le_Gallou | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 09:52 | |
| c'est reparti ! s'il fait 40 à l'ombre et que c'est un gugusse du FN qui a chaud et le dit on prétendra qu'il fait froid.
Il vaut mieux se tromper avec Sartre que d'avoir raison avec Aaron... On est doctrinaire ou on ne l'est pas ! | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 16:57 | |
| - Libellule a écrit:
- Derrière cette analyse et Polemia
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Jean-Yves_Le_Gallou La question est : cette analyse est-elle ou non pertinente ? Lisons le texte et faisons nous une opinion. Tout simplement | |
| | | Libellule
Messages : 15053 Date d'inscription : 23/01/2012
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 17:18 | |
| La République est une et indivisible. Évoquer la partition De la France ne me paraît pas pertinent. Et nous renvoie quelques décennies en arrière. http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2010/05/30/archives-de-la-police-ordre-nouveau-et-la-surete-de-letat/ | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 17:28 | |
| - Libellule a écrit:
- La République est une et indivisible. Évoquer la partition De la France ne me paraît pas pertinent.
Plus exactement et selon la Constitution, la République DEVRAIT être une et indivisible... Force est de constater qu'hélas aujourd'hui de plus en plus de personnes résidant en France se mettent en marge de la République en refusant délibérément toute intégration à celle-ci... | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 17:38 | |
| la partition est pourtant évoquée comme envisageable par flanbi... sans doute ne connaissait il pas la constitution. | |
| | | Libellule
Messages : 15053 Date d'inscription : 23/01/2012
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 17:43 | |
| Chacun peut se tromper dans l'emploi d'un mot. L'erreur De sens reste. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 18 Jan 2018, 19:11 | |
| flambi évoquait très clairement dans le livre un président ne devrait pas dire cela une partition du territoire national et même si je n'ai pas une grande considération pour lui il connait tout de même le sens des mots courants. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Dim 21 Jan 2018, 20:02 | |
| http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/bondy-un-bloc-de-beton-projete-sur-les-policiers-21-01-2018-7514286.php
Seine-Saint-Denis : un bloc de béton projeté sur les policiers à Bondy
Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis|N.R.|21 janvier 2018, 16h13|MAJ : 21 janvier 2018, 18h45|6
Le bloc s’est fracassé en plusieurs parties devant les fonctionnaires. Ce morceau de trottoir a été projeté sur des policiers à Bondy. Ils estiment que le projectile était destiné à les tuer.
Six policiers du commissariat de Bondy (Seine-Saint-Denis) l’ont échappé belle samedi après-midi. Ces fonctionnaires de la BAC, la brigade anti-criminalité, étaient en train d’inspecter les caves d’unimmeuble de la Sablière, route de Villemomble, lorsqu’un énorme bloc de béton de plusieurs dizaines de kilos s’est écrasé à leurs pieds. Ils ont déposé plainte, estimant avoir échappé à «une tentative d’homicide».
Samedi à 15 heures, les six policiers, trois hommes de la Brigade anticriminalité (BAC) et trois de la brigade de sécurité des quartiers (BSQ), étaient descendus dans les parties communes de ce bâtiment. Ils intervenaient à la suite de plaintes de riverains excédés par le trafic de drogue. Alors qu’ils étaient toujours dans une cave, ils ont entendu du bruit provenant de l’extérieur.
«Ils ont ouvert une porte donnant sur un escalier situé dehors. En levant la tête, ils ont juste eu le temps de voir cinq hommes projeter à bout de bras le morceau de trottoir», relate un de leurs collègues. Quand le bloc s’est fracassé en trois parties devant eux, deux des six fonctionnaires étaient plus exposés. Ils ont refermé rapidement la porte et se sont mis à l’abri avec le reste de l’équipe.
«Nous avons échappé à un drame. De tels actes sont inadmissibles et gratuits. Les auteurs doivent être lourdement condamnés», a réagi Marc Tran, de l’Unsa police 93.
Les renforts venus à leur secours ont été accueillis par des jets de cailloux. Les auteurs n’ont pas été interpellés.
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nul doute que les futurs gentils policiers de proximité vont mettre fin à de tels agissement qui ne sont que des taquineries montées en épingle par les populistes qui provoquent le clivage entravant le "vivre ensemble" | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 24 Jan 2018, 11:48 | |
| Un blog qui me semble intéressant. IL prend intelligemment la défense des forces de l 'ordre. Lien à diffuser ?
https://actu17.fr/
Exemple d 'article :
https://actu17.fr/agression-a-prison-de-borgo-on-essaye-de-cacher-choses-ne-affoler-gens/ | |
| | | Libellule
Messages : 15053 Date d'inscription : 23/01/2012
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 24 Jan 2018, 19:34 | |
| Le gouvernement, qui a maille à partir avec les personnels pénitentiaires , ne se désintéresse pas des conditions de vie et de travail des policiers et des gendarmes. Gérard Collomb, le ministre de l'Intérieur, a livré mercredi, depuis le commissariat de police du 14e arrondissement de Paris, le détail et la localisation précise des chantiers d'un vaste programme de remise à niveau de ce type de bâtiments, ainsi que des casernes de gendarmerie.
Un programme dont il avait esquissé les grandes lignes dès son arrivée place Beauvau, en mai dernier, promettant alors un « plan quinquennal ». En fait, le ministère s'est donné de la visibilité pour trois ans, augmentant de 5 % et 9 % les budgets immobiliers de la police et de la gendarmerie dès cette année et arrêtant leurs montants à respectivement 196 et 105 millions d'euros jusqu'en 2020.
Vers la fin des travaux cache-misère Ce cadre étant posé, côté police, 29 nouvelles opérations immobilières seront lancées d'ici à fin 2020. On y compte 17 projets de construction dont celle de commissariats, essentiellement, et de trois stands de tir. Les autres chantiers consisteront à rénover ou étendre d'autres commissariats ainsi que des hôtels de police.
Des éléments d'un patrimoine existant dont la réputation de vétusté n'est plus à faire , comme l'illustre l'état du commissariat où se trouvait le ministre. Une situation que les manifestations de grogne des policiers de l'automne dernier avaient largement contribué à faire connaître dans l'opinion, dénonçant le peu de moyens mis dans l'entretien de leurs locaux.
En consacrant cette année 31 millions d'euros à la maintenance lourde de ce parc, chiffre que ses services donnent à comparer aux 14,7 millions dépensés en 2015, Gérard Collomb estime pouvoir en finir avec la longue tradition des travaux cache-misère qui colle à la politique immobilière de la police.
D'autant qu'en 2020, ce budget doit atteindre 50 millions d'euros. La remise en état des écoles de police et celle des cantonnements des CRS , très remontés l'automne passé contre leurs conditions d'hébergement, seront prioritairement menées, mobilisant respectivement 30 et 10 millions d'euros dans le cadre de ce programme pluriannuel.
« Co-construire » avec les collectivités locales En ce qui concerne la gendarmerie, 47 chantiers vont être engagés d'ici à la prochaine décennie, tous réservés à l'extension, la rénovation et la maintenance lourde du patrimoine. L'enjeu est d'y améliorer les conditions de vie dans les casernes au moins autant que les conditions de travail. Près de 9.700 logements vont être remis en état dans les trois ans. Sans oublier les enjeux de sécurité liés à ces lieux. Ainsi, 15 millions d'euros seront dépensés chaque année pour renforcer la protection de ceux qui les occupent.
A noter que la réalisation de ce vaste programme reposera aussi sur le soutien des collectivités locales
Source les échos | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 24 Jan 2018, 19:53 | |
| et bla et bla... ils n'ont rien compris et il suffit de patienter pour que l'affaire se décante. Un coup de peinture sur les murs des commissariats et tout va s'arranger.
Avec une libellule aux manettes nous allons nous en sortir. le seul problème étant la couleur de la peinture... beige ou blanc cassé...
Ce qui n'implique pas que l'on casse du blanc ! | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Jeu 25 Jan 2018, 10:51 | |
| Essonne : deux policiers agressés lors d'une interpellation dans la cité des Tarterêts à Corbeil-Essonnes
AFP, publié le mercredi 24 janvier 2018 à 23h02
Deux policiers ont été blessés mercredi lors d'une interpellation qui a mal tourné dans une cité difficile de Corbeil-Essonnes (Essonne): des habitants les ont frappés et ont lâché un pitbull sur eux, a-t-on appris de sources policières.
L'un des deux fonctionnaires de la Brigade anti-criminalité (BAC) souffre d'"une entorse grave de la cheville et du genou", l'autre a "un problème au genou et a pris plusieurs coups à la tête", a précisé une source policière. Ils se sont vus prescrire respectivement 30 et 21 jours d'incapacité totale de travail (ITT).
L'agression a eu lieu dans la cité des Tarterêts en grande banlieue parisienne, selon une autre source policière. Dans ce quartier de Corbeil-Essonnes, connu pour son trafic de stupéfiants, les forces de l'ordre sont régulièrement prises pour cibles.
Vers 16H00 mercredi, un jeune homme prend la fuite à la vue d'agents en patrouille, selon la même source. Deux policiers le suivent dans la tour où il se réfugiait. Arrivés dans les étages, les agents tombent sur la famille du jeune homme dont ses parents, sexagénaires, qui ouvrent la porte de leur appartement, "se jettent sur les policiers pour les empêcher de l'interpeller".
Les coups pleuvent, selon cette source, lorsqu'un jeune voisin ouvre la porte et lâche son pitbull sur un des fonctionnaires, qui parvient à maintenir l'animal à distance.
Pendant ce temps, les parents du jeune homme "tentent d'embarquer l'autre policier dans leur appartement. Son collègue a réussi à caler sa jambe dans l'encadrement de la porte pour les empêcher de l'enfermer", a-t-elle détaillé.
Après l'intervention de renforts, cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue au commissariat de Corbeil-Essonnes.
Cet épisode intervient trois semaines après l'agression de deux policiers le soir du Nouvel An à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Filmée et largement diffusée sur les réseaux sociaux, elle avait provoqué l'indignation.
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Il y a vraiment urgence à repeindre les murs de la salle d'accueil du commissariat. C'est la mesure concrète majeure qui va ramener la sérénité. | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Sam 03 Fév 2018, 13:18 | |
| Concernant Calais il est montré , à la T.V. , que des policiers commettraient des "violences policières". Pour preuve on montre des douilles de grenades lacrymogènes , on montre des migrantes les yeux pleurants. Dès lors que la police veut , face à des violents , rétablir l 'ordre elle est contrainte d 'user de "violences policières légitimes ", entre autre de grenades lacrymogènes , arme qui leur est donnée par les citoyens pour pouvoir assurer leur tache. Bien sûr l 'usage de ce type d 'arme créent des troubles sur ceux qui les reçoivent , mais c 'est là le but rechercher : maîtriser une manifestations de violents , faire cesser , comme à Calais , des bagarres générales. L ' Etat , et donc la police , a la monopole de la violence légitime. Au cas de Calais , et en général , ce qui est normal c 'est que la police est contrainte parfois d 'être violente. Dans un deuxième temps il faut examiner si cette violence est légitime ou pas . C 'est seulement si cette violence n 'est pas légitime que l 'on peut parler de " violences policières " au sens péjoratif du terme . Des journalistes ne semblent pas capables de faire la distinction entre violence légitime et violence illégitime. Ce qui a pour conséquences d 'exaspérer les policiers. | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Lun 12 Fév 2018, 17:37 | |
| Les pompiers ne sont guère mieux lotis que les policiers :
https://actu17.fr/isere-pompiers-tombent-guet-apens-a-saint-martin-dheres/ | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 13 Fév 2018, 11:34 | |
| Dans le pays où theo est un heros à qui le president rend visite à l'hôpital.. . En négligeant les gens attaqués en service...
Normal que des journalistes écrivent n'importe quoi d'autant que leur objectivité devient de moins en moins crédible. | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 13 Fév 2018, 11:38 | |
| - tonton christobal a écrit:
- Dans le pays où theo est un heros à qui le president rend visite à l'hôpital.. . En négligeant les gens attaqués en service...
Normal que des journalistes écrivent n'importe quoi d'autant que leur objectivité devient de moins en moins crédible. On recherche encore un journaliste d'un grand journal national type Le Monde, Libération, Le Figaro, ... habitant dans un logement social situé un quartier prioritaire comme Les Larris, La Redoute, Bois-Cadet, .... avec les dealers en bas de chez lui.... Si un jour il y a un journaliste qui habite dans un tel quartier et que des racailles proposent à son gamin de la drogue quand celui-ci va chercher le pain il reverra peut-être le contenu de ses articles... | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 13 Fév 2018, 15:21 | |
| "Le comportement de la jeune femme, avant les faits, avait déjà été jugé douteux par des collègues, qui la soupçonnaient de radicalisation." - Citation :
- Seine-Saint-Denis : une policière [ adjointe de sécurité ] écrouée pour vols d'armes
Carole Sterlé| 13 février 2018
Une adjointe de sécurité serait impliquée dans la disparition de deux armes de service, à la direction territoriale de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Affaire dans laquelle un militaire a aussi été incarcéré.
C'est une affaire dont l'institution policière se serait volontiers passée. Deux armes de service, des pistolets automatiques Sig Sauer, calibre 9 mm, ont été dérobées au sein de la direction territoriale de Seine-Saint-Denis, et c'est une fonctionnaire qui est dans le collimateur. Cette jeune adjointe de sécurité (ADS) de 20 ans vient d'être suspendue. Elle est mise en examen et placée en détention provisoire depuis vendredi, ainsi que trois autres complices présumés, âgés de 19 à 29 ans, dont un est militaire.
Les soupçons s'étaient rapidement portés sur la jeune femme, en poste à l'accueil au siège départemental de la police à Bobigny. Pour entrer dans l'enceinte grillagée et barriérée, il faut montrer patte blanche. Or, le soir du vol, le 25 août 2017, la fonctionnaire, en poste dans la cabine d'entrée, s'était fait remarquer par une absence momentanée. « Elle avait dit devoir retrouver un ami qui lui apportait un panier-repas », indique une source proche de l'affaire. Toujours selon cette source, la jeune fonctionnaire était précédée par une « réputation quelque peu sulfureuse ». Le comportement de la jeune femme, avant les faits, avait déjà été jugé douteux par des collègues, qui la soupçonnaient de radicalisation.
Un rapprochement a été fait entre ce vol et la blessure par balle d'un militaire deux mois et demi plus tard dans le département voisin de la Seine-et-Marne. Ce dernier avait été hospitalisé pour une blessure à la jambe le 12 novembre. Du 9 mm. Il avait prétendu s'être fait tirer dessus « par un homme encagoulé », alors qu'il faisait un footing dans la forêt à Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne). Mais l'hypothèse d'un tireur solitaire a fait long feu. De victime, le militaire a acquis le statut de suspect, lorsqu'il a été découvert que parmi ses visiteurs à l'hôpital certains étaient des connaissances communes avec la jeune ADS, elle aussi originaire de Seine-et-Marne.
Finalement, six personnes ont été arrêtées la semaine dernière et placées en garde à vue durant quatre jours. Cinq ont été mises en examen pour vol en bande organisée par personne dépositaire de l'autorité publique, association de malfaiteurs et recel, et quatre placées en détention, dont le militaire, la policière et son frère. Un des pistolets volés à Bobigny a été retrouvé, grâce à un suspect. Pas le second.
Au-delà de l'arme, il reste une question centrale à résoudre : pourquoi dérober des armes tracées et nominatives dans un lieu si surveillé, alors qu'il est de notoriété publique que s'en procurer n'est pas un problème ? « C'est incompréhensible », réagit un cadre de la police. http://www.leparisien.fr/faits-divers/seine-saint-denis-une-policiere-ecrouee-pour-vols-d-armes-13-02-2018-7556247.php | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 13 Fév 2018, 15:46 | |
| - a.nonymous a écrit:
"Le comportement de la jeune femme, avant les faits, avait déjà été jugé douteux par des collègues, qui la soupçonnaient de radicalisation."
http://www.leparisien.fr/faits-divers/seine-saint-denis-une-policiere-ecrouee-pour-vols-d-armes-13-02-2018-7556247.php Brillant résultat d'une politique décidée au plus haut niveau d'où le bons sens est écarté au profit de l'idéologie et du clientélisme... et malheureusement ce genre d'affaire n'est pas nouvelle depuis quelques années. Même si le signal d'alarme est tiré il ne faut pas agir... on récolte généralement ce que l'on sème, le problème étant que pour ses collègues il y a ceux d'en face à combattre tout en devant se méfier de ceux qui sont supposés être de leur coté. Bonjour l'ambiance ! | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Ven 02 Mar 2018, 09:41 | |
| Nice : un policier violemment agressé lors d'un contrôle routier
Fait divers. Un policier niçois a été sérieusement blessé au visage lors d'une agression survenue au début de la semaine, selon Nice-Matin.
Lundi 26 février à Nice, un policier, membre de la brigade anti-criminalité (BAC), a poursuivi un homme qui, contrôlé sans permis de conduire, a tenté de prendre la fuite. Le policier est parvenu à le rattraper dans le quartier des Moulins à l'ouest de la ville. Mais une fois qu'il lui a passé les menottes, quatre individus sont apparus, sortis d'un hall d'entrée d'un immeuble. Ils s'en sont alors violemment pris au policier, rapporte Nice-Matin ce mercredi 28 février.
Frappé au visage avec un poing américain
Laurent Laubry, du syndicat de police Alliance, a confirmé au quotidien régional que son collègue a été frappé avec un poing américain. Blessé au visage, il souffre, entre autres, d'une fracture du nez, a-t-il précisé. L'un des agresseurs a été arrêté. Mais les autres se sont échappés.
SUR LE MÊME SUJET Nice : des policiers municipaux bientôt dans les écoles "La brigade des atteintes aux personnes de la Sûreté départementale est chargée de l'enquête", indique Nice-Matin, ajoutant que "la semaine dernière, le maire de Nice Christian Estrosi avait alerté le préfet sur la recrudescence de l'insécurité dans ce quartier sensible".
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Il n'y a pas de zone de non droit ! c'est une invention des fachos réacs ! | |
| | | Gérard
Messages : 4188 Date d'inscription : 08/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Ven 02 Mar 2018, 18:16 | |
| On va voir ressusciter les fantômes de 68 pour le cinquantenaire. Alain Bauer tient bien la route! https://youtu.be/-QYOCnhcW8c _________________ « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. » (Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948)
Dernière édition par Gérard le Ven 02 Mar 2018, 19:32, édité 1 fois | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Ven 02 Mar 2018, 19:30 | |
| - Gérard a écrit:
- On va voir ressusciter les fantômes de 68 pour le cinquantenaire.
Alain Bauer tient bien la route! https://youtu.be/-QYOCnhcW8c
Très bonne vidéo | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Dim 04 Mar 2018, 04:08 | |
| Cette semaine nous sommes sauvés : le premier de nos ministres et celui de l'intérieur sont venus à l'endroit de Nice (les moulins) ou le policier s'est fait agresser.
Vont arriver 22 policiers nouveaux équipés de "tablettes" pour renforcer les effectifs. A chaque fois on nous met la tablette en tête de gondole comme l'outil magique...de la police new look. Tu veux me frapper... attention je vais sortir ma tablette !
La tablette pour se protéger des balles et des coups de poing américain, je ne doute pas que ce soit une mesure efficace.
Pour assurer un semblant d'ordre pendant la "cérémonie" deux avenues ont été totalement interdites à la circulation, on a mobilisé nombre d'archers du roi pour contrôler le secteur et un hélico est resté en stationnaire sur place.
Pas de problème les 22 vaillants nouveaux policiers (répartis en 5 brigades ce qui relativise l'importance du renfort) et leur tablette individuelle qu'ils trimbaleront en permanence vont rétablir l'ordre républicain et le lien avec la population s'ils sont autorisés à pénétrer dans la zone.
La seule question à ne pas poser : durée de vie de la tablette en milieu hostile ... une échauffourée et out la tablette.
Dernière édition par tonton christobal le Mar 27 Mar 2018, 21:38, édité 1 fois | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 14 Mar 2018, 07:11 | |
| http://www.plateaufontenay.net/t3140p50-un-fil-sur-la-police#102801 SUITE - Citation :
- Seine-Saint-Denis : Mariama, 20 ans, la policière qui volait des armes
Julien Constant| 13 mars 2018
Du commissariat à la prison. C’est le parcours de Mariama, 20 ans, adjointe de sécurité affectée en Seine-Saint-Denis. Cette jeune policière a été mise en examen le 8 février pour vol aggravé criminel et association de malfaiteurs. Elle a avoué lors de sa garde à vue avoir dérobé, durant la nuit du 25 au 26 août 2017 à la direction territoriale de Seine-Saint-Denis, deux pistolets Sig Sauer et deux chargeurs pleins. Une « commande » de son frère et d’un ami qui lui aurait permis de toucher 300 € et de signer le dernier chapitre d’une courte carrière entourée de soupçons.
En septembre 2015, Mariama entre dans la police comme cadet de la République, un dispositif qui permet aux jeunes gens sans diplôme de pouvoir intégrer l’institution. Un an plus tard, la voilà adjointe de sécurité dans une brigade de jour au commissariat de Pantin (Seine-Saint-Denis).
Mais, très vite, elle est soupçonnée de consulter les fichiers de police pour informer son frère et ses amis d’une cité d’Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne). Pas de preuves formelles mais assez de doutes pour qu’elle soit déplacée début 2017 vers la guérite de l’entrée de la direction départementale à Bobigny.
Elle émet ensuite le désir de quitter la police. Elle s’inscrit sur des sites de rencontres réservées aux pratiquants musulmans et explique être particulièrement gênée parce qu’elle est obligée de quitter son voile avant de pénétrer dans les locaux du commissariat. Ses collègues la voient garder son gros blouson à capuche sur la tête pour cacher ses cheveux malgré la chaleur de l’été.
La policière apprend l’arabe et télécharge des prêches de l’imam controversé de Brest. Elle envisage de se marier avec « un bon musulman » et de s’installer en Algérie ou en Arabie saoudite. En attendant elle s’isole, comme elle l’expliquera dans ses auditions : « Je n’ai plus d’amis, depuis que je me suis mariée religieusement, début décembre 2017. J’ai coupé les ponts. Je reste juste chez moi, chez mes parents ou ma belle-sœur. »
Lorsque deux armes disparaissent des locaux de Bobigny pendant une nuit d’août 2017, la jeune femme est brièvement placée en garde à vue par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) et suspendue. Les enquêteurs se rendent compte qu’elle s’était renseignée sur le prix des pistolets Sig Sauer, les armes qui équipent la police.
Plus incroyable encore, ils découvrent qu’elle voulait commettre une faute grave pour se faire licencier… Sur son téléphone, les bœufs-carottes ont trouvé le message d’un mystérieux « Broly ». Le nom d’un personnage de dessin animé qui était en fait son petit frère Salif, lui disant que si elle travaillait seule, on la soupçonnerait immédiatement. ---/---
Dernière édition par a.nonymous le Mer 14 Mar 2018, 07:15, édité 1 fois | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 14 Mar 2018, 07:11 | |
| - Citation :
- ---/---
Le 5 février dernier, elle est de nouveau placée en garde à vue à la DRPJ de Versailles (Yvelines) en compagnie de son frère, d’un ami, d’un militaire et d’un complice de ce dernier. Mariama passe des aveux un peu confus où elle tente de minimiser le rôle de son frère. Le soir du vol, elle explique être sortie de sa vigie pour prendre les clés des coffres à armes et munitions.
« Je suis entrée dans la salle avec le code. J’ai ouvert les coffres, j’ai pris les deux Sig au hasard et des chargeurs. » Mariama les cache alors dans les poches de son blouson. Et comme prévu dans le scénario, un de ses complices se fait passer pour son petit ami et lui ramène son panier-repas, opportunément oublié. Ils procèdent à l’échange : la gamelle contre les armes.
La policière raconte qu’elle avait très peur et qu’elle a finalement accepté son rôle après avoir été rassurée et mise sous pression. « J’ai touché 300 €… Je ne voulais pas le faire. Je regrette énormément mon geste, confie-t-elle. Je ne sais pas ce que sont devenues les armes. Je sais juste qu’elles ont été vendues. »
En plus de la jeune adjointe de sécurité, les quatre autres suspects, âgés de 19 à 31 ans, ont été mis en examen début février par le juge d’instruction. Salif a vendu les deux armes à Mehdi, caporal-chef au 152e régiment d’infanterie de Colmar (Haut-Rhin), qui voulait acheter une arme dans son quartier à Ozoir-la-Ferrière.
Ce soldat de 28 ans, passionné d’armes à feu, a revendu, pour 800 € l’un des pistolets à Lamine, un trafiquant de drogue de 31 ans qui vit dans le XVIIe arrondissement de Paris. Mais cette seconde arme n’a pas été retrouvée. L’affaire a éclaté lorsque Mehdi s’est fait accidentellement tirer dessus par un ami dans la forêt d’Ozoir en essayant le pistolet volé… http://www.leparisien.fr/faits-divers/seine-saint-denis-mariama-20-ans-la-policiere-qui-volait-des-armes-13-03-2018-7606869.php | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 14 Mar 2018, 11:05 | |
| pour ma part pas surpris... j'ai déja écrit pourquoi.
Comme on continue de faire les mêmes erreurs on a les mêmes résultats. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mar 27 Mar 2018, 20:28 | |
| Désarroi dans les forces de l’ordre : « Macron est comme Hollande, à côté de la plaque. » 27 mars 2018 Le Politique
L’islamisme poursuit sa croissance rapide en France et en Europe. L’assassinat de civils innocents à Carcassonne et à Trèbes le 23 mars 2018 par un islamiste dûment fiché et même « surveillé » par la DGSI est extrêmement mal vécu par les personnels de police, de gendarmerie nationale et des services de renseignement.
« Pour nous, c’est comme une histoire sans fin, on fait ce qu’on peut mais quand en haut, ça veut pas bouger… » soupire l’un de ses membres, dépité face à la violence de la situation.
« Au château* comme à Matignon, on traite avec des personnes qui n’ont aucun semblant de lien avec le réel. On passe plus de temps à essayer de les convaincre de ce qu’il se passe dans le pays plutôt qu’à chercher des solutions, vous voyez le souci. » ajoute-t-il.
Ils sont de plus en plus nombreux, anonymement car leur statut les en empêche, à exprimer leur désarroi face à l’immobilisme des dirigeants politiques. Si la mort héroique du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame les inspire tous, les effectifs en charge de notre sécurité nationale s’inquiètent que sa mort puisse avoir été vaine.
« Au 55*, on ‘pense printemps’ alors vous savez l’héroisme de celui qui était en fait leur antithèse, cela les gêne et même les vexe, ‘Jupiter’ sent bien qu’il n’est pas grand-chose à côté d’un Arnaud Beltrame. Alors au lieu de foncer, de faire ce qu’il faut, il s’enferme dans son univers comme l’avait fait Hollande après le Bataclan, » explique un observateur.
Fondamentalement, Emmanuel Macron semble donc s’inscrire dans la continuité de François Hollande, se limitant à des discours qui ne sont guère suivis d’actions réelles et profondes. Préférant balayer comme démagogiques les propositions de ses adversaires politiques, le président de la République oublierait l’essentiel : la sécurité des Français.
Chez les policiers, chez les gendarmes, chez les officiers de renseignement, est partagé un même constat à savoir que la situation à long terme concernant l’islamisme en France est tout simplement dramatique. C’est en substance ce qu’a dit Manuel Valls ce week-end. « On n’est pas sorti de l’auberge et dedans y’a des milliers de loups qui veulent nous dévorer, » résume une source policière.
Constat accablant d’un pouvoir politique totalement dépassé ?
* L’Elysée.
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voila le bulletin de santé des archers du roi et de leurs collègues... | |
| | | Robin
Messages : 1374 Date d'inscription : 13/02/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 28 Mar 2018, 17:22 | |
| Manuel Valls a raison sans l'éradication de cette vérole nous n'en sortirons jamais. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Sam 31 Mar 2018, 11:39 | |
| - Robin a écrit:
- Manuel Valls a raison sans l'éradication de cette vérole nous n'en sortirons jamais.
et sur le plan des faits ? parce que les attentats ne datent pas d'hier et on connait tout de même un peu ceux qui en sont les auteurs... On va monter des usine à "déradicaliser" faire des fiches S et importer quelques centaines d'imams étrangers... | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Lun 09 Avr 2018, 13:19 | |
| - Citation :
- Magnanville: une syndicaliste d'Alliance en garde à vue
Par Jérémie Pham-Lê et Laurent Léger, publié le 09/04/2018
La sous-direction antiterroriste a arrêté six personnes en Ile-de-France dans l'enquête sur le meurtre des policiers.
Les enquêteurs restent prudents sur leur degré d'implication mais c'est un improbable rebondissement qui vient de se nouer dans l'enquête sur l'attentat de Magnanville. Selon nos informations, six suspects ont été interpellés ce lundi matin dans les Yvelines et le Val-d'Oise par les policiers de la Sous-direction antiterroriste (Sdat). Parmi eux, trois hommes de 30, 33 et 26 ans et trois femmes dont deux âgées de 29 et 48 ans. Ils ont été placés en garde à vue.
La plus âgée des trois femmes est bien connue de l'institution policière: et pour cause, il s'agit de Maryline Bereaud, major de police dans les Yvelines et ancienne déléguée départementale du syndicat Alliance. La seconde n'est autre que sa fille. Les trois hommes sont quant à eux des membres de l'entourage de Maryline Bereaud. "Il faut rester prudent. Ces personnes restent présumées innocentes. Mais ces interpellations visent à faire la lumière sur une question qui reste en suspens: pourquoi le couple Salvaing-Schneider a été ciblé par Larossi Aballa?", explique une source proche de l'affaire à L'Express. Lors de l'attaque en effet, commise en juin 2016, le terroriste avait pénétré au domicile des deux fonctionnaires de police pour les assassiner, sans que l'on sache comment il avait eu connaissance de leur qualité de policiers et leur lieu de résidence.
Toujours selon les informations de L'Express, Marilyne Bereaud avait été visée par une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) en 2016. Les policiers avaient découvert qu'elle avait hébergé à son domicile une jeune femme fichée S pour radicalisation, présentée comme une proche de sa fille. Les investigations avaient toutefois conclu à une absence d'infraction et Marilyne Bereaud avait été mise hors de cause.
Mais en coulisses, dans les milieux syndicaux, l'affaire avait fait grand bruit. Selon des sources concordantes, à la suite de cet évènement, la policière avait été priée de quitter ses fonctions syndicales chez Alliance. Elle avait obtenu, dans la foulée, une promotion au grade de major et travaillait depuis au Centre de rétention administrative (CRA) de Plaisir.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/attentat-de-magnanville-une-syndicaliste-d-alliance-en-garde-a-vue_1998620.html | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Lun 09 Avr 2018, 20:23 | |
| je crois avoir évoqué ici même les questions posées par le recrutement... avec à la clé des critères pour le moins surprenant et aussi la manière dont sont perçues et non exploitées les informations destinées à la hiérarchie.
Dans la foulée je passe sur les procès d'intention faits aux gens qui tirent les signaux d'alarme que l'on ne se prive pas à défaut de pouvoir les sanctionner ouvertement de les mettre de coté... quitte un peu plus tard à leur demander de se replonger dans le bourbier.
Lorsque l'on fait en dépit du bon sens et que l'on met sous l'éteignoir les signaux dérangeants il n'est pas surprenant qu'à terme on en paye les conséquences. | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 11 Avr 2018, 00:32 | |
| - Citation :
- L'identité de 2 626 policiers de la DCRI aux mains d'une radicalisée
Par Marc Leplongeon et Stéphane Sellami et Aziz Zemouri Publié le 10/04/2018 | Le Point.fr
L'information est connue des autorités depuis un an mais était traitée avec la plus stricte confidentialité. En avril 2017, une jeune femme, Mina B., fichée S, est entendue dans le cadre d'une enquête judiciaire portant sur ses liens avec la mouvance radicale. Lors de son audition, Mina s'épanche. La police va alors découvrir des informations si sensibles qu'elles feront l'objet d'une seconde enquête préliminaire…
Interrogée par les policiers, la jeune femme, placée depuis en détention provisoire, reconnaît en effet avoir aidé financièrement et hébergé en septembre 2016 Sana O., une connaissance. Cette dernière, très radicalisée, est privée de son passeport après avoir tenté à deux reprises de rejoindre la Syrie. Selon nos informations, Mina B. aurait participé aux projets de son amie en l'accompagnant au moins une fois à la gare.
Les policiers vont perquisitionner son domicile et y découvrir un téléphone portable, dont Mina B. se servait pour effectuer des recherches sur un terroriste belge de la cellule de Verviers, aujourd'hui démantelée. Cette cellule, qui projetait des attentats contre des policiers et des commissariats, avait été visée par un coup de filet antiterroriste le 15 janvier 2015, une semaine après l'attentat contre Charlie Hebdo.
Deux djihadistes avaient été tués lors de l'opération, un troisième blessé. Un quatrième homme, considéré comme le cerveau de la cellule, avait pris la fuite et quitté le pays. Son nom est devenu tristement célèbre : il s'agit d'Abdelhamid Abaaoud, coordinateur des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, et mort dans l'assaut de Saint-Denis cinq jours plus tard.
Les enquêteurs vont poursuivre leurs recherches et trouver sur l'ordinateur de Mina B. un certain nombre de photographies et de discussions sous pseudonyme, montrant que la jeune femme est en contact avec plusieurs djihadistes sur zone. Surtout, ils vont mettre la main sur une clé USB remplie de documents et fichiers de police sensibles, comprenant notamment une liste… de 2 626 agents du renseignement.
Cette liste, qui avait été effacée de la clé USB, mais que les enquêteurs ont réussi à restaurer, date de 2008. Elle contient les noms, matricules et affectations de l'ensemble des agents du corps des gradés et gardiens nommés lors de la Commission administrative paritaire nationale (CAPN) du 19 juin 2008. Il s'agit des personnels issus de la DCRG (Direction centrale des renseignements généraux) et de la DST (Direction de la surveillance du territoire), deux services partiellement fusionnés pour créer la DCRI. Ces données, pourtant sensibles, ont été transmises à l'ensemble des agents des administrations concernées, ainsi qu'à toutes les personnes présentes lors de la CAPN, syndicats compris.
La découverte de ce document va conduire le parquet de Paris à ouvrir une seconde enquête préliminaire, et à mettre Mina B. en examen en octobre 2017. Avec cette principale question, terrifiante à l'heure où des policiers sont pris pour cible : comment Mina B. s'est-elle procuré ces fichiers ? La réponse pourrait bien être connue dans les prochaines heures.
Car ce lundi 9 avril 2018 s'est produit un incroyable rebondissement. La jeune femme a été extraite de sa cellule de Fresnes pour être interrogée par la sous-direction antiterroriste (Sdat) sous le régime de la garde à vue, dans le cadre de l'enquête ouverte sur l'attentat de Magnanville. En juin 2016, un policier Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider ont été assassinés dans leur propre maison par Larossi Aballa. Toutefois, selon nos informations, ces deux noms n'apparaissent pas dans la liste.
Cinq autres personnes sont actuellement entendues par la Sdat, dont une policière, ancienne déléguée départementale du syndicat Alliance dans les Yvelines. Selon L'Express, Mina était une amie de la fille de la policière et aurait été hébergée à leur domicile, courant 2016. Le magazine ajoute : « Mina fait partie des suspects entendus par les policiers de la Sdat, au même titre que son frère, décrit comme un proche de Larossi Aballa. »
La jeune femme a-t-elle profité de son incursion dans l'entourage de la policière pour obtenir cette liste confidentielle d'agents du renseignement ? Contacté, le parquet n'a pas souhaité commenté. Selon plusieurs sources au sein des services de renseignements, c'est la policière qui aurait transmis la clé USB à sa fille, après en avoir effacé les données. Un scénario qui reste à vérifier.
En 2016, la fonctionnaire de police avait déjà fait l'objet d'une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour avoir hébergé Mina, fichée S. Mais les investigations, précise L'Express, avaient conclu à l'absence d'infractions.
Quant à l'avocat de Mina B., il s'indigne de ces "énormes fuites qui ne sont pas du fait de la défense et qui comportent un certain nombre d'erreurs". Il ajoute : "Ma cliente nie avec véhémence avoir été en contact avec Larossi Abballa". http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-les-noms-de-2-626-agents-du-renseignement-aux-mains-d-une-radicalisee-10-04-2018-2209549_23.php | |
| | | Gérard
Messages : 4188 Date d'inscription : 08/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 11 Avr 2018, 09:56 | |
| On finira par identifier les dangereux et virulents polémiste de ce forum complotiste et seditieux Tonton, a.nynomous, Robin, Coufsur, Gérard, et vos complices...on vous a à l'oeil _________________ « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. » (Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948)
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 11 Avr 2018, 10:00 | |
| Conséquence logique d'une cascade de mauvais choix... On commence à constater les dégâts :
Pour y remédier il conviendrait de bien vouloir prendre en compte les réalités. De mettre à l'écart dans des services où ils ne nuiront plus les incompétents. De virer les doctrinaires qui grace à des pistons politicards sont en place. et fidèles à leurs engagements ne se remettront jamais en question. De privilégier des spécialistes même si leur approche ne convient pas pour travailler dans d'autres voies. De ne plus s'occuper des groupes de pression qui n'ont rien à voir avec l'intérêt national que l'on retrouve sous forme d'associations dont les buts et modes d'action sont nocifs au pays.
Pour faire bref : agir à l'inverse de ce qui existe !
Vaste programme qui ne sera pas mis en place par choupinet Ier en piste pour son prochain mandat. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 11 Avr 2018, 10:47 | |
| Pour les différentes catégories ci dessus j'ai des noms...
Comme je n'aime pas les procès et que le maître des lieux serait en première ligne nous en resterons là... | |
| | | Gérard
Messages : 4188 Date d'inscription : 08/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 11 Avr 2018, 12:16 | |
| C'est bien aimable et raisonnable. Merci. _________________ « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. » (Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948)
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Sam 28 Avr 2018, 11:55 | |
| Aux portes de Paris, le deal à ciel ouvert, des tirs et des habitants "abandonnés" prise le 27 avril 2018 de la cité
AFP, publié le samedi 28 avril 2018 à 11h24
"308 Noire CD..." "Mondéo Bleu nuit EC..." A l'entrée de la cité, un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs. Bienvenue à La Capsulerie, à Bagnolet. A deux stations de métro de Paris, le quartier est gangréné par le deal et les habitants se sentent "abandonnés".
Cet après-midi là, une dizaine de CRS patrouillent dans la cité. Ils ont été déployés en renfort le 25 avril, après une flambée de violence. Trois hommes connus de la police ont été blessés par balle ce mois-ci. Des voitures ont été incendiées.
"Tout laisse à penser qu'il s'agit de règlements de comptes liés au point de deal", l'un des principaux de Seine-Saint-Denis, confie une source proche de l'enquête. Le risque de "surenchère" inquiète élus et habitants. Ils pressent les autorités d'agir avant un "mort" ou une "balle perdue".
En attendant, la présence des forces de l'ordre n'empêche pas le trafic. A peine ont-ils tourné le dos que les guetteurs reprennent leur poste, comme les acheteurs. "Si vous cherchez du cannabis, c'est simple", raconte un habitant. "Dès que vous sortez du métro, un rabatteur vous prend en charge, il vous guide jusqu'à la cité, vous donnez votre argent et vous attendez, au pied de cette tour, qu'on vous apporte la marchandise."
A l'endroit désigné, une vingtaine de personnes patientent, les yeux sur leur smartphone. Hommes et femmes, jeunes et vieux. Certains en veste et chemise, d'autres en tee-shirts. "Les clients viennent de toute la région parisienne, de tous les milieux", explique une source policière.
Le "four" (point de vente) est ouvert de midi à minuit. On y vend essentiellement du cannabis, pour un chiffre d'affaires quotidien estimé à plusieurs milliers d'euros. Des centaines d'acheteurs défilent chaque jour, au vu de tous. Parfois, "la file d'attente va jusqu'à l'entrée de la cité", raconte une autre habitante.
Cheveux courts, veste en jean, elle qui vit là depuis plus de 40 ans, estime que la situation a commencé à se dégrader il y a sept ans. Jusque-là, le trafic se pratiquait à petite échelle "caché dans les appartements", raconte-t-elle autour d'un café avec deux voisines. "Il y avait une bonne ambiance dans le quartier, et vous viviez aux portes de Paris pour pas cher".
- "On ne voit plus d'issue" -
Mais l'emplacement, à 400 mètres du métro, au pied du périph, de l'autoroute et d'une gare routière, a aussi tapé dans l'oeil des dealers. Poussés notamment par le démantèlement de trafics dans les villes alentour, expliquent les habitants, ils ont peu à peu pris possession de la cité.
Aujourd'hui, des guetteurs surveillent les allées et venues, dévisagent les passants. "A un moment, ils nous demandaient notre carte d'identité pour entrer dans les immeubles", racontent les trois voisines. Comme elles, tous les habitants rencontrés décrivent une ambiance "pesante". "Lorsque j'ai pris mes fonctions", raconte un gardien, "ils ont mis quelqu'un derrière la fenêtre de la loge pour me surveiller. Il est resté là deux mois, il me suivait quand je sortais".
Autre symbole de cette mainmise, à l'entrée de la cité, un jeune en jogging garde un oeil sur un mur. Une dizaine de plaques d'immatriculation y ont été taguées. "C'est celles des voitures de police banalisées. Quand il en voit une, il alerte les vendeurs", décrypte un membre de "Retrouvons notre dignité", une association d'habitants qui milite contre le trafic.
Devant la maison de quartier, où un impact de balle est encore visible, Alexis Corbière, le député LFI de la circonscription, explique avoir demandé, avec le maire socialiste Tony Di Martino, des renforts policiers, en plus de la brigade de 15 agents déployée il y a un an. L'association d'habitants et plusieurs élus réclament aussi, depuis des années, l'ouverture d'un commissariat de plein exercice. Contactée, la préfecture dit avoir pris en compte la "situation de violence" et assure qu'une présence policière renforcée sera maintenue "jusqu'à nouvel ordre".
Mais les habitants craignent que cela ne suffise pas: "Le quartier a été abandonné, on a laissé le trafic s'installer. Aujourd'hui, il est là, en permanence. On ne voit plus d'issue."
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Avec quelques pots de peinture, des emplois que personne ne veut occuper (avec le pognon de la came il faut être demeuré pour aller au boulot d'autant que l'on ne risque rien... de la part de la justice) et des nouveaux ascenseurs le tout pour 50 ou 60 milliards on va traiter le dossier.
Il y a les accidents du travail lorsque l'itinéraire d'une balle croise celui d'un "commerçant"
En attendant les "bourges" à vos poches !
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| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Un fil sur la police Sam 28 Avr 2018, 16:50 | |
| - tonton christobal a écrit:
- Aux portes de Paris, le deal à ciel ouvert, des tirs et des habitants "abandonnés"
prise le 27 avril 2018 de la cité
AFP, publié le samedi 28 avril 2018 à 11h24
"308 Noire CD..." "Mondéo Bleu nuit EC..." A l'entrée de la cité, un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs. Bienvenue à La Capsulerie, à Bagnolet. A deux stations de métro de Paris, le quartier est gangréné par le deal et les habitants se sentent "abandonnés". ---/--- La situation dramatique que connaissent les habitants la Capsulerie a déjà été évoquée dans cette discussion http://www.plateaufontenay.net/t2701-coup-de-filet-anti-drogue-a-fontenay-sous-bois#103946 A Fontenay aussi nous avons un point de deal certes moins important pour l'instant mais qui est en train de s'enkyster au sein d'une copropriété située à proximité du RER Val de Fontenay... | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Un fil sur la police Sam 28 Avr 2018, 19:05 | |
| - Citation :
- Mais l'emplacement, à 400 mètres du métro, au pied du périph, de l'autoroute et d'une gare routière, a aussi tapé dans l'oeil des dealers. Poussés notamment par le démantèlement de trafics dans les villes alentour, expliquent les habitants, ils ont peu à peu pris possession de la cité.
Ici comme là-bas ? à Fontenay en effet, à 200 m de la gare RER et de l'autoroute, le démantèlement des trafics ailleurs pourrait bien faire empirer la situation. Notre maire s'exprime fort peu sur le sujet. Mais il devrait s'en préoccuper dès maintenant. Plutôt que d'en être réduit comme celui de Bagnolet, et son néo député insoumis, à multiplier les délégations après la bataille. Gouverner, c'est prévoir dit-on. | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 23 Mai 2018, 12:20 | |
| On me demande de faire tourner :
https://m.facebook.com/obertone.laurent/photos/a.344533002362372.1073741826.166660066816334/1041315916017407/?type=3&theater | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Dim 27 Mai 2018, 09:46 | |
| Policier agressé à Saint-Quentin: «À la cave comme le juif Halimi»PUBLIÉ PAR GAIA - DREUZ LE 27 MAI 2018 Plusieurs hommes ont été jugés pour avoir violenté et humilié un fonctionnaire de police de Tergnier dans un hall d’immeuble du quartier Europe. Pas facile de juger une affaire sereinement quand les prévenus prennent la parole à tort et à travers, comme ce mardi 22 mai au tribunal. Deux jeunes gens, un primo-délinquant de 23 ans, qui reconnaît sa responsabilité, et un multi-récidiviste de 25 ans, qui clame son innocence, comparaissent pour des violences contre un policier de Tergnier qui n’était, lors des faits, pas en service. « Je savais pas que c’était un flic, lance le premier. Quand on me l’a dit, je suis parti en courant. » Le 18 novembre 2015, la victime pénètre dans le hall du 22, rue Gustave-Eiffel, quartier Europe à Saint-Quentin. L’homme rend visite à sa tante. Il tombe alors nez à nez avec plusieurs individus qui traînent là, un joint au bec. L’un d’eux lance : « C’est un keuf ». Tous l’entourent, il reçoit deux coups de poing au visage, tombe, se relève, ils rient. « Les keufs, les juifs et les Français, on va tous les tirer à la kalach. » Ces derniers propos, c’est le troisième prévenu, absent à l’audience, qui les tient. Condamné une 17e fois à 4 mois de prison ferme, l’homme de 27 ans l’est aussi pour avoir ajouté : « À la cave comme le juif Halimi ». Après les coups et les menaces, le visiteur est contraint à baisser son pantalon, ce qu’il fait, avant d’être autorisé à le remettre. La scène dure « une bonne demi-heure », ainsi que le rappelle la présidente Moussouni en résumant le dossier.Devant celle-ci, le prévenu assumant les violences, pour lesquelles il écope de 4 mois de sursis, les justifie de manière confuse. « Il est venu dans le bloc, il était pas de là. Il puait l’alcool, il tenait des propos incorrects, je voulais pas lui parler, on s’est mal parlé. Je lui ai mis deux coups, c’est vrai que c’est moi qui commence. Moi, j’étais là tout seul, assure-t-il après avoir dit l’inverse en procédure, c’est déjà bien que j’assume mes actes. » À son côté, son co-prévenu pour avoir bloqué la porte lors de l’altercation et usé de violence se retient d’exploser. Pour la énième fois de l’audience, à tel point que la présidente le menace d’expulsion du prétoire, il réfute avoir même été sur place. « J’ai l’impression que vous voulez tout mettre sur moi. Notre parole, c’est du vent. » Après la plaidoirie de son avocate, il se lance dans une ultime défense non dénuée d’une certaine éloquence. Peut-être a-t-elle convaincu ses deux juges, ils le relaxent.Source : Aisnenouvelle ---------------- Si le policier avait été doté de tablette rien ne serait arrivé !
NB on ne sait rien de l'identité des mis en cause y compris des condamnés... sans doute des fachos d'une droite très extrême réacs antisémites patentés | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Dim 27 Mai 2018, 18:59 | |
| Marseille : cortèges hostiles autour de la police.
La sénatrice, Samia Ghali, a dévoilé hier sur CNEWS une vidéo montrant une voiture de police coursée par des dizaines de deux-roues sur le parking du centre commercial du grand littoral à Marseille (XVe arrondissement). Pour la sénatrice des Bouches-du-Rhône, cette scène filmée il y a un mois n’a rien d’inhabituel et fait partie de la vie quotidienne des forces de l’ordre dans la cité phocéenne.
http://cache.cnews.fr/france/video/marseille-corteges-hostiles-autour-de-la-police-189239# https://www.dailymotion.com/video/x6k4ymn | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Dim 27 Mai 2018, 19:03 | |
| Peut être un début d'explication aux : difficultés de recrutement malgré la pub vagues de démissions dans les écoles de police aux démissions dans les services à la démobilisation des troupes aux arrêts maladie aux suicides...
Pas grave avec les tablettes et la police de proximité tout va renter dans l'ordre.
le gendre idéal bramera qu'il est le chef et tout rentrera dans l'ordre... même le ministre de l'intérieur n'y croit plus et est à la dérive.
On remarque que les magistrats sont d'une discrétion remarquable contrairement à l'habitude... ils se contentent de laisser la situation évoluer selon l'état dit de droit avec le secours notable des instances européennes. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 30 Mai 2018, 07:36 | |
| Toulouse : quand des jeunes cagoulés chassent la police d'un quartier Par Auteur valeursactuelles.com / Mardi 29 mai 2018 à 21:58 12
Incohérence. Dans la nuit de lundi 28 à mardi 29 mai, la police a tenté de procéder à un contrôle de police dans un quartier de Toulouse. Elle a finalement dû fuir face à une trentaine de jeunes cagoulés.
Comme le rapporte La Dépêche, un véhicule a pris la fuite, dans la nuit de lundi 28 à mardi 29 mai, afin d'échapper à un contrôle de police dans le secteur des Ormeaux, à Toulouse, conduisant les policiers à se lancer à la poursuite du fuyard. Ces derniers se sont finalement retrouvés acculés, jusqu'à quitter les lieux.
Un « contexte de plus en plus hostile et violent » Entre temps, l'homme avait échappé à pied aux agents, abandonnant son véhicule. Les policiers se sont alors retrouvés face à une trentaine de jeunes du quartier cagoulés, lesquels leur lançaient des projectiles. Certains sont même allés au « contact direct » des forces de l'ordre, précise France 3 Occitanie. De son côté, le syndicat Unité SGP a de nouveau dénoncé le « contexte de plus en plus hostile et violent, caractérisé par d’insupportables et récurrentes offensives physiques » que doivent affronter les policiers de Toulouse.
---------------------
Je ne suis pas certain que le "renfort" de jeunes policiers de proximité équipés de la tablette réglementaire sera la réponse la mieux adaptée à ce genre de situation...
heureusement le ministre sait... | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 30 Mai 2018, 17:51 | |
| Suicides chez les forces de l'ordre : la crainte d'une nouvelle année noire
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/30/01016-20180530ARTFIG00223-plus-de-trente-suicides-chez-les-policiers-et-les-gendarmes-depuis-le-debut-de-l-annee.php | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Sam 02 Juin 2018, 06:27 | |
| Une attaque armée contre la police déjouée
/ Vendredi 1 juin 2018 à 13:0717
L’interpellation en milieu de semaine de deux individus armés – sans lien pour le moment avec une quelconque radicalisation - dont l’un souhaitait « faire un carton sur les flics », montre une nouvelle fois, que les policiers et les gendarmes sont les premiers visés par les organisations terroristes et criminelles.
D’après nos informations, les gendarmes de Behren-les-Forbach (Moselle) ont reçu un signalement le 29 mai à 15h30 d’une personne les informant qu’un habitant de la ville de Forbach avait l’intention de « faire un carton sur les flics », après avoir acquis une arme de poing et des munitions. D’après ses dires, l’homme est sorti de prison fin 2017. Immédiatement, les gendarmes parviennent à identifier l’individu, connu pour une quarantaine d’implications dans des affaires de stupéfiants et bien identifié par le renseignement territorial (RT).
Un individu dans l’appartement
Interpellé dans la soirée par des agents de la BAC, l’homme est placé en garde à vue. Pendant qu’ils maintiennent une surveillance aux abords de l’immeuble de la personne interpellée, les policiers aperçoivent une présence humaine dans son appartement. Etant parvenus à arrêter cette personne, ils saisissent une trentaine de cartouches de calibre 9mm.
Après avoir décliné son identité, ils s’aperçoivent que ce deuxième homme, âgé de 45 ans, est bien connu de la police pour des vols, violences et implication dans des trafics de stupéfiants. L’homme n’est en revanche pas connu du RT. Dans l’appartement du premier suspect, ils mettent la main sur une mallette, vide, censée contenir une arme de poing « Norinco », deux couteaux de chasse, un couteau à désosser, six magazines sur les armes, un morceau de résine de cannabis, 38 plaquettes de Subutex, sept téléphones portables et 19 sachets de conditionnement.
Certaines sources dans les services de police font aussi état de la découverte au domicile du premier homme de photos de policiers avec des annotations mentionnant les heures de relève. Des allégations démenties par la Place Beauvau. Saisi immédiatement, le Procureur de la République de Sarreguemines a ouvert une enquête, confiée à la police.
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Attendons la suite judiciaire de ce dossier... | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Un fil sur la police Mer 06 Juin 2018, 21:10 | |
| Calais : une station-service Total prise d’assaut par des migrants, un policier blessé
Info VA. Les migrants ont jeté des pierres sur les forces de l’ordre. Un agent, touché à la tête, a été évacué à l’hôpital.
Une trentaine de migrants ont pris d’assaut la station-service Total Marcel Doret, à Calais, dans le Pas-de-Calais, ce mercredi, et blessé un policier, selon nos informations.
Les forces de l’ordre, qui ont essuyé des jets de pierres, ont dû user de gaz lacrymogènes et de grenades à main pour se dégager de leurs agresseurs. Un fonctionnaire, blessé à la tête par un pavé avec plaie ouverte et perte de connaissance, a été évacué à l’hôpital.
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rien à signaler situation normale ! on s'inquiétera si un abruti flanque le feu aux pompes... peut être...encore que l'on trouvera sans doute une excuse | |
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| Sujet: Re: Un fil sur la police | |
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