Jupiter s’occupe des personnes agées.

Notre Jupiter national qui actuellement remet la France en marche avant de s’occuper s’il a un moment du reste du monde a quelques idées sur la manière de traiter les « seniors »

On ne dit plus les vieux, le troisième âge (il y en a un quatrième) ou les anciens.

Les seniors sachons le ont de l’argent et coutent cher.
De manière surprenante après 40 années de travail ils ont plus souvent des moyens que n’ont pas les gens qui débutent dans la vie active.
De manière toute aussi surprenante étant âgés ils sont plus fragiles et donc plus souvent chez le médecin. Résultat ils coutent cher.

Ceci étant un « senior » va impacter l’économie nationale de plusieurs manières.
Essayons de faire le tour de la question et voyons comment redresser l’économie nationale.
IL faudrait lui poser une hanche artificielle, on ne le fera pas, a-t-il dans sa situation besoin de gigoter ? d’abord il ne bosse plus…
Est il touché par la cataracte pas besoin de l’opérer, ne se déplaçant plus il n’a plus besoin de voir clair, il ne lira pas puisqu’il a la télévision…
Ne pouvant se déplacer et voyant mal conséquence : il ne conduira plus donc plus de bouchons et moins de pollution c’est la danseuse de flamenco qui va être contente.
Ses enfants étant adultes et parfois un des conjoint ayant quitté ce monde il n’a plus besoin de son pavillon de 5 pièces… on va donc lui en laisser une et mettre une ou deux familles de migrants chez lui pour lui tenir compagnie et ainsi faciliter le vivre ensemble tout en résolvant  la question du logement !
Il y a bien pour certains incontinents un problème de fuites que l’on traitera par une dotation périodique de couches plus économique que l’opération ou le suivi médical.

La situation de notre « senior » étant actualisée selon les « norme technocratiques macroniennes » il n’a plus besoin de tout l’argent que l’on lui verse donc on pourra après lui avoir confisqué ses économies et sa pension lui verser une « allocation nationale de vie » fixée par l’état qu’il recevra si le logiciel comptable fonctionne et si les banques le veulent bien.

Ce n’est pas de la politique fiction mais une simple anticipation de la situation future…

En espérant ne pas être par un optimisme béat en dessous de la vérité.

NB : c'est de la pure fiction christobalienne, pas besoin de chercher l'auteur... je laisse à ceux qui en ferait un morceau d'anthologie le droit d'en disposer à leur convenance.

+1

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Dans notre modèle économique qui tend vers l'optimisation et la performance  les seniors seront un poids éliminer.

Pour fixer les idées lire l'intervention d'Alain MINC énarque, référence économique et sociale de nombre de nos dirigeants... lui aussi membre de la galaxie occulte et non élue qui veut diriger le monde. (ils y arrivent assez bien d'ailleurs)


http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2010/05/08/2065684_pour-alain-minc-les-depenses-de-sante-des-tres-vieux-sont-un-luxe.html

Pour Alain Minc, les dépenses de santé des "très vieux" sont un "luxe"
08/05/2010 à 12h12 - mis à jour le 13/05/2010 à 18h49 | vues | réactions

Invité de l'émission "Parlons Net", sur France-Info, Alain Minc a évoqué le problème de l'assurance maladie. Et pour règler "l'effet du vieillissement' sur les comptes de la Sécu, il a une solution toute simple, qu'il qualifie de "progressiste" : faire cracher au bassinet les "très vieux".
Pour illustrer son propos, le conseiller de Nicolas Sarkozy évoque une anecdote personnelle : "J'ai un père qui a 102 ans. Il a été hospitalisé 15 jours dans un service de pointe. Il en est sorti. La collectivité française a dépensé 100.000€ pour soigner un homme de 102 ans. C'est un luxe immense, extraordinaire pour lui donner quelques mois ou quelques années de vie".
Et de poursuivre qu'il trouve "aberrant" que l'Etat "m'ait fait ce cadeau, à l'oeil".

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Ceux qui n'ont pas les moyens de payer ou dont la famille n'est pas riche qu'en fera t on ?

Nul doute que les z'énarques z'humanistes ont des solutions...

Ci dessous commentaire d'un intervenant à propos de la prestation d'Alain MINC.

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Mon opinion:
Comment un homme aussi intelligent qu'Alain Minc peut-il en arriver à profèrer une telle monstruosité et de la qualifier de "progressiste" alors qu'il s'agit d'une régression sans nom ?
Monstruosité, mais pourquoi ? Et bien parce qu'Alain Minc ne s'interroge que sur la santé des "très vieux". Donc, pour lui, quand on est "très vieux" (selon des critères qui restent à définir, 90 ans, 100 ans, 70 ans comme en Angleterre ?), on n'est plus un homme ou une femme comme les autres, puisqu'on n'a plus droit à la solidarité nationale. Cela rompt avec le principe d'égalité.
Ensuite, pour lui, dépenser 100.000€ pour un homme de 102 ans est un "luxe immense". Si on suit sa logique, pour un homme de 40 ans, c'est normal, mais pour quelqu'un qui est plus proche de la sortie que de l'entrée, ça devient contestable. On vaut davantage parce que l'on est encore productif ? Faut-il un barème dégressif de remboursements selon l'âge ? La vie vaut-elle moins d'être vécue quand on a 100 ans passé ?
Et quid des "très vieux" pauvres qui n'ont pas eu la prévoyance d'avoir une progéniture mieux dotée qu'eux ? Ceux là on les soigne ou pas ? Ce serait faire offense à Alain Minc que d'imaginer qu'il ne voudrait pas qu'on les soigne, donc il faudra définir à partir de quel niveau de revenus on est ponctionnable sur la santé de ses parents qui n'ont pas compris qu'il est de très mauvais goût de survivre plus de 10 ans à sa retraite...
Si cette proposition aberrante était reprise -mais je doute qu'aucun politique ne mette le doigt dans cet engrenage infernal- cela constituerait une brèche irrécupérable dans le principe même de la sécurité sociale universelle.
Il y aurait les "bons malades" remboursés et les "mauvais malades" pas remboursés. On commence par les "très vieux", on poursuit par les handicapés, on continue par les fumeurs ou les obèses et on fini avec la mort de la sécu et le champ libre ouvert aux assurances privées. "Progressiste" ?

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Il est vrai que l'on fait maintenant plus grand cas de ceux qui n'ont rien fait pour le pays dans lequel il s'installent ou imposent leur présence ainsi que celle de leur famille sans rien lui apporter que pour ceux qui y ont trimé...

un avis d'experts de l'Assurance-Maladie. Car tout est calculé.

22.000 euros : le coût pour la Sécu de la dernière année d’une vie
" une autre question mérite d’être posée, même si elle est très délicate : le coût des soins apportés aux personnes en fin de vie.
Selon une enquête réalisée par des experts de la Cnamts et publiée l’an dernier dans la Revue d’épidémiologie et de santé publique, les remboursements de la dernière année de vie d’un individu s’élèvent en moyenne à 22 000 euros environ. Logiquement, les dépenses hospitalières (15 000 euros) constituent le plus gros des dépenses, le reste provenant des soins en ville, comme les honoraires médicaux (1 100 euros) ou les frais de pharmacie (2 250 euros)."

" A noter que les montants diffèrent beaucoup, selon la gravité des pathologies soignées. Pour les cancers, par exemple, ils dépassent presque toujours 30 000 euros. En revanche, ils n’excèdent guère 20 000 euros pour les maladies cardiaques.
S’appuyant sur des statistiques datant de 2008, l’étude souligne enfin qu’à lui seul, le dernier mois d’une vie correspond à 28% des remboursements de la dernière année. En revanche, la croyance selon laquelle ces ultimes instants constituent une part très élevée des dépenses de l’assurance maladie est à relativiser : elles n’en représentent que 10,5%."
http://www.capital.fr/economie-politique/22-000-euros-le-cout-pour-la-secu-de-la-derniere-annee-d-une-vie-943939

Dernière phrase ci-dessus, pas clair si les 10,5% sont pour les soins de la dernière année, ou du dernier mois de vie.
Besoin de se remonter le moral ? La phrase qu'il faut :

" La dernière année de vie d'un assuré maladie coûte en moyenne aussi cher que toutes les années précédentes cumulées. Parler argent en fin de vie, le débat est tabou mais urgent, d'autant plus que de nouveaux traitements, efficaces mais hors de prix, risquent à l'avenir d'alourdir encore la facture."
(TV5 Monde. Mardi 17 octobre à 01h02)

La bonne nouvelle,    pour économiser pas besoin d'un âge-couperet (ou guillotine) pour tou(te)s, puisqu'il suffirait de raboter juste la dernière année de vie, ou juste le dernier mois. Mais alors, comment connaitre, un an avant, la date "naturelle" de fin de vie ?
Il suffit de demander à Alain Minc, spécialiste en tout ; mais que l'on pourrait soupçonner de conflit d'intérêt : être un peu pressé de passer du statut fils affligé à celui d'héritier direct ...

A rapprocher du sujet de thèse du Nobel d'économie...

Citation :

Richard Thaler, un prix nobel d'économie mal élevé

Publié le 9 octobre 2017

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Le prix d'une vie

Sa thèse portait sur un sujet qui peut sembler macabre : la valeur d'une vie humaine. La question peut sembler choquante en elle-même mais constitue un problème important de politique publique. Comme le suggérait Thomas Schelling, postez en novembre dans le journal la photo d'une petite fille atteinte d'un cancer qui va mourir en disant que dépenser un million de dollars permettrait de prolonger sa vie jusqu'aux fêtes de noel, et les dons vont affluer. Par contre, annoncez qu'il faut augmenter les impôts locaux pour acheter dans le même hôpital une machine de nettoyage qui coûte un million de dollars et permettrait de réduire de 5% le nombre de maladies nosocomiales dans cet hôpital et donc sauvant plusieurs vies par an, les réactions ne seront pas les mêmes. Dans les perceptions collectives toutes les vies sauvées ne se valent pas. Mais pour les politiques publiques, il faut faire des choix. L'idée pour choisir est la suivante: identifier ce que les utilisateurs seraient prêts en théorie à payer pour réduire la mortalité. Par exemple, supposez qu'on construire une autoroute, et que l'on propose à ses utilisateurs soit de devoir y payer un péage de 10 euros, ce qui permettrait de disposer d'équipements de sécurité réduisant le nombre d'accidents à 10 par million de véhicules; ou un péage de 100 euros qui réduit le nombre d'accidents à 9 par million de véhicules. Il est plausible que la première option serait préférée, ce qui permet d'identifier le "prix d'une vie" et de prendre des décisions. Les méthodes identifiées pour ce calcul dans sa thèse par Thaler sont encore utilisés aujourd'hui en décision publique - "le prix d'une vie" est environ aujourd'hui de 7 millions de dollars.
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http://blog.francetvinfo.fr/classe-eco/2017/10/09/richard-thaler-un-prix-nobel-deconomie-mal-eleve.html

IL faut faire les comptes : avec l'arrivée non comptabilisée de nos migrants plus ceux que macron (enfin nous plutôt) allons recevoir il convient de limiter les frais.

On pourrait décider qu'à partir de 15 ans de retraite on perd son "droit à la vie" c'est bien dit n'est ce pas ?
L'intéressé (qui n'est pas du tout intéressé) serait convoqué dans un établissement spécialisé pour subir une purge générale  à la demande des écolos (comme les bagnoles à la casse qui sont "dépolluées") afin de ne pas souiller la planète après quoi on mettrait fin à son passage sur terre (c'est plus soft que de dire tuer)

On pourrait généraliser la mesure aux gens souffrants de tares diverses, aux non productifs (pas les chômeurs, les autres) , éventuellement on pourrait mettre dans le train quelques empêcheurs de penser en rond... liste à compléter le tout sous le contrôle de comptables d'état et d'énarques humanistes sélectionnés.

Curieusement l'idée me remet en mémoire mes cours d'histoire du siècle dernier... mais comme je suis un vieux non un senior je l'ai étudiée... l'histoire.

D'autres n'y ont pas eu droit, ou l'on oubliée (l'histoire) ce sont ceux qui crient en sautant comme des cabris (merci De Gaulle) "fachos, fachos..." sans savoir de quoi ils parlent mais en s'inspirant des méthodes.

tonton christobal a écrit:

On pourrait décider qu'à partir de 15 ans de retraite on perd son "droit à la vie" c'est bien dit n'est ce pas ?

Voilà qui va sérieusement diminuer l'intérêt de manifester pour partir plus tôt à la retraite...
Mais attention aux emplois fictifs ! Avec les lois actuelles, créer sa petite auto-entreprise (de longue vie) est presque à la portée de tous. Et le bénévolat, ça compterait pour avoir un bonus ?

Salamandre a écrit:

Voilà qui va sérieusement diminuer l'intérêt de manifester pour partir plus tôt à la retraite...
Mais attention aux emplois fictifs ! Avec les lois actuelles, créer sa petite auto-entreprise (de longue vie) est presque à la portée de tous. Et le bénévolat, ça compterait pour avoir un bonus ?

La loi étant passée ces détails relèveront des décrets d'application... les énarques (lorsqu'ils ne sont pas au gouvernement ou à la présidence) c'est fait pour aménager ce genre de chose.

Quand un litre de lait coûte moins cher que la crème fraîche... Et pourtant, ça se passe dans les maisons de retraite privées.
L'or gris entre 3 et 4 €

Les "z'humanistes" de gauche sont aux manettes !
L'homme qui murmurait à l'oreille de Mitterrand a des idées pour les retraités et les seniors.




Il fait un beau duo avec celui qui regrettait que l'on dépense trop pour soigner son  père...

Minc et Attali ceux qui se piquent de diriger le monde et de tracer le "cercle de raison" y compris contre le vote des peuples.

NB : Attali est un des parrains influents de macron... dormez tranquilles braves gens le bouillon de 11 heures est sur le feu.

En 1981 il avait 38 ans, cette année 74 ans. Qu'il applique donc ses grands principes à lui-même.

"Personne n'y a survécu" (sur le T-shirt)
On pourrait bien commémorer des retraités avec si peu de revenus qu'ils sont obligés de reprendre un travail. Et là, paf accident de travail !
Mais cela ne doit arriver qu'au Royaume-Uni, à ce jour ...

Salamandre a écrit:

"Personne n'y a survécu" (sur le T-shirt)
On pourrait bien commémorer des retraités avec si peu de revenus qu'ils sont obligés de reprendre un travail. Et là, paf accident de travail !
Mais cela ne doit arriver qu'au Royaume-Uni, à ce jour ...

Après les suicides de policiers et de gendarmes nous aurons les suicides de retraités... nous éviterons à Attali de prescrire les séances d'euthanasie.

La génération "sacrifiée" ?

Lorsque j'étais jeune je payais :
La vignette automobile pour les "vieux"
Je devais bosser le lundi de pentecôte toujours pour les "vieux"

Maintenant je suis vieux et je paye la CSG pour les "jeunes"

Pas de chance !
Désolé mais au bout du compte je ne vois pas trop les effets de la "nouvelle politique" de macron.

Jeune ou vieux tu casques !