Le nouveau PARIS... ville mondiale !

Que chacun se fasse son opinion... et on ne parle pas de la circulation automobile, des transports en panne ou en grève, mais tout va bien !

Ne pas perdre de vue que la "mairesse" de Paris préside l'association des "villes monde" je me demande si le "modèle français" plait au reste du monde...

On n'y peu rien, c'est le sens de l'histoire !

coufsur a écrit:

On n'y peu rien, c'est le sens de l'histoire !

votre fatalisme me révolte, c'est cela l'avenir que vous semblez accepter, désordre, saleté, surpopulation ....

Clovis a écrit:

votre fatalisme me révolte, c'est cela l'avenir que vous semblez accepter, désordre, saleté, surpopulation ....

c'est de l'humour ! pour faire ressortir la bêtise de ce genre de réponse, du même tonneau, on a aussi "on n'y peu rien, c'est le progrès"

Peut être serait il temps de lire "notre drame de Paris" c'est édifiant !

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Présentation de l'éditeur
Ce livre n est ni un réquisitoire.
Ce livre n est pas un règlement de comptes.
Ce livre n est pas une hagiographie.

C est bien pire que cela : une enquête.


Voilà donc la vérité sur l action d une élue qui rend invivable la vie quotidienne de dix millions d habitants de Paris et de sa région tout en prétendant l améliorer.
Cette femme cynique a cependant un talent : cet art de communiquer qui lui permet aujourd hui encore de masquer ses échecs. On s est presque habitué à ses prêches, de l injonction du « vivre ensemble » à l exaltation de « l impôt citoyen » !
Airy Routier, journaliste dont on se rappelle les biographies non autorisées sur Bernard Arnault ou Bernard Tapie, et Nadia Le Brun montrent l envers du décor, de la saleté croissante des rues à l organisation de la paralysie automobile.
La politique du logement, aussi provocatrice qu inefficace, l aveuglement face à l afflux des migrants, sans oublier une dette qui a doublé en quatre ans pour compléter le tableau : le bilan à mi-mandat apparaît déjà désastreux.
Ce qui fait peur, c est que la maire de Paris, Anne Hidalgo, n écoute plus personne, au point d inquiéter même le nouveau président de la République, qu elle déteste.

Entre récit et révélations, ce livre iconoclaste dit tout haut ce que bien des Parisiens pensent tout bas.
Biographie de l'auteur
Airy Routier est journaliste, spécialiste de l investigation, éditorialiste à Challenges. Il est l auteur de plusieurs best-sellers dont La république des loups, Le flambeur : la vraie vie de Bernard Tapie, et Vie et mort du banquier Stern.

Nadia Le Brun est journaliste et a écrit La dame de pique, biographie de Valérie Trierweiler

Prolifération de rats à Paris : la vidéo choc d’un éboueur

Preuve à l’appui, les employés de la Ville de Paris dénoncent la prolifération des rats dans la capitale. La mairie assure avoir pris la mesure de la situation.

La vidéo est impressionnante. C’est une masse de rats qui pullulent dans une benne à ordures de Paris. Les gros nuisibles gris s’amoncellent pour avoir leur part du butin du jour et sautent parfois sur les hautes parois de la poubelle.

La scène a été filmée le 9 décembre dernier sur les berges de Seine, entre le musée d’Orsay et le Pont Royal (Paris, VIIe) par David*, un des employés de la Ville de Paris, en charge de la propreté dans la capitale. Ce matin-là, les éboueurs doivent vider les bennes enfermées dans des cages cadenassées. Horreur en ouvrant l’une d’entre elles. Mais c’est loin d’être la première fois, assure David au Parisien : «Depuis un an, on constate une prolifération des rats dans tous les arrondissements qui bordent la Seine».

De quoi détériorer les conditions de travail des agents de la Ville. «Le matin, on y va à reculons», peste David qui déplore la situation «tant pour les Parisiens que pour les touristes, qui viennent visiter la plus belle ville du monde».

Si les employés de la mairie sont vaccinés avant d’entrer en fonction, ils redoutent «les attaques» de ces nuisibles et les maladies qui en découleraient. «Un collègue m’a raconté qu’un rat lui avait sauté à la gorge et un autre au bras», relate David qui reconnaît : «A ma connaissance, il n’y a pas eu de morsures pour le moment, mais on ne veut pas attendre qu’il y ait un drame.»
Alors les éboueurs appellent la Ville «à prendre les mesures pour éradiquer le problème» et les restaurateurs des berges de Seine à mieux se comporter. «Les restaurants ont une quinzaine de bennes à leurs dispositions, certains laissent tout de même des sacs poubelles à l’extérieur».

La mairie, de son côté, explique avoir connaissance du phénomène de ces rats «que l’on voit plus en plus dans l’espace public» et dont «les agents de la Propreté et des Espaces Verts sont les premiers témoins».



La suite : http://www.leparisien.fr/paris-75/rats-a-paris-la-video-choc-des-eboueurs-21-01-2018-7514433.php

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Heureusement la mairesse danseuse de flamenco va mettre bon ordre et ce d'autant qu'elle est la chefesse des villes monde de la planète.
On nous bassine avec l'écologie mais "en même temps" " on est infoutu d'assurer l'hygiène dans la capitale qui devient une ville du tiers monde.
On va avoir bonne mine avec les JO chez nous ! dans la capitale mondiale du tourisme...

Emmanuel Macron a reçu aujourd'hui 140 dirigeants de grandes entreprises mondiales.

Sheryl Sandberg, numéro 2 de Facebook
Mark Zuckerberg a créé Facebook, elle en a fait une entreprise rentable. À 48 ans, Sheryl Sandberg actuelle directrice des opérations du célèbre réseau social est classée 4e femme la plus puissante du monde par le magazine Forbes. . « Elle s’occupe du business, lui des produits » résumera une journaliste du Washington Post. Sheryl Sandberg mise sur la pub alors rejetée par les utilisateurs : Facebook devient rentable.

Lloyd Blankfein, patron de Goldman Sachs
Les subprimes puis la dette des états en Europe… Le nom de Goldman Sachs a éclaté dans l’opinion publique en 2008. Le PDG de la banque, Lloyd Blankfein est également apparu sur le devant de la scène avec l’image d’un banquier sans scrupule profitant de la crise pour s’enrichir. Après avoir été juriste, il rejoint Goldman Sachs et en prend la tête en 2006. Dans un entretien accordé à Challenges, le dirigeant revenait sur son parcours :"J’aimerais mieux qu’on me qualifie de résilient, ingrédient essentiel à la survie. Et je ne pense pas qu’il y ait grand monde qui puisse me refuser ce qualificatif. J’ai appris à la dure. Mais je suis toujours là".

Sundar Pichai, PDG de Google
En 2004 il entre chez Google et est chargé de différents produits phares comme la barre d’outils du navigateur. Le succès du navigateur Google Chrome lui permet de devenir vice-président. Il est repéré par Larry Page, fondateur historique de Google, "il a une grande expertise technique, un bon regard sur les produits, et un flair fantastique. C’est une combinaison rare, ce qui fait de lui un grand leader" avait-il expliqué à la chaîne Bloomberg en 2014. Sundar Pichai est finalement nommé PDG de Google en 2015.

Emmanuel Faber, PDG de Danone prônant la « justice sociale »
Son discours devant les élèves d’HEC en 2016 l’a révélé au grand public. Emmanuel Faber, 53 ans, a été nommé PDG du groupe Danone en décembre 2017 après 20 ans passés dans l’entreprise. Lui-même ancien élève d’HEC, il y tient un discours le 24 juin 2016 à contre-courant du politiquement correct. Revenant sur sa vie, il explique que la schizophrénie de son frère l’a emmené à visiter des bidonvilles dans le monde entier. Découvrant « la beauté de l’altérité » et « l’amitié des SDF » change de vision du monde. Emmanuel Faber en arrive à la conclusion « qu’après toutes ces décennies de croissance, l’enjeu de l’économie, l’enjeu de la globalisation, c’est la justice sociale. Sans justice sociale il n’y aura plus d’économie ».

James Quincey, à la tête de Coca-Cola Company
Âgé de 53 ans, cet Anglais est à la tête de la célèbre marque de soda américaine. Ingénieur électronique de formation, il a effectué la majeure partie de sa carrière au sein de Coca-Cola. Il accède au poste de PDG en 2016. Le Financial Times indique que Quincey souhaite accélérer les investissements de la marque dans les start-up dans le but de se diversifier.

Libellule, avec les 134 autres, vous allez bien tenir 1 mois, ça va être passionnant.

Le jour ou les grands investisseurs copains de choupinet vont avoir les rats de la danseuse de flamenco dans les pieds on va rire...

Plus de la moitié du gouvernement a été présenté dès 13 heures et sera présent jusqu’au dîner de ce soir pour épauler le chef de l’Etat dans cette opération séduction au timing opportun : plusieurs enquêtes montrent que les investisseurs étrangers ont une meilleure image de la France. Le gouvernement veut en profiter et, après la réforme du Code du travail et de l’allégement des indemnités de licenciement des traders, compte baisser l’impôt sur les sociétés de huit points d’ici à 2022 (25 % contre 33,3 % en 2017).

« Cela fait partie des signaux qu’il faut envoyer car beaucoup de décisions de chefs d’entreprise sont irrationnelles. Notre pays doit donner envie et l’image que renvoie le chef de l’Etat est un atout », explique au sujet de ce sommet Sylvain Maillard, député (LREM) de Paris et chef d’entreprise interrogé par Le Monde. « Il faut attirer les premiers de cordée, c’est ça qui compte, le retour de la France dans l’économie mondiale », affirme Bruno Roger-Petit, le porte-parole de l’Elysée.

Mais recevoir en grande pompe les patrons de multinationales comporte aussi des risques pour Emmanuel Macron : celui de donner du grain à moudre à ceux qui le qualifient de « président des riches » et celui d’être accusé de laxisme envers des patrons responsables de destruction d’emplois, de pollution, ou d’optimisation fiscale. Le sommet n’est pas ouvert aux médias.

Parant déjà les critiques, l’Elysée indique que dans son discours le président abordera « les trois défis majeurs auxquels nous sommes confrontés : l’accroissement des inégalités - le thème de Davos cette année - la lutte contre le dérèglement climatique et l’érosion de la biodiversité et la gouvernance mondiale, face à la montée des nationalismes et des extrémismes ».

Lorsqu’il était ministre de l’Economie, Emmanuel Macron avait déjà choisi les ors du palais de l’Ancien régime pour accueillir le « French Tech Discovery Tour ». Pendant une vingtaine de minutes, il avait incité, en anglais, les investisseurs étrangers et français à soutenir les start up françaises. « Entrepreneur is a French word », avait-il alors lancé devant un grand tableau dépeignant le passage des Alpes par l’armée du conquérant Napoléon Bonaparte.

Source extraits de 20 minutes

Lorsque l'opération séduction sera achevée nos investisseurs brossés dans le sens du poil découvriront la spécialité de la gauche bobo : les impôts surprises.

C'est servi en français sans interprète selon la tradition nationale "en même temps" que le café.
Lorsque l'état est condamné à rembourser un impôt illégal perçu l'année précédente, il revient sous forme de taxe l'année suivante.
Je ne suis pas certain que de tels errements s'oublient avec une grande bouffe même à Versailles... les hommes d'affaires d'envergure ont généralement de la mémoire.

Pour ce qu'il en est pour un chef d'état français de s'exprimer en France en anglais nous sommes dans l'inconvenant protocolaire... mais c'est évidement en accord avec le personnage dont le mépris de la populace locale est bien connu.
Dois je ajouter que de s'exprimer en français en utilisant un traducteur lorsque que l'on connait la langue de son interlocuteur est un avantage... le temps de la traduction est un temps supplémentaire de réflexion.
Notre président est si intelligent qu'il ne juge pas utile de perdre son temps à expliquer sa pensée à ses électeurs trop limités qu'ils sont pour comprendre sa pensée... avec les étrangers c'est différent il fait de la pédagogie en direct !

On touche le grotesque lorsque nos leaders nationaux qui se veulent mondiaux s'expriment en anglais en France entre Français... ce sont des cuistres !

Il fut une époque où nous avions au gouvernement une personne chargée de développer la francophonie, avec macron nous économisons un poste.
C'est symptomatique de la pensée politicarde mondialiste du personnage.

Source : constatations et réflexions personnelles

La capitale mondiale se déplace à Davos pour quelques jours. Macron y sera tout comme Trump. À suivre.

Passage obligé de la grande caravane internationale, calé entre les réunions des Nations unies (ONU), de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, le Forum économique mondial (World Economic Forum, WEF) de Davos, qui se tient du 23 au 26 janvier dans les Alpes suisses, cristallise autant de fascination que de répulsion. Que s’y passe-t-il ? Ce concentré annuel de dollars et de pouvoir présente une réelle utilité, assurent les habitués. Même les moins suspects de partialité.

donc macron égal trump !

Il est certain que l'on ne doit pas louper Davos (comme d'autres sauteries du même calibre) c'est à ces occasions et non lors des élections que se décide réellement le sort du monde, ça commence même à se savoir dans les sphères les moins informées.  

Salauds de conspirationnistes ! Il y en a même qui osent envisager que des élections françaises puissent avoir des cotés opaques... pour les ricains on sait surtout si c'est trump qui gagne.

Je note tout de même qu'il y a quelques années les chefs d'états sauvaient les apparences ils ne se déplaçaient pas personnellement dans ces cénacles... personne n'imagine De Gaulle allant écouter comme un bon élève ce type de conférenciers.
Maintenant on ne sauve même plus les apparences.

imaginer un chef d'état dans la situation d'un élève passant un concours devant un jury ou se justifier et défendre ses options dans un tel contexte qu'elle déchéance...

Donald Trump en visite en Suisse dans la petite station de ski huppée de Davos ! Le président américain participera au Forum économique mondial. C’est la rencontre des leaders de l’économie, l'épicentre de la mondialisation et du multilatéralisme. Pour Donald Trump, il s’agit d’une visite « business » mais qui met la Suisse en effervescence. Plusieurs manifestations contre sa venue ont déjà eu lieu à Berne. Et ce mardi, jour d’ouverture du forum, la mobilisation sera de taille, des manifestations sont annoncées à Zurich, Berne, Lausanne, Genève et Davos.

Macron ne semble pas mobiliser autant de contestations.

Pour macron il faut juste lui laisser un peu de temps...

Pour mobiliser des opposants son passé de gauche est un frein : on ne manifeste vigoureusement que contre les gens de droite c'est bien connu.

Comme les Suisses ne votent pas aux USA... je ne crois pas que trump va être bouleversé.

un article intéressant sur l'économie circulaire à Davos https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/davos-les-leaders-mondiaux-appeles-a-moins-gaspiller-les-ressources-planetaires-765739.html

Et un autre sur les rats à Paris
https://www.lci.fr/societe/les-rats-a-paris-faut-il-vraiment-en-faire-tout-un-fromage-2027054.html

Finalement les rats en nombre dans la capitale ne seraient pas un problème d'hygiène mais au contraire un indicateur fiable de la richesse des habitants de la ville qui ne les mangent pas comme lors du siège de Paris en 1870...

Lorsque l'on utilise un argumentaire stupide pour justifier un fait catastrophique on doit pouvoir au moins en souligner le ridicule.

Le rapport rat homme depuis très longtemps 1.7/1.

depuis aussi longtemps des épidémies... l'affaire part en vrille donc avouons le tout de suite :
Les rats dans Paris c'est parfait et on félicite la mairesse danseuse de flamenco... bravo ! à plus bobob !

D'ailleurs si on manquait de rats il faudrait en importer d'urgence !

les rats contribuent à nettoyer nos égouts.
https://www.nouvelobs.com/sante/20150225.OBS3311/non-les-rats-n-etaient-pas-responsables-de-la-peste-noire.html

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/a-paris-la-soi-disant-recrudescence-de-rats-est-due-aux-travaux-en-cours_1978380.html

tonton christobal a écrit:

donc macron égal trump !

..

Qui sait?
http://m.huffingtonpost.fr/2018/01/23/donald-trump-choisit-emmanuel-macron-pour-sa-premiere-visite-detat_a_23341377/

J'espère que trump ne va pas se vexer d'être envisagé comme un macron bis.

Si notre trump national pouvait traiter le chomage comme l'autre ce serait enfin une bonne nouvelle.

A propos on va doter chaque ménage parisien d'un couple de rats pour assurer la propreté dans les appartements... aujourd'hui le blocage du déconomètre est à l'ordre du jour.

S'il était vexé il n'inviterait pas Macron.

Les risques de vexation peuvent venir d'ailleurs...

Premier chef du gouvernement indien à faire le déplacement à Davos depuis 1997, M. Modi a eu la place d’honneur, celle du discours d’ouverture du Forum en séance plénière, devant une salle bondée. Il l’a mis à profit pour promouvoir l’image d’une Inde ouverte sur le monde et prête à y jouer son rôle, avec sa vision propre. « Nous devons construire un avenir partagé », a-t-il insisté, en déplorant le « manque de consensus » au sein de la communauté mondiale.

« Comme dans les familles, il peut y avoir des divergences », mais, « ici, les lignes de fracture sont plus profondes », a-t-il dit, et empêchent la « solidarité »essentielle pour affronter « les trois grandes menaces auxquelles fait face notre civilisation ».

Le changement climatique, d’abord. Alors que M. Trump a annoncé le retrait des Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat, le premier ministre indien a invoqué les textes anciens, Bouddha et Gandhi pour mettre en garde contre les attaques répétées contre « la Terre, notre déesse ». En cause, le consumérisme :

« Nous sommes passés d’une consommation fondée sur nos besoins à une consommation fondée sur la cupidité, ce qui a un impact négatif effrayant sur l’environnement. » La solution ne peut être trouvée qu’ensemble ; M. Modi a cité l’exemple de l’initiative lancée avec la France dans le domaine du solaire.

Le terrorisme est la deuxième menace. Il a jugé la troisième tout aussi grave : « Les pays se replient de plus en plus sur eux-mêmes. La mondialisation perd de son lustre. »Sans se poser en champion de la mondialisation, comme l’avait fait le président chinois, Xi Jinping, à Davos en 2017, le chantre du « make in India » a déploré les incertitudes sur la montée des barrières douanières, de nouvelles dispositions venant d’être prises par Washington concernant des importations de machines à laver et de panneaux solaires. « La réponse, a-t-il souligné, n’est pas l’isolement. »

Appelant à « une politique agile et alignée sur notre temps », le premier ministre indien a aussi demandé si des institutions comme l’Organisation des Nations unies et l’Organisation mondiale du commerce répondaient encore « aux aspirations de l’humanité et aux réalités d’aujourd’hui », en particulierdans le monde en développement.

Nous sommes dans la stratophère politico économique internationale bien loin des broutilles de rats qui infestent enfin non qui figurent parmi les points forts touristiques de la capitale...

Le rat parisien va entrer au patrimoine mondial de l'Unesco.

Même l'Inde et quelques autres pays vont nous demander de leur prêter nos rats pour ensemencer leurs capitales !

Gloire au rat parisien spécificité nationale que le monde nous n'a pas. Nous avons les graisses qui ne donnent pas de cholestérol et le rat français qui ne donne pas de maladie..., toujours l'exception nationale que le monde nous envie sans toutefois nous prendre pour exemple.

Nb la semaine va être joyeuse !

L'année dernière, le président chinois Xi Jinping était la star, mais cette année, tout le monde va sûrement regarder Macron comme le dirigeant clef de l'Occident", explique ainsi Antonio Barroso, analyste chez Teneo Holdings spécialiste de la zone euro, à la chaîne de télévision américaine CNBC. "Alors qu'en Allemagne, la chancelière Merkel est pieds et poings liés par la situation politique de son pays, Macron est clairement en train de se démarquer comme la figure stable de l'Europe. Il peut aussi montrer l'Europe telle que beaucoup de leaders dans la région veulent la montrer." Une Europe capable de concurrencer les Etats-Unis. Ou plutôt, de leur succéder, en adoptant une stratégie radicalement différente.

"France is back", affirme Emmanuel Macron à Davos
@ Fabrice COFFRINI / AFP

Le président de la République s'est exprimé mercredi dans un discours en anglais et en français pendant le forum économique mondial de Davos. Il a notamment exalté la grandeur de la France, au sein de l'UE et sur la scène internationale.

"Mon premier message, c'est que la France est de retour." Ou plutôt, "France is back", en version originale. Emmanuel Macron ne pouvait pas faire plus clair, mercredi, en fin d'après-midi, lors de son intervention au forum économique mondial de Davos. Le président de la République, qui s'est exprimé en anglais avant de passer au français, a mis en avant le rôle que la France avait à jouer sur la scène internationale, sans oublier de toujours l'inscrire dans un prisme européen.

L'Europe porteuse d'un "équilibre des valeurs". "La France est de retour au cœur de l'Europe", a poursuivi Emmanuel Macron. "Il n'y aura jamais de succès français sans succès européen." De fait, le président français est bien conscient qu'il ne peut rivaliser, tant économiquement que politiquement, avec des puissances comme les Etats-Unis ou la Chine qu'avec un cadre plus large et l'appui de ses partenaires européens. Il a donc ardemment défendu l'Europe, seul endroit au monde où, selon lui, "vous avez un équilibre entre les valeurs" que sont la liberté, la justice et l'équité. "Si je souhaite que la France trouve pleinement sa place dans la compétition mondiale, je pense que la condition, c'est que l'Union européenne soit plus forte et trouve une ambition."

"Plus d'ambition" pour l'Europe. Pour l'Européen convaincu qu'est Emmanuel Macron, "il faut une Europe plus forte si nous souhaitons éviter la fragmentation du monde". Le président français a prôné la conception d'une "stratégie sur dix ans" pour que "l'Europe soit un acteur social, scientifique, écologique" ainsi qu'une "puissance politique". "C'est ce que nous devons bâtir. Il nous faut plus d'ambition."

et "en même temps" c'est la pagaille à Calais
et le bordel dans les prisons françaises...
Le chômage grimpe, le déficit commercial est à la hausse...

macron donne des leçons !

sans compter les migrants dont on ne sait pas trop quoi faire et l'insécurité dans nos rues...
Le terrorisme n'est pas jugulé mais tout va bien !

Macron reçoit à Versailles et est le ténor de Davos... en même temps nous avons des rats dans les rues de Paris comme dans une ville du quart monde !

Tonton à la dent dure mais l'oeil vif. Ce serait intéressant qu'ill nous dise les solutions réalisables qu'il pourrait proposer

Lynxie a écrit:

Tonton à la dent dure mais l'oeil vif. Ce serait intéressant qu'ill nous dise les solutions réalisables qu'il pourrait proposer

Les solutions sont relativement simple, la première idée étant d'appliquer scrupuleusement nos lois lorsqu'elles existent.
La seconde idée seraient de revenir à des législations connues qui ont fait leurs preuves.
La troisième idées est de traiter les nouveaux problèmes avec de nouvelles règles.

Je vais faire simple :
Pour ce qui concerne nos prisons où les détenus sont en possession de téléphones, de drogue, parfois d'armes ou d'explosifs de rétablir les fouilles des visiteurs et celle des détenus après les visites.
Ce qui a un esprit logique semblerait assez judicieux.
Pour les détenus qui menacent les gardiens ou leur famille leur infliger de sanctions sérieuses...

Pour ce qui concerne notre déficit commercial on pourrait par exemple s'inspirer de ce qui se fait dans des pays européens de notre niveau qui ont des balances commerciales bénéficiaires... que ce soit en matière économique et fiscale ou pour ce qui concerne la qualité des produits finis.

En matière de traitement du chômage il est à noter que nous sommes parmi les pays européens supposés riches dans le peloton de tête... nous pourrions avantageusement nous inspirer de ce qui se fait chez nos voisins.

Pour ce qui concerne l'immigration et nos "étrangers en situation irrégulière" peut être serait il bon d'ajuster nos règles avec celles des pays voisins où visiblement il fait moins bon vivre en étant clandestin.

Il n'y a pas de grandes innovations mais lorsque l'on nous serine que nous devons faire ce qui se fait ailleurs pour le mariage homo la PMA ou la GPA nous pourrions dans d'autres domaines nous inspirer aussi de ce qui se fait ailleurs.

NB pour les rats il existe des services spécialisés pour les traiter, si en plus les rues sont propres généralement ils prolifèrent moins...

Oui vos solutions sont logiques. Pour le commerce extérieur on prend du retard. La bonne qualité est allemande et les prix concurrentiels sont espagnols.
Et les espagnols ne sont pas les seuls à nous battre.