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Forum d'échanges et de débats concernant les quartiers de Fontenay-sous-Bois (94120), la ville dans son ensemble, son environnement et sa gestion, ou des sujets d'intérêt général. |
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| Les élections municipales en 2020 ou 2021 | |
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+8Salamandre tonton christobal Basilics Robin vieux-breton goofyto8 Gérard Libellule 12 participants | |
Auteur | Message |
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Libellule
Messages : 15053 Date d'inscription : 23/01/2012
| Sujet: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Sam 30 Déc 2017, 03:23 | |
| Rappel du premier message :
WITT/VILLARD/SIPA
Vers un report des élections municipales en 2021 ? AUX URNES - Le gouvernement envisage de repousser les élections municipales, prévues en 2020, en 2021 et de les organiser en même temps que les élections régionales et départementales. Une hypothèse pas totalement dénuée d’arrière-pensées politiques.
Les maires vont-ils avoir une année de rab ? Le gouvernement étudie, selon RTL, l’éventualité de reporter d’un an les prochaines élections municipales. Initialement prévue au printemps 2020, elles pourraient finalement ne se tenir qu’en 2021… en même temps que les départementales et les régionales.
Plusieurs arguments évoqués par la radio poussent en tout cas l’exécutif à y réfléchir. Tout d’abord, en combinant ces trois scrutins, la participation a des chances d’être plus importante. Surtout, ce regroupement d’élections locales, bien souvent compliquées pour la majorité au pouvoir, permettrait au gouvernement d’éviter plusieurs débâcles successives. D’autant qu’intégrer des enjeux municipaux et régionaux au sein d’un seul et même scrutin pourrait également minimiser la portée nationale des résultats.
Localement, ce report présente également deux avantages. D'abord celui d’accorder une année supplémentaire aux collectivités locales pour parfaire leur fusion, sous l’impulsion du gouvernement. Mais également de donner un coup de pouce aux parlementaires qui envisagent de ne pas rempiler. En effet, alors que le gouvernement prévoit dans sa réforme constitutionnelle de diminuer le nombre de députés et de sénateurs, ce délai pourrait leur permettre de mieux préparer leur élection.
A noter qu'en 1995 et 2007, un report des élections municipales s'était déjà produit afin de ne pas perturber l'élection présidentielle. Contacté par LCI, le ministère de l’Intérieur, en charge des élections, indique qu'aucune décision n’est prise pour l’instant. "Il reviendra au Président de la République de s’exprimer sur le sujet le moment venu", nous précise-t-on. | |
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Auteur | Message |
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Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Ven 05 Juil 2019, 10:52 | |
| Que les partis nationaux s'occupent des élections sénatoriales, et donc des grands électeurs (dont beaucoup d'élus municipaux) il est très étonnant qu'Olivier Faure et Patrick Kanner s'en indignent, eux qui ne sont pas vraiment des perdreaux de l'année. Le problème qui en résulte, c'est vrai, est que les directions nationales de partis s'obstinent à intervenir dans les élections municipales, dans l'optique d'optimiser le nombre d'élus pour les élections sénatoriales. Et pas vraiment pour se soucier de l'intérêt des habitants de chaque ville. La vraie solution est de déconnecter les deux : élire les sénateurs au scrutin direct, régional ou (bi)départemental, à la proportionnelle. Chiche ? | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Ven 05 Juil 2019, 11:22 | |
| Le principe du coucou qui prend le nid des autres fontionne à plein régime.
Ce que macron a de remarquable étant qu'il s'attaque aussi bien à ses adversaires qu'à ses alliés...
Il ne reste qu'à attendre combien de temps une telle stratégie peut perdurer d'autant que le paltoquet échoue visiblement à satisfaire ses sponsors internationaux ( ceux qui l'ont porté au pouvoir) et que des ennuis risquent de survenir en France. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Ven 05 Juil 2019, 23:12 | |
| Brave new world (le « nouveau monde ») Publié le 5 juillet 2019 par maximetandonnet
C’est l’histoire d’une note interne qui a fuité, interne au cabinet du président de l’Assemblée nationale. Elle montre comment le parti du président de la République s’emploie à siphonner le parti socialiste (élus, sympathisants, électeurs) pour créer une force alliée au LREM qui se dénommerait « AGIR DE GAUCHE ». Cette pratique dénote toute l’hypocrisie du monde. Le parti soi-disant ni de droite ni de gauche, de fait, n’est rien d’autre que la réincarnation du parti socialiste dont le nom a changé, enrichi de quelques opportunistes qui ont vendu leur âme pour un maroquin. D’ailleurs, ce fait est confirmé par les jeux d’alliance aux municipales. La politique, l’esprit général sont identiques: augmentation des prélèvements, de la dette et des dépenses publiques, angélisme face à la violence et à la fragmentation du pays, désindustrialisation, réduction des frontières, communautarisme, augmentation des flux migratoires, mythe de l’affrontement eschatologique entre progressisme et populisme destiné à promouvoir le parti lepéniste et s’assurer ainsi de futures victoires électorales. Et la réforme de l’ISF, qui frappe le patrimoine immobilier mais exonère les placements financiers? Apothéose de la gauche caviar.
Le supposé « nouveau monde » tourne à la tartuferie nationale et viendra bientôt nous faire regretter l’ancien. Mais le plus triste, le plus tragique est de songer que cette formidable mystification continue de faire des ravages dans quelques rangs supposés éclairés.
Maxime TANDONNET | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mar 16 Juil 2019, 15:06 | |
| Dilemme "A l’objectif du « renouvellement » revendiqué par la base, le parti oppose celui de l’« efficacité »."
Municipales : les stratégies d’alliance de LRM contestées par la base La volonté du parti présidentiel de s’allier avec des maires sortants déplaît à de nombreux marcheurs, qui souhaitent des candidats autonomes et « un renouvellement ». Par Alexandre Lemarié
S’il s’agissait d’une organisation syndicale, on dirait qu’elle se retrouve « débordée par sa base ». Le concept s’applique parfaitement à La République en marche (LRM). A huit mois des élections municipales, le parti présidentiel rencontre une difficulté majeure dans la préparation de ce scrutin, essentiel pour Emmanuel Macron. Dans plusieurs villes, la volonté de la direction parisienne de nouer une alliance avec un maire sortant « Macron-compatible » – qu’il soit de gauche, du centre ou de droite – est contestée par une partie des « marcheurs », qui rechignent à suivre l’édile en place. Plutôt que de se ranger derrière un élu de « l’ancien monde », ces militants souhaitent le plus souvent porter leur propre projet. « Comme on travaille dessus depuis plusieurs mois, cela ferait vraiment mal au cœur de devoir tout mettre à la poubelle sur ordre de Paris », témoigne Jihan Chelly, référente dans le Loiret.
Ces adhérents macronistes, qui ont souvent rejoint le parti à sa naissance, en 2016, attendaient le scrutin municipal avec gourmandise. Après les législatives et les européennes, c’est enfin l’occasion d’obtenir un mandat local. Las ! Dans plusieurs endroits, ils font les frais de la stratégie « au cas par cas » du parti, qui consiste soit à présenter des têtes de liste LRM dans les villes où il existe une chance de l’emporter (Bordeaux, Perpignan, Toulon, Clermont-Ferrand ou Reims), soit à accorder le label de la majorité à des maires sortants, implantés et souvent favoris à leur réélection, issus d’autres formations. « A Marseille, Toulouse, Nice ou Montpellier, on ne gagnera pas avec les nôtres, donc il faut bien s’allier ! », résume un membre de la commission nationale d’investiture de LRM. Au grand dam de la base militante. « Beaucoup de marcheurs veulent poursuivre le dégagisme initié en 2017, et surtout une place pour eux, en étant élus », observe le chef de file des sénateurs LRM, François Patriat.
A Marseille, l’idée d’une alliance avec la droite provoque déjà des étincelles. Dès le 26 mars, les responsables des comités LRM ont validé de manière unanime le choix de partir en solo. Pas question de suivre l’avis du siège parisien, qui privilégie une alliance avec l’élue Les Républicains (LR), Martine Vassal, protégée du maire sortant, Jean-Claude Gaudin. Même scénario à Nice, où la base ne partage pas la volonté du parti de trouver un accord avec le maire LR sortant, Christian Estrosi. « Les marcheurs sont majoritairement favorables à une candidature autonome pour défendre le renouvellement des pratiques et en finir avec un fonctionnement clientéliste », affirme le député LRM des Alpes-Maritimes Cédric Roussel, qui s’est déclaré candidat à l’investiture de son parti, fin juin.
« Renouvellement » A Orléans, un accord avec le maire LR sortant, Olivier Carré, est également rejeté au nom du « renouvellement ». « Les professionnels de la politique élus depuis vingt ans doivent laisser leur place aux gens méritants de la société civile », tranche Jihan Chelly. Idem à Niort, où une grande partie des adhérents veut lancer « une démarche citoyenne, plutôt que de faire un accord d’appareil » avec le maire sortant radical, Jérôme Baloge. La greffe se révèle également compliquée à Montpellier avec le maire divers gauche, Philippe Saurel, ou à Tours, avec le radical, Christophe Bouchet. « Il y a une unanimité des marcheurs pour une candidature autonome », explique Philippe Peruchon, référent LRM d’Indre-et-Loire. « Dans de nombreuses villes, les référents se sont construits seuls, de manière locale et autonome, analyse le député LRM de Haute-Vienne Jean-Baptiste Djebbari. Le mouvement, lui, a une vision nationale. Cela peut parfois créer des conflits de légitimité. » ../..
Dernière édition par Salamandre le Mar 16 Juil 2019, 15:11, édité 1 fois | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mar 16 Juil 2019, 15:07 | |
| ../.. A Toulouse et à Angers, la base macroniste met en avant un problème de « valeurs ». Elle reproche aux maires LR, Jean-Luc Moudenc et Christophe Béchu, avec lesquels le siège espère s’entendre, de compter dans leurs équipes des membres de Sens commun, le mouvement né en opposition au mariage pour tous. Une ligne rouge pour les militants et les élus locaux. « Le rassemblement des progressistes ne pourra se faire qu’avec des personnes partageant nos valeurs », prévient le député LRM de la Haute-Garonne Mickaël Nogal, qui « réfléchit » à se présenter face à M. Moudenc. Même souci à Angers, où la base et des élus, comme la députée Stella Dupont, refusent de s’allier avec le maire s’il conserve dans son équipe des proches de Sens commun. Question de sensibilité politique aussi. « Les comités locaux se construisent très souvent en opposition à la mairie. Quand un maire est de droite, le comité local a plutôt tendance à être de gauche », observe le député LRM de Gironde Florent Boudié. Résultat : à Marseille, Nice, Angers ou Toulouse, nombre d’adhérents, qui penchent plutôt à gauche, disent ne pas vouloir se ranger « derrière la droite ». L’inverse se vérifie également. A Dijon, où ils veulent reprendre la mairie au socialiste François Rebsamen, les « marcheurs » sont majoritairement de droite.
La crainte de départs massifs Autant de cas où plane le risque de candidatures dissidentes. A Nice, par exemple, M. Roussel se dit « déterminé » et ne s’engage pas, pour l’instant, à se désister si LRM trouve un accord avec M. Estrosi. A Marseille, le député macroniste Saïd Ahamada a annoncé début juin sa candidature. A Niort et Orléans, des dossiers pour une candidature autonome, avec un projet et une liste, sont déjà en préparation… Dès lors, comment le siège va-t-il imposer sa stratégie d’alliance face à ces velléités locales ? « S’il y a des dissidences, des exclusions automatiques seront prononcées », assure Stanislas Guerini, le délégué général de LRM, comme prévu à l’article 33 des statuts. Si certains dirigeants redoutent des départs massifs, la crainte principale reste une démobilisation des militants lorsqu’il s’agira de mener campagne pour le sortant. « Il se peut qu’on manque de forces sur le terrain, avec moins de tracts distribués… », grimace un cadre.
A l’objectif du « renouvellement » revendiqué par la base, le parti oppose celui de l’« efficacité ». A savoir la nécessité de gagner des villes en 2020. « Partout où l’on peut mettre des macronistes, on le fait. Mais on ne veut pas les envoyer dans le mur avec une défaite humiliante », explique un membre de la commission d’investiture. Disant vouloir privilégier « le travail collectif réalisé par les marcheurs », M. Guerini et son adjoint, Pierre Person, s’efforcent de trouver un équilibre entre leur souci d’investir des purs macronistes et la nécessité d’enrôler des candidats expérimentés, même s’ils viennent d’un autre parti. Sans trop fâcher leurs troupes. « LRM est un mouvement jeune qui n’a pas accumulé d’expérience sur la gestion des conflits internes au niveau local, analyse Bruno Cautrès, chercheur au Cevipof. Sa principale difficulté sera de justifier devant ses marcheurs pourquoi il s’allie avec la droite dans certaines villes et avec la gauche dans d’autres. » Avant de conclure : « A terme, la question de la cohérence se pose. »
https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/07/16/municipales-les-strategies-d-alliance-de-lrm-contestees-par-la-base_5489830_823448.html
"La crainte de départs massifs" : La probabilité est forte que nombreux soient les adhérents (actifs) actuels motivés par la perspective d'être élus au Conseil municipal, autant que le risque que nombreux soient ceux dépités par le fait de ne pas l'être. En cas d'alliance comme en cas de défaite... | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mar 17 Sep 2019, 16:13 | |
| Municipales 2020 : l’UDI dévoile sa stratégie et ses chefs de file en Val-de-Marne par Florent Bascoul, le 12.09.2019 Une semaine après son université d’été nationale, l’UDI Val-de-Marne a présenté sa stratégie pour les élections municipales et ses premiers chefs de file en Val-de-Marne. La formation de centre-droit, qui compte une centaine d’élus municipaux, ambitionne d’être présente dans toutes les villes, avec des têtes de liste ou des partenaires. « Nous sommes pragmatiques. Quand le mandat s’est bien déroulé et que les élus centristes y ont pris part, il n’y a pas de raison de changer de partenaires. Nous n’allons pas nous renier », explique le sénateur Laurent Lafon, citant Saint-Maur-des-Fossés, Maisons-Alfort, Saint-Mandé ou Chennevières-sur-Marne.
Dans les villes où les élections s’annoncent particulièrement disputées, comme Villejuif, l’UDI a été aux responsabilités au cours de ce mandat, Laurent Lafon rappelle son soutien à l’équipe sortante. Par rapport à 2014, l’équation est toutefois différente. A cette date, la droite avait davantage le vent en poupe et les trois partis de la droite et du centre, LR, UDI et Modem avaient fait alliance partout. Cette fois, il faut compter avec La République En Marche qui s’est affirmée lors des élections européennes. Et avec un Modem qui fait partie de la majorité présidentielle et est donc un allié naturel de LREM.
« Jusqu’à maintenant il s’agissait d’échéances nationales. Cette fois-ci, l’élection se déroule au plan local, autour d’une vision pour les dix ans à venir d’une commune. A Vincennes, nous sommes prêts à accueillir des partenaires avec lesquels nous pourrons nous retrouver sur un projet ainsi que le rôle des élus », explique Charlotte Libert-Albanel, maire de Vincennes investie par l’UDI. « Il faut que LREM intègre dans son raisonnement qu’elle ne gagnera pas seule. La seule logique partisane les mènera à l’échec », avertit Laurent Lafon. Les discussions avec les autres formations politiques devraient se poursuivre jusqu’en octobre.
Côté programme, l’UDI affiche trois priorités : la sobriété budgétaire, l’environnement et la lutte contre les inégalités sociales.
2 des 7 premiers chefs de file UDI en Val-de-Marne Fontenay-sous-Bois : Gildas Lecoq. Vincennes : Charlotte Libert-Albanel
Dans les villes où l’UDI se trouve dans l’opposition ou désapprouve l’action de la municipalité, le mouvement appelle à un large rassemblement. « Si nous avons remporté des villes comme Villejuif, Limeil-Brévannes ou L’Haÿ-les-Roses, les divisions nous ont coûté Choisy-le-Roi et Fresnes lors des dernières municipales. Cette fois-ci, nous avons l’opportunité de gagner à Champigny-sur-Marne, Fontenay-sous-Bois ou Vitry-sur-Seine. Il faut faire passer les valeurs avant les réflexes partisans et les questions d’égo et appeler tous les partis de LR jusqu’à EELV à se réunir », invite Laurent Lafon, considérant cette échéance électorale comme le premier tour de la départementale.
Les municipales sont aussi le passage obligé des sénatoriales puisqu’elles pourvoient le plus gros stock de grands électeurs. Cette équation, tous les élus de la haute chambre l’ont en tête même si personne n’évoque trop ouvertement ce calcul. « Nous avons vocation à être présent à toutes les élections qui vont suivre ces municipales mais il peut se passer beaucoup de chose avant 2023 (date des prochaines élections sénatoriales dans le Val-de-Marne). Aujourd’hui, l’horizon raisonnable en politique, c’est deux ans », tempère Laurent Lafon.
https://94.citoyens.com/2019/municipales-2020-ludi-devoile-sa-strategie-en-val-de-marne,12-09-2019.html | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Lun 06 Jan 2020, 11:24 | |
| C’était il y a 3 mois, déjà. Et maintenant ? Et à Fontenay ? - Citation :
- La République en marche craint la déroute aux élections municipales
Les premiers sondages, défavorables, poussent le parti présidentiel à renoncer à certaines grandes villes et à nouer des alliances avec les maires sortants. Cédric Pietralunga et Alexandre Lemarié. Publié le 09 octobre 2019
Des ambitions revues à la baisse. Au lendemain des élections européennes, les dirigeants de La République en marche (LRM) rêvaient d’une vague macroniste lors du scrutin municipal de mars 2020, en nourrissant des espoirs de conquête dans plusieurs grandes villes, comme Paris, Lyon ou Marseille. Cinq mois plus tard, le discours a changé. Les stratèges de la formation présidentielle se montrent beaucoup moins enthousiastes, et envisagent désormais peu de victoires dans les métropoles. « C’est le paradoxe de la Macronie : on va être faibles là où se trouvent la majorité de nos électeurs », observe un responsable du parti. Ces dernières semaines, l’équation s’est sérieusement compliquée à Paris, par exemple, où les chances de l’emporter de Benjamin Griveaux se sont amoindries du fait de la dissidence de Cédric Villani. A Lyon, la perspective d’un duel fratricide entre Gérard Collomb et David Kimelfeld n’est toujours pas écartée.
A Bordeaux, LRM et son allié MoDem soutiennent des candidats différents, tandis qu’à Marseille, le parti n’a toujours pas validé sa stratégie ni trouvé le bon candidat. Sans parler de Lille, Rennes ou Nantes, où les chances de l’emporter face à l’édile sortant socialiste paraissent bien minces… « On sait qu’on va prendre une claque dans les grandes villes, soupire un dirigeant. Il faut limiter la casse, en gagnant Strasbourg sous nos propres couleurs, et Montpellier, Toulouse et Nice grâce à des alliances. » Les premiers sondages donnent des sueurs froides aux macronistes : à Reims, leur candidat ne récolterait que 6 % au premier tour, contre 53 % pour le maire Les Républicains sortant, selon un sondage IFOP diffusé début septembre. Même scénario à Saint-Etienne (7 % contre 43 %) et à Caen (8 % contre 44 %). « Le dégagisme est toujours à l’œuvre dans la société, mais comme LRM est aujourd’hui le parti majoritaire, il est considéré comme faisant partie du système, estime Jérôme Fourquet, directeur du département opinion à l’IFOP. Il ne devrait donc pas y avoir de vague macroniste aux municipales, mais plutôt une prime aux sortants. »
Les élus de la majorité anticipent une lecture médiatique défavorable des résultats, au soir du second tour. Avec le risque d’avoir « une carte de France avec quasiment aucun drapeau En marche qui flotte sur les grandes villes », craint un député. Pour éviter ce scénario noir, un proche du chef de l’Etat juge que le parti aurait dû assumer de « faire l’impasse » sur le scrutin municipal, plutôt que de risquer une déroute potentiellement handicapante en vue de la présidentielle de 2022. Ces dernières semaines, un argumentaire s’est donc imposé à LRM : la conquête des grandes villes ne serait plus une priorité. Le « critère de réussite » pour cette jeune formation, qui ne compte quasiment aucun maire, résiderait désormais dans sa capacité à faire émerger une « nouvelle génération ». Le délégué général du parti, Stanislas Guerini, se donne comme objectif « près de 10 000 élus locaux à l’issue du scrutin ». Un chiffre finalement assez bas, rapporté au nombre total de conseillers municipaux, estimé à plus de 500 000. Son mot d’ordre ? « Changer le système par le bas. » Avec l’idée de combler le manque d’implantation locale pour les scrutins à venir, en particulier dans l’optique des sénatoriales. ../.. | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Lun 06 Jan 2020, 11:25 | |
| - Citation :
- ../..
« Le danger, c’est le cynisme du soutien » La crainte d’une déroute a également poussé à un changement de stratégie : après avoir surtout investi de purs « marcheurs » en juillet, LRM noue davantage d’alliances avec des maires sortants depuis la rentrée. Ces élus LR, UDI, MoDem ou PS « macron-compatibles » ayant l’avantage d’être bien implantés. « Il vaut mieux jouer placé avec des élus de l’ancien monde que gagnant avec des candidats LRM inconnus », reconnaît un cadre de la majorité, évoquant « une immense opération de fusions-acquisitions ». Une stratégie qui ne passe pas chez certains « marcheurs ». « Le danger, c’est le cynisme du soutien. Attention à ne pas investir des sortants qui ne partagent pas nos valeurs », met en garde un proche du chef de l’Etat. L’opposition, elle, fustige « l’opportunisme » du parti présidentiel. M. Macron intervient, lui, par petites touches. A chaque déplacement en province, il fait désormais le point sur les investitures, comme ce fut le cas à Marseille, le 24 juin. Le 17 juillet, il a aussi convié M. Collomb et M. Kimelfeld à l’Elysée, pour tenter de trouver un modus vivendi entre les deux hommes. La veille, il a convié à déjeuner à l’Elysée les responsables de LRM et de la commission d’investiture pour préparer le scrutin municipal. Le 16 octobre, M. Macron aura également l’occasion de rencontrer le maire LR sortant de Toulouse, Jean-Luc Moudenc – avec lequel LRM entend s’allier – en marge de la tenue d’un conseil des ministres franco-allemand dans la Ville rose.
Enjeux locaux Mais, contrairement aux législatives et aux européennes, où le scrutin revêtait un enjeu national, pas sûr que l’implication du chef de l’Etat permette des victoires locales. « Cette fois, nos candidats ne pourront pas gagner seulement grâce à la tête de Macron sur leur affiche de campagne ! », juge un élu LRM. Un sentiment largement partagé au sein du parti, où l’on souligne que les municipales reposent avant tout sur des enjeux locaux. « Construire une implantation territoriale, cela prend du temps », souligne M. Guerini. « Comme le général de Gaulle, qui n’avait pas remporté les municipales en 1959 malgré sa popularité et avait dû attendre 1964 pour que l’UDR décroche des grandes villes, on va mettre deux scrutins pour s’implanter », anticipe un cadre. Comme s’il s’agissait de préparer les esprits à un résultat décevant.
https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/10/09/la-republique-en-marche-craint-la-deroute-aux-elections-municipales_6014847_823448.html " on souligne que les municipales reposent avant tout sur des enjeux locaux." : largement vrai, mais alors pourquoi avoir tout décidé en haut ? « Construire une implantation territoriale, cela prend du temps » : aussi aurait-il fallu ne pas emboliser le temps local, depuis 2017, avec les enjeux nationaux ou les directives des instances nationales | |
| | | scola
Messages : 235 Date d'inscription : 05/06/2014
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mer 08 Jan 2020, 14:04 | |
| Hier matin devant l'école Jules Ferry il y avait une équipe de tractage pour distribuer des très jolis et probablement coûteux fascicules pliants sur papier glacé en couleur pour dresser le bilan des réalisations de l'équipe municipale en place sur son mandat (2014-2020). A ce propos comment être assuré que les frais d'impression de ce luxueux fascicule sont bien pris sur les comptes de campagne et du budget de JP Gautrais et non pas par la direction de la communication bref sur les deniers de la ville ? Ci dessous la liste des actions revendiquées que j'ai scanné en encadrant en rouge les actions revendiquées soumises à interprétations ou tout du moins débats.Concernant l'adoption du PLU soi disant plus protecteur du secteur pavillonnaire, il me semble que les nombreux programmes immobiliers en cours (secteur plateau, rigollots, pasteur, parapluies..) et ceux en devenir (rigollots sur les emplacements de l'ex Carrefour Market et voir concessionnaire Dacia, avenue république à la place du concessionnaire Renault ) laissent à penser le contraire.. Mise en place de la brigade verte contre les dépôts sauvages : Pas plus tard que ce matin je constate sur la rue Eugène Martin qui mène au square au chats le dépot d'une multitude de mobiliers et autres épaves qui se déroule en dehors de la journée des encombrants. Visiblement l'action de cette brigade verte est peut être limitée à inspecter le dépôt d'encombrants sur les zone d'espaces verts ... Réaménagement de nouveaux espaces verts dans le square Dalayrac : S'agit il du square aux chats qui à part un bitumage massif du revêtement de sol autrefois en terre parsemé de petit cailloux blancs et le remplacement de certains éléments de jeux (à moins d'1 an des élections histoire de marquer le coup) n'a pas évolué en terme d'espace vert ou s'agit il d'un autre square ? Celui créer près de la fontaine des rosettes avec dedans mangeoires à oiseaux ? Mobilisation pour les transports : extension L1 du métro, Tramway, rénovation de la gare RER du Val de Fontenay, réalisation sans retard de la ligne 15 du Grand paris.. Oui mais mobilisation ne veut pas dire résultats concrets et jusqu'à la les résultats tangibles se font toujours attendre. On peut même dire que certain(e)s décisions/appuis du conseil municipal en place ont été contre productif comme le choix de la station intermédiaire de la station de la Ligne 1 du métro sur le plateau du coté du quartier des grands pêchers à Montreuil au lieu du quartier du bd de Verdun ou de la Redoute à Fontenay. En effet, il semble que ce choix a fait doubler le coût des travaux de forage ce qui rend encore plus incertain la rentabilité économique du projet initial ce qui rend 1/ des plus incertains sa validation budgétaire et 2/ repousse la date théorique de sa réalisation qui si elle a lieu pourrait désormais être repoussé à 2032 !! Bref encore une fois le diable est dans les détails, la suite de lecture de ce beau tractage de publi-information dans un prochain post. | |
| | | frakerd
Messages : 113 Date d'inscription : 01/07/2015 Localisation : Fontenay sous Bois
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Lun 13 Jan 2020, 20:03 | |
| En cette période d'élection municipale, faut il rappeler aux fontenaysiens qu'en 2014 JF Voguet se représentait pour briguer un troisième mandat qu'il devait faire jusqu'à son terme. Le maire JF Voguet a démissionné en cours de mandat malgré de fait qu'il avait affirmé qu'il irait jusqu'au bout de son mandat. On pourra dire se que l'on veut, mais quand on s'engage sur quelque chose il faut tenir sa promesse, JF Voguet a menti aux fontenaysiens, beaucoup d'ailleurs encore aujourd'hui lui reproche d'avoir démissionné, alors qu'il avait dit le contraire. Fontenaysiens, n'oubliez pas qu'en 2014 on vous a menti. | |
| | | Clovis
Messages : 206 Date d'inscription : 30/09/2011
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mar 14 Jan 2020, 08:37 | |
| Une bonne partie de la population ne sait pas qu'il est légal qu'un homme puisse devenir maire en reprenant le poste déserté sans passer par une élection. Il semble que beaucoup de fontenaysiens n'ont pas apprécié. | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Jeu 16 Jan 2020, 07:50 | |
| Publication officielle de l'ensemble des listes de candidats (date) Date limite de dépôt des listes de candidature (et aussi d’inscription des électeurs) aux prochaines élections municipales.
Le 15 mars (deuxième tour le 22 mars) 2020 auront lieu les prochaines élections municipales. L'ensemble des listes officielles de candidats sera connu quelques semaines avant : Les listes (complètes) de candidatures sont à déposer en préfecture (ou sous-préfectures?) entre le lundi 10 février et le jeudi 27 février. Clôture à 18h le jeudi 27 février pour le premier tour, le mardi 17 mars pour le second.
Pour l’inscription des électeurs, la date du 31 décembre n’est plus impérative : la date limite d’inscription aux listes électorales pour les municipales 2020 a été fixée au 7 février. Cette date pourra être repoussée dans certaines situations spécifiques (majorité atteinte entre les deux dates, déménagement, acquisition de la nationalité…)
(extrait de : ) https://www.sudouest.fr/2020/01/10/municipales-2020-on-connait-les-dates-de-depot-de-candidatures-7044887-4344.php
Et le maire est élu au troisième tour (voire au quatrième à Fontenay, en 2016 ...) par le Conseil municipal et non directement par les électeurs … Mais normalement, comme rappelé ci-dessus, c'est la tête de liste lors de l'élection qui brigue le poste de maire pour six ans. Sauf à le préciser au départ. | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mer 22 Jan 2020, 14:28 | |
| Municipales dans le Val-de-Marne : les candidats peinent à séduire les banques pour ouvrir leurs comptes de campagne Obligatoire pour pouvoir être remboursé si les 5% sont atteints, les prétendants doivent ouvrir un compte de campagne, et le cas échéant, ils font un prêt. Pas si simple. Agnès Vives, le 22 janvier 2020 Se déclarer candidat aux municipales est simple. Mais quand il s'agit d'ouvrir un compte de campagne, l'affaire se complique. Pourtant, c'est un impératif pour être remboursé de ses frais par l'Etat, si on atteint 5% des suffrages. Exemples dans le Val-de-Marne. A Bonneuil-sur-Marne, le maire (PCF) sortant, Patrick Douet, élu en 2014 dès le premier tour, avec une seule liste face à lui en mars 2020, fait partie des candidats mal aimés des banques. Les démarches entamées en septembre n'ont abouti que… début janvier. « C'est la première fois que c'est aussi compliqué, atteste son mandataire financier, Antonin Picquart. J'ai dû faire le tour des agences à Bonneuil, mais aussi à Créteil, avant d'atterrir à la Banque de France. Ce sont les sièges des banques qui bloquent. »
Des difficultés dans tous les camps Le député (PS) Luc Carvounas n'échappe pas à ce parcours du combattant. En toute logique, le candidat à la mairie d'Alfortville s'est rendu à sa banque personnelle. Mais il a fallu attendre la validation du siège et fournir quantité de données personnelles et politiques, comme la lettre d'investiture, un budget prévisionnel, une liste des candidats déclarés, les résultats aux dernières municipales et aux trois dernières échéances… « Depuis janvier, pour un prêt de 27 000 €, je suis prélevé sur mon compte personnel de 540 € par mois. Qui peut absorber une telle somme au regard des salaires moyens ? » Et que dire de « petits » candidats, non encartés, confrontés à cette « injustice », selon le conseiller municipal Karim Baouz (SE), en lice à Arcueil. « On a fait trois banques qui refusent car on n'est pas client chez eux. Le système est fait pour les professionnels ! »
Appel à la Banque de France Certes des accords nationaux entre partis et établissements bancaires facilitent le travail. « Il n'y a pas eu de souci globalement, c'est l'avantage d'être avec le parti majoritaire, glisse Nabil Benbouha, référent LREM94. Nous travaillons avec le Crédit coopératif. » Mais pour l'ouverture de prêt, même les marcheurs galèrent. Thomas Maubert, délégué départemental du MoDem, et soutenu par LREM à Maisons-Alfort, en a fait les frais. « L'ouverture du compte a pris 15 jours mais le prêt deux mois et demi. Heureusement que j'avais des fonds versés par les colistiers pour démarrer. C'est pire que pour acheter un appartement, alors que les montants sont faibles. » Des candidats Insoumis aussi ont eu du mal, malgré les accords noués avec des banques mutualistes. Lara Bakech à Alfortville a dû faire appel à une injonction de la Banque de France, pour faire jouer son droit au compte. Thomas Dessalles (LFI) à Créteil a subi lui aussi « tout un tas de prétextes. Une banque demandait pour le prêt, une caution du même montant, raconte-t-il. C'est long et très compliqué. Un candidat qui se lance au dernier moment n'a aucune chance. »
«Un problème de démocratie» Alors les banques sont-elles de plus en plus frileuses ? Cette problématique était apparue au grand jour aux législatives de 2017, puis aux européennes. « Les banques ne veulent plus prêter aux partis, mais sans les appareils, des candidats challengers ne pourraient pas faire campagne. Il y a un vrai problème de démocratie », confirme le premier fédéral PS, Jonathan Kienzlen. La Société Générale confirme ne plus financer les partis politiques « depuis longtemps » mais continue d'ouvrir des comptes et n'a pas eu connaissance de difficultés dans le Val-de-Marne. La BNP assure analyser « scrupuleusement tout dossier de financement sur des critères objectifs ». Les clients pouvant toujours saisir le médiateur, en cas de conflit.
La proposition de François Bayrou « Il n'y a pas de message n'ouvrez pas de compte, ajoute-t-on au Crédit Mutuel. Du moment que les dossiers sont complets, on ouvre les comptes. » Une directrice d'agence décrypte : « Bien sûr, localement, on rend service. Mais dans l'ensemble, on ne veut pas être associé à une couleur politique. L'affaire Bygmalion a laissé des traces et de plus en plus de candidats n'ont pas leurs comptes remboursés. » Face à ces difficultés dignes d'un parcours de sauts d'obstacles, revient l'idée de François Bayrou, ministre de la Justice en 2018, de créer une banque de la démocratie, pierre angulaire du projet de modernisation de la vie politique. Enterré peu après par le gouvernement. « Ce serait utile si l'on veut continuer à faire vivre la démocratie locale », conclut Luc Carvounas.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/municipales-dans-le-val-de-marne-les-candidats-peinent-a-seduire-les-banques-pour-ouvrir-leurs-comptes-de-campagne-22-01-2020-8241735.php | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mer 22 Jan 2020, 15:36 | |
| - Salamandre a écrit:
- Le député (PS) Luc Carvounas n'échappe pas à ce parcours du combattant. En toute logique, le candidat à la mairie d'Alfortville s'est rendu à sa banque personnelle. Mais il a fallu attendre la validation du siège et fournir quantité de données personnelles et politiques, comme la lettre d'investiture, un budget prévisionnel, une liste des candidats déclarés, les résultats aux dernières municipales et aux trois dernières échéances… « Depuis janvier, pour un prêt de 27 000 €, je suis prélevé sur mon compte personnel de 540 € par mois. Qui peut absorber une telle somme au regard des salaires moyens ? »
A vos mouchoirs... - Citation :
- Au 1er janvier 2019, les indemnités mensuelles brutes [ des députés ] sont les suivantes :
– indemnité de base : 5 623,23 € ; – indemnité de résidence (3 %) : 168,70 € ; – indemnité de fonction (25 % du total) : 1 447,98 €.
Soit un montant brut mensuel de : 7 239,91 €. http://www2.assemblee-nationale.fr/decouvrir-l-assemblee/role-et-pouvoirs-de-l-assemblee-nationale/le-depute/la-situation-materielle-du-depute Ceci étant pour que vive la démocratie il ne faut pas hésiter à aider les candidats en leur faisant un don pour leur campagne d'autant plus que celui-ci est déductible aux 2/3 des impôts.... | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mer 22 Jan 2020, 16:45 | |
| Pour compléter, code électoral Article L52-8
"Les dons consentis par une personne physique dûment identifiée pour le financement de la campagne d'un ou plusieurs candidats lors des mêmes élections ne peuvent excéder 4 600 euros." (extrait) etc. https://bofip.impots.gouv.fr/bofip/5869-PGP | |
| | | Clovis
Messages : 206 Date d'inscription : 30/09/2011
| Sujet: Re: Les élections municipales en 2020 ou 2021 Mer 22 Jan 2020, 19:18 | |
| Pour les présidentielles il y a des contrôles du financement des campagnes, avec des montants maximums permis Qu'en est-il pour les municipales ? Un maire sortant peut-il utiliser du personnel municipal pour aider au tractage, affichage et autres divers services, y a-t-il une surveillance concernant la provenance des fonds, des activités (inauguration, fêtes, repas) pouvant être favorables de façon inéquitable vis à vis des autres prétendants, comme il est reproché à un maire (entendu dans les médias) qui distribuait des bons d'achats considérés pour cet édile comme une redistribution suite à un bilan positif ? | |
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