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Forum d'échanges et de débats concernant les quartiers de Fontenay-sous-Bois (94120), la ville dans son ensemble, son environnement et sa gestion, ou des sujets d'intérêt général. |
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| En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! | |
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+5Robin Clovis tonton christobal a.nonymous Gérard 9 participants | |
Auteur | Message |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mar 06 Mar 2018, 06:12 | |
| Rappel du premier message :
Puisque dans le contexte de la lutte contre les « fake news » (1), seule la vérité et toute la vérité doit être dite et connue alors participons à la lutte en affirmant ce qu’une majorité écrasante d’Européens pense mais est délibérément privée de l’affirmer publiquement et dans les médias « traditionnels » (2) : « on en peut plus de l’immigration ».
Pas une journée, pas une émission, pas un « talk-show », pas une publication « de masse » sans le plaidoyer habituel en faveur de l’immigration et du « migrant » qui fuit « la guerre ». Après des années de gavage forcé telles des oies maltraitées, les citoyens européens n’en peuvent plus et surtout ne digèrent plus.
De mal en pis, ils votent « de plus en plus mal ». Après Marine Le Pen qui fait 34% au second tour de la présidentielle 2017, après Laurent Wauquiez qui écrase ses concurrents à l’élection des Républicains (LR), voici le tour des Matteo Salvini et autre Silvio Berlusconi qui volent la vedette sur un programme notoirement hostile à l’immigration.
Parce que les européens seraient d’horribles racistes qui n’aiment pas les étrangers ? Non, bien au contraire. Mais parce que les européens ont compris que 90% des « migrants » sont des hommes qui ne fuient aucune guerre – l’ONU elle-même a fini par l’admettre (3), parce que les européens constatent que l’islamisme est une menace existentielle, parce que les européens ont déjà accueilli des millions de « migrants » avec une générosité exemplaire en échange principalement de plaintes, de quolibets et même parfois d’émeutes comme récemment à la Grande Synthe.
Les partis « anti-système » continuent de grandir à tel point qu’on peut se demander si ce ne sont pas les partis traditionnels qui sont désormais « hors-système. » En Autriche, en Pologne, en République tchèque, en Hongrie, en Slovaquie, en France, en Angleterre et maintenant en Italie, les européens le disent par le vote : assez de l’immigration !
(1) Comme si la manipulation datait du Brexit et de l’élection de Donald Trump. Renseignez-vous sur Vladimir Illitch Oulianov dit Lénine en 1917. (2) Le terme politiquement correct pour dire « subventionné » c’est-à-dire payé par le travailleur que les médias ne supportent pourtant pas et affublent souvent du sympathique sobriquet « populiste ». (3) La majorité des demandeurs d’asile en France en 2017 viennent d’Albanie, pays qui n’est pas en guerre mais est membre de l’OTAN.
http://www.lepolitique.fr/2018/03/05/en-verite-les-europeens-nen-peuvent-plus-de-limmigration/
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Les vilains fachos ne se cachent plus, ils votent !
pas grave il suffit de ne pas les écouter.
Dernière édition par tonton christobal le Mar 06 Mar 2018, 07:01, édité 1 fois | |
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Auteur | Message |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 24 Nov 2018, 07:41 | |
| Laurent Obertone, la France interdite Publié le 19 novembre 2018 par Jean Paul Brighelli
Il y a des livres que l’on devrait interdire. La désinformation, passée une certaine limite, frôle le criminel. La caricature de la caricature est un jeu dangereux. Laurent Obertone devrait être en prison.
Prenez son dernier livre. Il porte principalement sur les statistiques réelles — prétend-il — concernant l’immigration, dans tous les domaines. Le nombre réel d’immigrés de première ou deuxième génération. Le nombre réel (ou supposé) de ces mêmes immigrés dans les prisons françaises, et leur rapport à la délinquance — comme s’il n’y avait aucune délinquance « française de souche »… Et même le QI de ces mêmes populations, qui serait assez nettement inférieur à celui des Européens. Comme si le sous-développement économique n’était pas la cause première du sous-développement intellectuel : Edwy Plenel, ce phare de la pensée contemporaine, avait évoqué un article sur « l’enfance misérable des frères Kouachi » — « à lire impérativement pour se ressaisir ».Comment lui donner tort ? Classes miséreuses, classes dangereuses. La faute aux nantis.
Sans oublier le traumatisme collectif, hérité des générations ancestrales, de la traite atlantique. Etant entendu qu’il n’y en a jamais eu d’autre, et que Pétré-Grenouilleau, qui a si fort insisté sur la traite sub-saharienne dans son ouvrage sur les Traites négrières (2003), est un raciste mal déguisé… Le collectif DOM (association mémorielle des Antillais, Guyanais, Réunionnais) a fini par retirer sa plainte contre lui — mais a gagné contre Nutrimaine, la société propriétaire du slogan « Y’a bon Banania ». Ce n’était que justice, ce slogan fleurait bon le colonialisme, le protectionnisme, et l’esclavagisme. Bref, le racisme, comme le lui a si bien reproché Claude Ribbe. C’est un ancien Normalien, agrégé de philosophie, il doit savoir ce qu’il dit quand même…
Obertone a dû boire du Banania dans son enfance. Sinon, il ne fournirait pas des arguments chiffrés aux théoriciens — que le diable les patafiole ! — du Grand Remplacement, et autres lecteurs du Camp des saints, ce livre abominable qui racontait — en 1973 — le débarquement sur les côtes varoises d’un million d’immigrés colorés. Quelle horreur.
Je comprends mieux que la presse tombe comme un seul homme sur le dernier ouvrage de Stephen Smith, La ruée vers l’Europe : La jeune Afrique en route pour le Vieux Continent. Disqualifié ! Les statistiques citées par Obertone sont contresignées INSEE ou INED, certes, mais chacun sait, comme l’a encore répété Finkielkraut récemment, que « la sociologie n’est plus la science de la société, mais la science du déni de ce qui s’y passe, statistiques à l’appui. »
Heureusement que Libé est venu remettre de l’ordre dans ce livre épouvantable, en expliquant que non, la France ne cache pas le nombre des enfants et petits enfants d’immigrés. Résumons pour ceux qui répugnent à activer les liens hypertexte : en 2011, environ 30% des moins de 60 ans étaient immigrés, enfants d’immigrés ou petits-enfants d’immigrés. Michèle Tribalat, qui s’est fait une spécialité de ces études démographiques, estimait déjà cette proportion à 25% de la population en 1986 — soit grosso modo 14 millions d’habitants de l’Hexagone. En 2011, les chiffres avaient lentement mais sûrement enflé : pensez donc, étaient arrivés en France 59 000 Polonais et 78 000 Allemands. Sans compter plusieurs Néo-Zélandais…
Non présents dans cette statistique, les Roms forment un groupe diffus dont l’importance varie selon les sources. Obertone a retenu le chiffre de 500 000 personnes, avancé par le Monde : ça ne m’étonne pas qu’un auteur aussi mal embouché s’appuie sur les statistiques d’un journal de désinformation, tiens ! Tant qu’on y est, pourquoi ne pas reprendre les propos de Manuel Valls affirmant que seule une minorité des « gens du voyage », comme on doit dire désormais, a vocation à s’intégrer. Une affirmation qui avait valu à l’ex-premier ministre une poursuite en justice pour incitation à la discrimination raciale — qui n’a pas abouti.
De même, Obertone jongle avec les statistiques de l’immigration clandestine : « Le chiffre de 400 000, dit-il, paraît plus qu’optimiste ». Alors que les immigrés, clandestins ou non, sont « une chance pour la France », comme disait Bernard Stasi en 1984. Stasi a été député et ministre, il ne peut donc pas se tromper. D’ailleurs, l’économiste Hippolyte d’Albis (une profession douée, comme le pape, d’infaillibilité, on le constate chaque jour) a repris le même slogan il y a quelques mois. Une chance, on vous dit.
Au passage, ces diverses références dont je vous accable sont bien la preuve que contrairement à ce que tente de démontrer ce chacal fielleux d’Obertone, les médias n’occultent jamais les problèmes liés à l’immigration, à l’islam, aux clandestins de toutes origines. La preuve ? Ce sont deux journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, les duettistes de Un président ne devrait pas dire ça, qui viennent de publier un livre — Inch’Allah : l’islamisation à visage découvert — racontant comment ils ont osé, au péril de leur vie, passer le périphérique et s’enfoncer en Seine Saint-Denis. Allez, dans le dernier numéro de Causeur, Elisabeth Lévy peut bien en faire des gorges chaudes et expliquer que le Monde vient de découvrir simultanément la lune et l’eau tiède ! Si le Monde le dit, c’est que c’est vrai — et ça ne l’était pas quand Georges Bensoussan ou Barbara Lefèbvre l’affirmaient il y a quinze ans dans les Territoires perdus de la République.Ou quand Jean-Pierre Obin fournissait au ministre Fillon un rapport, en 2004, sur les dérives communautaires dans les collèges et lycées. Tous des islamophobes, à Causeur.
Il n’est pas exclu que d’ici quinze ans, ce même quotidien de référence reprenne les analyses de Laurent Obertone — qui pour l’heure s’appuie forcément sur des chiffres trafiqués et des statistiques truquées. Qui peut croire qu’il y a tant de cas de drépanocytose détectés à la naissance en France ? Le Monde a su éradiquer cette légende qui, comme il dit, excite l’extrême-droite ! Qui peut se laisser berner par Obertone, qui explique que le Nouvel An, qui mobilisait 28 000 policiers en 2007, en exige aujourd’hui (2017) 140 000 ? Les débordements de Cologne n’étaient dus qu’au différentiel culturel entre des gens qui pensent qu’il suffit de tabasser une femme longtemps pour qu’elle dise oui, et des Blancs qui ont inventé successivement la courtoisie, le charme, la galanterie et le libertinage pour arriver au même but, et n’insistent pas lorsqu’on leur signifie que franchement, non…
Je ne suivrai pas davantage l’auteur lorsqu’il soutient qu’un grand nombre des violences exercées contre les professeurs ou les médecins sont le fait de ces minorités opprimées. Rappelons pour finir que la loi de 2004 était une mauvaise loi : les femmes ont bien le droit d’afficher partout leur soumission !
Jean-Paul Brighelli
PS. À quel propos écrivais-je tout ça ? Ah oui, je cherchais pour mes élèves une définition de l’antiphrase : l’art de dire le contraire de ce que l’on pense de façon à ce que l’on comprenne que l’on pense le contraire de ce que l’on dit. Et à quel propos rajouté-je ce post-scriptum ? Bah, quelqu’un chez Causeur m’a dit — et je le crois — que les imbéciles sont légion.
https://blog.causeur.fr/bonnetdane/laurent-obertone-la-france-interdite-002479.html#ligne
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Dim 02 Déc 2018, 13:27 | |
| Les Français jugent négatifs les effets de l'immigration, selon un sondage
AFP, publié le dimanche 02 décembre 2018 à 11h31
Les Français estiment que l'immigration est négative dans une vaste série de domaines comme l'économie, la cohésion nationale, la sécurité, et qu'il n'est pas souhaitable d'accueillir plus d'étrangers, selon un sondage publié par le Journal du dimanche (JDD).
58% des Français jugent négatif le rôle de l'immigration de manière générale, et la tendance se retrouve dans presque tous les thèmes déclinés: croissance (54%), avenir du pays (55%), identité du pays (58%), respect de la laïcité (61%), cohésion de la société (64%), ou encore sécurité (66%).
Plus largement, 64% jugent qu'accueillir des immigrés supplémentaires n'est pas souhaitable, alors que de nombreux clandestins arrivent régulièrement en Europe, et que la question migratoire risque d'être importante dans le débat public avant les élections européennes de mai 2019.
Ce sondage illustre l'hostilité d'une population française qui a intégré de très nombreux immigrés depuis des décennies, un phénomène qui a contribué à transformer la société, le tout dans un contexte économique national peu reluisant.
Les Français sont cependant favorables à l'accueil des populations en danger. 61% pensent que la France doit accueillir les migrants fuyant la guerre et la misère.
Mais ils sont hostiles à la migration économique. 71% considèrent qu'elle permet au patronat de tirer les salaires vers le bas; et 60% qu'il faut choisir ses immigrés en fonction des besoins économiques du pays.
Concernant le contexte européen, et les difficultés de l'Union à trouver une position commune sur la gestion et la répartition des flux migratoires vers l'Europe, les Français sont favorables à une solution nationale, puisque 63% d'entre eux sont pour la suppression des accords de Schengen instaurant la libre circulation des personnes au sein de l'UE, se prononçant ainsi de facto pour un rétablissement des frontières nationales.
De même, ils sont 54% à préférer que l'accueil et la répartition des migrants en Europe soit décidée au niveau national. Mais ils ne sont pas opposés à ce que la France participe à une action concertée d'accueil, puisque 51% sont favorables à ce que la France accueille une partie des migrants qui arrivent sur les côtes grecques, italiennes ou espagnoles.
Le sondage a été réalisé par l'institut Ifop du 23 au 26 novembre, auprès d'un échantillon représentatif de 1.015 majeurs, selon la méthode des quotas. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Lun 03 Déc 2018, 06:53 | |
| La caravane des migrants se disloque au Mexique, faute d'entrer aux États-Unis
Mexique: la désillusion gagne la caravane de migrants après l'échec du passage en force
Les migrants partis du Honduras mi-octobre pour aller aux États-Unis se dispersent désormais à Tijuana (nord-ouest du Mexique), quelque 2.500 d'entre eux seulement étant encore localisés sur les plus de 6.000 arrivés à la frontière américaine, selon un décompte officiel annoncé dimanche à l'AFP.
Pendant plus de deux semaines, près de 6.000 migrants, la plupart des familles honduriennes, ont été hébergés dans un centre sportif par les autorités de Tijuana, dans un quartier excentré, à quelques mètres du mur frontalier.
Mais les fortes pluies et les basses températures qui ont frappé la ville cette semaine ont aggravé les infections respiratoires. Et les autorités ont dû transférer les migrants vers un nouvel abri, dans un centre de spectacles éloigné et à moitié couvert, traversé par des courants d'air glacials.
Quelque 2.000 migrants s'y trouvaient, a dit dimanche à l'AFP Mario Osuna, chargé des Affaires sociales à la mairie de Tijuana.
Mais environ 500 autres sont restés à proximité du premier camp, désormais fermé, et dorment à même la rue, de même source. Ils craignent que les autorités les privent de liberté dans le nouveau refuge ou les expulsent.
Le reste des migrants, c'est-à-dire environ 3.500, "nous ignorons où ils se trouvent, s'ils sont en train de rebrousser chemin ou s'ils cherchent de l'aide pour leur retour", a dit Mario Osuna.
"Beaucoup ne sont pas venus à ce refuge. Ils ont préféré chercher leur chemin, à Tijuana, ou passer de l'autre côté", aux États-Unis, avec l'aide de passeur, a estimé Darwin Martinez, un Hondurien de 28 ans étendant son linge dans le nouvel abri.
Fin novembre, les forces de l'ordre des Etats-Unis ont repoussé quelque 500 migrants qui tentaient de traverser le mur frontalier, en faisant usage de gaz lacrymogènes. Cet épisode a traumatisé de nombreux migrants, qui se sont résignés à retourner dans leur pays d'origine ou à s'installer au Mexique.
Quelque 2.250 d'entre eux se sont inscrits à un programme spécifique qui délivre des visas humanitaires pour résider au Mexique, ainsi que l'accès à la sécurité sociale et à des emplois légaux. L'examen d'un dossier peut cependant durer plusieurs semaines et jusqu'à présent, seule une poignée occupent un emploi, selon les chiffres officiels.
Par ailleurs, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), un organisme des Nations unies, est venue en aide jusqu'à présent à 453 migrants, dont des enfants, qui avaient fait part de leur intention de repartir vers leur pays d'origine. D'autres attendent leur tour.
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Finalement ce "guignol" de trump a été capable de contrôler la frontière des USA avec le Mexique (plusieurs milliers de KM) et curieusement les migrants bien organisés pour forcer le passage y renoncent.
Nous qui avons des dirigeants d'élites à la tête des grands pays européens et des institutions européennes de top niveau devrions sans doute envoyer des stagiaires sur place. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 06 Déc 2018, 09:11 | |
| Immigration : un rapport étrille la politique du gouvernement
/ Jeudi 6 décembre 2018 à 08:142
Crise migratoire. Le Sénat devrait rejeter le projet de loi de Finances sur l’asile et l’immigration ce jeudi, à la lumière d’un rapport très critique sur la politique défendue par le gouvernement.
La commission des lois de la Haute Assemblée présidée par le sénateur Les Républicains de la Manche Philippe Bas n’a pas épargné le gouvernement, rapporte le Figaro. Dans un rapport pour avis sur le projet de loi de Finances sur l’asile et l’immigration, les auteurs en recommandent le rejet pur et simple.
Aucune donnée précise sur le nombre d’étrangers présents Parmi les critiques formulées, le Sénat déplore « l’absence d’effort du gouvernement pour disposer de données précises concernant le nombre d’étrangers présents en situation irrégulière sur le territoire français ». En se basant sur l’aide médicale d’État (AME), le rapport estime que « 315.835 personnes en bénéficiaient au 31 décembre 2017. Dans les faits, le nombre d’étrangers en situation irrégulière est probablement nettement supérieur, car cet indicateur ne permet pas de prendre en compte l’immigration irrégulière à caractère transitoire. »
Huit Français sur dix contre l’immigration La gestion de l’immigration irrégulière constitue une autre des principales critiques adressées dans le rapport. « La lutte contre l’immigration irrégulière demeure toujours le parent pauvre de la politique migratoire. En la matière, les crédits ne représentant que 8 % » de l’ensemble des crédits concernés, déplore la commission des lois du Sénat.
« Neuf obligations de quitter le territoire sur dix ne sont pas exécutées » Le rapport du Sénat rend aussi compte du faible taux d’éloignement des illégaux. « Alors que 103 940 mesures d’éloignement ont été prononcées en 2017, seules 17,5 % d’entre elles ont été réellement exécutées », précise le document. Pour le président de la commission chargée du rapport, le sénateur LR Philippe Bas, « l’éloignement des étrangers en situation irrégulière est une politique en échec : comment pourrait-on se satisfaire de constater que près de neuf obligations de quitter le territoire sur dix ne sont pas exécutées ? »
En conclusion, le rapport estime que le budget pour les crédits de la mission Immigration est tout bonnement insuffisant, car le projet de loi de Finances est construit autour d’une prévision de stabilisation de la demande d’asile en 2019. Une hypothèse irréaliste selon le rapport qui rappelle que « la France reste exposée à une demande d’asile sans précédent, en hausse de près de 19 % début 2018, et à des flux secondaires qui ne se tarissent pas, notamment depuis l’Espagne »
Selon le sénateur LR du Rhône François-Noël Buffet, auteur du rapport : « Malgré des hausses ponctuelles et significatives […], les moyens programmés par le présent budget sont généralement fondés sur des hypothèses peu plausibles et restent notoirement insuffisants au regard de la réalité des phénomènes migratoires auxquels la France est aujourd’hui confrontée. »
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 07 Déc 2018, 19:48 | |
| Les lignes suivantes sont tirées du livre de Laurent Obertone, « La France interdite, la vérité sur l’immigration », l’un des meilleurs tirages récents en Europe.
D’entrée de jeu, Laurent Obertone dit l’essentiel : « L’immigration est l’événement par excellence. Elle est l’information la plus importante de notre siècle. »
La population française ? La voici : 5,4 millions de descendants de Maghrébins, soit 8,3 % de la population ; 2,75 millions de descendants d’Africains subsahariens, soit 4,2 % de la population ; 1 million de descendants d’Asiatiques, soit 1,5 % de la population ; 625 000 descendants de la diversité « autre », soit 1 % de la population ; 600 000 descendants de Turcs, soit 0,9 % de la population ; 500 000 descendants de harkis, soit 0,7 % de la population ; 500 000 Roms, soit 0,7 % de la population ; 400 000 clandestins, soit 0,6 % de la population. Cela nous donne un total de 11,8 millions d’individus issus de la diversité visible, soit 18 % de la population métropolitaine. C’est l’estimation la plus basse qu’il soit possible d’établir avec les chiffres officiels (p. 23). « Ne faites pas 3, mais 5 enfants. Vous êtes l’avenir de l’Europe », a déclaré Recep Tayyip Erdogan aux Turcs d’Europe le 17 mars 2017.
Selon l’INSEE, 783 640 naissances ont été recensées en 2016 en France, 30,9 % de ces nouveau-nés étaient issus de l’immigration.
En 2014, la France consacrait 34,3 % de son PIB à la protection sociale, c’est-à-dire près de 43 000 euros par habitant et par an. En 2016, l’État a versé 56 863 subventions différentes pour un montant total de 4,69 milliards d’euros. En 2013, près de la moitié des ressources des associations, soit 47,2 milliards d’euros, provenaient de l’argent public. En 2016, selon l’Observatoire national de l’action sociale, le montant des seules aides sociales départementales frôlait les 37 milliards d’euros.
Un smicard français gagne en un mois plus qu’un Africain subsaharien en un an, selon la Banque mondiale.
Chaque année, sur les 40 000 demandes de titres de séjour reçues pour raison médicale, la France en accepte les deux tiers avec prise en charge totale.
Sur les 220 000 titres de séjour accordés pour la première fois en 2015, 60 % concernaient des Maghrébins et des Africains d’Afrique noire, 25 % des Asiatiques, Turcs inclus (p. 79).
Selon Eurostat (2016), en un an, le nombre de mineurs non accompagnés a été multiplié par 4. Ils sont à 91 % des garçons venant d’Afrique noire.
L’activité des passeurs représente un chiffre d’affaires de 35 milliards de dollars par an.
Le journal allemand « Bild » du 23 juin 2018 révèle qu’un grand nombre de demandeurs d’asile sont poursuivis dans leur pays pour crimes, meurtre ou terrorisme. Le droit d’asile apparaît comme étant une filière d’immigration, la régularisation d’un acte d’invasion. Le taux officiel de criminalité s’est multiplié par 7 entre 1964 et 1984. Il faut savoir que les chiffres officiellement publiés représentent à peu près le tiers, voire le quart de la réalité (p. 82).
Les expertises médicales menées en Suède, sur 7 858 cas de mineurs étrangers, ont montré que 80 % d’entre eux étaient majeurs.
En 2013, selon le Haut-commissariat des nations unies pour les réfugiés, le nombre total de déplacés dépassait les 51 millions. Les Nations unies estiment qu’en 2025, un milliard de personnes seront déplacées dans le monde.
La population mondiale s’accroît de 83 millions de personnes chaque année.
L’Europe comptera dans 30 ans entre 150 et 200 millions d’Afro-européens contre 9 à l’heure actuelle. Pour la seule France, cela représente 50 millions d’individus (p. 97).
L’Allemagne a déboursé 29 milliards d’euros en 2016 pour l’accueil des réfugiés ; en 2017, 27 milliards.
Et des milliards sont transférés chaque année par les immigrés, vers leurs pays d’origine, notamment en Afrique.
En 2007, 71 % des étrangers infectés par le virus du Sida étaient d’origine africaine. Le seul Sida coûterait à la France plus de 1,1 milliard d’euros de soins par an.
Le risque de catastrophe sanitaire est très élevé. En 2016, l’université de Zurich a décrit le cas d’immigrés venus de la corne de l’Afrique présentant des formes de tuberculose résistantes aux antibiotiques. Le coût de telles prises en charge est considérable.
Les délinquants et criminels issus de l’immigration représentent les deux tiers des crimes et délits commis en France.
L’immigration de quantité alimente sans fin les dépenses publiques.
Les dépenses sociales ont été multipliées par trois en 20 ans.
Les prélèvements obligatoires par 8 en 30 ans. C’est le cas de la France (p. 180).
L’explosion de la criminalité et du chômage a bel et bien suivi celle de l’immigration et de la protection sociale. Immigration et socialisme sont les naufrageurs de la France. En 2016, 400 000 habitants des quartiers « prioritaires » vivaient à 100 % de prestations sociales (p. 124).
La part des prestations sociales dans les revenus des immigrés venus d’Afrique est 6 fois plus importante que celle des natifs qui paient, eux, deux fois plus d’impôt.
L’Europe, qui s’est battue pendant des siècles pour empêcher toute progression de l’islam sur son sol, se bat aujourd’hui pour la favoriser.
La distribution de la nationalité française : il existe plus de 3 millions de binationaux, très largement aux origines africaines. Ils votent.
La première religion de Seine Saint-Denis est l’islam. Depuis 2002, le prénom le plus donné est Mohamed.
C’est par milliers que les Juifs quittent aujourd’hui la France islamisée. En France, les Subsahariens ont des taux de criminalité et de chômage respectivement 8 et 2 fois supérieurs à ceux des natifs.
On a trouvé à Bobigny un Malien aux 46 enfants qui, à ce titre, recevait 7 000 euros par mois d’allocations.
0 % des étudiants africains et 1 à 3 % des étudiants maghrébins atteignent le niveau de compétence élevée en mathématique, contre 81 % des étudiants de Hong Kong et 61 % des étudiants japonais. Au nom de la lutte contre la discrimination raciale, nous aurons des aveugles africains pilotes de ligne, ce n’est qu’une question de temps (p. 293) !
« Dès le début du quinquennat, je veux créer du logement très social de manière massive, a déclaré Emmanuel Macron le 16 avril 2017. » Il s’est par ailleurs déclaré favorable à l’invasion migratoire en élargissant le regroupement familial.
Nous sommes sur la voie d’un effondrement progressif dont nous ne nous relèverons pas (p. 344).
Les problèmes évoqués ci-dessus sont insolubles. Mais si un lecteur avait par extraordinaire la solution, qu’il veuille bien la communiquer aux « 4 Vérités ».
L’utopie socialiste, c’est le refus du réel. « La carotte peut bien être en plastique, pourvu que l’âne avance » (p. 371), ajoute, non sans humour, Laurent Obertone !
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 15 Déc 2018, 13:13 | |
| Immigration : débat interdit par Edouard Philippe PUBLIÉ PAR ADROITE LE 15 DÉC, 2018 DANS BLOG
Dans son intervention télévisée, lundi dernier, Emmanuel avait lancé une grande campagne de concertation organisée autour de 5 thèmes. Le dernier thème avait surpris nombre d’observateurs puisqu’il portait sur l’immigration, sujet tabou par excellence dans la classe politique française, particulièrement à gauche.
Le libellé du thème de réflexion avait renforcé également cet étonnement :
Quelles sont les attentes et les inquiétudes des Français relatives à l’immigration, dans un contexte de mondialisation et de laïcité parfois bousculée ?
C’était un très beau thème de débat mais pour un débat impossible en France. On se rappelle tous, en 2009, le fiasco du débat sur l’identité nationale lancé par Nicolas Sarkozy et Eric Besson. Un débat clairement saboté par la gauche et les médias !
Ce thème a immédiatement fait l’objet d’une bronza et d’une mobilisation de SOS Racisme avec une déclaration de guerre de son président Dominique Sopo :
Les propos avaient beau être le plus elliptiques possibles, chacun comprendra qu’ils n’augurent rien de bon. Que les choses soient claires : toute tentative consistant à jeter les immigrés en pâture des frustrations sociales sera combattue sans relâche par SOS Racisme »
Des sondages récents ont montré que les Français étaient très préoccupés par l’immigration et qu’une majorité voulait la contrôler sérieusement voire la stopper !
Censure du débat ! Et bien, cette majorité de Français vient de se voir privé de ce débat promis puisque – à la satisfaction de SOS Racisme – le thème a été purement et simplement supprimé sans autre forme de procès !
Et devinez qui s’est fait le grand censeur de ce débat ? Vous pensez sûrement que c’est un homme de gauche, pour qui débattre de l’immigration, c’est déjà faire preuve d’islamophobie et que, pire, ça ferait le jeu du Rassemblement national !
Et vous avez raison, puisqu’il s’agit d’Edouard Philippe qui a déjà trahi son camp – les Républicains – en rejoignant le gouvernement d’Emmanuel Macron.
Il s’inscrit dans la même logique que ce député de LaREM que j’ai entendu justifier son opposition au référendum d’Initiative citoyenne (RIC) de la façon suivante :
Rendez-vous compte : les Français interrogés pourraient s’opposer à l’immigration !
Oui, effectivement, on se rend bien compte des limites de la notion de démocratie à la République en marche !
Le vrai visage du juppéisme C’est le véritable visage du juppéisme – celui du centre gauche mou du genou – qui vient de s’afficher dans cette décision d’Edouard Philippe !
On peut aussi se poser des questions : Qu’est devenue l’autorité de Jupiter ? Comment tolère t-il que le premier ministre annule ses décisions ? Edouard Philippe a t-il un moyen de pression sur Emmanuel Macron ? Un dossier ? Sur les comptes de campagne du candidat Macron ? Sur son patrimoine ? | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mar 18 Déc 2018, 08:21 | |
| Dépenses pour l’immigration : les tabous français17 DÉCEMBRE 2018 | POLÉMIA Par Paul Tormenen, juriste En cette période de fronde des gilets jaunes, le gouvernement est contraint de lâcher du lest. Des mesures en faveur du pouvoir d’achat ont été annoncées, sous la contrainte. Contrairement aux dépenses pour l’immigration qui échappent aux règles d’une politique qui s’affiche comme « maîtrisée » et rigoureuse.En la matière, le gouvernement semble vouloir donner sans cesse plus de moyens pour accompagner un phénomène qui le dépasse. La préparation du budget 2019 de l’Etat et des collectivités territoriales nous le montre de façon évidente, tant en qui concerne la prise en charge des mineurs étrangers, l’aide médicale d’Etat que les crédits pour l’asile et l’immigration. Alors que des pays européens voisins prennent des mesures pour freiner l’afflux de migrants essentiellement économiques, la France poursuit une politique qui s’apparente de plus en plus à une fuite en avant. La prise en charge des mineurs étrangerss Le congrès des Départements de France qui s’est tenu à Rennes le 7 novembre 2018 a été l’occasion d’évoquer l’explosion du nombre d’arrivées de mineurs étrangers en France et du budget des départements pour les prendre en charge. Selon les dernières estimations de l’Assemblée des Départements de France (1), les services sociaux des conseils départementaux français auraient accueilli, en 2017, 25 000 Mineurs non accompagnés (MNA) au titre de l’Aide Sociale à l’Enfance. Ce chiffre atteint 40 000 en cette fin d’année 2018. Un rapport établi par différentes administrations (2) paru en début d’année indique que « le nombre de MNA intégrant les dispositifs de protection de l’enfance a triplé entre 2014 et 2017 ». La motivation des jeunes étrangers est résumée sobrement : « la protection de l’enfance est donc d’autant plus attractive pour ces jeunes migrants qu’il s’agit souvent du seul moyen de pouvoir bénéficier d’une prise en charge et espérer obtenir à terme une régularisation administrative ». En termes de coût, la note pourrait atteindre pour les seuls départements 1,5 milliard d’euros, voire 1,9 milliard d’ici la fin de l’année, selon le Président du conseil départemental de Seine-et-Marne (3). La prise en charge de chaque jeune est quant à elle évaluée annuellement à 50 000 euros. Il faut ajouter à ce montant les frais d’évaluation de la minorité pris en charge par l’Etat et les actions d’insertion des jeunes qui sortent de l’Aide Sociale à l’enfance à leur majorité. Quelles conclusions les rapporteurs ont-ils tirées de leur enquête ? Changer la législation pour freiner cette nouvelle filière d’immigration ? Hors de question. « Toute évolution institutionnelle devra respecter les engagements internationaux de la France notamment l’article 3-1 et l’article 20 de la convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) qui prévoient que tout enfant qui est temporairement ou définitivement privé de son milieu familial a droit à une protection et une aide spéciale de l’Etat », peut-on lire dans le rapport. Les deux principales pistes que préconisent les rapporteurs pour répondre à ce phénomène sont une meilleure prise en charge financière par l’Etat de l’évaluation de la minorité des jeunes étrangers et la création d’un fichier national des évaluations. Une position qui est également celle du Premier Ministre, qui écarte les « mesures visant à dissuader l’arrivée de ces mineurs » (4). Une comparaison des conditions d’ « accueil et de prise en charge des mineurs non accompagnés dans huit pays de l’Union européenne » a été effectuée en 2010 par plusieurs Organisations Non Gouvernementales (5). Il en ressort que la France est, dans le panel des 8 pays retenus, parmi ceux qui ont les conditions les moins restrictives. Ceci explique peut-être cela. Une question reste taboue dans le débat public : l’Aide Sociale à l’Enfance a-t-elle vocation à favoriser une immigration massive, quel qu’en soit le coût pour la collectivité ?L’Aide médicale d’EtatTout au long de l’année, la question des crédits alloués à ce dispositif disparaît des radars médiatiques pour ne réapparaître qu’au moment de la discussion parlementaire sur le budget de l’Etat. L’année 2018 ne fait pas exception à la règle. La majorité à l’Assemblée nationale a récemment voté une augmentation de 54 millions d’euros du budget de l’AME, qui passera en 2019 à 934 millions d’euros (6). A un tel rythme de progression, le milliard d’euros dédié aux soins des étrangers en situation irrégulière semble proche. Un rapport parlementaire (7) présenté en 2015 pointait, là aussi, le fait que « les modalités de prise en charge adoptées par nos voisins européens conduisent à une dépense beaucoup plus contenue ». Le panier de soins, la participation aux frais, l’encadrement de la prise en charge, autant de modalités différentes de celles de la France qui ne font pas de nos voisins des « sans cœurs », mais qui contribuent à éviter des dérives en tous genres. Pourtant, l’alignement sur d’autres pays européens pour réduire l’envolée de ce type de dépenses ne semble pas à l’ordre du jour. Crédits pour l’asile et l’immigrationCes crédits concernent différentes mesures consacrées au traitement des demandes d’asile et à la prise en charge des nouveaux entrants sur le territoire français. Le budget de l’Etat pour l’intégration augmentera en 2019 de 200 millions d’euros pour attendre 1,58 milliard d’euros ( . Une hausse de 14 % par rapport à 2018, dans un contexte de disette budgétaire (le budget général de l’Etat augmentant de + 0,6 %). Les prévisions gouvernementales tablent sur une stabilisation des demandes d’asile, alors que celles-ci progressent fortement depuis le début des années 2010. La France est d’ailleurs un des rares pays européens qui ne connaît pas de baisse de la demande d’asile (9). Une démarche qui semble être un sésame pour rester en France. Comme l’indique un rapport de la Cour des comptes (10), les déboutés du droit d’asile restent en effet ultra-majoritairement sur le territoire français. Le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF) notifiées aux personnes déboutées du droit d’asile était en effet de 6,8 % lors de la rédaction du rapport, en 2015. Parmi les différentes mesures, les moyens consacrés au « programme « Intégration et accès à la nationalité française » augmentent de 40%, pour s’établir à 395 millions d’euros contre 282 millions en 2018. Pendant ce temps, des pays européens plafonnent le nombre des demandeurs d’asile à leurs capacités d’accueil. On peut citer l’Autriche (11), l’Allemagne (12), le Danemark (13), la Suède (14), la Belgique (15). Cette question est taboue en France. Pourtant, l’accueil d’étrangers n’est-il pas tributaire de l’effort qu’un pays décide d’y consacrer ? La France a instauré de fait un droit de tirage à double détente : tout étranger peut faire une demande d’asile en France, y compris les ressortissants de pays sûrs, les déboutés restent sur le territoire et sont pris en charge par le système social le cas échéant.Dans les différentes mesures dédiées à l’immigration, un mot semble banni, celui de la limitation de l’accès, dans un contexte de pression migratoire massive et de contrainte budgétaire. Combien de temps cette situation va-t-elle être considérée comme soutenable ? Si en France les réponses se font attendre, certains pays européens n’ont pas attendu pour prendre des initiatives en la matière. Paul Tormenen 17/12/2018 (1) Assemblée des Départements de France. 18 novembre 2018 (2) Rapport de la mission bipartite de réflexion sur les mineurs non accompagnés. IGA, IGAS, IGJ et ADF, 15 février 2018 | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mer 19 Déc 2018, 13:46 | |
| L’article suivant du Gatestone Institute rend compte de ce durcissement de l’Italie vis-vis de l’immigration
Le Parlement italien a voté une nouvelle loi qui durcit les conditions d’accueil des migrants, facilitera l’expulsion des délinquants et déchoira de la nationalité italienne les auteurs de crimes terroristes.
Le 28 novembre, la chambre basse du Parlement italien, la Camera dei Deputati, a approuvé par 396 voix contre 99 la nouvelle loi proposée par le ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini. Le 7 novembre, le texte avait déjà passé victorieusement le test du Sénat. La nouvelle législation a été promulguée par le président Sergio Mattarella le 3 décembre. Également connue sous le nom de « décret sur la sécurité » ou « décret Salvini », la nouvelle loi énumère plusieurs dispositions essentielles : Fin du régime de protection dit humanitaire. L’un des principaux objectifs de la nouvelle loi est de limiter le nombre de migrants éligibles à l’asile en Italie. Ainsi, l’article premier du décret supprime les permis de séjour accordés au titre de la protection humanitaire ; une protection accordée auparavant à ceux qui ne pouvaient prétendre au statut de réfugié. La protection humanitaire était l’une des trois formes de protection accordées aux demandeurs d’asile, aux côtés de l’asile politique et de la protection subsidiaire. Les conditions requises pour en bénéficier étaient vagues et susceptibles d’abus. Les migrants non éligibles à l’asile politique et à la protection subsidiaire mais qui obtenaient une protection humanitaire disposaient d’un permis de séjour qui durait deux ans et ouvrait droit à l’emploi, aux aides sociales et à un logement. En vertu de la nouvelle loi, l’asile ne sera accordé qu’aux réfugiés de guerre ou aux victimes de persécutions politiques. Pour les problèmes de santé ou en cas de catastrophe naturelle, la nouvelle loi institue des titres de séjour spéciaux d’une durée maximale de six mois à un an. Prolongation de la période de détention. L’article 2 double la durée de détention des migrants – de 90 jours à 180 jours – dans les centres de rapatriement (Centri di permanenza per il rimpatrio, CPR). Cette extension correspond à la période jugée nécessaire pour vérifier leur identité et la nationalité d’origine. L’article 3 prévoit que les demandeurs d’asile pourront être détenus pendant une période maximale de 30 jours dans des « camps de migrants » (hotspots) situés aux frontières extérieures de l’Union européenne. Si l’identité n’est pas établie dans les 30 jours, les demandeurs d’asile pourront également être détenus dans des centres de rapatriement pendant 180 jours. En d’autres termes, les demandeurs d’asile peuvent être détenus pendant 210 jours aux fins de vérification de leur identité. Augmentation des fonds pour l’expulsion. L’article 6 augmente le budget du financement de l’expulsion : 500 000 euros en 2018, 1,5 million d’euros en 2019 et 1,5 million d’euros en 2020. Révocation de la protection. L’article 7 élargit la liste des délits pouvant entraîner une révocation du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire : menaces ou violences à l’encontre d’un fonctionnaire ou d’un représentant de l’ordre public ; agression physique ; mutilation génitale féminine ; et diverses condamnations liées au vol. Une demande d’asile peut également être suspendue si le demandeur se trouve incriminé dans une procédure pénale pour l’un des délits susmentionnés. Une condamnation entraînera un refus automatique de l’asile. En outre, les réfugiés qui retournent au pays d’origine, même pour un court séjour, perdront leur protection internationale et subsidiaire. Mise en place d’une liste des pays d’origine dits non-à-risque. L’article 7 bis prévoit d’établir une liste des pays d’origine non-à-risque, c’est-à-dire des pays dotés de systèmes politiques démocratiques ou, de manière « générale et uniforme », les risques de persécution politique, de torture, de peines ou traitements inhumains ou humiliants, de menaces de violence ou de conflit armé sont absents. Douze pays de l’UE disposent déjà de telles listes destinées à prévenir les abus au droit d’asile, qu’il soit européen ou national. Le décret oblige les demandeurs d’asile originaires de l’un ou l’autre des pays de la liste à apporter la preuve qu’ils courent un danger en restant au pays d’origine. De nouvelles dispositions ont été introduites pour disqualifier une demande d’asile « manifestement non fondée » : déclarations incohérentes ; faux renseignements ou faux papiers ; refus de prise d’empreintes digitales ; ordonnances d’expulsion ; menaces de troubles à l’ordre public ; clandestins qui n’ont pas immédiatement demandé l’asile. Outre la liste des pays d’origine dits non-à-risques, l’article 10 institue le principe de « fuite interne » : « si un étranger peut être rapatrié dans une région de son pays d’origine où il ne court aucun risque de persécution, l’application pour la protection internationale est rejetée ». Réduction du nombre de centres d’accueil pour demandeurs d’asile. L’article 12 stipule que, seuls les mineurs non accompagnés et les personnes pouvant prétendre à une protection internationale seront autorisés à loger en centres d’accueil pour demandeurs d’asile et réfugiés (Sistema di protezione per richiedenti asilo e rifugiati, SPRAR), soit le système d’accueil ordinaire géré par les municipalités italiennes. Tous les autres demandeurs d’asile seront logés dans les centres d’accueil extraordinaire (Centri di Accoglienza Straordinaria, CAS) et dans les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (Centri di Accoglienza de Richiedenti Asilo, CARA). Les changements visent non seulement à rétablir un contrôle central du processus d’asile, mais également à limiter l’accès aux services sociaux, à l’exception des plus élémentaires. Déchéance de la nationalité. L’article 14 prévoit la déchéance de la nationalité italienne pour toutes les personnes qui l’ont acquise postérieurement à leur naissance et qui ont été reconnues coupables de crimes liés au terrorisme. Les personnes susceptibles de voir leur nationalité révoquée sont : les étrangers ayant acquis la citoyenneté après dix ans de résidence en Italie ; les apatrides qui ont acquis la citoyenneté après cinq ans de résidence en Italie ; les enfants d’étrangers nés en Italie qui ont acquis la citoyenneté après l’âge de 18 ans ; les conjoints de citoyens italiens ; et les étrangers adultes qui ont été adoptés par un citoyen italien. La déchéance de la citoyenneté sera rendue possible dans un délai de trois ans à compter de la dernière condamnation pour crimes liés au terrorisme, par décret du président de la République sur proposition du ministre de l’Intérieur. L’article 14 augmente également le délai d’attente pour obtenir la citoyenneté de 24 mois à 48 mois. Renforcement des mesures de sécurité. La nouvelle loi a également renforcé les règles visant à garantir la sécurité publique, tant en matière de lutte contre le terrorisme que contre l’infiltration criminelle dans les marchés publics. Afin de prévenir les attaques à la voiture bélier dans des lieux piétonniers, l’article 17 oblige les loueurs de véhicules à contrôler davantage les personnes qui louent des camions et des fourgonnettes. L’article 19 autorise les polices municipales des villes de plus de 100 000 habitants à utiliser des pistolets tasers, tandis que l’article 24 renforce les lois anti-mafia et les mesures de prévention. La mafia italienne a été régulièrement accusée de profiter de la crise migratoire. Lors d’une conférence de presse, le ministre de l’intérieur, Salvini, a déclaré que la nouvelle loi permettra de remédier aux dysfonctionnements du droit d’asile. « Avec des critères, du bon sens et d’excellents résultats, nous avons mis de l’ordre, des règles, du sérieux, de la transparence et de l’homogénéité dans le système d’accueil des demandeurs d’asile, devenu une marchandise, un business hors contrôle financée par le peuple italien. » Il a ajouté : « Nous devons accueillir les réfugiés qui fuient les guerres, mais les migrants économiques n’ont pas leur place en Italie. À l’ère de la communication mondiale, un message clair est envoyé aux migrants de tous les pays et aux passeurs ; ils doivent comprendre qu’ils doivent changer de travail. Celui qui fuit la guerre est mon frère, mais celui qui vient ici pour vendre de la drogue et créer du désordre doit retourner dans son pays. » La nouvelle loi a été vertement condamnée par les principaux médias italiens, les partis politiques de gauche, ainsi que par des ONG et d’autres groupes s’occupant d’immigration. Salvatore Geraci, de Caritas Italie, la filiale italienne d’une association caritative, a décrit la loi comme « la pire de l’histoire italienne » et comme « pathogène, inutile et nuisible ». Il a ajouté: « Le texte mélange préjugés et calculs électoraux et représente une approche simpliste d’un phénomène complexe et articulé. » Salvini a rétorqué : « Je crois que ceux qui contestent le décret sur la sécurité ne l’ont tout simplement pas lu. Je ne comprends pas où est le problème : il expulse les criminels et intensifie la lutte contre la mafia, le racket et le trafic de drogue. » Salvini, chef du parti anti-immigration Lega (Ligue), participe à un gouvernement de coalition avec le mouvement populiste Cinq Etoiles (M5S) depuis le 1er juin. Le programme du gouvernement, un plan d’action en 39 pages, a promis de juguler l’immigration clandestine et d’expulser jusqu’à 500 000 migrants illégaux. L’Italie est l’une des principales portes d’entrée en Europe des migrants arrivant par voie maritime : 119 369 personnes ont traversé la Méditerranée en 2017, contre 181 436 en 2016 indique l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Près de 700 000 migrants sont arrivés en Italie au cours des cinq dernières années, mais depuis l’arrivée au pouvoir de Salvini, leur nombre a fortement décru. Selon l’OIM, 23 000 migrants seulement sont arrivés au cours des onze premiers mois de 2018. En même temps que le décret, Salvini a annoncé que l’Italie ne signerait pas le Pacte mondial pour les migrations des Nations Unies et que les autorités italiennes ne se rendraient donc pas à la conférence de Marrakech (Maroc), les 10 et 11 décembre. Le Pacte mondial non seulement fait de la migration un droit de l’homme, mais veut pénaliser toute critique du mouvement migratoire au titre de la législation sur les crimes de haine. Le 28 novembre, le Premier ministre Giuseppe Conte a déclaré devant le Parlement : « Le Pacte mondial pour la migration pose des questions et des problèmes qui préoccupent nombre de nos concitoyens. Par conséquent, nous estimons nécessaire d’en débattre au parlement. Une décision sera prise à l’issue de ce débat, comme en Suisse. Le gouvernement ne se rendra pas à Marrakech, et adoptera ou non le Pacte de l’ONU une fois que le Parlement se sera exprimé. » Plus d’une douzaine de pays ont annoncé qu’ils ne signeraient pas l’accord. Les pays occidentaux comprennent : l’Australie, l’Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République Tchèque, la Hongrie, Israël, l’Italie, la Lettonie, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la Suisse et les États-Unis. Soeren Kern est Senior Fellow du Gatestone Institute de New York. AU moment où Emmanuel Macron s’enfonce dans les sondages en dénigrant Matteo Salvini, ce dernier ne cesse de renforcer sa popularité. A méditer … | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mer 19 Déc 2018, 15:38 | |
| Puisqu'il est question de Salvini, on peut rappeler qu'il est le premier à s'indigner que la France (donc le président et gouvernement actuels) s'obstine à ne pas vouloir de tous les migrants dont l'Italie ne veut pas et qu'elle veut nous faire accueillir. Comme quoi, la France n'est visiblement pas assez laxiste, pour le gouvernement italien intraitable sur l'immigration chez lui Et Marine le Pen, sur ce sujet, quel accord négocierait-elle avec son ami Salvini ? Là je ne vois pas, sinon la fin de leur belle amitié. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mer 19 Déc 2018, 15:57 | |
| c'est curieux cette idée fixe de la politique fiction qui voudraient que ceux qui ne sont pas au pouvoir soient coupables des imbécillités commises par ceux qui y sont...
POur savoir ce qu'elle ferait il suffit de la nommer présidente, le roi macron abdique et le tour est joué.
NB c'est tout de même macron qui reprochait aux Italiens de bloquer les arrivées de migrants... c'était le quart d'heure humaniste.
En voulant shooter les migrants l'Italie est dans la logique européenne : on reçoit et on va répartir pour décider après de ce que l'on fait... donc il veut répartir. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 20 Déc 2018, 12:35 | |
| Immigration: le débat promis ne viendra pas En France, il est (toujours) interdit de parler de ce sujet parNicolas Lévine - 20 décembre 2018
En plus d’annoncer aux gilets jaunes des mesures économiques en trompe-l’œil, le président Macron évoquait, le 10 décembre dernier, la tenue d’un débat sur l’immigration. Mais comme les fois précédentes, la causerie nationale sera probablement biaisée.
L’autre soir, tandis que le président de la République menait l’opération Enfumage d’hiver devant vingt millions de Français, il évoqua, parmi les cinq débats donnés à son bon peuple comme un os à ronger, la tenue d’un sur le thème de l’immigration. Trop concentrée, à juste titre, sur les offrandes économico-sociales du jeune premier d’Amiens, la presse ne creusa pas immédiatement ce point.
Au bon souvenir de Sarkozy Une fois prouvée l’entourloupe de la hausse du SMIC et de la baisse de la CSG, des journalistes, les plus émotifs, les plus obsédés, s’attaquèrent à cette annonce parfaitement imprévisible. Il faut comprendre que nombre de journalistes, en leur qualité de gardiens d’une certaine idée de la démocratie, se sont difficilement remis de la création, en 2007, d’un ministère dédié à l’immigration. En ce temps-là, Nicolas Sarkozy, à la droite d’Hitler selon Le Nouvel Obs, venait d’être élu « sur la peur » de l’étranger. Le fidèle Hortefeux, avec ses airs d’assureur libertin de sous-préfecture, recevait ce maroquin de la honte. La presse de gauche, le monde universitaire, les chansonniers voyaient déjà des rafles et des trains filant vers la Pologne. L’heure était à la résistance.
Finalement, bien sûr, il n’y eut ni rafles ni trains. Ici comme ailleurs, Nicolas Sarkozy s’arrêtait au stade de l’annonce ou plutôt de son effet. Gouvernant par les « signes », la « séquence identité » était destinée aux électeurs du FN, qu’il voulait séduire en irritant les immigrationnistes. Très vite, la dureté affichée durant la campagne – « La France, tu l’aimes ou tu la quittes » – et juste après céda la place au sempiternel « comme avant ».
Loin de brider les flux migratoires, Hortefeux fit mine de les organiser, se payant au passage une chouette tournée en Afrique durant laquelle il signa des accords sans consistance avec plusieurs États. Ces images rassuraient peut-être le militant UMP convaincu que la vie est une négociation. Mais en vérité, le rythme des arrivées sur le territoire français ne diminua pas ; celui des reconduites aux frontières, non plus.
Les paroles, les paroles, les paroles… En fait d’immigration choisie, il s’agissait bien davantage, comme avant, du choix de l’immigration, supposément indispensable au fonctionnement de notre pays et de toute façon techniquement et humainement impossible à juguler. Éric Besson, le Iago de la Drôme, devait reprendre le flambeau. Décevant dans le rôle de Goebbels, il déclarait notamment en janvier 2010 à La Courneuve : « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France du métissage. » Cette profession de foi et la réalité de la politique migratoire du gouvernement Fillon auraient dû apaiser les immigrationnistes ; toujours insatisfaits, ces derniers continuaient de définir le quinquennat en cours comme un Reich de cinq ans. C’est le simple fait de vouloir, du moins en mots – et ça ne va jamais plus loin, et ça ne dépasse jamais le temps des campagnes électorales – contrôler les flux migratoires qui leur est insupportable ; ils ne consentiront à sourire que lorsque la planète entière habitera la France. Depuis cette époque, en tout cas, nul n’avait osé chatouiller le parti de l’Autre.
Depuis 1976, on n’a jamais demandé aux Français leur avis sur l’immigration Ce ne sera pas aujourd’hui non plus. Quelques jours après l’annonce de ce débat qui nous aurait évidemment ramené « aux heures les plus sombres de notre histoire », Matignon l’a enterré. Énième couac au sein de l’exécutif, qui les a multipliés durant cette crise, manifestant un terrible amateurisme ? Pression des députés de la majorité redoutant de devoir broder sur un thème qui au mieux les indiffère, au pire les dégoûte ? Au fond, peu importe pourquoi. Qui a pu croire un seul instant, sinon les immigrationnistes cachés dans un maquis imaginaire, que le président de la République était prêt à affronter ce sujet pourtant capital ? Depuis 1976 et le regroupement familial, on n’a jamais demandé aux Français leur avis sur l’immigration. Comment Emmanuel Macron, champion libéral, pourrait-il rompre le silence imposé par ceux pour qui le monde doit être un flux permanent de biens et de personnes ? Comme Hollande avait, dans un moment d’égarement, songé à l’évidente déchéance de nationalité pour les islamistes binationaux enragés, son ancien ministre de l’Économie, sans doute pour sonder sa gauche, a laissé échapper cette idée de débat. Le jour-même, un vague secrétaire d’État avait signé au nom de la France le pacte de Marrakech. C’est encore mieux que de la duplicité : ces gens-là nous prennent vraiment pour des imbéciles.
Démocratie choisie Il est interdit de parler d’immigration. En démocratie, aucun sujet ne devrait être « tabou », mais il est de plus en plus clair que le système tend à l’oligarchie. Bruno Bonnell, député LREM du Rhône, expliquait ces jours-ci à la télévision que le référendum d’initiative populaire (ou citoyenne) n’était pas souhaitable parce que le peuple risquait de réclamer le rétablissement de la peine de mort ou… l’arrêt de l’immigration. Oui, et alors ? Depuis quand les représentants du peuple doivent-ils en limiter l’expression et en trahir la volonté ? La crise sociale, on le voit bien, se double d’une crise politique encore plus grave ; c’est la démocratie représentative qui ne fonctionne plus ; elle est entre les mains d’une élite économique et culturelle qui a fait sécession du corps social et entend dicter à celui-ci sa conduite. Pour ce faire, outre une propagande digne de l’URSS, l’élite n’hésite pas à se montrer violente, comme elle l’a été avec les gilets jaunes.
Le pouvoir est confisqué. C’est d’une révolution démocratique que nous avons besoin. Le printemps devrait être favorable aux peuples européens. Du reste, une victoire, même nette, ne sera pas suffisante. Ces gens-là seraient capables d’appeler l’OTAN à la rescousse.
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| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 20 Déc 2018, 17:01 | |
| Au sujet de MLP - Citation :
- POur savoir ce qu'elle ferait il suffit de la nommer présidente, le roi macron abdique et le tour est joué.
Je préfère élire à nommer. Mais justement, l'enjeu d'une élection ne se réduit pas à sortir les sortants. Un élément essentiel de campagne électorale est la comparaison entre les sortants et la concurrence, soit plusieurs aspirant(e)s. Il est donc normal et raisonnable de se demander, au cas par cas, si et ce que les aspirant(e)s feraient en mieux. Et aussi, qui ferait pire. Et si personne ne passe le test de qualification ? Il reste la possibilité de vote blanc. La migration, aussi... Une conclusion de La Fontaine (" les grenouilles qui demandent un roi") : (..) " De celui-ci contentez-vous, De peur d'en rencontrer un pire." http://www.lafontaine.net/lesFables/afficheFable.php?id=47 | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 20 Déc 2018, 18:52 | |
| - Salamandre a écrit:
- Au sujet de MLP
Je préfère élire à nommer. Mais justement, l'enjeu d'une élection ne se réduit pas à sortir les sortants. Un élément essentiel de campagne électorale est la comparaison entre les sortants et la concurrence, soit plusieurs aspirant(e)s. Il est donc normal et raisonnable de se demander, au cas par cas, si et ce que les aspirant(e)s feraient en mieux. Et aussi, qui ferait pire. Et si personne ne passe le test de qualification ? Il reste la possibilité de vote blanc. La migration, aussi...
Une conclusion de La Fontaine ("les grenouilles qui demandent un roi") : (..) "De celui-ci contentez-vous, De peur d'en rencontrer un pire." http://www.lafontaine.net/lesFables/afficheFable.php?id=47 Ii faut savoir ce que l'on veut : Mme Le Pen n'a jamais été au pouvoir et on ne prive pas de critiquer ce qu'elle pourrait faire si elle y était. N'ayant jamais été élue soit on la nomme y compris contre le suffrage universel pour la mettre à l'épreuve soit on ne la met pas en cause... Si on est de bonne foi ou que l'on dispose d'un minimum d'intelligence on ne peut pas accuser une personne de faits qu'elle n'a pas commis et qui plus est n'a jamais été en mesure de commettre. Pour savoir ce qu'elle ferait soit on la nomme soit on vote pour elle ce qui ne se fait pas encore à ce jour toute autre hypothèse est soit stupide soit malhonnête... à chacun de choisir sa catégorie. Maintenant comme nous sommes dans un pays libre et que chacun peut s'exprimer... tout est possible y compris de persévérer dans la manip à deux sous. | |
| | | Salamandre
Messages : 5019 Date d'inscription : 08/01/2012
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 20 Déc 2018, 20:21 | |
| Comme il y a beaucoup de candidat(e)s, à la présidentielle ou ailleurs, qui n'ont jamais été présidents, ni ministres, souvent pas maire ou parlementaire ni même pas élu, et qu'on ne peut pas les essayer à tour de rôle pendant 5 ans avant de décider, il faut bien essayer d'anticiper avec les éléments dont on dispose (déclarations, discours, projets, programme, métiers, etc). Sans oublier que MLP est député européenne depuis un temps suffisant pour voir son bilan, sinon côté résultats, au moins côté participation (et/ou absentéisme). | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 20 Déc 2018, 21:04 | |
| - Salamandre a écrit:
- Comme il y a beaucoup de candidat(e)s, à la présidentielle ou ailleurs, qui n'ont jamais été présidents, ni ministres, souvent pas maire ou parlementaire ni même pas élu, et qu'on ne peut pas les essayer à tour de rôle pendant 5 ans avant de décider, il faut bien essayer d'anticiper avec les éléments dont on dispose (déclarations, discours, projets, programme, métiers, etc).
Sans oublier que MLP est député européenne depuis un temps suffisant pour voir son bilan, sinon côté résultats, au moins côté participation (et/ou absentéisme). Les avis c'est comme le trou du cul... tout le monde en a un. Pour ma part je ne fais pas de procés surtout d'intention. Il y a assez à faire en jugeant les gens sur leurs actions et non sur ce que l'on leur impute de plus ou moins bonne foi. Pour ce qu'il en est des prestations des uns ou des autres dans les institutions européennes... le plus simple serait à mon avis de fermer la boutique en attendant qu'elle puisse (peut être) redémarrer sur de nouvelles bases... persévérer dans les conditions actuelles serait une catastrophe. A terme même les plus chauds partisans de l'usine à gaz finiront par se mordre les doigts de leur aveuglement volontaire. Le seul dommage étant que dans le naufrage ceux qui l'auront provoqué ne seront pas les victimes principales. (comme d'habitude en pareil cas) | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 21 Déc 2018, 07:21 | |
| L’Autriche veut suspendre la naturalisation des Turcs Par Auteur valeursactuelles.com / Jeudi 20 décembre 2018 à 09:55 6
Immigration. Le FPÖ, parti de la coalition de Sebastian Kurz, justifie cette position par l’absence de coopération de la Turquie dans sa traque aux binationaux, interdits en Autriche.
L’Autriche poursuit son virage anti-immigration, amorcé depuis les débuts de la coalition au pouvoir. Le pays a en effet annoncé vouloir suspendre la naturalisation des Turcs, relate Le Monde. Une prise de position qui intervient après une décision de la Cour constitutionnelle jugeant illégal un programme de déchéance de nationalité.
Heinz-Christian Strache, le vice-chancelier (FPÖ, Parti de la liberté d’Autriche) a justifié cette mesure, mardi 18 décembre, par l’absence de coopération de la Turquie, dans le cadre d’une enquête qui doit vérifier si des milliers de citoyens autrichiens d’origine turque n’avaient pas gardé ou récupéré leur ancienne nationalité, ce que la loi autrichienne interdit.La double nationalité n’est en en effet pas reconnue en Autriche.
Débusquer les binationaux
Cette déclaration de M. Strache fait écho à la décision de la plus haute juridiction, qui visait sa politique concernant seulement les Autrichiens d’origine turque. Au pouvoir depuis un an, l’exécutif tente de débusquer les binationaux dans cette communauté, l’une des plus importantes, comptant 270 000 personnes, dans un pays de 8,7 millions d’habitants. Avec cette politique, Sebastian Kurz, le très jeune chancelier, honore ses promesses électorales. Depuis son élection, le dirigeant souhaite imposer sa vision conservatrice et populaire à ses électeurs.
-------------------
les Autrichiens dégustent eux aussi les "bienfaits" de l'Europe...
Mais eux résistent, encore un peu de patience et la baudruche éclatera.
Finalement ce politicien tiendrait ses promesses, il aurait été élu pour ça. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 21 Déc 2018, 07:51 | |
| Président brésilien Bolsonaro: « à cause des migrants, vivre dans certains endroits de France est devenu insupportable »
Progressivement, sans doute parce que la France a longtemps été considérée à l’étranger comme le symbole de la qualité de la vie, le monde est choqué d’observer la dégradation rapide du pays des droits de l’homme où il faisait si bon vivre.
Le nouveau président du Brésil Jair Bolsonaro a lui aussi remarqué le brutal changement que les efforts des médias pour nier les faits et imposer une réalité alternative n’a pas plus réussi à convaincre à l’étranger qu’en France, et a déclaré : « à cause des migrants, c’est devenu insupportable de vivre dans certains endroits de France ».
« Tout le monde sait ce qui se passe en France. C’est simplement insupportable de vivre dans certains endroits », a déclaré le chef de l’Etat mardi dernier en direct sur Facebook.
« L’intolérance [des migrants] a tendance à continuer d’augmenter. Ceux qui sont allés là-bas, le peuple français les a accueillis de la meilleure façon possible.
Mais vous savez comment sont ces gens-là [en référence aux musulmans], ils ont quelque chose en eux, ils n’abandonnent pas leurs racines et veulent faire valoir leur culture, leurs droits acquis et leurs privilèges.
La France souffre à cause de ça, une partie de la population, une partie de l’armée, une partie des institutions commencent à se plaindre de ça. Nous ne voulons pas de ça pour le Brésil », a conclu le président.
Rejet du pacte de Marrakech Jair Bolsonaro a également déclaré que son futur gouvernement « dénoncera et révoquera » le Pacte mondial sur les migrations de l’ONU, signé par le gouvernement sortant à Marrakech.
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Finalement il n'y a que nos gouvernants qui ne voient pas ce qui se passe en France... | |
| | | a.nonymous
Messages : 14980 Date d'inscription : 30/05/2011
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 21 Déc 2018, 10:53 | |
| - tonton christobal a écrit:
- Président brésilien Bolsonaro: « à cause des migrants, vivre dans certains endroits de France est devenu insupportable »
Sachant que si en France nous avons, dans certains quartiers, des problèmes avec les migrants, au Brésil, ils ont des problèmes bien plus graves avec leur population pauvre... | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 21 Déc 2018, 11:28 | |
| - a.nonymous a écrit:
Sachant que si en France nous avons, dans certains quartiers, des problèmes avec les migrants, au Brésil, ils ont des problèmes bien plus graves avec leur population pauvre... et avec des "migrants" pour qui le Brésil est la terre promise... ce qui fait que les Brésiliens comprennent ce qui se passe chez nous contrairement à ceux qui y vivent. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 28 Déc 2018, 07:22 | |
| Gilets Jaunes. Face à l’immigration et à la propagande, la révolte des « minus »26 DÉCEMBRE 2018 Par Pierre Lours, essayiste et romancier, auteur de La Révolte des silencieux Tant va la cruche à l’eau qu’elle se brise…et que se réveillent les insatisfactions et les malaises existentiels qui minent les Français. Ils ne supportent plus de voir leurs préoccupations ignorées et interdites d’antenne, de paroles publiques et même parfois de conversations privées. C’est contre ce bâillonnement étouffant et ses conséquences concrètes sur leur vie que les gilets jaunes crient leur colère et s’érigent aux ronds points contre la marche infernale de cette société mécanique inhumaine et méprisante. Coût de l’immigration : préoccupation du peuple, pas des élites Au premier rang des interdits, la question de l’immigration est d’autant plus ressentie qu’elle entre en concurrence financière directe avec les besoins des 9 millions de nos concitoyens placés sous le seuil de pauvreté. En 2012, Jean Paul Gourevitch évaluait déjà à 17 milliards le coût de l’immigration sur le sol français. La suppression maladroite et hautement symbolique de l’impôt sur la fortune et l’optimisation fiscale dont bénéficient les Google, Amazone, Facebook, Apple et Microsoft sont venues provoquer la colère de « cellesetceux » qui tirent le diable par la queue alors que les milliardaires de la silicone vallée jouent les généreux en Afrique ou ailleurs pour se faire une bonne santé médiatique et pénétrer ces nouveaux marchés ! Et ce n’est pas le taux ridiculement bas envisagé pour faire payer ces géants du net qui va calmer la colère. En fait, les Français au gilet jaune soutenus par plus de 70 % de la population ne se retrouvent pas dans les préoccupations des journalistes bobos soldés par les oligarques propriétaires des médias et vendus au mondialisme financier et politique par conviction ou nécessité de conserver leur emploi : écologie catastrophiste, immigrationnisme, manipulations biologiques, procréation médicalement assistée et gestation pour autrui… on est bien loin des préoccupations de nos concitoyens. Une révolte contre les « fuck news » des médias de propagande Alors face à l’ignorance de leurs angoisses, en butte à la morgue de la caste des petits morgeux prétentieux (mord gueux ?) paradant dans les arcanes du pouvoir, des « fake news » fleurissent périodiquement sur le net comme des provocations, des cris de désespoir, des protestations véhémentes et extravagantes contre ce que l’on pourrait appeler les « fuck news » abrutissantes et manipulatrices des journalistes propagandistes de la foi politiquement conforme. En somme, des exutoires contre des bobards… au premier rang desquels la fameuse nécessité de « sauver la planète », comme si depuis sa naissance il y a 4 milliards d’année elle avait eu besoin de l’homme pour exister! Quelle mégalomanie que de prétendre avoir une influence significative sur la vie ou la mort de notre astre ! Quelle hypocrisie de cacher sous une apparente attitude généreuse pour les générations futures une volonté de détruire la civilisation occidentale industrialisée à coup de taxe carbone ! Autre bobard : faire croire que l’immigration est l’avenir de l’homme. C’est pourtant la dernière manœuvre de l’ONU avec le pacte de Marrakech qui conduira à la submersion et à la destruction des nations développées sans pour autant assurer une vie meilleure aux immigrés et à leur pays d’origine. Face à ce mépris des Français qui s’est installé depuis 40 ans, de Pompidou qui met les finances de l’Etat dans les mains des banquiers, à Giscard qui sacrifie l’unité nationale en encourageant l’immigration, de Mitterrand renonçant au socialisme à la française pour rejoindre le libéralisme européen, à Chirac qui abandonne ses grandes envolées patriotiques pour inféoder lui aussi notre pays à l’Europe mondialiste et technocratique, de Sarkozy bafouant le vote de 2005 des Français contre la constitution européenne, à Hollande qui oublie illico élu que « la Finance c’est l’ennemi », et enfin Macron, qui après avoir déclaré avec grandiloquence aux Français qu’il les aimait, accuse la France d’avoir commis lors de son entreprise coloniale des crimes contre l’humanité et lui nie par ailleurs toute spécificité culturelle. Face à toutes ces trahisons tranquilles et relayées par des médias inféodés, il ne faut pas s’étonner des accès de colère et de violence. Une révolution sans violence est-elle possible ? Mais quelle révolution a évité ces regrettables dérives ? Notamment pas celle de 1789 qui est pourtant fêtée et cautionnée chaque année et sert de référence pour tous ceux qui aujourd’hui font semblant de s’émouvoir des débordements violents qu’ils ont eux-mêmes mis en scène et instrumentalisés avec l’aide de sauvageons et d’extrémistes pour déconsidérer la cause du peuple de France. Il est d’ailleurs amusant de voir que ceux qui ont voté Macron par peur des troubles qu’auraient suscitées l’élection hautement improbable de Marine Le Pen, tremblent maintenant des errements de leur champion inexpérimenté. En fait, pour paraphraser Clémenceau, la politique est trop sérieuse pour la laisser entre les mains des politiciens et des technocrates qui sont tentés d’abuser de leurs rentes de situation comme d’autres font de l’abus de biens sociaux. C’est pour éviter cette dérive que la démocratie représentative doit être contrôlée et complétée par des mécanismes de démocratie directe, notamment le référendum d’initiative citoyenne qui sera un aiguillon indispensable pour que nos représentants ne nous oublient pas et ne perdent pas de vue leur mission ! « Le désespoir en politique est une sottise absolue ». La révolte des gilets jaunes démontre par sa vigueur, sa vérité, son courage et sa légitimité combien cette sentence est vraie. Grâce à eux, la France se débarrassera peut être des carcans multiples qui la séparent de son histoire et de son génie, tel un Gulliver entravé par des minus ! Pierre Lours 26/12/2018 | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 04 Jan 2019, 08:18 | |
| Migrants bloqués au large de Malte : la France prête à les accueillir Par Auteur valeursactuelles.com / Jeudi 3 janvier 2019 à 15:36 14
Sauvetage. 49 migrants sont bloqués depuis plusieurs jours en mer au large de Malte. “ Dans le cadre d’un effort collectif de répartition ” entre États européens, la France se dit prête à en accueillir.
L’année 2018 avait été marquée par l’Aquarius et ses migrants à bord. Cette année encore, ces derniers risquent de faire l’actualité. Quelques 49 migrants ont été sauvés de la noyade il y a uelques jours au large de Malte. Depuis, ils sont répartis sur le Sea-Watch-3 et le Professor-Albrecht-Penck, deux navires affrétés par des ONG allemandes. Alors qu’ils doivent affronter une mer particulièrement violente, selon l’entourage d’Emmanuel Macron, ce dernier serait prêt à en accueillir « dans le cadre d’un effort collectif de répartition » entre États européens, rapporte Le Monde.
Les deux ONG qui ont pris en charge ces migrants n’ont pour l’heure pas eu de réponse ni de Malte, ni de l’Italie, ni de l’Espagne quant à l'accueil de ces migrants. Néanmoins, la Valette, la capitale de l'archipel, vient d’autoriser les bateaux à s’arbitrer dans les eaux maltaises pour éviter la nouvelle tempête qui arrive. De leur côté, l’Allemagne et les Pays-Bas sont ouverts à un accueil si l’effort est partagé avec les autres pays européens. Ainsi, l’annonce de la France devrait permettre de trouver une solution.
Pas 49, mais 298 migrants Mais finalement, ce ne serait pas 49 migrants, mais 298 qui devraient être accueillis en Europe. En effet, la Commission européenne tenterait de répartir les 249 autres migrants sauvés fin 2018 par les garde-côtes maltais. « La Commission s’occupe de trouver un nombre de pays suffisant et de fixer le nombre de personnes à répartir », explique Paris.
Depuis la fermeture des ports italiens, c’est Malte qui se retrouve en première ligne pour accueillir les migrants qui arrivent notamment de Libye. Selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), 1 182 migrants sont arrivés sur l’archipel du centre de la Méditerranée en 2018 pour 460 000 habitants. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 05 Jan 2019, 10:29 | |
| Trois jeunes migrants agressent un homme de 90 ans chez lui Par Auteur valeursactuelles.com / Vendredi 4 janvier 2019 à 09:48 13
Fait divers. Dans la nuit de dimanche 30 à lundi 31 décembre, trois mineurs non accompagnés (MNA) ont agressé un nonagénaire à son domicile, et l'ont notamment menacé avec une hachette pour le voler.
Quelques jours après Noël, un homme de 90 ans a vécu une nuit d'horreur : entre dimanche 30 et lundi 31 décembre à Mérignac (Gironde), il a été agressé par trois adolescents de 16 ans, mineurs non accompagnés (MNA), rapporte Sud-Ouest.
« Ligoté sur son lit » Ils sont entrés par effraction dans l'appartement du retraité, qui est sous assistance respiratoire. Il a été « rudoyé », « menacé avec une hachette » et « ligoté sur son lit », précise le quotidien. Les agresseurs auraient également retourné l'habitation du nonagénaire pour rechercher des objets de valeur. Ils ont finalement été arrêtés par des policiers en patrouille, alors qu'ils venaient de quitter les lieux de leur méfait.
Les trois adolescents ont été placés en garde à vue à la brigade de répression des atteintes aux personnes (Brap) mais ont refusé de donner leurs empreintes digitales et de se soumettre à la prise de photo d'identité, ajoute Sud-Ouest. Ils ont ensuite été déférés au parquet des mineurs, qui a ouvert une information judiciaire. Finalement, ils ont été placés en détention provisoire dans les maisons d’arrêt de Pau, Gradignan et Limoges.
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A noter que ce genre de "mineur" coute 2 milliards par an... et qu'ils peuvent faire venir leurs parents en France...
mais on n'a pas de pognon pour les EPAD
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 05 Jan 2019, 20:01 | |
| Un migrant poignarde son hôte de 28 coups de couteau Par Auteur valeursactuelles.com / Samedi 5 janvier 2019 à 16:22 3
Drame. Un homme de 56 ans a été retrouvé mort chez lui le 17 décembre dernier, criblé de 28 coups de couteau. Son bourreau serait le jeune migrant qu’il hébergeait depuis une semaine.
Drame à Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire). Le corps d’un quinquagénaire a été découvert chez lui, criblé de 28 coups de couteau. Le migrant ivoirien de 22 ans qu’il hébergeait depuis une semaine a été mis en examen et écroué, rapporte La Nouvelle République.
« Un corps abîmé » retrouvé sous le lit Les faits remontent à la nuit du 11 au 12 décembre dernier. Alors qu’un groupe de personnes boit sur les quais de Loire, à Tours, un Ivoirien de 22 ans, arrivé en France en 2017 et dont le visa étudiant a expiré à cause de résultats insuffisants aux examens, leur propose de venir continuer la soirée chez lui, à Joué-lès-Tours. Arrivé sur place, l’un des invités s’étonne de trouver un appartement « clean mais [en] désordre ». Il sent également une odeur. Un peu plus tard, il tombe sur un couteau plein de sang, puis sur « un corps abîmé », caché sous le lit. Il prend alors la fuite quand le jeune Ivoirien s’est assoupi sur le canapé, et prévient la police.
Le migrant incarcéré Le jeune migrant est interpellé par la police et reconnaît avoir donné les coups de couteau. Il est alors mis en examen pour meurtre et incarcéré. D’après le témoignage des voisins, une dispute serait à l’origine du meurtre. Elle aurait éclaté dans la nuit du 11 au 12 décembre, entre lui et son hôte, qui lui demandait de quitter l’appartement. Le jeune homme aurait peut-être eu peur de se retrouver à la rue indique La Nouvelle République, et l’aurait alors poignardé à mort. La victime était très investie auprès des migrants et, ancien gérant d’un Monoprix, préparait sa reconversion.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Dim 06 Jan 2019, 09:05 | |
| La France subit-elle une immigration de peuplement ? 5 JANVIER 2019 | POLÉMIA Par Paul Tormenen, juriste La politique d’immigration de la France peut-elle être qualifiée de peuplement ? Les termes habituellement utilisés sont issus des catégories administratives : regroupement familial, études, asile, travail, etc. Pourtant, selon Paul Tormenen, différentes caractéristiques d’une véritable politique de peuplement par l’immigration seraient bien présentes dans notre pays. La politique d’immigration de peuplement est déclinée en une série de mesures et d’actions administrées par le pouvoir politique. Elle s’applique tant dans la gestion des entrées sur le territoire national que dans la gestion des migrants légaux et clandestins présents en France. Des mesures récentes ne viennent que renforcer cette tendance. La politique de peuplement en matière d’arrivées d’étrangers Les entrées illégales : La maîtrise des frontières est une dimension essentielle de ce qui « fait nation ». La France a abdiqué cette prérogative en signant l’accord de Schengen en 1985. Cet accord permet cependant dans certaines circonstances une suspension temporaire de la libre circulation entre pays européens. Compte tenu de la pression migratoire et de la menace terroriste, le contrôle des frontières nationales a été rétabli jusqu’en avril 2019. Mais comme l’indique une note des autorités françaises adressée au Conseil de l’Union Européenne (1), « il ne s’agit pas de contrôles systématiques mais d’une possibilité de procéder à des vérifications d’identité aux frontières, par dérogation aux règles de la libre-circulation dans l’espace Schengen ». Les conséquences de la politique de contrôle aléatoire et non systématique des entrées sur le territoire sont tangibles. Par exemple dans la ville de Bayonne, près la frontière franco-espagnole, une centaine de clandestins arrivent chaque jour, souvent en taxi, comme le relate la presse quotidienne régionale (2). Plus globalement, le Pôle national d’analyse migratoire estime que le nombre de clandestins qui entrent annuellement en France est passé de 26 000 en 2014 à 79 500 en 2017 (3). Le gouvernement a délibérément décidé de ne pas procéder, à tous les points de passage aux frontières, à des contrôles systématiques et continus. La frontière franco-espagnole est ainsi devenue la nouvelle porte d’entrée des clandestins dans notre pays (4). L’immigration de peuplement est donc favorisée dans le cas des entrées illégales par le laxisme du pouvoir politique dans sa gestion des frontières. Les entrées légales : L’immigration de peuplement est également organisée par l’octroi de titres de séjour toujours plus nombreux. Des spécialistes de la question (5) en soulignent l’ampleur depuis plusieurs années, ainsi que les transformations que ce phénomène implique dans la société française. Les chiffres de l’INSEE montrent une envolée depuis 2012 des premiers titres de séjour délivrés à des immigrés extra-européens (6), ceci bien que notre pays ne brille pas par sa cohésion sociale et le dynamisme de son économie. 262 000 nouveaux titres de séjour ont ainsi été délivrés en 2017. Le fait que l’immigration de travail soit très minoritaire dans le nombre de premiers titres de séjour délivrés illustre la volonté d’organiser une immigration de peuplement. C’est-à-dire une action délibérée visant à accroitre la population du pays avec des étrangers. La politique de peuplement passe par la répartition administrée des mineurs étrangers et des demandeurs d’asile La politique de peuplement passe également par l’accueil inconditionnel des mineurs étrangers et des demandeurs d’asile et leur répartition sur le territoire. Les jeunes étrangers sont de plus en plus nombreux à se prévaloir de leur minorité pour demander une prise en charge au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Ils seraient selon les chiffres officiels 40 000 en cette fin d’année (7). Le phénomène a pris une telle ampleur que de nombreux départements connaissent une saturation de leurs capacités d’accueil. Pour « résoudre » ce problème, ou à tout le moins en réduire les effets, le gouvernement a décidé par Décret ministériel pris en 2016 d’appliquer une clef de répartition des orientations des mineurs étrangers. L’objectif est de « répartir de manière proportionnée les mineurs entre les départements » ( . Il en résulte que des départements qui étaient jusqu’à maintenant à l’écart des flux d’immigration se voient imposer de fait la création de structures d’accueil pour les jeunes étrangers et/ou de les loger à l’hôtel (9). On commence à assister à des arrivées en nombre de jeunes étrangers dans les chefs-lieux et autres communes de départements, à la recherche d’une prise en charge impliquant hébergement, nourriture, loisirs, formation et recherche d’emploi. Les demandeurs d’asile sont également de plus en plus nombreux dans notre pays (10). Près de 120 000 ont fait cette démarche en 2017. A l’arrivée, seule une minorité se verra reconnaitre le statut de réfugié. Il est vrai que le « benchmarking » (comparaison entre pays) tourne souvent à « l’avantage » de la France (11). Les règles françaises permettent à des ressortissants de pays sûrs de demander l’asile et de s’inscrire dans le processus d’assistance sociale (demande d’asile, prise en charge, allocations, etc.). Ainsi, les ressortissants d’Albanie et d’Haïti figurent parmi les pays en tête du nombre des demandes d’asile en France (12). Des pays que l’on ne peut pas considérer comme des « zones de conflit ». Le phénomène a atteint une telle ampleur que la Cour des comptes parlerait de l’asile en France comme d’une nouvelle filière d’immigration clandestine (13). Comme pour les mineurs étrangers, les structures d’accueil, essentiellement présentes dans les métropoles, sont arrivées à saturation. A tel point que les centres d’hébergement d’urgence prévus pour les SDF logent des demandeurs d’asile et que des campements sauvages émergent dans différentes villes. L’étude d’impact de la Loi asile et immigration (14) fait le constat en février 2018 que « les flux de demandeurs d’asile sont en constante progression dans certains territoires. Les régions de l’Île-de-France, d’Auvergne-Rhône-Alpes, des Hauts-de-France et du Grand-Est sont principalement concernées ». Sous l’impulsion du Président de la République qui a fait en septembre 2017 de la « mise à l’abri » des migrants, indistinctement légaux et clandestins, une priorité (15), des centres d’accueil et d’hébergement voient le jour dans de nombreux points du territoire. La Cimade, une association d’aide aux migrants, en dresse une cartographie impressionnante (16). Des crédits toujours plus importants sont alloués pour créer de nouvelles structures (17). Pour y établir les migrants, une répartition administrée a également été mise en place avec la Loi asile et immigration promulguée en 2018 (article 13) (18). Cette répartition des demandeurs d’asile est organisée selon un schéma national d’accueil. « Le projet de loi entend équilibrer la répartition de ces flux sur le territoire national » et « mettre en place un mécanisme d’orientation directive des demandeurs d’asile vers une région déterminée dans certaines conditions », peut-on lire dans l’étude d’impact du projet de Loi. Si les demandeurs d’asile ayant obtenu une réponse positive auront le choix de s’établir où bon leur semble, ils auront été préalablement répartis de façon administrée et installés en différents points du territoire. Comme le relate l’Observatoire du journalisme, la presse quotidienne régionale annonce les ouvertures de nouvelles structures d’accueil pour les demandeurs d’asile et mineurs étrangers en province comme autant de bonnes nouvelles (19). On le voit, la politique du gouvernement aboutit à accueillir un nombre toujours croissant d’étrangers en France. L’immigration de peuplement est rendue possible par : l’absence de maîtrise des frontières nationales, un nombre croissant et élevé de titres de séjour délivrés, l’accueil inconditionnel des mineurs étrangers et demandeurs d’asile, le nombre dérisoire de reconduites à la frontière ou dans le pays d’origine, la répartition administrée sur le territoire des mineurs étrangers et des demandeurs d’asile. En matière de flux, les entrées en France, tous motifs confondus, ne font qu’augmenter. Les jeunes étrangers et demandeurs d’asile présents sur le territoire sont répartis en différents points du pays en application de ratios, les départements les moins pourvus étant sommés de rattraper rapidement un retard sans doute considéré comme insupportable. Nous sommes donc en présence d’une politique gouvernementale visant à organiser un peuplement sur l’ensemble du pays. Quant à l’avis de la population, c’est un autre problème… Paul Tormenen 05/01/2018 | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Lun 07 Jan 2019, 03:44 | |
| L'extrême droite allemande riposte aux agressions par des migrants Par Auteur valeursactuelles.com
/ Jeudi 3 janvier 2019 à 14:128
Société. Après que quatre hommes originaires d’Afghanistan et d’Iran ont agressé une dizaine de personnes, samedi 29 décembre à Amberg, en Allemagne, des membres du parti NPD se sont organisés en milices d'autodéfense.
L'indignation a choisi son camp. Dans des propos rapportés par le quotidien Mitteldeutsche Zeitung, le maire d’Amberg, en Allemagne se dit « choqué ». Dans son viseur, les milices d'autodéfense mises en place dans la cité bavaroise après une série d'agressions survenue samedi 29 décembre, rapporte Ouest-France. Des migrants en état d'ébriété agressent des passants Sur Facebook, le parti d'extrême droite NPD a publié, sur l'un de ses comptes en Bavière, des photos de plusieurs de ses membres. Ils y apparaissent marchant sur les lieux où les agressions ont eu lieu, ainsi que devant un foyer de demandeurs d'asile. Comme le rappelle le quotidien français, quatre migrants ont été arrêtés ces derniers jours. Originaires d’Afghanistan et d’Iran, ils auraient agressé, en état d'ébriété, une dizaine de personnes à Amberg. « Je peux comprendre l’insécurité » « Je peux comprendre l’insécurité qui règne dans une partie de la population, mais les menaces de violences et la haine qui déferlent depuis les quatre coins du pays vont trop loin », a réagi Michael Cerny, le maire de la ville, auprès du journal local Mitteldeutsche Zeitung.
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et on est surpris... on comprend l'insécurité mais pas que les victimes se défendent...
Lorsque les pouvoirs publics sont impuissants les gens abandonnés trouvent leurs solutions | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 12 Jan 2019, 22:23 | |
| Viktor Orban entend combattre Macron, «chef des forces pro-immigration» en Europe 10 janv. 2019, 19:42
Au cours d’une conférence de presse organisée ce 10 janvier à Budapest, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a jugé «néfaste», pour son pays et pour l’Europe, la politique migratoire conduite par le chef de l’Etat Français.
Après le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini, c’est au tour de Viktor Orban de tacler la politique Emmanuel Macron sur l'immigration. Le Premier ministre hongrois, hostile à la politique migratoire de Bruxelles, s’est engagé à combattre le président français sur cette thématique. «On ne peut nier qu'Emmanuel Macron est une personnalité importante, et qui plus est le chef des forces pro-immigration [en Europe]», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Budapest.
Il faut donc que je le combatte «Il n'y a là rien de personnel mais il s'agit de l'avenir de tous nos pays. Si ce qu'il veut à propos de l'immigration se réalise en Europe, alors ce sera néfaste pour la Hongrie, il faut donc que je le combatte», a-t-il poursuivi. Viktor Orban a en outre exprimé son souhait d'assister à la victoire des partis anti-immigration lors des élections au Parlement européen de mai prochain, afin de changer la politique actuelle menée par l’UE. Dans ce sillage, il a égratigné la chancelière Angela Merkel et la position des médias allemands, qui, selon lui, «ne cessent de faire pression» pour que l'Europe accueille davantage de migrants aux dépends du peuple hongrois. «Je ne vois aucun compromis possible ici», a-t-il déclaré à ce sujet.
A contrario, le chef du gouvernement hongrois s’est félicité de l’initiative de la Pologne et de l'Italie en vue de former une alliance pour les prochaines élections européennes dans l’optique de défendre les valeurs européennes face aux aspirations «immigrationnistes» de certains responsables européens. «L'alliance italo-polonaise, l'alliance Varsovie-Rome est l'un des plus grands événements qui pouvait marquer ce début d'année», a-t-il prédit, tout en louant la gestion de la question migratoire de Matteo Salvini qu’il a qualifié de «héros».
Le 12 septembre, les eurodéputés avaient voté le déclenchement de l’article 7 du traité de l’UE à l’encontre de la Hongrie, celui-ci entraînant la mise en place d’une procédure contre un pays pour prévenir «une violation grave et persistante par un Etat membre des valeurs [européennes]». Une initiative qui avait alors provoqué l’ire de Budapest. Le 13 décembre 2018, dans une interview au Monde, le ministre des Affaires étrangères hongrois Péter Szijjarto avait accusé Bruxelles de vouloir prendre «une revanche contre la Hongrie».
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Lun 14 Jan 2019, 22:44 | |
| Exclure l’immigration du « grand débat national » catalyse les pires tensions
Partout en Europe, le constat est identique et implacable : une large majorité des Européens s’inquiète de l’immigration massive et souhaite qu’elle se termine au plus vite. Ce constat s’accompagne de plus en plus souvent d’une précision peu politiquement correcte mais qu’osent désormais ouvertement de nombreux Européens à savoir que le phénomène « d’islamisation » qui accompagnerait selon eux l’immigration massive ne serait non seulement pas souhaitable mais même dangereux.
Au regard de l’actualité de ces dernières années, les autorités politiques autrement appelées « les élites » se trouvent en effet bien en mal de nier la sincérité de l’inquiétude qui assaille de si nombreux Européens quant à la disparation progressive et présumée rapide de leur mode de vie, de leurs valeurs et de leurs libertés au motif d’une tolérance qu’ils jugent unilatérale et excessive.
Ainsi, l’opposition au président de la République Emmanuel Macron devrait poursuivre sa croissance à mesure qu’il s’entête à refuser aux Français la tenue d’un véritable débat sur l’immigration, sujet que « les élites » souhaitent à tout prix éviter sachant pertinemment que l’avis de leurs compatriotes sur cette question brûlante démonte complètement leur « vivre-ensemble » rêvé et idéalisé depuis les rues tranquilles des luxueux 6ème et 8ème arrondissements de Paris.
On ne ramènera donc durablement la concorde civile en France que si on a le courage d’aborder de front les sujets qui fâchent et de prendre parfois des virages à 180 degrés de la politique menée depuis 40 ans au prix de l’épuisement démocratique et de la négation pour le peuple à choisir son avenir pour lui-même. Ceci concerne l’Europe dans son ensemble et plus particulièrement la France où rarement auparavant l’immigration massive et incontrôlée n’a suscité autant de critiques.
Refuser le débat et nier l’inquiétude sincère qui préoccupe tant de Français ajoutent au péril qui menace la République. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mar 15 Jan 2019, 12:50 | |
| Immigration : la Finlande secouée par des viols sur mineures Par Auteur valeursactuelles.com / Mardi 15 janvier 2019 à 11:03 5
International. À trois mois des élections législatives qui doivent se tenir en Finlande, le débat sur l'asile est relancé dans le pays, après l'interpellation d'une quinzaine de demandeurs d'asile et réfugiés soupçonnés de viols et agressions sexuelles sur mineures.
En matière d'immigration, les Finlandais aussi haussent le ton. Comme le rapporte Le Monde, le pays est actuellement en proie à plusieurs affaires d'agressions sexuelles et viols sur mineures commis par des demandeurs d'asile et réfugiés. À tel point que lundi 14 janvier au soir, l'initiative populaire lancée début décembre pour demander la révocation du permis de séjour des réfugiés condamnés pour crimes sexuels avait recueilli 90 000 signatures, quand 50 000 sont nécessaires pour déclencher un débat au Parlement.
Des victimes contactées sur les réseaux sociaux Le quotidien précise que trois jours plus tôt, seules 13 000 personnes soutenaient l'initiative populaire. Néanmoins, une affaire semble avoir alerté une partie de l'opinion publique finlandaise : l'interpellation de trois hommes d'origine étrangère, et l'identification d'un quatrième suspect, dans une affaire de viols et d’agressions sexuelles contre des mineures de moins de 15 ans, dans la ville Début décembre, déjà, neuf hommes d'origine étrangère avaient été arrêtés dans le pays, soupçonnés des mêmes faits contre trois mineures. Le Monde détaille le même mode opératoire adopté par les suspects : ils auraient contacté leurs victimes sur les réseaux sociaux, puis les auraient rencontrées et agressées.
Certains ont « amené avec eux l’insécurité » Dimanche 13 janvier au soir, nouvelle affaire similaire. Les forces de l'ordre d'Helsinki ont annoncé avoir interpellé trois hommes. Si deux d'entre eux ont été remis en liberté depuis, le troisième, d'origine étrangère, est soupçonné de viols et d’agressions sexuelles sur une mineure.
« Il est inacceptable que certains demandeurs d’asile et réfugiés aient introduit le mal et amené avec eux l’insécurité », a estimé le président finlandais, Sauli Niinistö dans un communiqué, samedi. Et d'ajouter que « chaque individu prêt à s’adapter à la vie dans notre société le mérite ». | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mer 16 Jan 2019, 06:35 | |
| Les demandes d'asile en France ont explosé en 2018 Par Auteur valeursactuelles.com / Mardi 15 janvier 2019 à 17:32 0
Immigration. Elles sont en hausse de 21,8% et atteignent le nombre de 122 743, selon l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides).
L’Hexagone continue de faire face aux vagues migratoires successives. Lors de l’année 2018, la France a décompté 122 743 demandes d’asile, un chiffre en hausse de 21,8% par rapport à l’année dernière, relate l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Les principaux pays d’origine des migrants sont ainsi l’Afghanistan, la Guinée et l’Albanie, la Géorgie et la Côte d’Ivoire.
Plus de 15 000 clandestins reconduits à la frontière Compilés sur plusieurs années, les chiffres démontrent le caractère exponentiel des flux migratoires. L’été 2015 réputé comme l’un des plus marquants de la crise migratoire, c’est pourtant « seulement » 80 000 dossiers de demandes d’asile que la France a reçus cette année-là. Depuis, un appel d’air semble avoir eu lieu : leur nombre a bondi de 17% en 2017 par rapport à 2016, et donc de 21,8% en 2018 par rapport à 2017. Les expulsions d’étrangers en situation irrégulière ont elles aussi augmenté de 9,9%, avec 15 677 reconduites, mais en moindre proportion. Une performance toutefois vantée par la Direction générale des étrangers en France (DGEF), qui a vanté « un plus haut niveau depuis le début de la décennie ».
L’organisation a précisé que la France était « une destination de rebond » et « le deuxième pays de demande d’asile en Europe » derrière l’Allemagne, qui a enregistré quant à elle 174 000 dossiers entre janvier et novembre 2018 et reçu à elle seule 1 257 000 demandes en 2015, au plus fort de la crise migratoire. Toutefois, il faut ajouter aux statistiques françaises les quelque 35 000 personnes enregistrées en préfecture, mais relevant d’un autre pays au titre de la « procédure Dublin », qui suppose que celles-ci ont été enregistrées dans un autre pays, soit déboutées d’une première demande d’asile. Le nombre total des demandes d’asile s’élèverait donc en 2018 à environ 158 000.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mer 16 Jan 2019, 06:55 | |
| Le camarade socialiste Pedro Sanchez ne veut plus accueillir les migrants : le navire de l’ONG Open Arms bloqué à Barcelone
Sept mois seulement se sont écoulés depuis l’accueil en fanfare par le socialiste Pedro Sanchez de l’Aquarius refoulé par l’Italie et Malte , mais cela semble un siècle. Pedro Sanchez, ayant succédé depuis peu à Mariano Rajoy , se posait alors en nouveau messie des migrants. Tandis que l’Italie souverainiste et méchante de Matteo Salvini fermait ses ports à l’Aquarius, ayant à son bord 629 migrants, le PM espagnol ouvrait le port de Valence et mobilisait environ 2000 personnes pour un accueil royal de ces rescapés de la mer, rejetés par le sans coeur Matteo Salvini. Médecins, psychologues, interprètes, policiers, travailleurs sociaux se pressaient sur le port pour leur souhaiter la bienvenue. 700 journalistes furent également invités à ce grand show humanitaire afin de témoigner aux yeux du monde de l’immense générosité du gouvernement socialiste espagnol. Pedro Sanchez fut plébiscité par le presse internationale et les dirigeants de l’UE pour son grand coeur, son esprit d’ouverture et d’accueil, contrastant avec l’égoïsme, le manque d’humanité, la xénophobie de Matteo Salvini. Oubliés les 700.000 migrants accueillis par l’Italie dans l’indifférence européenne au cours des 4 années précédentes. Mais ce conte de fée espagnol , qui commença si bien, prit rapidement fin. Pedro Sanchez, devenu entre-temps l’ex-messie des migrants, après avoir interdit les ports espagnols à tous les navires des ONG à l’exception de l’Open Arms, vient de décider de fermer ses ports aussi à ce dernier, pourtant symbole de l’angélisme espagnol. Selon l’ONG « Proactiva Open Arms » , les Autorités espagnoles empêcheraient l’Open Arms de reprendre la mer. « A nouveau bloqués dans le port. La capitainerie de Barcelone n’accorde pas à l’Open Arms l’autorisation d’appareiller » a annoncé via tweet Oskar Camps, le paladin des migrants et farouche ennemi de Matteo Salvini. « Nous empêcher de sauver des vies est irresponsable et cruel, les politiciens lâches remettent en marche le compteur des morts », a-t-il ajouté. Le blocus du navire, décidé par les Autorités du port afin de l’empêcher de violer les règles internationales en matière de sauvetage en mer, découle en réalité d’une décision purement politique prise par le gouvernement socialiste, quelque peu inquiet de son avenir. Un vent contraire semble souffler de plus en plus fort sur les ONG. Après la fermeture des ports italiens, l’Espagne est devenue la nouvelle terre promise des « désespérés à la recherche d’une vie meilleure ». Plus de 55.000 migrants ont ainsi débarqué dans le pays, suscitant une vague générale de mécontentement. Un tsunami qui menace de submerger, comme ce fut le cas en Allemagne et en Italie, le gouvernement socialiste espagnol. La jolie fable d’une Espagne socialiste accueillante et solidaire n’était en réalité qu’un canular. Tandis que Pedro Sanchez paradait sur le port de Valence en grand seigneur de l’accueil et de la tolérance, admiré par la bien- pensance internationale, la guardia civile continuait à repousser à coups de matraque et de gaz lacrymogènes des milliers de migrants subsahariens déterminés à franchir les barrières de barbelés de plus de 6 m de haut dans les enclaves de Ceuta et Melilla. D’un côté, on accueillait les migrants en grande pompe, de l’autre on les matraquait et on les gazait. Le 26 juillet dernier, au cours de l’un des assauts les plus brutaux de ces dernières années, environ 700 migrants réussirent à pénétrer sur le territoire espagnol. Les images de la violence des migrants à l’égard de la guardia civile choquèrent les Espagnols. Eh oui, les migrants ne sont pas toujours aussi doux qu’un agneau. Aussi, dès le mois d’août, le gouvernement Sanchez émit de nouveaux règlements imposant de traiter comme des clandestins tous les étrangers débarqués dans les ports espagnols. Entre-temps, le conte de fée de l’Aquarius et de ses 629 invités peinait à trouver un dénouement heureux. A la mi-septembre, l’Espagne n’avait pas encore satisfait à aucune des demandes d’asile présentées par 608 des 629 migrants de l’Aquarius. Certains d’ailleurs s’étaient depuis volatilisés dans la nature. Le camarade Sanchez a-t-il décidé de durcir le ton par crainte de la montée du parti Vox, qualifié d’extrême-droite et actuellement dirigé par Santiago Abascal, dont la formation fera partie de la future coalition de droite au pouvoir en Andalousie ? Il est vrai que le programme de ce parti pourrait charmer ces Espagnols qui peu à peu ouvrent les yeux sur les » bienfaits » et « l’enrichissement » apportés par l’immigration musulmane en Espagne. Vox souhaite partir à la Reconquista de l’Espagne, à nouveau menacée par l’islam : « une religion qui porte atteinte à notre profonde identité catholique » avait déclaré le leader de VOX. Vox exige aussi de modifier « le jour de l’Andalousie » actuellement fêté le 28 février, et de le célébrer le 2 janvier, le jour où s’acheva la Reconquista, à savoir le 2 janvier 1492, date à laquelle Grenade fut libérée du joug musulman, mettant fin à l’occupation arabo-musulmane de la péninsule commencée en 711. Une exigence qui ne manquera pas d’offenser la communauté musulmane présente en Espagne, cette communauté qui rêve aussi de reconquérir Al-Andalus, ce paradis islamique perdu, de faire revivre cet Al-Andalus idyllique, symbole d’une époque glorieuse, témoin de la toute puissance et de la splendeur musulmane, avant qu’il ne soit écrasé par les armées des Rois très catholiques Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon. Humiliation suprême qui demeure plantée dans le coeur des musulmans telle une épine de ronce depuis des siècles. Vox veut lutter contre la menace fondamentaliste islamique, via la suppression de subventions à toute association musulmane, l’expulsion d’imams suspects, l’élimination de l’enseignement de l’islam dans les écoles. Dans son programme figure aussi la lutte contre l’immigration et l’expulsion des clandestins, majoritairement musulmans. Il préconise la construction d’un mur en béton armé à Ceuta et Melilla pour empêcher l’arrivée de migrants en provenance du Maroc. Un autre fondamentalisme est dans le collimateur de Vox : le fondamentalisme féministe ! Le laxisme pro-islam ambiant sera-t-il suivi par une période de rigorisme, de rejet, de mise au pas de cette idéologie nocive ? Reproduction autorisée avec la mention suivante : Rosaly pour Dreuz.info. Source : « Il compagno Sanchez ferma gli sbarchi. La Proactiva bloccata a Barcellona. »( Il Giornale.it ) | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 19 Jan 2019, 11:59 | |
| Immigration : la douceur de vivre a quitté l’Europe PUBLIÉ PAR MANUEL GOMEZ LE 19 JANVIER 2019
L’Europe a peur, la sérénité, la douceur de vivre, a quitté de nombreux pays : la Finlande, la Suède, l’Autriche, dont la capitale, Vienne, a été couronnée “ville où il fait mieux vivre dans le monde”, d’autres pays dissimulent leur peur, car les faits divers sont minimisés et même quelquefois occultés, c’est le cas de l’Espagne, de l’Allemagne, d’autres encore et même de la France, où les identités et les origines des criminels sont passées sous silence.
La population de certains départements (Bouches-du-Rhône, Pas-de-Calais, Seine–Saint-Denis, par exemple) ou de certains arrondissements parisiens (18e, 19e 20e) ne se souvient même plus de la manière dont elle vivait il y a encore quelques décennies.
La cause principale de ce mal vivre : l’immigration clandestine, les mineurs isolés en situation irrégulière, la porte ouverte à une immigration économique, qui n’est pas prête de se tarir, et qui ne trouve pas en Europe le “Paradis” qu’elle espérait, pour lequel elle a pris tous les risques.
Annecy (Haute Savoie) Dans la nuit du lundi 14 au mardi 15 janvier, vers 3 h 30, un individu d’origine bulgare, âgé de 20 ans, a été interpellé pour un flagrant délit d’infraction au Code de la route en plein centre-ville. Il arrivait d’Italie par le tunnel du Mont-Blanc et transportait dans sa fourgonnette une quinzaine de migrants clandestins âgés de 15 à 45 ans et originaires du Pakistan et du Bangladesh. S’il n’avait pas été interpellé par les policiers de la BAC ces migrants se seraient dispersés dans la nature.
Les mineurs ont été confiés, comme cela est habituel, à l’aide sociale à l’enfance et les autres placés dans un centre de détention provisoire. La semaine précédente, dans la nuit du 6 au 7 janvier, à la même heure et dans le même secteur, ce sont deux passeurs marocains, âgés de 27 et 31 ans, qui avaient été arrêtés transportant une dizaine de migrants clandestins, dont trois mineurs.
La PAF (Police des Frontières) nous rassure en nous informant que ce genre de trafic est très courant tout le long de la frontière avec l’Italie. Pour un “passeur” arrêté, combien d’autres poursuivent leur chemin et libèrent leur cargaison d’êtres humains ? Il est bien évident que les Italiens ne feront pas grand-chose pour stopper ce trafic puisqu’ils se débarrassent ainsi de milliers de clandestins indésirables.
Au lieu de critiquer la politique italienne de Mattéo Salvini, le président de la République, Emmanuel Macron, et son ministre de l’Intérieur, Castaner, feraient bien mieux d’interpeller le gouvernement italien afin qu’il conserve chez lui toutes “ses chances” qu’il nous expédie quotidiennement.
Finlande Les crimes sexuels ont augmenté de 14% en 2018 par rapport à 2017 (Source : Statistics Finland). Le nombre de viols signalé aux autorités est en progression de plus de 7,5% et les cas de harcèlements sexuels de plus de 28%. Les autorités finlandaises ont signalé 1363 cas d’abus sexuels sur des enfants, soit plus de 17% par rapport à 2017. Selon ces mêmes autorités, les ressortissants étrangers, qui ne représentent que 5% de la population, sont responsables de ses crimes à plus de 25%. Les parlementaires réclament le retrait immédiat de la nationalité pour tous les criminels d’origine étrangère. Depuis début décembre 2018, une douzaine de suspects, tous arrivés en Finlande sous les statuts de demandeurs d’asile ou de réfugiés, ont été arrêtés pour des délits sexuels contre des enfants et d’abus sexuels sur des jeunes filles de moins de 15 ans.
Lundi 14 janvier a été déposée une pétition d’initiative populaire, lancée au début de l’année et déjà signée par plus de 90.000 citoyens finlandais, afin d’exiger la révocation du permis de séjour de tous les réfugiés condamnés pour crimes sexuels. Le président, Sauli Niinisto, a exprimé son dégoût contre un gang de violeurs étrangers visant des enfants dans une ville nord du pays, à Oulu, où 16 individus, nés à l’étranger, ont été appréhendés plus sept autres criminels cette dernière semaine, pour abus sexuel sur des jeunes filles de 10 à 15 ans “Ces crimes nous ont choqués par leur inhumanité. Il est inacceptable que certains demandeurs, à qui l’asile a été accordé, introduisent le mal ici et créé l’insécurité.”
Autriche Le ministre de l’Intérieur, Herbert Kickl, a annoncé le renforcement de la législation sur le droit d’asile, après le meurtre horrible de quatre femmes en deux semaines :“Trois crimes sur quatre sont le fait de migrants et nous réfléchissons à certaines mesures pour empêcher de tels actes sanglants. Toutes les formes de délits doivent donner lieu à une procédure immédiate d’expulsion.” Selon la convention des Nations Unies, les pays d’accueil ne peuvent expulser que les migrants condamnés pour des crimes particulièrement graves, tels que meurtres, viols ou vols à main armée. Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a déclaré : “Les demandeurs d’asile criminels doivent être expulsés immédiatement et d’où qu’ils viennent.” Les parlementaires prévoient l’expulsion de tous les migrants délinquants sexuels. Selon les autorités policières, ces meurtres ne sont que la pointe émergée de l’iceberg ! La population autrichienne a apprécié, la voilà totalement rassurée à présent !
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ce sont des sujets qui n'ont pas leur place dans le show macron destiné à sauver les meubles politicards du freluquet !
on ne parle pas des choses qui fachent surtout si l'Europe (laquelle) veut ouvrir les portes... pendant ce temps on fait se battre les actifs et les retraités, le privé et le public... benalla dispose de ses 4 passeports et nos dignitaires à 10 000 ou 30 000 euros par mois n'arrivent pas à se loger et font la manche pour manger... de la bouffe il y en avait à l'élysée pour la fête de la musique.
avec un tel président on n'est pas prêt de s'occuper de l'immigration : https://www.youtube.com/watch?v=ebB8s8Z2FkQ&has_verified=1
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Lun 28 Jan 2019, 06:55 | |
| Matteo Salvini veut poursuivre en justice les ONG pro-migrants Par Auteur valeursactuelles.com / Dimanche 27 janvier 2019 à 19:18 4
Mise en garde. Le ministre de l’Intérieur italien a affirmé qu’il rassemblait des preuves visant à incriminer l’équipage du navire Sea Watch 3, qui souhaite débarquer les 47 migrants sur ses côtes.
Matteo Salvini ne compte pas rester les bras croisés. Tandis que des appels se multiplient pour que les 47 migrants à bord du navire humanitaire Sea Watch 3, battant pavillon néerlandais, soient débarqués en Italie, le ministre de l’Intérieur transalpin oppose à l’ONG des menaces de poursuites judiciaires pour « aide à l’immigration illégale », rapporte La Croix ce dimanche 27 janvier.
Un « désir clair d’utiliser ces immigrants dans une bataille politique » « Nous disposons d’éléments concrets pour dire que le capitaine et l’équipage du Sea Watch 3 ont mis en danger la vie des personnes à bord en désobéissant aux instructions précises qui leur avaient été données il y a plusieurs jours de les débarquer dans le port le plus proche, pas en Italie ! », s’est indigné le leader de la Ligue du Nord sur Twitter, son outil de communication favori. « Les preuves seront transmises aux autorités judiciaires », a-t-il ajouté, accusant le capitaine du bateau et son équipage d’un « crime et du désir clair d’utiliser ces immigrants dans une bataille politique ».
L’Italien s’engage donc dans un bras de fer, après avoir refusé d’accueillir cette cinquantaine de migrants d’origine subsaharienne, sauvés une semaine plus tôt en mer Méditerranée. Selon lui, le navire humanitaire aurait pu débarquer auparavant en Libye, en Tunisie ou à Malte, avant de jeter l’ancre à proximité de la Sicile. « Le ministre de l’Intérieur rassemble des éléments pour évaluer s’il convient de porter plainte contre l’ensemble de l’équipage du Sea Watch pour aide à l’immigration illégale », a précisé son ministère. Plusieurs ONG, dont « Save the Children », ont réclamé à ce que, a minima, les 13 mineurs à bord puissent toucher la terre ferme. De son côté, Matteo Salvini a demandé à ce que les Pays-Bas et l’Allemagne prennent la responsabilité du bateau. Ce à quoi le ministre néerlandais chargé des migrations, Mark Harbers, a déclaré que le Sea Watch 3 avait agi « de sa propre initiative ». | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 01 Fév 2019, 07:36 | |
| Salvini veut interdire les eaux italiennes aux navires secourant les migrants Source : 7sur7
Le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, a déclaré mercredi travailler à une interdiction des eaux italiennes aux navires d’ONG secourant des migrants au large de la Libye.
« Nous sommes en train de travailler à une mesure qui limite la possibilité d’entrer dans les eaux territoriales italiennes, en intervenant en amont », a déclaré M. Salvini, patron de l’extrême droite italienne, tout en assurant qu’il ne s’agissait pas d’instaurer un « blocus naval » mais d’appliquer « les lois en vigueur ».
Des sources au sein de son ministère ont précisé qu’il s’agissait de mettre au point une « procédure standard dans le cas de nouvelle arrivée d’un navire d’ONG », en concertation avec le ministère des Infrastructures (chargé des Transports).
Ces sources ont cité l’article 83 du Code de la navigation italien, qui stipule: « Le ministère des Transports et de la navigation peut limiter ou interdire, pour des motifs d’ordre public, le transit et l’arrêt des navires marchands dans les eaux territoriales, déterminant les zones où cette interdiction s’étend ».
Les fonctionnaires des deux ministères « sont au travail pour bloquer certains navires ‘non inoffensifs’ faisant route vers l’Italie et qui, en favorisant l’immigration clandestine, pourraient représenter un risque pour la sécurité nationale », ont ajouté les sources au ministère de l’Intérieur.
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Curieusement chez nous "on ne peut pas" plutôt on ne peut jamais...
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Lun 04 Fév 2019, 14:43 | |
| Le tabou migratoire ou la généalogie de l’immigrationnisme
Alexandre del Valle, qui a abordé le sujet dans l’émission Salut Les Terriens de Thierry Ardisson ce samedi 31 janvier, tente d’expliquer les raisons de l'omertà migratoire qui risque d’être au centre de la campagne des européennes.
Une question est souvent posée par nombre de Français choqués par le fait que l’on n’a jamais consulté le peuple à propos d’un phénomène aussi lourd de conséquences que l’immigration extra-européenne. Pourquoi une telle omertà ? La question est d’autant plus légitime que, contrairement à ce que l’on nous affirme depuis les années 1990, l’immigration de masse majoritairement extra-communautaire n’a jamais cessé, et que les chiffres réels du nombre d’immigrés présents en France et du coût de l’immigration font l’objet eux aussi d’une omertà destinée à « ne pas alimenter les extrêmes»… Mais la négation de la réalité et la mise à l’index de ceux qui s’opposent à l’immigrationnisme idéologique de nos élites ne sont-ce pas les meilleurs moyen de faire monter les « populismes » ? Comme on l’a vu avec le Grand Débat National, qui à peine effleuré la question migratoire, le Président Macron, après avoir annoncé vouloir aborder sans complexe ce sujet, a dû finalement reléguer le thème à un sous-thème et a surtout réaffirmé le caractère non-négociable du regroupement familial et de « l’accueil » des demandeurs d’asile. Nos élites médiatiques, gouvernementales et intellectuelles affirment d’ailleurs qu’il ne faut pas consulter les Français, dont les réflexes risquent d’être « primaires », et que cela risquerait de « faire le jeu de l’extrême-droite ».
Quelques chiffres juste pour rappel… Depuis les années 1990, d’après Jean-Paul Gourévitch, l’immigration légale coûterait 9 milliards par an, l’irrégulière 4 et les investissements en formation 4 autres, soit au total environ 17 milliards. Pendant longtemps, l’omertà migratoire a empêché de révéler que l’immigration pèse lourdement sur les finances publiques, qu’elle est massive : 300 000 immigrés majoritairement non-Européens de plus chaque année (pic de près de 400 000 en 2017), et qu’elle est de moins en moins contrôlée (regroupement familial exponentiel, faux étudiants, faux réfugiés demandeurs d’asile, non expulsion des déboutés, etc). Toutefois, depuis que des experts comme le consultant international Jean-Paul Gourévitch et la démographe Michèle Tribalat ont révélé les vrais chiffres, même l’Office français de l’Immigration et Intégration (OFII) n’ose plus les nier en bloc et a revu les siens à la hausse, tout comme l’INSEE d’ailleurs. Dans son rapport publié par la très politiquement correcte Fondapol de Dominique Renié (Immigration, La France singulière), l’expert Didier Leschi se rapproche des chiffres jadis inaudibles de Gourévitch : 11% d’immigrés en France nés à l’étranger de parents étranger et 25 % de descendants d’immigrés en France. Ces chiffres montrent bien que la France a largement « prouvé » qu’elle n’est pas « fermée » et qu’elle a le droit légitime de se poser la question de savoir si elle doit se transformer en un pays de peuplement, comme le Canada, ou au contraire si elle peut reprendre en main sa politique migratoire afin de préserver sa cohésion nationale et son identité civilisationnelle. En 2017, on a comptabilisé 100 755 demandes d’asile enregistrées contre 61 468 en 2002, un chiffre en augmentation constante depuis les années 1990.
Depuis des décennies, les entrées annuelles de migrants oscillent entre 260 000 et 380 000 titres de séjours accordés auxquels s’ajoutent bien sur les entrées illégales et les mineurs non-accompagnés/sans-papiers. Officiellement situé autour de 5 à 7 millions, le vrai nombre d’étrangers et immigrés présents durablement en France serait de 12 millions (selon Tribalat), notamment si l’on compte tous ceux qui sont naturalisés de leur vivant et qui n’en sont pas moins nés à l’étranger, car un immigré peut ne plus être un étranger du point de vue de la nationalité. En 2017, on a comptabilisé 100 755 demandes d’asile enregistrées contre 61 468 en 2002, un chiffre en augmentation constante depuis les années 1990. Quant au renvoi effectif des faux demandeurs d’asile, des illégaux et des « Dublinés » (ceux qui sont déboutés et qui doivent faire leur demande dans le premier pays d’accueil conformément au règlement dit de Dublin), il n’aboutit que dans 10% des cas ! En avril 2018, l’ex-Ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, avait lui-même évalué les « sans-papiers » autour de « 300 et 400 000», un chiffre probablement plus élevé encore. Concernant les régularisations, elles se sont élevées à 118 000 entre 2012 et 2015 (notamment grâce à la « circulaire Valls » qui a assoupli l’admission au séjour pour les familles avec enfants), avec une « moyenne » de 30 000 régularisés par an. Sur la période 1981 2015, le chiffre total des régularisations est de un million… Et on sait que chaque année, 75 000 clandestins devant être expulsés s’évaporent dans la nature… Si l’on additionne le nombre de clandestins expulsables aux régularisés qui auraient dû être légalement expulsés, le chiffre de ces immigrés non voulus et venus de façon frauduleuse chez nous s’élève à 1,8 millions ! On sait aussi que les demandes d’asile ont doublé depuis 2010, un chiffre qui explose avec celui des clandestins. Enfin, d’après Jean-Paul Gourévitch, le solde migratoire pour la seule année 2016 s’est élevé à 330 000, soit un million sur le seul quinquennat d’Emmanuel Macron, ce qu’a justement dénoncé Laurent Wauquiez récemment, en citant les études de Gourévitch et de Contribuables Associés. Pour l’année 2017, tous les records ont été battus avec 400 000 nouveaux migrants en comptant les titres de séjours légaux, les mineurs non accompagnés et les illégaux supposés. Enfin, et cela n’est pas un épiphénomène puisqu’il s’agit d’une véritable pompe à migrants, le nombre de bénéficiaires de l’AME qui était de 209.000 bénéficiaires en 2011, et 300.000 début 2015, augmente de près de 100 000 par ans, tandis que tout étranger qui n’a jamais cotisé en France mais qui y réside depuis plus de cinq ans et a plus de 65 ans peut bénéficier d’une allocation vieillesse de 800€ par mois par personne même s’il n’a jamais travaillé chez nous et de 1200 s’il s’agit d’un couple, une somme dont les paysans les plus modestes et nombre d’artisans rêveraient d’avoir.
Ethique de responsabilité versus éthique de conviction L’Europe submergée : Sud-Nord dans 30 ans n’est pas le titre d’un ouvrage «d’extrême-droite », mais celui d’un des derniers essai (1987, éditions Dunod) d’Alfred Sauvy, le plus grand démographe français, pourtant unanimement respecté. (Citons seulement ce passage : « N’ayez pas peur de la bombe, le péril vient d’ailleurs : bientôt, le contraste entre un jeune Sud débordant de vitalité et une Europe vieillissante sera insupportable. Inéluctablement alors, le Sud débordera vers le Nord, tandis que l’Europe, ce « petit cap de l’Asie », déclinera plu à peu ». Quand on sait que la politique c’est avant tout prévenir les maux qui peuvent mettre en péril la pérennité de la Nation et protéger ses citoyens, il est bon de relire Sauvy. Ce dernier préconisait clairement, en bon démographe et en bon adepte de l’instinct de survie des peuples, une politique nataliste forte et une contrôle strict des flux migratoires, si possibles en provenance de pays civilisationnellement « compatibles », donc non-islamiques. A juste titre, Alfred Sauvy craignait, comme d’ailleurs Lévi-Strauss, un inévitable choc civilisationnel entre les peuples européens chrétiens et les allogènes musulmans, sachant que deux civilisations aussi antinomiques ne pourraient pas cohabiter longtemps sans heurts. Plus que jamais, ses prédictions, qui rejoignent aussi celles de Samuel Huntington mais aussi du plus célèbre islamologue moderne, Bernard Lewis, devraient être prises au sérieux afin de faire en sorte que nos sociétés que l’on souhaiterait « multiculturelles » ne deviennent pas « multiconflictuelles »… Mais l’éthique de responsabilité, vantée par le célèbre sociologue Max Weber par opposition à l’éthique de conviction, moins rationnelle, n’est pas le fort de nos élites dirigeantes occidentales pour qui « l’impératif de l’accueil des migrants » est une « valeur » par essence non-négociable et qui serait la « vraie » identité de l’Europe, terrain d’expérimentation d’une nouvelle humanité unie et « multiculturelle ». Une évidence géopolitique, démographique et historique que l’on a tendance à oublier est que l’Immigration n’est pas forcément et toujours une « BONNE » chose. L’immigration peut être une « bonne chose »… ou une très « mauvaise chose», suivant qu’elle soit choisie et assimilée, ou au contraire subie et subvertie. Une évidence géopolitique, démographique et historique que l’on a tendance à oublier est que l’Immigration n’est pas forcément et toujours une « BONNE » chose : les aborigènes d’Australie et les Amérindiens envahis puis submergés par les immigrants européens ; les Chrétiens du Liban agressés par les Palestiniens qu’ils avaient accueillis en réfugiés politiques ; les Chypriotes actuellement colonisés par les Turcs anatoliens dans le Nord de leur île envahie en 1974, les Tibétains bouddhistes et les Musulmans du Xinjang, submergés par des millions de Chinois Han immigrants ; sans oublier les nations européennes latinisées (empire romain) envahies par les Barbares à la fin de l’empire romain d’Orient, ont appris à leur dépens que l’immigration peut être une arme de guerre, de conquête voire même de destruction civilisationnelle pure et simple. Même le grand intellectuel maghrébin arabe du XIV ème siècle, Ibn Khaldoun, comparait l’arrivée des masses bédouines arabes à des « armées de sauterelles » qui détruisaient sur leur passage les cités de civilisations sédentaires (« ‘ouribet/Khouribet », ou «l’arabité bédouine c’est la destruction »).
L’immigrationnisme, idéologie extrémiste anti-nationale aux multiples cause D’évidence, l’immigrationnisme, c’est-à-dire le fait de présenter l’immigration, même issue d’une civilisation différente ou hostile, comme quelque chose de forcément Bon et Bien en soi, que l’on doit promouvoir religieusement sans aucune restriction, y compris en terme de préservation de l’intérêt national et de la sécurité, est un extrémisme comme les autres, c’est-à-dire une disposition systématique, radicale et sans limites. Face à l’omertà migratoire et aux lobbies immigrationnistes qui ne cessent de diaboliser et tentent même de criminaliser les critiques de l’immigration, notamment au nom d’un « anti-racisme » d’essence tiersmondiste et islamophile, nombre de Français et d’Européens effrayés par les conséquences sécuritaires et identitaires de l’immigration extra-européennes massive, sont tentés par la solution « populiste » et croient même de plus en plus à un « complot » ourdi par les classes dirigeantes et les décideurs économiques. Cette idéologie inhérente à la pensée « sans-frontiériste », que d’autres appellent « mondialiste », est favorisée selon nous non pas par un « lobby », une « secte », un milliardaire comme Georges Soros (certes très actif avec sa Fondation Open Society et les « No Borders » et les bateaux des ONG pro-Migrants), ou un « groupe secret ésotérico-maçonnique » (Illuminati, CFR, Bildelberg, souvent pointés du doigt par les conspirationnistes), mais par une convergence d’intérêts économico-sociaux et d’activismes idéologiques divers, parfois mêmes opposés entre eux, lesquels convergent en fin de compte dans le même objectif de démanteler les Etats-souverains européens et occidentaux. Il y a peut-être certes des « Plans », mais pas un « complot ». Il y a sûrement des convergences de plans de groupes d’intérêt et de pensée fort différents et souvent opposés entre eux (Capitalistes-multinationales ; No Borders gauchistes, Eglise catholique, panislamistes, etc), mais certainement pas UN plan unique mettant en œuvre une « conspiration ». La réalité est à la fois plus paradoxale et plus complexe.
Une convergence d’intérêts et idéologies opposés à la civilisation judéo-chrétienne et à la souveraineté des Etats occidentaux S’il y a une chose qui réunit des immigrationnistes milliardaires comme Georges Soros, les No-Borders, les Tiersmondistes, les groupes trotskistes, les « antiracistes » à sens unique, l’Eglise catholique post-Concile culpabilisée, les adeptes de l’Utopie du « Gouvernement mondial », les lobbies de la repentance et leurs alliés objectifs islamistes, eux aussi transfrontières, c’est bien la haine de la civilisation judéo-chrétienne-européenne, la destruction des identités nationales des pays occidentaux, réputés « coupables » de tous les maux de la Terre, et sommés de ce fait à accepter et même à organiser leur auto-submersion pour « expier » leurs fautes passées (« croisades, inquisition, Reconquista ; colonialisme, impérialisme et sionisme »). Loin d’être le fruit d’un « complot » ourdi de façon occulte, l’offensive de « désouverainisation », poursuivie à la fois par un certain capitalisme consumériste (« Village Global » ou « Mc World ») et par l’extrême-gauche anti-nationale, la stratégie de l’intimidation visant à assimiler tout discours anti-immigrationniste et souverainiste à du « Racisme » et à du « Fascisme » est frontale et tout à fait ouverte. La force de cette pensée « cosmopolitiquement correcte » tournée contre l’Etat-Nation occidental et l’Homme Blanc-judéo-Chrétien est qu’elle utilise des armes psychologiques et médiatiques très puissantes dont l’hégémonie morale et idéologique ne pourrait pas perdurer sans la « réceptivité » des peuples européens culpabilisés depuis que les immigrationnistes « de droite comme de gauche » ont systématiquement instrumentalisé la « reductio ad hitlerum » et les horreurs de la seconde guerre mondiale pour discréditer le fait national lui-même et l’Homme Blanc au nom du « plus jamais ça » dévoyé.
Les forces hétéroclites du « cosmopolitiquement correct» Pour récapituler, les forces qui s’emploient à orchestrer le démantèlement de la cohésion civilisationnelle des démocraties occidentales et l’unité des Etats-Nations souverains sont, grosso modo : - Les protagonistes du Village Global consumériste, que le grand sociologue américain démocrate Benjamin Barber appelle « Mc World ». Cette première force établit en toute cohérence interne que la Libre-circulation des Capitaux et des Biens est inséparable de la libre-circulation de Personnes. Pour les Soros-Attali et les multinationales déterritorialisées, le « marché mondial unifié », ou « mondialisme marchant », qui n’est pas synonyme de mondialisation (concept plus neutre), la suppression des barrières douanières et civilisationnelle et la fin de la souveraineté des Etats sont des conditions sine qua non pour édifier une « suprasociété » mondiale interchangeable et un Grand marché unisexe fait d’êtres et de produits interchangeables sans identité propre. Dans ce dessein, il est clair qu’une partie du Patronat est impliqué dans le but de disposer d’une main-d’œuvre corvéable à merci et de faire baisser les salaires. Marx appelait justement cela « l’armée de réserve du capitalisme », phénomène qui réunit dans un même « Précariat » l’ancien Prolétariat et les Classes moyennes autochtone paupérisées face aux délocalisations, à l’immigration et à la dévaluation par les salaires inhérente à la perte de la souveraineté monétaire des Etats au profit des financiers privés et étrangers. - l’idéologie tiersmondiste ou néo-gauchiste, qui utilise la figure victimaire du Migrant-réfugié pour délégitimer les Etats-Nations européens dans une logique anti-Occidentale. Pour des raisons opposées, cette Gauche subversive xénophile néo-sartrienne voit dans le Migrant extra-européen la figure inversée du « persécuteur » occidental à abattre. Ce choix explique que ces « anti-racistes » ne fustigent jamais le racisme et l’anti-immigrationnisme de pays musulmans, asiatiques, africains, mais n’accablent que l’Homme Blanc judéo-chrétien. Mais tel un idiot utile, cette gauche immigrationniste, en délégitimant le fait national, la famille traditionnelle (discours du genre) et l’identité européenne, sert d’agent de légitimation idéologique et moral au service de Mc Word, d’où la convergence récurrente entre les activités pro-migrants des groupes trotskistes, les ONG pro-Migrants et leurs financiers milliardaires à la Soros ou à la Benetton. - Le multilatéralisme de plus en plus anti-souverainiste des organisations internationales ONU, Conseil de l’Europe, CEDH, et supranationales (Union européenne), qui s’emploient depuis des décennies à promouvoir les Droits de L’homme au rang de principe quasi religieux supraconstitutionnel qui s’imposerait - au nom du Bien cosmopolitiquement correct ) à la souveraineté (maudite) des Etats : d’où les principes consacrés dans les années 1990 de « Droit d’ingérence », « responsabilité de partager », d’où les « Pacte » promouvant les « droits des Migrants » et les « devoir des Etats » (ex : Pacte de Marrakech), et d’où l’évolution post-démocratique des pays occidentaux dont les peuples sont progressivement dépossédés de leur souveraineté législative (Parlements) et politique par des « gouvernements de juges » qui cassent les lois et juridictions nationales régaliennes dès qu’elles sont supposées se heurter au « principe supérieur des droits de l’homme », notamment en matière d’immigration. Les droits des individus et des minorités s’imposeraient ainsi de façon irréductible à ceux des majorités suspectes d’intolérance … - La compassion et bonnes intentions des « buonistes », des « radicaux chic » (comme on dit en Italie), des Bobos bien-pensants, puis bien sûr de l’Église catholique contemporaine, qui voit dans la figure du Migrant celle de l’opprimé christique emblématique que l’on devrait « accueillir » sans limites au nom de « l’ouverture » sans limites. D’où la similitude incroyable de vues immigrationnistes – en matière de « migrants » - entre le Pape François, le trotskiste Edwy Plenel, le « libertaire-68tard » Daniel Cohn-Bendit, le « libéral-libertaire » Guy Sorman, Georges Soros et autres adeptes d’un BisounoursLand désouverainisé et xénophile. - Enfin, les lobbies communautaristes, et parmi eux les pays, pôles et organisations islamistes qui voient dans l’immigration une opportunité de conquête progressive au nom du « droit à la différence », d’où les appels du néo-Sultan Erdogan, des Frères musulmans et des organisations communautaristes et islamistes en général à refuser non seulement l’assimilation, assimilée par Erdogan à un « crime contre l’Humanité », mais même la simple intégration. A celle-ci, jugée « traumatisante » pour l’Autre qui a le droit de venir avec sa culture propre, est préférée une « inclusion réciproque » toute faite de relativisme : chacun peut amener sa civilisation dans une Europe démocratique et une France post-républicaine vues comme une Terra Nulius, un No Man’s Land géopolitique sans racines spécifiques et sans autre « identité » que celle du droit, idée-force chère au philosophe de référence de l’Union européenne et de la Commission européenne ; Jurgen Habermas qui explique depuis des décennies que l’identité concrète des Nations, dangereuse, porteuse de nazisme, doit être remplacée par une identité purement abstraite, qu’il appelle « juridico-constitutionnelle »… Tout le projet de l’Union se trouve expliqué dans cette expression terrifiante qui justifie, comme nombre de textes onusiens, l’élimination de la souveraineté des Nations d’origine populaire (décisions législatives prises par et pour le peuple) au nom de la souveraineté exclusive du droit (pouvoir des Juges). Bienvenu dans la « post-démocratie » et la « post-souveraineté ». | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mar 19 Fév 2019, 06:48 | |
| Allemagne : le nombre de détenus nés à l'étranger atteint un niveau record par Soeren Kern 16 février 2019
Traduction du texte original: Germany: Number of Foreign-Born Prison Inmates at Record High
La proportion de détenus nés à l'étranger a atteint un niveau record dans les prisons allemandes indique une récente enquête menée sur le système pénitentiaire des 16 États fédéraux allemands. Àinsi, à Berlin et Hambourg, plus de 50% des détenus sont désormais étrangers. Le rapport évoque également un pic dans le nombre d'islamistes détenus en Allemagne. Les données rendues publiques par le Rheinische Post, indiquent une forte hausse du nombre de détenus nés à l'étranger depuis 2015, date à laquelle la chancelière Angela Merkel a ouvert les frontières de l'Allemagne à plus d'un million de migrants en provenance d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient.
Selon ce même journal, tous les États fédéraux allemands signalent depuis trois à cinq ans, une « très forte augmentation » du nombre de prisonniers étrangers et apatrides. Mais faute d'un appareil statistique homogène, une photographie du problème au niveau national demeure difficile à obtenir. Depuis 2016, dans les États d'Allemagne de l'ouest, la proportion de détenus étrangers est passée de 55% à 61% à Hambourg ; de 43% à 51% à Berlin ; de 44% à 48% dans le Bade-Wurtemberg ; de 35% à 41% à Brême; de 33% à 36% en Rhénanie du Nord-Westphalie ; de 28% à 34% dans le Schleswig-Holstein ; de 29% à 33% en Basse-Saxe ; de 26% à 30% en Rhénanie-Palatinat ; de 24% à 27% en Sarre. On peut parler de relative stabilité en Hesse(44,6% aujourd'hui contre 44,1% il y a trois ans). En Bavière, le nombre de détenus étrangers qui était de 31% en 2012 atteint aujourd'hui 45%. Le même phénomène se remarque dans les États d'Allemagne de l'Est. Le nombre de détenus étrangers a ainsi plus que doublé en Saxe depuis 2016. La plupart des détenus étrangers sont originaires de Pologne, de Tunisie, de Libye, de République tchèque et de Géorgie. Le Mecklembourg-Poméranie occidentale compte maintenant 160 détenus étrangers originaires de 66 pays différents. Les autorités allemandes signalent également une augmentation significative du nombre de détenus musulmans. Ils représentent aujourd'hui 20% des 65 000 détenus du système pénitentiaire allemand alors que la population musulmane en Allemagne est de six millions de personnes, soit 7% d'une population totale de 82 millions d'habitants. Les détenus musulmans représentent 29% du total des détenus à Brême ; 28% à Hambourg ; 27% à Hesse (dans certaines prisons, 40% des détenus assistent aux prières du vendredi); 26% dans le Bade-Wurtemberg ; 21% en Rhénanie du Nord-Westphalie ; 20% à Berlin ; et 18% en Bavière. Selon les données des ministères de la justice régionaux, pas moins de 300 islamistes radicalisés purgent une peine dans le système pénitentiaire allemand. Un autre contingent de 350 islamistes est actuellement sous mandat de dépôt. La plupart des détenus islamistes se trouvent à Hesse, en Bavière, en Rhénanie du Nord-Westphalie et à Berlin. La plupart sont incarcérés dans des établissements distincts, mais la crainte existe de voir les détenus qui n'ont pu être séparés des autres, radicaliser les autres détenus.
Dernière édition par tonton christobal le Mar 19 Fév 2019, 09:39, édité 1 fois | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mar 19 Fév 2019, 06:49 | |
| Depuis 2013, le nombre d'islamistes détenus en Hesse a plus que doublé alors que ceux de Bade-Wurtemberg ont vu leur nombre multiplié par trois depuis 2016. « Le nombre de prisonniers que leurs sentiments islamistes distinguent des autres a fortement augmenté ces deux dernières années », a déclaré Guido Wolf, ministre de la Justice du Bade-Wurtemberg. « Cela représente de nouveaux défis pour nos responsables pénitentiaires déjà en butte à d'importantes difficultés. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour détecter au plus tôt les signes de radicalisation islamiste afin de pouvoir résolument nous y opposer. » Dix à quinze pour cent des détenus musulmans sont à risque de radicalisation, affirme Husamuddin Meyer, un Allemand converti à l'islam soufi et devenu haut fonctionnaire au sein de l'administration pénitentiaire de Rhénanie du Nord-Westphalie (RN-W). Husamuddin Meyer réclame plus d'aumôniers pour lutter contre la radicalisation.
Les prisons de Rhénanie-du-Nord-Westphalie qui comptaient autrefois 114 aumôniers musulmans, n'en dénombrent plus que 25 aujourd'hui. Cette réduction drastique est la conséquence d'un contrôle de sécurité. Les autorités allemandes ont ainsi découvert que 97 aumôniers musulmans étaient des fonctionnaires turcs payés par le gouvernement turc. La Turquie a refusé que les imams répondent aux questions des fonctionnaires allemands. « Soumettre ces employés à un nouveau contrôle de sécurité est inappropriée et erronée », a déclaré le consulat de Turquie. Le ministre de la Justice de RN-W, Peter Biesenbach, a répondu que son « objectif à moyen terme était d'organiser des activités religieuses et pastorales indépendantes de l'Etat turc. » Entre-temps, à Hesse, le ministère de la Justice a suspendu un aumônier en raison de ses liens avec les Frères musulmans.
L'augmentation du nombre de détenus étrangers a entraîné une surpopulationcarcérale et une pénurie de personnel. Les prisons de Bade-Wurtemberg et de Rhénanie du Nord-Westphalie fonctionnent à plein régime. Une « amnistie de Noël » a été opportunément décrétée en RN-W pour libérer 500 prisonniers et alléger les tensions dues au surpeuplement. Les prisons de Bavière, Berlin, Brême, Hambourg et Rhénanie-Palatinat sont pleines à 90%. Le personnel pénitentiaire de RN-W a réclamé le paiement de plus de 500 000 heures supplémentaires en 2018, indique un rapport judiciaire interne divulgué par le Rheinische Post. Et les pénuries de personnel nécessiteraient l'embauche d'au moins 500 nouveaux gardiens de prison. Mais les contraintes physiques et émotionnelles liées à ce type d'emploi font que, en dépit d'un salaire correct et de nombreux avantages sociaux, les candidats ne se bousculent pas. Outre le manque de personnel, nombre de sites pénitentiaires sont délabrés. A Münster, plus de 500 détenus ont dû être évacués et transférés en raison d'un risque d'effondrement du bâtiment. À Cologne, les dangers liés à l'amiante ont amené la fermeture de 100 centres de détention. Rien qu'en RN-W, trois milliards d'euros au moins seraient nécessaires pour rénover les établissements pénitentiaires. Dans un article intitulé, « L'allemand est devenu une langue étrangère dans de nombreuses prisons, » le Berliner Morgenpost a rapporté que les conflits allaient croissant entre le personnel pénitentiaire et les détenus étrangers, souvent en raison de problèmes de communication. « Les besoins de cours de langue et le recours à des interprètes augmentent, sans parler du nécessaire apprentissage des us et coutumes d'autres cultures », a déclaré Dieter Lauinger, ministre de la Justice de Thuringe. Le syndicat des prisonniers GG / BO (Gefangenen-Gewerkschaft/ Bundesweite Organisation) a appelé les directeurs de prison à engager des interprètes capables de donner des ordres et de délivrer des instructions dans la langue maternelle des détenus étrangers. Certains Lander utilisent des interprètes, mais le coût est généralement prohibitif. Les autorités allemandes signalent également une augmentation des agressions de gardiens par les détenus. Le Syndicat du personnel pénitentiaire (Bund der Strafvollzugsbediensteten Deutschlands, BSBD) a dénombré 550 « événements spéciaux » en 2017. Depuis 2016, en Rhénanie du Nord-Westphalie, le nombre d'agressions contre le personnel pénitentiaire a plus que doublé . « Les statistiques sont le reflet de notre société », a déclaré Peter Brock, président du syndicat BSBD. « Les insultes, les menaces et les agressions sont désormais notre lot quotidien. »
Soeren Kern est Senior Fellow du Gatestone Institute de New York . | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 21 Fév 2019, 13:09 | |
| « Comment l’Europe en est-elle arrivée là ? Gramci a ouvert le chemin en montrant comment une idéologie dominante peut littéralement transformer une société de l’intérieur. Il faut retracer les courants complexes qui ont formé l’idéologique dominante des trente dernière années en Europe avant d’explorer les mécanismes de propagation de cette idéologie dans l’ensemble de la population
Schématiquement, il serait possible d’en identifier trois principaux : la haine de soi ou le rejet de son identité propre ; la conviction dans le caractère universel des valeurs de l’occident ; et, ce qui en constitue le fer de lance, la religion des droits de l’homme, l’arme incapacitante par excellence, qui permet de pénétrer par effraction dans tous les systèmes de défense érigés par la société pour sa survie. Ces courants s’entremêlent en se renforçant mutuellement la haine de soi nourrissant et justifiant l’universalisme. (…)
Au niveau international, c’est évidemment l’ONU peuplée de fonctionnaires généreux et menant une existence confortable car dotés de salaires opulents non soumis à l’impôt, circonstance fortuite qui favorise évidemment la générosité intellectuelle. Mais c’est à Genève à l’Office international des migrations que l’on trouvera un des plus beaux fleurons de cette bonne conscience bureaucratique pétrie d’irresponsabilité quiète. Cette organisation toujours ardente à défendre par voie de presse ou de colloques toujours plus d’immigration légale ou non, toujours plus de meilleures conditions d’accueil pour les immigrés déjà installés est au premier rang du lobby immigrationniste. Jacqueline Wecker, sociologue avertie bien entendu, conseiller auprès de cette estimable institution, ne voulait-elle pas étendre le bénéfice du regroupement familial au delà de la famille biologique à la famille élargie, amis, connaissances, voisins etc. En effet, un village africain ne constitue-t-il pas une grande famille ? (…)
Le Conseil de l’Europe n’est nullement en reste dans ce grand concert humanitaire. Refuge recherché d’hommes et de femmes politiques recalés de la vie politique, il est un des réceptacles privilégiés où mûrit la pensée unique loin des tristes réalités de l’actualité.(…)
Au niveau national, le paysage n’est pas triste non plus. Rappelons simplement le célèbre arrêt Montcho du Conseil d’Etat en date du 11 juillet 1980 étendant sans vergogne le bénéfice du regroupement familial aux familles polygames au motif que cette situation, - la polygamie -, ne constituait nullement un trouble à l’ordre public. Il a fallu les lois Pasqua de 1993 pour mettre un terme à cette aberration juridique commise par la plus haute instance administrative de la France. (…)
source : http://www.magistro.fr/index.php/template/lorem-ipsum/avec-l-europe/item/284-leurope-trahie-par-ses-qtesq | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 28 Fév 2019, 05:45 | |
| L'Autriche veut instaurer une rétention préventive des demandeurs d'asile «dangereux» • Par Le Figaro.fr avec AFP • Mis à jour le 27/02/2019 à 19:53
Le gouvernement autrichien a annoncé aujourd'hui plancher sur l'instauration d'un dispositif de rétention préventive des demandeurs d'asile qui seront jugés potentiellement "dangereux", selon des critères qui restent à définir mais qui suscitent déjà des réserves.
En présentant le projet à l'issue d'un conseil des ministres, le chancelier conservateur Sebastian Kurz a reconnu qu'il s'agissait d'une question "hautement sensible" mais qu'il s'agissait "d'augmenter la sécurité dans le pays". Cette détention pour dangerosité potentielle interviendrait sans condamnation préalable de l'intéressé et précéderait une expulsion du pays, selon les déclarations de plusieurs responsables gouvernementaux. Kurz, qui gouverne en coalition avec l'extrême droite, a assuré que les mesures seraient prises "dans le cadre légal", en accord avec le droit européen et la Convention européenne des droits de l'homme.
Cette rétention devra être justifiée par "des menaces concrètes", "selon des critères concrets que nous allons évaluer", a insisté le vice-chancelier Heinz-Christian Strache et chef du parti d'extrême droite FPÖ, citant l'exemple d'"un lien prouvé avec des organisations terroristes projetant un attentat".
Les deux dirigeants se sont également référés au cas récent d'un demandeur d'asile turc qui avait proféré des menaces contre un employé régional chargé de sa demande d'asile. Il a été arrêté en début d'année pour le meurtre de cet employé de la province du Vorarlberg (ouest de l'Autriche). De nombreux experts et élus ont appelé le gouvernement à clarifier tant les critères de dangerosité qu'il allait choisir que le rôle du pouvoir judiciaire dans ce dispositif. Le ministre conservateur de la Justice Josef Moser s'est montré réservé vis-à-vis d'une mesure qui exige "une grande prudence et du tact".
Elue fin 2017 sur une plate-forme anti-immigration, la coalition autrichienne a multiplié les mesures tant symboliques que pratiques pour durcir le droit d'asile et les conditions d'accueil. Le ministre de l'Intérieur a ainsi annoncé cette semaine l'entrée en vigueur à partir du 1er mars d'une obligation de présence des demandeurs d'asile dans leurs centres d'hébergement de 22h00 à 6h00 du matin.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Lun 04 Mar 2019, 05:49 | |
| Calais : une centaine de migrants pénètrent dans le port Dimanche 3 mars 2019 à 14:271
Des migrants se sont introduits illégalement dans l'enceinte du port de Calais (Pas-de-Calais) pour essayer de rejoindre le Royaume-Uni.
Ils se sont introduits dans le port de Calais samedi entre 21h15 et 21h30. Comme le relaye Franceinfo ce dimanche 3 mars, une centaine de migrants ont pénétré dans l’enceinte portuaire afin de rejoindre le Royaume-Uni. Une intrusion inédite. « Une cinquantaine d’entre eux ont réussi à monter dans un ferry en provenance de Douvres et qui venait d’accoster. Deux des migrants sont tombés à l’eau et ont été rapidement repêchés par les sapeurs-pompiers », explique à Franceinfo Jean-Philippe Vennin, sous-préfet de permanence pour le Nord et le Pas-de-Calais. Calais : une centaine de migrants réussissent à grimper à bord d'un ferry
Comme le rapporte Franceinfo, les forces de l’ordre ont investi le navire pour organiser « la sortie des véhicules, voitures et poids lourds » et ont « ratissé le ferry ». Le trafic des bateaux a été temporairement perturbé le temps de sécuriser la zone. Alors que les opérations de police ont été organisées toute la nuit, « une dizaine de migrants se trouvaient toujours à bord du ferry, près des cheminées », indique le sous-préfet. Selon les informations de la préfecture, 44 migrants ont pu être interpellés. 17 d’entre-eux ont été placés en garde à vue.
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La comédie continue...
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Ven 05 Avr 2019, 06:28 | |
| Cardinal Sarah : Dieu ne veut pas la migration… Vous êtes envahis par l’islam Par Michel Janva le 27 mars 201910 commentaires
Extrait de cet entretien de 4 pages, sur un sujet sensible… l’immigration :
https://www.lesalonbeige.fr/cardinal-sarah-dieu-ne-veut-pas-la-migration-vous-etes-envahis-par-lislam/
pour connaitre l'auteur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Sarah
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Jeu 11 Avr 2019, 06:41 | |
| Les demandes d'asile en France ont explosé en 2018 / Mardi 15 janvier 2019 à 17:32 4986 1
Immigration. Elles sont en hausse de 21,8% et atteignent le nombre de 122 743, selon l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides).
L’Hexagone continue de faire face aux vagues migratoires successives. Lors de l’année 2018, la France a décompté 122 743 demandes d’asile, un chiffre en hausse de 21,8% par rapport à l’année dernière, relate l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Les principaux pays d’origine des migrants sont ainsi l’Afghanistan, la Guinée et l’Albanie, la Géorgie et la Côte d’Ivoire.
Plus de 15 000 clandestins reconduits à la frontière Compilés sur plusieurs années, les chiffres démontrent le caractère exponentiel des flux migratoires. L’été 2015 réputé comme l’un des plus marquants de la crise migratoire, c’est pourtant « seulement » 80 000 dossiers de demandes d’asile que la France a reçus cette année-là. Depuis, un appel d’air semble avoir eu lieu : leur nombre a bondi de 17% en 2017 par rapport à 2016, et donc de 21,8% en 2018 par rapport à 2017. Les expulsions d’étrangers en situation irrégulière ont elles aussi augmenté de 9,9%, avec 15 677 reconduites, mais en moindre proportion. Une performance toutefois vantée par la Direction générale des étrangers en France (DGEF), qui a vanté « un plus haut niveau depuis le début de la décennie ».
L’organisation a précisé que la France était « une destination de rebond » et « le deuxième pays de demande d’asile en Europe » derrière l’Allemagne, qui a enregistré quant à elle 174 000 dossiers entre janvier et novembre 2018 et reçu à elle seule 1 257 000 demandes en 2015, au plus fort de la crise migratoire. Toutefois, il faut ajouter aux statistiques françaises les quelque 35 000 personnes enregistrées en préfecture, mais relevant d’un autre pays au titre de la « procédure Dublin », qui suppose que celles-ci ont été enregistrées dans un autre pays, soit déboutées d’une première demande d’asile. Le nombre total des demandes d’asile s’élèverait donc en 2018 à environ 158 000.
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et nous sommes supposés avoir verrouillé nos frontières... | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mar 21 Mai 2019, 07:50 | |
| L'aéroport de Roissy envahi par des centaines de clandestins Dimanche 19 mai 2019 à 21:51 38
Ce dimanche 19 mai, le terminal 2F a été occupé par 200 à 500 sans-papiers, en opposition aux expulsions de personnes en situation irrégulière.
Le blocage comme mode d’action. Ce dimanche 19 mai, de 200 à 500 sans-papiers ont envahi puis occupé le terminal 2F de l’aéroport Charles-de-Gaulle afin de dénoncer « la collaboration d’Air France » dans les expulsions de personnes en situation irrégulière, rapporte Le Point de source judiciaire et d’après les deux collectifs à l’origine de cette opération.
« D’autres actions vont suivre » Les collectifs des « Gilets noirs » et de La Chapelle debout ! ont demandé qu’Air France « stoppe toute participation financière, matérielle, logistique ou politique » aux reconduites à la frontière. Leur action a démarré aux alentours de 14 heures pour s’achever approximativement deux heures plus tard, a fait savoir La Chapelle debout !
Une délégation de la compagnie aérienne a reçu quatre référents des « Gilets Noirs », dimanche en fin d’après-midi. Elle s’est engagée « à faire part des doléances auprès de la direction », a indiqué un membre de La Chapelle debout !, rapporte Le Point. Air France, de son côté, s’est refusé à tout commentaire, renvoyant à la préfecture de police pour ce qui est des expulsions. Un des sans-papiers mobilisés pour l’opération, Diakiaté, a, lui, promis : « Nous avons aujourd’hui ciblé Air France et d’autres actions vont suivre ».
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Visiblement l'état est moins efficace pour traiter l'immigration illégale et renvoyer les indésirables que pour s'occuper des gilets jaunes... | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Immigration Ven 07 Juin 2019, 10:36 | |
| L ' avis d 'un député de Mayotte sur l 'immigration :
https://fr-fr.facebook.com/mayottela1ere/videos/1739533682752328/ | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Mer 12 Juin 2019, 09:03 | |
| La préfecture de Loire-Atlantique refuse d'évacuer 500 migrants Par Auteur valeurs actuelles /
Imbroglio à Nantes. La préfecture de Loire-Atlantique a refusé l’évacuation de 500 migrants d’un gymnase occupé depuis neuf mois, s’opposant ainsi à la décision du tribunal d’instance de Nantes, qui avait donné son feu vert, rapporte Le Figaro.
Un gymnase insalubre C’est le diocèse de Nantes, propriétaire des lieux, qui avait eu recours à une assignation en référé pour exiger l’évacuation. « On a d’abord essayé de négocier avec le collectif de soutien, de trouver des solutions de relogement. Mais la situation se dégrade tellement que ça nous a poussés à demander l’évacuation », explique Xavier Brunier, délégué de l’évêque pour la solidarité. En effet, le gymnase se trouve dans une situation préoccupante : ni douche, ni chauffage, des tentes par dizaines, un plafond non étanche, des plaques d’isolant qui menacent de tomber, seulement quelques toilettes de chantier et une odeur épouvantable… A cela s’ajoutent des cas de tuberculoses, mais aussi des fractures à la suite de bagarres.
Une « augmentation non maîtrisée de la population présente » Une situation qui a amené la préfecture de Loire-Atlantique à ne pas procéder à l’évacuation autorisée par le tribunal. « L’augmentation non maîtrisée de la population présente et l’absence de gestion du site […] aboutissent à ce que l’évacuation et l’hébergement d’un nombre aussi important de personnes ne soient plus envisageables et source de troubles à l’ordre public », a justifié le service de communication de l’administration territoriale auprès du Figaro, en avançant le chiffre de 500 à 600 migrants qui arrivent chaque mois dans la région, dont 80% dans la métropole nantaise. --------
L'affaire commence à se compliquer ! et ce n'est que le début. | |
| | | joseph1
Messages : 1012 Date d'inscription : 08/09/2014
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 15 Juin 2019, 08:07 | |
| Sur l 'immigration irrégulière , l 'avis de Yasmine Benzelmat :
https://www.bvoltaire.fr/yasmine-benzelmat-il-y-a-un-cumul-de-mesures-qui-incitent-a-limmigration-irreguliere/ | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 22 Juin 2019, 23:04 | |
| Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrantsPar Alexandre del Valle / Mardi 11 juin 2019 à 16:300 Les migrants venus d'Afrique continuent à affluer sur les côtes espagnoles. JORGE GUERRERO / AFP Immigrationnistes et lobbies/ONG pro-migrants voient comme une “ discrimination ” l'application des lois en matière de lutte contre l'immigration illégale. Pour le géopolitologue Alexandre del Valle, face à un droit jugé illégitime, cela aboutit à des exigences de plus en plus élevées et vindicatives de la part des migrants illégaux et une violence croissante de leurs revendications. Le combat des ONG pro-migrants visant à dépénaliser progressivement les flux migratoires illégaux et à réclamer l’abolition de toute différence de droits et avantages entre migrants illégaux, migrants réguliers et citoyens nationaux correspond à une tendance lourde. Ce processus est relayé en aval par les ONG pro-migrants et les militants (comme Cedric Herrou, voir infra) et en amont par les Nations unies et la Cour européenne des droits de l’homme. Et les gouvernements récalcitrants ou réfractaires à la doxa immigrationniste sont mis à l’index et bientôt sanctionnés par les Nations Unies. C’est ainsi que le 11 septembre 2018, l’ONU a condamné solennellement et moralement l’Etat italien pour avoir appliqué fermement la loi en matière de droits des migrants, visant la politique du vice-président du Conseil italien chargé de l’intérieur, Matteo Salvini. Le Haut-commissaire pour les Droits de l’Homme des Nations unies, Michelle Bachelet, ex-présidente chilienne, a ainsi accusé le gouvernement italien de “posture politique” dans la crise sur les réfugiés et annoncé l’envoi d’une « équipe d’enquêteurs de l’Onu en Italie pour examiner la forte augmentation signalée des actes de violence et de racisme contre des migrants, des personnes d’origine africaine et des Roms ». Comme le rappelle Cesare Sachetti, journaliste et politologue italien basé à Bruxelles, « cette affirmation n’a jamais pu être corroborée par aucune statistique et elle est apparue spécialement pour attaquer l’exécutif en charge (…), ce n’est pas la première fois que les Nations Unies attaquent le gouvernement italien Ligue/5 étoiles (…). L’ONU recommence maintenant à attaquer l’Italie concernant le décret sécurité bis, en citant des ‘violations des droits de l’Homme’, alors que Rome ne fait rien d’autre que respecter la Convention de Genève sur les réfugiés qui autorise l’expulsion des demandeurs d’asile pour motifs de sureté. En outre, la même ONU a accepté que l’Arabie Saoudite, pays notoirement connu pour ses violations nombreuses des droits humains, siège dans la Commission pour les droits de l’homme, alors que ce pays, étonnamment moins condamné que l’Italie par l’ONU, est le dernier à pouvoir donner des leçons à l’Italie ». Refus de manger la nourriture non-islamique et « trop occidentale » et autres exigences croissantes des Migrants La stratégie des lobbies pro-migrants consistant à diaboliser/délégitimer non pas seulement les milieux politiques souverainistes mais aussi toute volonté d’appliquer les lois en vigueur afin combattre les migrations illégales ou incontrôlées, a comme conséquence directe de donner aux migrants illégaux l’idée qu’ils sont dans leurs bons droits, qu’ils incarnent le camp du Bien et que celui du Mal est l’Etat occidental ex-colonial et les lois en vigueur à combattre au nom de la légitimité supérieure du Migrant paré de toutes les vertus progressistes et exotiques. Rappelons quelques exemples qui illustrent parfaitement cette tendance inquiétante et qui poussent les migrants à se comporter de façon de plus en plus revendicative et violente alors qu’ils sont arrivés illégalement. Le 3 novembre 2015, après la fermeture du lycée Jean-Quarré, des migrants accueillis dans un centre à Champcueil (Essonne) ont manifesté leur « mécontentement » relativement à leurs conditions d’accueil, exigeant notamment « un bon logement pour tous ; des « démarches plus faciles avec les médecins ; des cours de français et des tickets de transports gratuits ; une nourriture de meilleure qualité et même de l’eau minérale », ceci alors même que l’eau courante est potable en France. Les migrants ont ajouté que le personnel « ne doit pas manquer de respect aux réfugiés » et se sont également plaint qu’il y ait de l’amiante dans leurs logements. Une situation d’autant plus ubuesque que l’on imagine aisément ce que pouvait être la situation de ces « malheureux » dans leurs pays d’origine. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 22 Juin 2019, 23:07 | |
| Afin d’être entendus, les réfugiés ont manifesté devant la mairie de Mennecy et la préfecture d’Evry en RER en criant « nous sommes malades à cause de l’eau », des critiques qui ont étonné jusqu’à la très immigrationniste Croix-Rouge. Pratiquement tous mâles, âgés entre 30 et 40 ans, tous munis de portables derrière génération, de Nike flambant neuves, les migrants ont pris le soin d’arriver armés de cutters, couteaux, barres de fer puis capuches (pour déjouer la surveillance des caméras de vidéo)… Depuis, les cas de réfugiés - la plupart du temps faux et arrivés de façon illégale à travers des parcours migratoires criminels - qui se permettent d’émettre des exigences de plus en plus vindicatives et parfois violentes, est un phénomène constaté dans tous les pays européens de l’ouest. En mai 2018, des « protestations » de migrants se disant « maltraités » avaient dégénéré et des policiers avaient été blessés à la suite d’une émeute dans le centre de rétention administrative (CRA) de Cornebarrieu. Motif de la rixe : deux chambres jugées dégradées avaient été fermées et les migrants qui refusaient d’être transférés dans d’autres chambres avaient allumé un incendie après avoir recouvert les caméras de draps et déclenché ainsi un début d’incendie, heureusement maîtrisé par les surveillants selon le syndicat Alliance. Ce phénomène des revendications de plus en plus violentes des migrants clandestins ou pseudos demandeurs d’asile encouragés à se révolter par les ONG pro-migrants s’observe partout ailleurs en Europe. C’est ainsi que le 29 juillet 2015, en Vénétie et à Udine, en Italie du Nord, des « réfugiés » et migrants clandestins de plusieurs centres de rétention ont refusé de manger les pâtes à la sauce tomate des pizzas, jetant leurs nourritures par terre et exigeant avec véhémence des repas hallal ou/et plus « variés » et « moins occidentaux ». Là aussi, les intellectuels immigrationnistes ont accordé des « circonstances atténuantes » ou « atténuants culturels » aux migrants vindicatifs présentés comme des personnes à l’identité bafouée car victimes « d’acculturation ». Ainsi, pour la sociologue italienne et juriste Iside Gjergji, le fait que les journaux de droite et la Ligue aient vivement dénoncé les exigences des Migrants qui refusent de plus en plus de la nourriture trop italienne ou non-hallal serait en soi une forme de « racisme » et d’intolérance. L’idée est qu’il faudrait en fait céder aux demandes culinaires « variées » (hallal ou exotiques) des migrants car l’attachement à la nourriture du pays serait pour ces malheureux le « dernier marqueur d’appartenance »… Depuis, les ONG et les autorités italiennes cèdent aux revendications communautaristes et religieuses des migrants dont les requêtes et exigences ne cessent de croitre. Plus récemment, en Allemagne, des travailleurs sociaux chargés de la gestion de réfugiés/migrants irréguliers internés dans des centres de rétention ont déploré une « augmentation exponentielle des revendications, allant parfois jusqu’à des demandes de maisons et de voitures individuelles! » Mieux, face au constat selon lequel l’accomplissement de « tâches ménagères» peuvent constituer une « humiliation » et un « déshonneur » pour les migrants-mâles non-occidentaux issus de pays africains et islamiques notamment, en Allemagne du Nord, des classes entières de collégiens ont été envoyées dans des centres d’accueil de réfugiés pour débarrasser les ordures et faire les lits des malheureux demandeurs d’asile et migrants clandestins… hé noir et de trafics qui échappent de plus en plus aux contrôles. Ces migrants souvent vindicatifs, délinquants et ou sensibles aux idées islamistes anti-occidentales, investissent les rues et places de l’île en échappant à leurs surveillants du centre de rétention.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 22 Juin 2019, 23:08 | |
| Régulièrement interrogé par la presse italienne, le maire de Lampedusa, Totò Martello, affirme que le problème est bien réel et que ce n’est pas parce que Matteo Salvini le dit que cela est faux : « Il y a un grave problème d’ordre public, et nous sommes seuls. Le centre est normalement contrôlé par la police, les Carabinieri et la garde des finances, mais les Tunisiens entrent et sortent comme ils veulent. les touristes, hôteliers et commerçants protestent (…), les migrants menacent, agressent, volent, le hot spot doit donc être fermé ». Le hot spot est en fait un centre de premier accueil et identification. Le maire de Lampedusa, pas du tout issu de la Ligue de Salvini car élu avec le soutien d’une frange du Parti démocratique (PD ; gauche), poursuit son propos : « Les bars pleins de Tunisiens désœuvrés qui molestent les femmes, qui menacent et volent, cela ne peut plus durer ». Le maire signale des faits inquiétants : « Par deux fois, un vendeur de fruits se trouvant devant le poste de gendarmerie a été volé par des migrants. Les vols dans les boutiques d’habillements et d’alimentation sont constants ainsi que les agressions de touristes. Si l’on est pas en mesure de gérer cette situation, sachant que maints de ces migrants sont des délinquants, alors il faut les mettre en prison ou les expulser ». Même l’ex-maire de Lampedusa, Giuseppina Niccolini, très immigrationniste, qui fait partie aujourd’hui de la direction du PD, admet toutefois qu’après la fermeture de la « route libyenne » en 2018, un flux de migrants en provenance de la Libye a repris depuis la Tunisie, des flux par petits groupes arrivant avec des petites embarcations jusqu’à Lampedusa et jusqu’au littoral d’Agrigente afin de mieux échapper aux contrôles de la marine italienne. Les dirigeants de la ville et du centre de Lampedusa (mais aussi d’autres villes italiennes abritant des centres de rétention) reçoivent chaque jour des messages de touristes terrifiés, de directeurs d’hôtels, commerçants ou restaurateurs inquiets dénonçant les incivilités, vols et agressions régulières par des migrants échappés des centres de rétention. S’adressant à la Rainews24, un habitant de la ville témoigne : « Nous sommes seuls. Il y a un grave problème d’ordre publique. Nous sommes accueillants, mais l’ordre doit s’imposer à nouveau face aux infractions de la loi et à l’insécurité ». Il est vrai que les migrants, une fois « identifiés » dans le hot spot de Lampedusa, sont libres de circuler dans les rues et cela crée maints problèmes de sécurité. Les cas d’actes de violences et de délinquance des migrants placés en centres de rétention mais de facto libres de circuler en échappant à la vigilance de la police du fait de la dépénalisation progressive du délit de migration clandestine exigée par l’Union européenne et l’ONU, a conduit à des situations explosives dans des centres situés dans toute l’Italie. Cas parmi tant d’autres, citons celui survenu le 8 octobre 2018, à Foggia (sud de l’Italie), lorsque 50 migrants ont agressé des policiers afin d’empêcher d’éviter l’arrestation d’un migrant. Les clandestins extracommunautaires ont alors entouré les policiers, les ont frappés à coups de pieds et poings, et leur lancé des pierres et projectiles. Comme de coutume, les médias et intellectuels ou politiques de gauche qui ne manquent pas de défendre les droits des migrants illégaux face aux gardes-frontières, à Frontex ou à la police italienne se sont bien gardés de parler de ces cas de violences des migrants, ces derniers ayant toujours des « circonstances atténuantes », puisque les « vrais» responsables seraient la police, les autorités italiennes et bien sûr le Ligue de Matteo Salvini accusé « d’islamophobie » et de « xénophobie ». Enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla : la route « occidentale » des migrants illégaux et leurs méthodes violentes Autres points d’entrées de migrants clandestins vers « l’Eldorado européen » : le détroit de Gibraltar (île britannique entre la Maroc et l’Espagne) et surtout les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla au nord du Maroc. Ces points stratégiques sont l’équivalents de Lampedusa/Malte et Agrigente pour l’Espagne. Et l’on observe une arrivée accrue de Migrants illégaux dans cette zone depuis que les flux ont été réduits à Lampedusa du fait de la politique ferme de Matteo Salvini. Évènement parmi tant d’autres, mentionnons « l’attaque migratoire » du 26 juillet 2018, lorsque 600 migrants africains jeunes et costauds ont franchi la frontière espagnole dans une violence fulgurante - à l’instar d’un commando qui ne ressemblait à un groupe d’humains ni « victimes » ni « faibles » et encore moins respectueux des lois en vigueur et pacifique.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 22 Juin 2019, 23:09 | |
| Ces 600 migrants africains (majoritairement subsahariens) ont atteint l’enclave espagnole de Ceuta par un « assaut » de la double clôture qui a consisté à lancer de la chaux vive, des excréments et même de l’acide contre les policiers de l’autre côté des barbelés et qui n’ont pu résister à ce véritable abordage. Depuis février 2017 - lorsque 650 migrants étaient parvenus à pénétrer dans la ville de façon illégale et massive - Ceuta est devenue l’une des cibles favorites des passeurs. De fait, l’Espagne, est de nouveau (comme dans les années 2000) la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe devant l’Italie depuis que la « route par la Libye » est un peu plus contrôlée. José Cobo, porte-parole du syndicat de gardes civils espagnols (AEGC), raconte que des sprays lance-flammes sont souvent utilisés par les migrants et que les « assauts » de la barrière sont tous très violents. La Garde civile a dénoncé l’emploi contre les agents espagnols des récipients chargés d’excréments et de chaux vive, puis de sprays enflammés à la manière de « lance-flamme » en plus de pierres et de bâtons… Mais face aux indignations des « associations » et ONG pro-Migrants qui ont dénoncé le fait que nombre de migrants sont régulièrement blessés en escaladant la clôture, le gouvernement socialiste espagnol a annoncé son intention de retirer les barbelés coupants des clôtures de Ceuta et Melilla. En échange, la police espagnole réclame « plus de gardes civils et plus de matériel anti-émeutes et de protection ». Une fois de plus, les « associations » ou autres ONG « humanitaires » pro-Migrants sont parvenues à faire baisser la garde des pays européens chargés de la gestion des frontières extérieure de l’UE en invoquant les « droits de l’homme ». Légitimation et dépénalisation de l’immigration illégale Ce phénomène visant à dépénaliser/légitimer/justifier l’immigration illégale afin d’empêcher les Etats-Nations occidentaux de défendre efficacement leurs frontières est le fruit d’une stratégie de longue haleine poursuivie par de puissantes forces immigrationistes composées des milieux onusiens et européistes et d’associations/ONG et de partis politiques relayés par des médias et autorités judiciaires et constitutionnelles. C’est ainsi que depuis un arrêt de juillet 2018, suite à un recours du militant immigrationniste Cédric Herrou et d’autres groupes de « soutien » aux migrants clandestins, le Conseil constitutionnel a affirmé qu’« une aide désintéressée au séjour irrégulier ne saurait être passible de poursuites », ceci au nom du « principe de fraternité ». Une véritable victoire pour toutes les ONG pro-migrants et les associations et partis politiques engagées dans le combat de démantèlement des Etats-Nations et de délégitimation des frontières nationales. Déjà, le 22 avril 2018, l’Assemblée nationale a dû assouplir le « délit de solidarité » pour « certaines personnes venant en aide aux migrants ». Cédant aux pressions des ONG, des associations et des instances onusiennes et droitsdel’hommistes pro-migrants, les députés français ont en effet majoritairement voté l’amendement d’un des points sensibles du projet de loi Collomb qui prévoyait des « exemptions » au délit d’aide aux migrants illégaux, notamment « lorsque l’acte reproché a consisté à fournir des conseils et de l’accompagnement, notamment juridiques, linguistiques ou sociaux, ou des prestations de restauration, d’hébergement ou de soins médicaux destinées à assurer des conditions de vie dignes et décentes à l’étranger ». L’exemption vise aussi « toute autre aide visant à préserver la dignité ou l’intégrité physique de celui-ci, ou bien tout transport directement lié à l’une de ces exceptions, sauf si l’acte a donné lieu à une contrepartie directe ou indirecte ou a été accompli dans un but lucratif ». Les droits croissants des migrants réguliers ou irréguliers : AME, transports gratuits… Cédant aux oukases moraux des lobbies droitdel’hommistes anti-souverainistes qui exigent depuis des années que les Etats européens octroient aux Migrants tous les droits et avantages des nationaux, même si l’immigré est illégal, ceci afin de détruire l’idée même d’Etat souverain et de frontières, la tendance des démocraties européennes de l’Ouest consiste à accorder de plus en plus des passe-droits et privilèges aux migrants quels qu’ils soient. Si l’on prend les cas de l’AME, des retraites d’étrangers ou des transports, on peut même parler dans certains cas de véritable « préférence étrangère ». | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 22 Juin 2019, 23:11 | |
| lorsqu’un citadin français ou étranger en règle n’est pas muni de billet de transport dans les trains comme dans les bus, métro, trams ou RER, on connaît la sévérité des contrôleurs, du moins envers l’individu isolé solvable et non-violent… On sait par exemple que depuis des années, la SNCF, la compagnie ferroviaire nationale, a octroyé aux groupes d’étrangers clandestins plus ou moins demandeurs d’asile un privilège de gratuité de transports dont même les Français très pauvres et très âgés n’ont pas droit. La SNCF a en effet reconnu que ses contrôleurs « peuvent effectuer des réservations à 0 euro pour les groupes de migrants », c’est-à-dire de ne pas les verbaliser et leur attribuer ainsi des places gratuites pour le reste de leur trajet. La chose peut révolter maint usager « normal », citoyen solvable, qui aura déploré la grande sévérité des contrôleurs envers les usagers non-menaçants et honnêtes et assisté a contrario à des situations où des bandes de « jeunes menaçants » et violents ont bénéficié d’une totale impunité. Cette « tolérance » de facto qui est due au fait que les forces de police ne peuvent pas accompagner en masse tous les contrôleurs, s’accompagne aujourd’hui de la gratuité des transports pour les groupes de « migrants clandestins » ou demandeurs d’asile. Contactée par francetv info, la Direction de la SNCF a justifié sa politique laxiste vis-à-vis des migrants voyageant sans tickets : « On est parfois confrontés à des personnes sans billet ou qui n’ont pas le bon billet. Il n’est pas toujours facile, en effet, de choisir sa place et sa destination quand on ne parle pas français (…). On a donc donné aux contrôleurs de la latitude », explique la SNCF, afin d’éviter « qu’ils circulent d’une voiture à l’autre », ceci au nom d’une « vraie politique d’humanité ». Ainsi, « quand une famille monte dans un train sans billet, on ne va pas la faire descendre à la première gare et la laisser dormir dans le froid ». Retraites minimales plus favorables pour les étrangers n’ayant pas cotisé avant les 60 ans On rappellera que les migrants irréguliers qui arrivent sur le sol français font, dans leur quasi-totalité, une demande immédiate d’asile à l’OFPRA, qui leur propose alors l’Allocation de Demandeur d’Asile (ADA). Le migrant illégal devenu un demandeur d’asile (à 80 faux) touche alors, en plus de l’hébergement d’urgence, 205 euros par mois. Certes, l’ADA vise à compenser le fait que les demandeurs d’asile n’ont pas le droit de travailler. Toutefois, avec l’afflux de migrants et le manque de places dans les centres publics spécialisés, ces derniers sont de plus en plus logés dans des hôtels confortables assez chers et parfois situés en plein cœur des villes en raison du refus des migrants et des associations de demeurer en milieu rural. Ceci constitue une explosion des coûts pour l’Etat et/ou les collectivités territoriales, surtout si l’on inclut les 50 000 « mineurs non-accompagnés », en général des faux mineurs qui coutent des milliards aux départements totalement saturés. Et sachant qu’une grande partie des Migrants touchant l’ADA travaillent au noir dans la restauration ou le bâtiment (comme l’a montré l’inspection générale du travail), ils cumulent l’ADA avec leur « salaire » et les aides financières indirectes comme la gratuité dans les transports et surtout l’AME, l’Aide médicale d’Etat. Si l’on compare la situation d’un retraité qui n’est pas logé en hébergement d’urgence, sachons qu’un demandeur d’asile non bénéficiaire touche 7,4 euros par jours, soit 229,4 euros en plus des 204 soit 433 au total. S’ajoutent à ces aides publiques considérables, les nombreuses aides non-monétaires (alimentaire, vêtement, etc.) fournies par les « associations » et ONG, beaucoup plus mobilisées en faveur des migrants que des SDF et retraités autochtones les plus pauvres. Il faut savoir que certaines retraites de français sont extrêmement faibles pour celles et ceux qui ont très peu cotisé durant leur vie et le chiffre, notamment les petits artisans et petits commerçants et les agriculteurs. Certes, ces retraités pauvres peuvent demander l’Allocation de Solidarité pour les Personnes Âgées (ASPA), qui constitue un complément de retraite leur permettant d’atteindre 868 euros par mois. Une petite retraite de 433 euros correspond à plus de quinze années de cotisations pour une personne au SMIC. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: En vérité, les Européens n’en peuvent plus de l’immigration ! Sam 22 Juin 2019, 23:12 | |
| Quant à l’ASPA, elle permet de dépasser le revenu d’un demandeur d’asile, mais elle est remboursable par les héritiers sur la succession, ce qui incite souvent les retraités modestes à ne pas la demander afin de laisser « quelque chose » à leurs enfants. L’ASPA est en fait devenue une vraie source d’inégalité de traitement entre concitoyens et étrangers, au détriment des premiers. Ainsi, sur la simple base d’une présence en France depuis 10 ans, les étrangers n’ayant jamais cotisé en France peuvent bénéficier de l’ASPA dans sa totalité (868 euros) sans se soucier de l’impact sur leur succession car n’ayant aucun bien en France, alors que sur la même base, les retraités français bénéficiaires de l’ASPA devront quant à eux la rembourser lors de la succession. En réalité, en défendant la sécurité de migrants illégaux prêts à tout pour pénétrer illégalement le territoire européen, les lobbies, ONG et associations pro-Migrants poursuivent clairement un objectif idéologique subversif qui consiste, via la défense de la figure néo-christique du Migrant paré de toutes les vertus, à empêcher les Etats-Nations européens de contrôler des flux migratoires illégaux. L’objectif de cette stratégie vise en fin de compte à détruire in fine l’identité occidentale de l’Europe et à délégitimer l’idée même de frontières et de souveraineté des Etats. Cette entreprise mondialiste de délégitimation de l’Etat-nation est relayée par moult politiques de gauche et d’extrême-gauche ou écologistes, par la Commission européenne, par le Conseil de l’Europe et, bien sûr, par les Nations Unies, comme on l’a vu avec l’ubuesque pacte de Marrakech. L’idée est que la migration de masse de populations extra-européennes serait inéluctable et que le meilleur moyen de juguler les migrations illégales serait de les légaliser, donc de les dépénaliser purement et simplement, en assimilant les internements, incarcérations, refoulements, arrestations et contrôles des migrants illégaux à des « violations des libertés et des droits des étrangers ». De ce point de vue, le fait de migrer serait en soi un « droit inaliénable » qui participerait de la préservation des droits de l’homme. Ainsi, en persistant à appliquer les lois en vigueur qui pénalisent les migrations irrégulières puis en continuant à accorder des droits spécifiques et supérieurs pour les nationaux/citoyens et étrangers réguliers ou irréguliers, comme le fait n’importe quel Etat souverain, les Etats-Nations « violeraient » les droits de l’homme, eux-mêmes moralement supérieurs. En toute logique cosmopolitiquement correcte, les droits des citoyens autochtones des Etats ne devraient à terme jamais être plus nombreux ou supérieurs à ceux des étrangers, même illégaux ou délinquants.
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