Notre-Dame-des-Landes (NDDL) - APRES l'abandon du projet le 17 janvier 2018

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http://www.plateaufontenay.net/t3175-notre-dame-des-landes-nddl-avant-l-abandon-du-projet-le-17-janvier-2018

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Référendum pour Notre-Dame-des-Landes : le oui l’emporte à 55,17 %

Les électeurs de Loire-Atlantique se prononçaient, dimanche, sur le projet de transfert de l’aéroport de Nantes Atlantique sur la commune de Notre-Dame-des-Landes.

LE MONDE | 26.06.2016
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http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/06/26/notre-dame-des-landes-premiers-resultats-pour-le-referendum_4958521_3244.html


Quelle mascarade !

sans moi... pour ce qui concerne l'intervenant incohérent.
Avec les gens raisonnables pour qui la loi et le respect que l'on lui doit a un sens volontiers.

NDDL, Expo 2025,.... ça navigue à vue !

macron était dans l'équipe de flanbi... on gesticule, on se vend mieux que le précédent mais derrière la façade c'est la même chose.

Fort avec les faibles et dégonflé devant les difficultés.
On insulte les Français, on flanque des impôts, on circule à travers le monde pour se construire un statut international, on poursuit la politique pénale de taubira dont on constate les résultats et surtout on cause... Devant les difficultés on se dérobe.

J'attends toujours :
la réduction des dépenses publiques
la simplification administrative
la purge du mille feuille que constitue l'organisation nationale
le contrôle sérieux et la suppression des comités théodule inutiles
la mise en place d'une surveillance des associations dont le but principal est de faire obstruction à la loi...  
Ne parlons pas de la refonte des textes devenus avec le temps et les tripatouillages totalement inapplicables dans le fouillis desquels on se complaît tant ils permettent de faire n'importe quoi et souvent rien.

Heureusement mme macron elle a son statut !

L'illusionniste a fait son numéro et maintenant on se frotte aux réalités, on tape dans le réel et c'est la vacuité totale.

NB : gros succès pour les JO de la danseuse de flamenco dont vu le cout induit plus personne ne veut !
A toutes fins utiles pour le grand métro périphérique parisien la facture prévisionnelle est déja doublée... à cette cadence ils commencent à couter cher les écolos adeptes du transport en commun.

On s'éloigne du sujet Nddl, Mais bon...

Nicolas Sarkozy n'y est pour rien comme de bien entendu...

Plutôt discret depuis sa défaite à la primaire de l'an dernier, Nicolas Sarkozy sort ce mercredi de sa réserve. Dans un entretien inattendu au quotidien l'Opinion, il vante les mérites du projet d'aménagement du Grand Paris, lancé par ses soins voici tout juste dix ans. Tout en se disant «très heureux» de voir Emmanuel Macron en assurer «la pérénité», l'ex-président s'inquiète de possibles retards dans la mise en chantier du réseau de transports Grand Paris Express, censé permettre à la métropole de tenir son rang de «ville monde». Selon lui, l'Etat doit en être «la locomotive», bousculant les réticences de Bercy et remettant à plus tard l'arbitrage sur les compétences, sujet de vaines disputes entre les collectivités concernées.

Côté métro, alors que l’on entend revenir en boucle les tentatives de Bercy de revoir une grande partie du réseau, Nicolas Sarkozy remet les pendules à l’heure : «Contrairement à ce que disent les comptables – au sens restrictif –, quand vous créez un TGV, une ligne de bus, une ligne de métro, un tramway, vous créez de la richesse. A la minute où vous ouvrez une nouvelle ligne de transport, dans un périmètre de 400 à 500 mètres autour de chaque nouvelle gare, vous voyez la valeur de l’immobilier augmenter, ce qui permet, en la taxant, de refinancer les investissements.» L’explication relève un peu du cours d’économie de base, mais s’agissant des obstinations budgétaires de Bercy, ça n’est jamais perdu.

Les projets c'est bien ! avoir le financement pour les mener à bien c'est mieux... ce qui est possible à un moment donné peut devenir dangereux plus tard.
sarko pouvait il prévoir la gestion économique du pays par ses successeurs ? c'est une bonne question d'autant que lui de débattait dans une crise financière mondiale qui n'existait pas...

NDDL c'est de la faute de sarko, c'est lui sans doute qui a organisé le référendum qui devait mettre fin au problème.

S'ils sont tous du même calibre au conseil municipal je comprends mieux nos ennuis.

Votre art à déformer mes propos est remarquable. Pas grave cela semble vous amuser.

Itou sur le positionnement des "écolo" Sur l'expo2025 et la ligne 18.

https://paris-saclay.eelv.fr/le-site-de-paris-saclay-na-aucune-legitimite-pour-accueillir-lexposition-universelle-de-2025/

Vous vous dépassez... Félicitations.

Libellule a écrit:

Le débat déjà se poursuit. C'est bien. Pour le reste à quoi bon chicaner s'il faut rire ou pleurer à la veille de la levée des chicanes locales sur l'axe routier principal à NDDL. Idem quant à savoir qui est dans le circuit des décisions : un fusible, une résistance, Ou un transformateur.

Libellule se réjouit que la départementale soit libéré, au bout de 5 ans d'occupation faut il s'en réjouir, moi je demanderai aux écolos comme libellule de rembourser les habitants de cette zone qui devait faire un détour de plus de 40 km pour aller du point A au point B. Ces même écolos qui préconise la liberté et qui en même temps prennent en otage des centaines de riverains en bloquant une départementale en toute illégalité, vive la démocratie à la sauce écolo.

Je place en lien l'article qu'il ne faut surtout ne pas lire car il figure sur un site de droite caca réac nationaliste populiste (rayer le ou les mots inutiles)

Heureusement avec la future loi sur les "fake" celle là on va faire vite pour la pondre rapido il sera interdit de mal penser... et encore plus de mal écrire.

En tout cas le texte est édifiant. Désolé mais nombre de caractères limité donc lien sinon pas d'info !:

https://www.dreuz.info/2018/01/18/laeroport-de-nantes-ne-se-fera-pas-francais-vous-savez-ce-quil-vous-reste-a-faire/

Texte très juste. A lire.

À Notre-Dame-des-Landes, certains zadistes partent
LOIC VENANCE / AFP

Les zadistes de Notre-Dame-des-Landes doivent commencer à débloquer la route départementale 281, qu'ils contrôlent depuis 2012. Vers 10 heures lundi matin, les premières chicanes seront retirées. Le signe de la fin d'un long combat pour beaucoup de zadistes. Si certains d'entre eux veulent rester coûte que coûte dans le bocage, une partie des "activistes" est désormais prête à quitter la zone pour partir vers d'autres luttes.

"La lutte continue, mais pas ici". Eddy s'apprête à replier sa toile de tente et son hamac. Après deux ans et demi passés à Notre-Dame-des-Landes, ce militant va rejoindre "le nord de Strasbourg", où le projet de construction d'une autoroute de 23 kilomètres suscite la controverse. "Certains veulent aller à Bures, contre l'enfouissement des déchets nucléaires, d'autres veulent aller à la Zad de Toulouse…", liste Eddy. Pour lui, maintenant que le projet d'aéroport est définitivement abandonné, il n'y a plus lieu de mener ce combat. "C'est gagné ! J'en suis fier. C'est une belle forêt qu'on a réussi à sauver. La lutte continue, mais pas ici", estime-t-il.

"Partir la tête haute". Dans le bocage, tenir ce discours n'est pas toujours bien accepté. Eddy le sait. Mais il se fait peu d'illusions sur la suite, et plus précisément sur l'expulsion de ceux qui veulent rester sur des terres qui ne leur appartiennent pas. "Les agriculteurs nous ont dit qu'ils voulaient récupérer leurs terres, c'est normal. Il faut partir la tête haute", juge Eddy.

L'activiste tient aussi à partir avant de voir débarquer les forces de l'ordre, comme il l'a vécu à Sivens. Le jeune homme y était quelques jours seulement avant la mort de Rémi Fraisse en 2014, lors d'affrontements avec les gendarmes.

Libellule a écrit:

À Notre-Dame-des-Landes, certains zadistes partent
LOIC VENANCE / AFP

Les zadistes de Notre-Dame-des-Landes doivent commencer à débloquer la route départementale 281, qu'ils contrôlent depuis 2012. Vers 10 heures lundi matin, les premières chicanes seront retirées. Le signe de la fin d'un long combat pour beaucoup de zadistes. Si certains d'entre eux veulent rester coûte que coûte dans le bocage, une partie des "activistes" est désormais prête à quitter la zone pour partir vers d'autres luttes.

"La lutte continue, mais pas ici". Eddy s'apprête à replier sa toile de tente et son hamac. Après deux ans et demi passés à Notre-Dame-des-Landes, ce militant va rejoindre "le nord de Strasbourg", où le projet de construction d'une autoroute de 23 kilomètres suscite la controverse. "Certains veulent aller à Bures, contre l'enfouissement des déchets nucléaires, d'autres veulent aller à la Zad de Toulouse…", liste Eddy. Pour lui, maintenant que le projet d'aéroport est définitivement abandonné, il n'y a plus lieu de mener ce combat. "C'est gagné ! J'en suis fier. C'est une belle forêt qu'on a réussi à sauver. La lutte continue, mais pas ici", estime-t-il.

"Partir la tête haute". Dans le bocage, tenir ce discours n'est pas toujours bien accepté. Eddy le sait. Mais il se fait peu d'illusions sur la suite, et plus précisément sur l'expulsion de ceux qui veulent rester sur des terres qui ne leur appartiennent pas. "Les agriculteurs nous ont dit qu'ils voulaient récupérer leurs terres, c'est normal. Il faut partir la tête haute", juge Eddy.

L'activiste tient aussi à partir avant de voir débarquer les forces de l'ordre, comme il l'a vécu à Sivens. Le jeune homme y était quelques jours seulement avant la mort de Rémi Fraisse en 2014, lors d'affrontements avec les gendarmes.

Mais de quoi vivent t'ils, ça serait intéressant de le savoir, passer deux ans et demi sur un hamac ou sous sa tente c'est bien, mais cela ne nourrit pas.

vieux-breton a écrit:

Mais de quoi vivent t'ils, ça serait intéressant de le savoir, passer deux ans et demi sur un hamac ou sous sa tente c'est bien, mais cela ne nourrit pas.

Il y a bien des islamistes qui nous font la guerre en Afrique et au Proche Orient (sans oublier ceux qui sont chez nous) tout en percevant le RMI ou le chomages et de multiples aides pourquoi nos "zadistes" délinquants tout de même (il ne faut pas l'oublier)  devraient ils s'empoisonner la vie à aller bosser ?

De plus il y a les "assoces" pour les aider. La vie est belle alors à vos poches les laborieux et les retraités, les nantis peuvent payer.

Faut il rappeler ceci :

Article L412-1
Modifié par Loi n°2003-495 du 12 juin 2003 - art. 11 (V) JORF 13 juin 2003
Le fait, en vue d'entraver ou de gêner la circulation, de placer ou de tenter de placer, sur une voie ouverte à la circulation publique, un objet faisant obstacle au passage des véhicules ou d'employer, ou de tenter d'employer un moyen quelconque pour y mettre obstacle, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 4 500 euros d'amende.

Toute personne coupable de l'une des infractions prévues au présent article encourt également la peine complémentaire de suspension, pour une durée de trois ans au plus, du permis de conduire, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle.

Lorsqu'un délit prévu au présent article est commis à l'aide d'un véhicule, l'immobilisation et la mise en fourrière peuvent être prescrites dans les conditions prévues aux articles L. 325-1 à L. 325-3.

Les délits prévus au présent article donnent lieu de plein droit à la réduction de la moitié du nombre maximal de points du permis de conduire.

https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000006841235&cidTexte=LEGITEXT000006074228&dateTexte=20091201

On peut laisser cette lande, redevenue propre et écologique, vivre sa vie de bocage protégé. Les anciens qui désirent revenir chez eux devraient être prioritaires. S'il reste du terrain cadastré sans propriétaires, de nouveaux exploitants (sous diverses formes, métayage associatif par exemple) mais comme tout le monde avec des droits et des devoirs (impôts, tva éventuelles, assurance responsabilité, mutualité agricole pour être pris en charge si maladie ou à la retraite, ETC..) pour financer la protection sociale nationale et non se retirer de celle-ci en individualiste anarchiste, un temps avant de demander l'aide des autres par la suite...

Je suis aussi de l'avis de Lorenzaccio. Mais on parle déjà de lotissements nouveaux pour les Nantais.

Président PS du conseil départemental de Loire-Atlantique, à la tête du Syndicat mixte aéroportuaire du Grand Ouest qui regroupe les collectivités locales concernées Notre-Dame-des-Landes, Philippe Grosvalet déplore l’abandon de ce projet par l’Etat.
Entretien :

https://www.causeur.fr/grosvalet-notre-dame-landes-nantes-149154

Gérard a écrit:

Je suis aussi de l'avis de Lorenzaccio. Mais on parle déjà de lotissements nouveaux pour les Nantais.

Une partition intelligente n'est effectivement pas à exclure Sur les 1600 hectares.

On vire les indésirables à savoir les occupants sans droit ni titre et ensuite on avise !

L’ancien conseiller de Jacques Auxiette analyse le fiasco

« Rien n’eût été pareil si on avait accueilli les arguments des opposants ».

Avec Ouest-France

La consultation, « pliée d’avance »
Olivier Ryckewaert pointe un certain nombre d’erreurs des pros dans ce dossier. À commencer par le vote de 2016. « Sur la forme, je savais depuis l’annonce du référendum que c’était plié. Décidé par Paris, il affaiblissait considérablement la légitimité des porteurs du projet. Comment ? Après un débat public organisé par la Commission Nationale, après les enquêtes publiques, après les dizaines de recours infructueux devant la justice, il fallait quand même redemander aux gens ? Tentative maladroite de sortir d’une situation quasi inextricable. »

Pour lui, les pro-aéroport ont pêché par leur trop plein d’assurance. Et salue le travail d’une opposante historique au projet. « Depuis le départ, le camp des pros présente le projet comme un fait accompli, en utilisant leur légitimité née du suffrage universel, leur autorité et leur technicité. » Mais, dit-il, « en 1992, Françoise Verchère, chef de file des anti, avait fait réaliser pour un bulletin municipal un travail de fond sur le projet de Notre-Dame-des-Landes (alors en sommeil, mais bon, on ne sait jamais). Elle était donc prête en 2003 au moment du débat public, elle savait où les services de l’État ne jouaient pas la transparence, et elle a appuyé là où ça fait mal. »

Et ce spécialiste de la démocratie participative (qu’il avait mis en place à la Région) d’ajouter : « Quand on fait de la concertation, au 21° siècle, il ne faut pas que la fin soit déjà écrite. Et c’est pourtant ainsi que ça a été présenté à la population : l’aéroport se ferait, quoi qu’il arrive. À partir de là, le ver était dans le fruit. »

On s’est trompé d’angle de communication, affirme-t-il. « Les angles choisis ont été le développement économique, la sécurité, le Grand Ouest. Celui que j’évoquais au début, l’aménagement du territoire local, n’est apparu que très tardivement dans le discours officiel alors qu’il était évident. 

C’est sur la transparence que le débat aurait dû se jouer, dit-il encore. « Il me semble, effectivement, que les services de l’État ont depuis le départ mis en avant les arguments qui étaient en faveur du transfert de l’aéroport, et minimisé ceux qui allaient à son encontre […]. Alors qu’à mon sens, jouer la transparence, tout simplement, n’aurait rien changé à la légitimité du projet. Mais aurait évité de nourrir la suspicion. »

« Les responsables locaux vont essayer, à raison, d’obtenir des compensations. Mais le plus grand cadeau qui pourrait être fait à ceux qui se sont investis dans ce projet, c’est que les acteurs publics fassent de cet épisode malheureux une opportunité d’améliorer les outils de participation citoyenne. »

Le texte intégral
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/quand-l-ancien-conseiller-de-jacques-auxiette-analyse-le-fiasco-nddl-5517360

Je suis certain que si on consulte les délinquants sur les mesures que l'on devrait prendre contre eux ils auraient un avis motivé pour ne pas être condamnés...

Si on consultait les contribuables sur l'utilité des impôts nul doute que l'état ferait moins de ponctions.

NDDL : le préfet de Loire-Atlantique humilié par les zadistes

Vendredi 26 janvier 2018 à 22:0014

Bienvenue. A l’occasion de la réouverture de la "route des chicanes", Nicole Klein a été accueillie par une haie de fesses.

Ce vendredi 26 matin, une semaine et demie après l'abandon du projet d'aéroport, le préfet de Loire-Atlantique, Nicole Klein, s’est rendu sur la départementale 281, à l’occasion de la réouverture de cette ancienne "route des chicanes", traversant la ZAD. Une surprise l'attendait à son arrivée.

Une haie de fesses pour accueillir le préfet

Une vingtaine de zadistes ont accueilli la représentante de l’Etat en exhibant leurs fessiers ! D'autres avaient des visages encagoulés. Certains ont ironisé sur sa venue via des tags moqueurs inscrits sur des panneaux. "On fait un drôle de métier quand même", a lancé Nicole Klein. Lors de ce déplacement, elle a notamment rencontré des opposants de l’Acipa (Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport de Notre Dame des Landes) et de l’organisation paysanne Copains 44. In fin, elle a même trinqué avec plusieurs opposants historiques au projet.





https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/insolite-quand-les-zadistes-montrent-leurs-fesses-la-prefete-5525461 …

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Sachant que le préfet représente l'état dans son département on constate à qul niveau de respect se placent les "zadistes"

Pour ce qui concerne la représentante de l'état qui "trinque" avec ceux qui lui montrent leurs fesses que dire ? la nouvelle politique sans doute...

On a bonne mine de "rouler la caisse" dans des réunions internationales lorsque l'on est infoutu de se faire respecter chez nous. vive macron !

C'était peut être le temps de sortir les matraques télescopiques.

Une telle injure à la représentante de la République devrait faire l'objet d'une peine de prison.
Qu'en pense Tonton qui connait bien la loi ?

Robin a écrit:

Une telle injure à la représentante de la République devrait faire l'objet d'une peine de prison.
Qu'en pense Tonton qui connait bien la loi ?

Nous sommes dans un régime où le sens de l'état n'a pas sa place.. . Tout est dit !

On montre ses fesses à la préfète et elle prend un pot avec ceux qui l'insultent.
Ne vous avisez pas de payer vos impôts avec retard et attention aux 80 km/h vous allez déguster.

Après le déni de démocratie que constitue l'abandon du projet les choses risquent de ne pas être simples...

Citation :

Notre-Dame-des-Landes : la ministre des Transports Elisabeth Borne face à la colère des riverains

Orange avec AFP, publié le samedi 27 janvier 2018 à 18h29

Les riverains de Saint-Aignan-Grandlieu, commune située en bout de piste de l'aéroport de Nantes-Atlantiques, crient à la "trahison" après l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes.

Dix jours après l'abandon par le gouvernement du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), la ministre des Transports Elisabeth Borne s'est rendue samedi 27 janvier au chevet d'élus "inquiets", pour tenter de les rassurer avant de préparer l'aménagement de Nantes-Atlantique.

La ministre a reçu un accueil des plus hostiles de la part des riverains à son arrivée à Saint-Aignan-Grandlieu, commune située en bout de piste de l'aéroport de Nantes-Atlantiques, où elle a rencontré le maire après des entretiens avec le Président du Conseil Départemental de Loire-Atlantique, la Présidente de la Région Pays de la Loire et la Maire de Nantes.

"Macron trahison, Macron démission", "Saint-Aignan sacrifiée, Saint-Aignan humiliée", "La préfète dans la ZAD", ont hurlé les manifestants, 800 selon les gendarmes, 1.000 selon les organisateurs, jetant des bulletins de vote factices, et déposant un cercueil noir rempli de cartes d'électeurs, barré d'un "Ci-gît la démocratie", au passage de la ministre. Des riverains ont ensuite tenté de forcer les barrières, avant d'être repoussés par les forces de l'ordre.

Après s'être engouffrée à 12h30 dans la mairie, Mme Borne s'est éclipsée une heure après par la porte de derrière pour éviter de croiser la foule hostile qui la huait.
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https://actu.orange.fr/france/video-notre-dame-des-landes-la-ministre-des-transports-elisabeth-borne-face-a-la-colere-des-riverains-CNT000000WJrve.html

Lorsque l'on piétine en permanence les lois qu'étant au pouvoir on est chargé de faire respecter il faut s'attendre à des conséquences fâcheuses.

Comment respecter des politicards qui trahissent ceux là même qui les ont mis en place ?
Gouverner de manière démagogique sans assumer ses responsabilités ne donne au bout du compte rien de convenable.

Les manquements se payent un jour... que l'on ne vienne pas se plaindre lorsqu'il y aura de "mauvais votes" tout aura été fait pour les provoquer.

Bel exemple de lâcheté d'un gouvernement quiu capitule devant des voyous aux détriments de citoyens dont le vote aura été piétiné. Quelle honte !

Deuxième étage de la fusée de l’après-NDDL dans la Zad : l’avenir des terres agricoles. Maintenant que la route des chicanes est presque libérée, l’État ouvre le chapitre délicat de la répartition des 1 600 ha. Le Premier ministre avait annoncé, au moment de l’abandon de l’aéroport, que ces terres avaient vocation à retourner à l’agriculture et que l’État n’en garderait pas la propriété.

Finalement nous avons des gugusses qui veulent "débattre" de ce qu'ils vont faire de terres qui ne leur appartiennent pas....

En bref c'est logique : nous sommes dans le cas du voleur qui discute avec les juges de ce que l'on va faire de son butin... Et exige non seulement de ne pas être inquiété mais en plus de conserver ce qu'il s'est approprié frauduleusement.

Nul doute que dans la logique actuelle qui voit des squatters ne pas être expulsés et le légitime propriétaire interdit de jouir de sa maison tout va bien !

Penser que des élus cautionnent de tels agissements est d'un grand réconfort on devrait s'inquiéter de l'identité de ceux qui ont permis que de telles lois soient votées et appliquées.

L’État a renoncé à construire l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (NDDL). Privant Vinci du projet promis. Cela vaut-il compensation ? Coup d’œil dans le contrat signé avec Aéroports du Grand Ouest (filiale de Vinci) : « Le renoncement de l’État est assimilé à une résiliation de la concession pour motif d’intérêt général. Dans ce cas, le concessionnaire a droit à une indemnité. » Une clause classique, selon Antony Taillefait, professeur de droit public à Angers : « Dans un contrat public, l’État peut résilier de façon unilatérale. C’est un principe absolu. » C’est quoi un motif d’intérêt général ? « Un changement de majorité, par exemple. Mais l’État n’a pas obligation de motiver sa décision. »

Conciliation plutôt que contentieux
Dès le lendemain de l’abandon de NDDL, le PDG de Vinci est dans le bureau du ministre de l’Économie. Indemnisation, compensation et agrandissement de Nantes-Atlantique sont sur la table. « Je pense qu’on peut trouver un accord de bonne entente […], en bonne intelligence […], dans l’intérêt des deux parties », affirmait Bruno Le Maire.


« Ils iront à la conciliation plutôt qu’en justice. Je vois ça partout. Sur de tels contrats publics, personne ne va au tribunal. Les procédures sont trop longues », analyse Antony Taillefait. La conciliation est prévue à l’article 94 du contrat de concession.

Vinci n’a aucun intérêt à se mettre l’État à dos. « Le groupe préférera des garanties, leur résonnement est plus large. » D’autant plus que les négociations sont nationales et que la privatisation des aéroports de Roissy et d’Orly se profile. Le bébé est beau ! Vinci, déjà détenteur de 8 %, est un des favoris pour racheter des parts de l’État majoritaire dans la société Aéroports de Paris. Un deal pourrait vite sécher les larmes de Vinci, même si le porte-parole du gouvernement insistait récemment sur le respect du code des Marchés publics.

Note de frais plutôt que pénalités
« L’État ne pourra pas se dédouaner facilement du contrat, car les engagements financiers de Vinci étaient forts », remarque Antony Taillefait. Par expérience, le prof de droit public pense que « l’État ne versera ni indemnités ni pénalités à Vinci, mais remboursera les frais engagés par Vinci. Le concessionnaire en sera de sa poche, mais ira se récupérer ailleurs… » On ignore les sommes déjà dépensées par Vinci depuis 2010, pour préparer NDDL.

Cette analyse recoupe les récentes déclarations. « L a facture sera la plus réduite possible pour le contribuable », promettait Bruno Le Maire, le 19 janvier. Vinci préférera des contrats, dont celui de la concession de Nantes-Atlantique, à un chèque !

Nantes-Atlantique : concession ou privatisation ?
L’abandon de NDDL impacte le contrat d’exploitation de Nantes-Atlantique. Vinci a rappelé sa volonté de « rester au service de l’État pour la suite, et de s’inscrire dans la durée ». L’État s’engage à améliorer l’aéroport nantais. Nouvelle concession ? Privatisation ? « Tout est sur la table », a reconnu Bruno Le Maire

Finalement on fait un arrangement de truand.
Je fais ce que je dis et hop on fait le contraire, on abandonne NDD... on ne respecte pas plus d'une centaine de décisions de justice et un référendum.
et un mensonge UN ! suivi de pas mal d'autres.

Avec Vinci "no problem" ils se "rattraperont" lors d'un prochain marché public et on n'a pas de procès... on deal à la voyou.
Des flics auraient de tels comportements et une telle connivence qu'ils se retrouveraient au trou... les juges ayant la bénédiction des politicards.
Un esprit "mal pensant" pourrait s'interroger comment ce deal va s'organiser, sur les modalités du rattrapage, sur le sérieux dans l'obtention et le suivi du marché public à venir et si au bout du compte il sera pas plus couteux que prévu.

Ils ont bonne mine nos moralistes de pacotille de vouloir la peau de tapie "nanard le sévèrement burné" et de son arbitrage privé... à lui et à notre ministresse de droite on flanque des procès. Curieusement ce que l'on interdit à tapie notre gouvernement moraliste va le faire avec vinci...  

La nouvelle manière de faire de la politique et sa moralisation en prennent un bon coup sur la courge !

Je remercie l'intervenant, sa qualité d'élu donne du poids à l'argumentaire à la déontologie est douteuse, qui a mis cette nouvelle sur le forum, je ne suis pas certain que la suite du fil était le but recherché.

NDDL : à bout, des riverains de la ZAD portent plainte


Dégradations, effractions, représailles… Malgré un retour progressif à l'État de droit, le quotidien des habitants reste difficile.
«Il est temps que tout rentre dans l'ordre. La population est excédée depuis des années, et tout n'est pas fini», lâche Joseph Bézier, le maire de Vigneux-de-Bretagne, l'une des communes qui, depuis des années, subit la ZAD de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique).

La suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/06/04/01016-20180604ARTFIG00294--bout-des-riverains-de-la-zad-portent-plainte.php

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on nous avait pourtant bien dit que tout était fini... l'ordre républicain était rétabli grace à macron premier

Visiblement il y aurait une distorsion entre l'annonce et la vérité du terrain...

2019

En final qui va payer la note si ce n'est le contribuable français ?

Citation :

NDDL : Vinci réclame "plusieurs centaines de millions d'euros" de compensation à l'Etat

AFP, publié le dimanche 14 avril 2019 à 17h39

Candidat à la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP), Vinci réclame "plusieurs centaines de millions d'euros" à l'Etat en guise de compensation à l'abandon du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes dont il devait être le concessionnaire, a déclaré dimanche la ministre des Transports.

Confirmant que l'Etat négocie avec le groupe de BTP une indemnité liée à l'abandon du projet de nouvel aéroport, Elisabeth Borne a déclaré sur France 3: "Nous ne sommes a priori pas d'accord sur les montants, mais on prendra nos responsabilités sur ce dossier".

"Ils (Vinci, ndlr) ont parlé de quelques centaines de millions d'euros, tandis que nous parlons de quelques dizaines" de millions, a-t-elle précisé, avant d'ironiser: "Nous aurons une discussion passionnante".

Interrogée pour savoir si Vinci serait "un bon candidat" à la reprise d'Aéroports de Paris (ADP), une privatisation vivement contestée par l'opposition, elle a déclaré : "C'est effectivement un groupe qui a une grande expérience aéroportuaire".

"Mais il y en a d'autres, et évidemment cela ne va pas se faire comme ça de gré à gré, il y a aura une consultation pour choisir le meilleur candidat", a-t-elle immédiatement ajouté.

Récusant que le choix du groupe de BTP pourrait faire figure de "compensation à l'abandon de Notre-Dame-des-Landes", comme l'ont affirmé des députés de l'oppostion lors de vifs débats sur la privatisation jeudi à l'Assemblée, la ministre a affirmé: "Cela ne marche pas comme ça".

"On a un contrat à Notre-Dame-des-Landes, sur lequel on est en train de travailler à la résiliation, et par ailleurs il y aura une procédure sur Aéroports de Paris, évidemment avec toutes les garanties de transparence", a-t-elle déclaré.

Définitivement adopté par la parlement dans une ambiance tendue, le projet de loi Pacte prévoit de supprimer l'obligation pour l'État de détenir la majorité du capital d'ADP (actuellement 50,63%).

Cette privatisation fait l'objet d'un bras de fer: quelque 250 parlementaires ont enclenché la procédure d'un référendum d'initiative partagée (RIP), pour tenter d'empêcher le gouvernement de "vendre la poule aux oeufs d'or", certains y voyant un "cadeau à Vinci".

Le groupe Vinci gère dans douze pays (Royaume-Uni, Portugal, Cambodge, Japon...) 46 aéroports, dont 12 en France, parmi lesquels ceux de Lyon-Saint Exupéry, Rennes Bretagne, Toulon-Hyères et Nantes-Atlantique.

https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/nddl-vinci-reclame-plusieurs-centaines-de-millions-d-euros-de-compensation-a-l-etat-CNT000001eXe5R.html

Vinci peut fort logiquement être exigeant étant donné que la décision de l'état va à l'encontre du résultat de tous les procès et du référendum concernant le chantier.