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| Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? | |
| | Auteur | Message |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? Ven 03 Aoû 2018, 07:22 | |
| Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? 2 août 2018 Le Politique
L’Etat et plus encore ses dirigeants à savoir le président de la République Emmanuel Macron et son gouvernement existent pour une raison primaire qui fonde le « contrat social » à savoir assurer la sécurité.
Depuis longtemps, constate-t-on que l’Etat ne maîtrise plus son territoire transformant de facto en mission quasi-impossible la tâche des services de police et de renseignement à protéger la sécurité nationale.
Le plus inquiétant réside toutefois dans cette étonnante dynamique qui voit les citoyens respectueux des lois de plus en plus oppressés par un Etat ruiné et les voyous multirécidivistes aux casiers judiciaires fournis souvent libres d’enfreindre chaque jour un peu plus la loi.
De Redoine Faid qui s’est échappé de prison à la faveur d’une incurie ministérielle aux rappeurs Kaaris et Booba qui provoquent la fermeture d’un terminal de l’aéroport d’Orly suite à une bagarre, les preuves que la situation échappe au gouvernement En Marche s’accumulent.
Les faits divers sordides se multiplient, la grande criminalité prospère comme jamais, l’islamisme se développe tous azimuts et l’Etat macronien réserve pourtant sa sévérité à ceux qui ne poseront jamais aucun problème à la tranquillité publique.
La raison en étant que l’impôt ayant tué l’impôt, la lutte de l’Etat contre l’insécurité est devenue un rapport coût/efficacité de nature strictement comptable d’où l’implacable répression à l’instar des 80 km/h sur les routes secondaires et l’invisible détermination gouvernementale contre les véritables menaces ou les flagrantes infractions comme dans l’affaire Alexandre Benalla.
L’Etat macronien protège autant que l’Union européenne, c’est-à-dire pas du tout et ses gesticulations relèvent plutôt du spectacle considérant que la réalité dûment constatée contredit amplement les « bonnes » statistiques officielles.
Le droit premier du citoyen à la sécurité n’est plus vraiment assuré et le fait qu’un aérogare d’Orly ait pu être le lieu d’une longue bagarre entre deux individus notoirement connus montre combien sont grandes nos failles de sécurité face aux diverses menaces qui pèsent sur notre République.
Pour résumer, la France sous Emmanuel Macron est un énorme « foutoir » indigne d’un pays développé et où le citoyen paye toujours plus pour des conditions de vie et de tranquillité de plus en plus détériorées.
Avant d’aller créer de nouvelles contraventions inapplicables pour des infractions hautement difficiles à constater, le mieux serait d’appliquer véritablement la loi existante et de cesser tout laxisme.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? Ven 03 Aoû 2018, 07:50 | |
| Adrien Perez, cette France assassinée qu’ignorent les politiques et les médias 2 août 2018 Claire Beauchamp
A chaque semaine ou presque son fait divers sordide, son drame de violence gratuite et son paroxysme d’incurie étatique. Dans la lutte contre l’insécurité et contre le racisme, le « mâle blanc » n’est rien. Pire, il n’existe pas puisque même assassiné dans une agression au motif raciste souvent fortement présumé, ni les médias ni les associations ni le gouvernement ne pipent mot.
Silence donc sur ces nombreux morts assassinés le plus souvent par des récidivistes notoires dont les peines, si souvent clémentes, ont permis la transformation graduelle en véritables prédateurs. Adrien Perez avait 26 ans et il est mort assassiné dimanche 29 juillet 2018 d’un coup de couteau en plein cœur alors qu’il secourait un couple d’amis agressé par trois délinquants, des « jeunes » qui n’en sont plus du tout et dont la « carrière » est déjà souvent celle de vétérans du crime.
M. Perez est mort héroïquement mais dans l’ignorance d’une société totalement obnubilée par des causes tapageuses et superficielles plus que par des causes réelles et sincères. A l’instar d’Arnaud Beltrame, Adrien Perez rappelle ces innombrables « mâles blancs » sacrifiés sur l’autel sanguinaire du politiquement correct qui tolère l’intolérable et propage le laxisme tout en démolissant la dernière digue contre l’obscurantisme.
Adrien Perez ne fera probablement pas la une des journaux, Emmanuel Macron n’en dira rien et ses parents vivront leur immense souffrance dans cette prison mentale qu’est devenue l’Europe, un lieu qui tue ses propres enfants au nom du mal-nommé « progressisme » et qui n’assure plus du tout la sécurité de ses habitants.
« Mâle blanc », jeune, respectueux des lois, Adrien Perez n’intéresse pas le microcosme germano-pratin-élyséen qui n’a cure des véritables héros et s’extasie devant la lie. « La police et les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent, mais la vérité, c’est que l’Etat a peur de cette minorité de personnes ultra-violentes qui terrorisent la majorité des pauvres gens dans les quartiers », a déclaré Bruno Perez, le père d’Adrien.
Selon Le Dauphiné, « trois jeunes hommes ont été mis en examen dans cette affaire. Deux d’entre eux, Younes El Habib et Yanis El Habib, deux frères, respectivement suspectés du meurtre d’Adrien et de tentative de meurtre sur un ami d’Adrien, ont été placés sous mandat de dépôt. » Nos pensées vont aux parents, aux proches et aux amis d’Adrien Perez.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? Ven 03 Aoû 2018, 08:18 | |
| Le déchirant cri d’alarme des parents d’Adrien, poignardé à mort >Faits divers|Propos recueillis par Serge Pueyo, correspondant à Grenoble (Isère)| 02 août 2018, 19h05 |92
Adrien Perez, 26 ans, a été tué d’un coup de couteau en plein cœur, le 29 juillet. DR Leur garçon de 26 ans a été tué alors qu’il protégeait des amis qui se faisaient agresser. Ses parents crient leur douleur et interpellent les pouvoirs publics pour que ce drame ne se reproduise pas. Ce sont des parents brisés par le chagrin, mais aussi en colère, qui ont décidé de témoigner après la mort injuste de leur fils, Adrien. Le 29 juillet, ce jeune homme sans histoire, apprécié de tous, a été tué d’un coup de couteau en plein cœur, devant le « Phoenix », une boîte de nuit de Meylan (Isère), dans la banlieue de Grenoble.
Adrien Perez était venu fêter ses 26 ans dans cette discothèque avec des amis. Dans la soirée, une jeune femme du groupe a été importunée par plusieurs individus. Puis, à la sortie de l’établissement, Adrien s’est interposé pour défendre Thibault, son meilleur copain, agressé par les mêmes hommes. « Il est mort en héros », clame aujourd’hui Bruno et Patricia Perez, ses parents, qui veulent dénoncer cette violence aveugle, gratuite, qui brise des vies, des familles. Trois hommes ont été arrêtés. Parmi eux, deux frères, Younes, 20 ans, mis en examen pour « meurtre » et Yanis, 19 ans, pour « tentative de meurtre » sur un copain d’Adrien, qui a été gravement blessé aux poumons. Tous deux ont été écroués.
L’annonce de la mort de votre fils dimanche a été pour vous un terrible choc…
Patricia Perez (en pleurs). Adrien, c’était ma fierté, mon trésor, mon bonheur. Ils nous l’ont enlevé, ils nous l’ont pris. Ils ont brisé notre vie. Ils ont brisé une famille entière. Ils ont brisé des amis. Adrien, c’était mon petit, mon bébé, que je ne verrai plus. Chaque fois qu’il quittait la maison, je lui disais : « Fais attention à toi ». Et il me répondait : « T’inquiète maman, que veux-tu qu’il m’arrive ? ». Les malheurs n’arrivent pas qu’aux autres. La preuve. Aujourd’hui, c’est nous qui sommes touchés dans notre chair. Je ne pardonnerai jamais à ceux qui ont fait ça. C’est impardonnable. Je les hais. Je le dis du plus profond de mon cœur.
Le geste de votre fils, qui est intervenu pour défendre son meilleur copain, vous a surpris ?
Patricia Perez. Non. C’est Adrien. Cela fait partie de son éducation. On ne peut pas rester brinquebalant devant l’agresseur de quelqu’un. Que ce soit son meilleur ami ou un passant. Ce n’est pas possible. Ce serait inhumain de ne pas porter secours. Et mon petit n’était pas comme ça. Oui, il est mort en héros.
Pour vous, son agresseur avait l’intention de tuer ?
Bruno Perez. Evidemment. Mon fils a été tué d’un coup de couteau en plein cœur. Lorsqu’on vise le cœur, c’est une volonté de tuer. C’est un meurtre. Ils n’ont pas essayé de viser un bras ou une jambe. Et puis que faisaient ces gens avec des couteaux dans une boîte de nuit ? Ma vie s’est arrêtée dimanche avec la mort de mon fils. Adrien avait tout pour réussir sa vie. Il avait décroché une licence à l’université Joseph-Fourier de Grenoble. Depuis deux ans, il travaillait pour Clauger, une société lyonnaise spécialisée dans le froid industriel et le traitement d’air. Il était apprécié par tous ses collègues. Lorsqu’ils ont appris sa mort, beaucoup ont pleuré. Adrien, c’était un très bon garçon, gentil, pas agressif. Il avait toujours le sourire. Il était tout le temps de bonne humeur. Il faisait rire tout le monde. Nous voulons que ses obsèques soient publiques. Tous ceux qui le veulent peuvent venir y assister vendredi, à l’église Saint-André de Grenoble à 14h30.
Vous dénoncez ces drames qui se succèdent, avec le sentiment que rien ne change…
Bruno Perez. Plusieurs jeunes ont été tués ces dernières années dans l’agglomération grenobloise. Il y a des marches blanches, et puis ça recommence. Il y a une minorité ultra-violente, des racailles, qui terrorisent les pauvres gens. Et on a l’impression que l’Etat ne fait rien. C’est une violence sans fin.
Patricia Perez. Je crie ma révolte. Ça suffit. Stop ! Aujourd’hui, c’est nous. Et demain qui encore ? Je ne veux pas faire de politique. Je parle en tant que maman. Une maman à qui on vient d’enlever son enfant. Je veux que ça cesse. J’en appelle à tous les politiques, de tous bords. Faites quelque chose. Notre pays sombre dans la violence. Il faut arrêter ça. Sauvez nos enfants, bon sang ! Sauvez nos enfants !
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| | | Gérard
Messages : 4188 Date d'inscription : 08/07/2010
| Sujet: Re: Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? Ven 03 Aoû 2018, 11:06 | |
| J'entends les reproches faits ici ou là aux personnes qui assistent à des brutalités sur la voie publique ou dans les transports et qui ne réagissent pas physiquement. Avant, le ton montait, les claques ou les marrons pouvaient arriver et ça s'arrêtait là en général. Maintenant le moins inquiétant jeune bagarreur sort une lame et vous la plante. Évidemment cela donne à réfléchir. La solution de tonton à savoir le port d'arme comme aux US ne règle pas le problème sauf si les vilains ont un retard à la gâchette. Police plus proche, police plus présente, nombreuse et équipée, justice plus sévère, parents responsables et plus vigilants, éducation plus formatrice, tolerance zéro des débordements de tous ordres dans les cites, les aeroports, les lieux publics... le Pen a un tapis rouge déroulé devant elle par les bobos taubiresques de la République. _________________ « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. » (Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948)
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? Ven 03 Aoû 2018, 11:14 | |
| - Gérard a écrit:
- J'entends les reproches faits ici ou là aux personnes qui assistent à des brutalités sur la voie publique ou dans les transports et qui ne réagissent pas physiquement.
Avant, le ton montait, les claques ou les marrons pouvaient arriver et ça s'arrêtait là en général. Maintenant le moins inquiétant jeune bagarreur sort une lame et vous la plante. Évidemment cela donne à réfléchir. La solution de tonton à savoir le port d'arme comme aux US ne règle pas le problème sauf si les vilains ont un retard à la gâchette. Police plus proche, police plus présente, nombreuse et équipée, justice plus sévère, parents responsables et plus vigilants, éducation plus formatrice, tolerance zéro des débordements de tous ordres dans les cites, les aeroports, les lieux publics... le Pen a un tapis rouge déroulé devant elle par les bobos taubiresques de la République. Pas du tout ! pour tonton la solution idéale c'est tout le monde sans arme... Réalité : lorsque les armes sont hors la loi seuls les hors la loi sont armés... Maintenant pour débattre du sujet je dispose de documents US de la police mais je n'ai pas le temps de développer. Il y a quelques dizaines d'années jamais un casseur (un cambrioleur) montait sur un coup "enfouraillé" Casseur sans arme 5 ans Casseur armé 10 ans au moins... ne parlons même pas des ennuis pour les récidivistes et de la situation désespérée pour le malheureux loubard si la victime était blessée ou se réveillait morte. Heureusement taubira est passée par là... et maintenant tout va mieux. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
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| Sujet: Re: Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? | |
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| | | | Bagarre de Booba et Kaaris à Orly, une preuve de la déliquescence de l’Etat ? | |
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