Qui sont ils pour la ramener à tout bout de champ ?

Corruption : quels sont les pays les plus vertueux ?
Claire Lemaitre, publié le 23/02/2018 à 14h52
L'ONG Transparency International vient de publier son dernier classement. La France n'est pas spécialement bien notée...

Crédit photo Reuters
(Boursier.com) — Peut mieux faire... La plupart des pays du monde ont fait peu, voire aucun progrès en matière de corruption, selon le dernier rapport publié par Transparency International. Au total, 180 pays ont été étudiés, et l'indice utilise une échelle de zéro à 100, dans laquelle zéro correspond à une administration hautement corrompue et 100 à des services très vertueux. Cette année, l'indice a révélé que plus des deux tiers des pays obtiennent un score inférieur à 50, avec une note moyenne de 43.
C'est la Nouvelle-Zélande qui arrive en tête des pays les moins corrompus, avec une note de 89, devant le Danemark (88), la Finlande (85), la Norvège et la Suisse (85 également), Singapour (84), la Suède (84), le Canada et le Luxembourg et les Pays-Bas (82). Sans surprise, l'Europe du Nord est donc la région la mieux notée, avec une moyenne de 66. A noter que la France ne se classe qu'à la 23ème place, avec un score de 70.
La Syrie très mal notée
A l'autre bout du classement, la Syrie, le Sud-Soudan et la Somalie recueillent les pires scores, avec respectivement 14, 12 et 9 points. L'ONG, qui regrette sans surprise ces piètres performances, livre quelques axes pour lutter contre cette corruption. Elle demande notamment aux gouvernements et aux entreprises d'en faire davantage pour promouvoir la liberté de parole, et aux autorités de moins contrôler les médias, et de se concentrer sur l'accès à l'information.
"Aucun activiste ou journaliste ne devrait avoir à craindre pour sa vie lorsqu'il se prononce contre la corruption. Compte tenu de la répression actuelle de la société civile et des médias dans le monde, nous devons en faire plus pour protéger ceux qui s'expriment", écrit dans un communiqué Patricia Moreira, la directrice générale de l'ONG.

Sans porter de jugement sur le résultat de l'enquête... je me demande tout de même :
Qui dirige cette ONG ?
Les résultats de cette "enquête" sont ils fiables ?
Comment sont nommés, élus ou désignés les enquêteurs ?
Sur quels financements repose le fonctionnement de l'ONG et celui de la dite enquête ?

Très sincèrement et tout à fait en dehors l'affaire qui ouvre ma réflexion, en l'espèce "transparency international" , je commence à me fatiguer des ces "autorités" sorties d'on ne sait trop où, dont le mode fonctionnement est opaque qui ont des avis sur tout et peuvent décerner en vertu de compétences ou de critères non avérés des oukase pouvant bénéficier ou nuire à des états, groupes de tous ordres...

Il en est de même pour ces groupes de réflexion plus ou moins bidons souvent inféodés à des puissances bien cachées voire à les lobbies qui ont des influences grandissantes sur notre vie de tous les jours.

On retrouve le même cas de figure avec nos "assoces" nationales ou locales dont les ressources, l'objet et la représentativité loin d'être clairs ont des actions plus que contestables et parfois contraire aux lois en vigueur.

La démocratie commence par la clarté... est ce cas ? on veut lutter contre les "fake"  alors au boulot !