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 Parlement européen : comment se faire des alliés ?

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Basilics
Gérard
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Basilics

Basilics


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MessageSujet: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyMer 05 Sep 2018, 15:04

Rappel du premier message :

La campagne européenne 2019 en France risque, une fois de plus, d’être très franco-française, alors que c’est aussi à l’échelle de l’Europe qu’il faudra regarder les alliances, pour peser à Bruxelles.


Castaner à Bruxelles, à la recherche d’alliés pour former « l’armée politique européenne »
Le délégué général de La République en marche s’est entretenu avec Guy Verhofstadt, patron du groupe des libéraux démocrates au Parlement européen.
LE MONDE | 05.09.2018 | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen)

Christophe Castaner, le délégué général de La République en marche (LRM) était en visite à Bruxelles, mardi 4 septembre, pour rencontrer des Français de Belgique mais, surtout, pour poursuivre les contacts du parti présidentiel en vue de la préparation des élections européennes de 2019. Il a eu des entrevues avec des responsables européens et une série d’eurodéputés, dont Guy Verhofstadt, le chef du groupe des Libéraux et démocrates (ALDE), bien décidés à s’allier aux futurs députés européens macronistes pour constituer une force prépondérante dans la future assemblée.
Le groupe que formeront les macronistes avec d’autres sera, en tout cas, l’embryon de « l’armée politique européenne » qu’il faudra, selon P-A Anglade, député des Français du Benelux, constituer pour endiguer la vague « des nationalismes et des égoïsmes ». Et pour arrêter « la fascination » que des régimes autoritaires semblent exercer sur une partie de l’opinion.

Discussions en cours sur les alliances
Qui seront les alliés de LRM ? Sans doute pas le Parti populaire européen au sein duquel, critique M. Castaner, « certains semblent à l’aise aux côtés de Viktor Orban » (dirigeant hongrois). Mais, pour le reste, le délégué général du parti et son « M. Europe » n’ont pas apporté de réponse à la question des possibles alliances. M. Castaner n’aime pas, en tout cas, le système des spitzenkandidaten, leaders désignés par les différentes familles politiques pour briguer la présidence de la Commission. Il y voit « une anomalie démocratique ».

Devant quelques centaines de personnes, des sympathisants et des curieux, les deux responsables ont seulement évoqué « un certain nombre de partis » avec lesquels les discussions se poursuivent et qui devront participer « à la reconstruction et au changement » de l’Europe. Des « engagés », capables d’affronter « les nostalgiques, les forces du repli sur soi et de la peur », dit M. Castaner. Et aussi ceux qui accusent le président et le gouvernement d’être « aux ordres de Bruxelles, simplement parce qu’ils refusent que la France dépense chaque année 30 % de plus que ce qu’elle possède ».

LRM ne « recyclera » pas à Strasbourg des battus des législatives et les candidats ne seront pas choisis par « copinage »
Sur la politique migratoire européenne, M. Castaner a, sans surprise, défendu l’approche présidentielle de « la générosité et la fermeté » et la nécessité de l’approche pour laquelle a opté l’Union : les « hot spots », chargés de trier vrais et faux demandeurs d’asile, le contrôle efficace des frontières, la nécessaire solidarité entre les Etats membres pour la répartition de ceux qui ont droit à l’asile.
Le patron de LRM a, enfin, pris un engagement : le parti ne « recyclera » pas à Strasbourg des battus des législatives et les candidats ne seront pas choisis en fonction de « leurs liens familiaux » ou de « copinage ». Ils devront être capables de formuler des propositions claires et de peser sur les débats. Les partenaires du parti macroniste devront, eux, être surtout capables de mener « des actions concrètes » dans la ligne définie par le président français : « Ne soyons pas faibles, car alors les autres décideront pour nous. »

https://lemonde.fr/europe/article/2018/09/05/castaner-a-bruxelles-a-la-recherche-d-allies-pour-former-l-armee-politique-europeenne_5350481_3214.html
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tonton christobal




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MessageSujet: Re: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyVen 07 Juin 2019, 19:10

Les ex pays communistes ayant dégusté les joies du communisme russe pendant une cinquantaine d'années ont une position facile à comprendre vis à vis des popofs.
Dans la foulée et pour les mêmes raisons ils ne sont pas disposés ayant retrouvé la liberté à se faire mettre sous tutelle par des européens irresponsables.

Pour le reste la judicieuses co gestion de l'europe depuis des dizaines d'années par le tandem droite molle gauche écolo rose montre maintenant ses limites.

Moralité on prie pour que ça dure et que l'assemblée devienne erratique... qui en est responsable n'est pas la question... les populistes n'arrivent pas au parlement par l'opération du st esprit.

Alors on peut se réjouir du bordel environnemental au parlement qui permettrait de laisser les mêmes aux manettes ? Les rentes de situation étant protégées et la mondialisation devenant prioritaire (merci à nos puissances politico économiques internationales) tout va pour le mieux.

Sera t on aussi satisfait si les coutures craquent dans les différents pays ? Et que un phénomène "gilet jaune" s'internationalise ?
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyDim 09 Juin 2019, 08:35

Débuts difficiles pour Nathalie Loiseau au Parlement européen
10h37, le 08 juin 2019 , modifié à 11h14, le 08 juin 2019

L’eurodéputée Nathalie Loiseau veut prendre la tête du nouveau groupe centriste au Parlement européen. Mais à peine élue, elle est déjà mise en difficulté, notamment en raison de ses maladresses.

Deux semaines après les élections européennes, ça se passe moins bien que prévu pour la République en marche au parlement de Strasbourg. L’ex-tête de liste Nathalie Loiseau veut prendre la tête du nouveau groupe centriste, mais à peine élue, elle est déjà mise en difficulté par ses faux pas.

Jeudi soir, l'ancienne ministre chargée des Affaires européennes a été contrainte d’envoyer un courriel à ses nouveaux collègues européens du groupe centriste après que des propos désobligeants tenus lors d'un entretien en off avec la presse française, et qui n’avaient pas vocation à être répétés, ont fuité et semé la consternation au parlement.

Elle n’aurait pas ménagé ses futurs alliés
Nathalie Loiseau a par exemple qualifié d'"ectoplasme" le candidat d’Angela Merkel à la présidence de la Commission européenne. Mais surtout, elle n’a pas ménagé ses futurs alliés, ceux-là même dont elle a besoin pour être élue à la présidence du 3ème groupe du parlement. Elle les a notamment qualifiés d'"auto-entrepreneurs" façon "Uber" et affirmé que "tout est à faire dans le groupe". Les oreilles des nordiques et des élus du Benelux, piliers historiques du centre européen ont sifflé.


Jeudi, Nathalie Loiseau a nié en bloc avoir tenu ces propos. "C’est de la pure fantaisie", écrit-elle dans son courriel. "C’est le moment de s’unir et pas de se diviser. A tout moment que ce soit maintenant ou plus tard, je m'engage au respect et à l'équité parmi les membres du groupe, c'est ce que j'attends des autres aussi", plaide encore la Française pour essayer de sauver sa candidature. Une candidature pour le moins fragilisée à deux semaines du vote.

-----------

La stagiaire a déconné...  elle pensait que les propos "off" resteraient confidentiels, depuis quelques temps on constate le contraire...

Elle a été directrice de l'ENA durant des années, tout s'explique !
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Salamandre

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MessageSujet: Re: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyDim 09 Juin 2019, 14:34

Le problème avec les comités supérieurs de sélection d'en haut, c'est que parfois on se demande sur quels critères ils sélectionnent. Vue la suite des évènements. Mais on ne saura pas, la procédure de sélection est hautement confidentielle.
La suite (le millier de sélections de têtes de liste pour les municipales) promet donc de réserver quelques surprises.
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyDim 09 Juin 2019, 16:23

Salamandre a écrit:
Le problème avec les comités supérieurs de sélection d'en haut, c'est que parfois on se demande sur quels critères ils sélectionnent. Vue la suite des évènements. Mais on ne saura pas, la procédure de sélection est hautement confidentielle.
La suite (le millier de sélections de têtes de liste pour les municipales) promet donc de réserver quelques surprises.

qu'ils soient ce qu'ils sont c'est leur problème... le notre étant que ces mêmes tronches molles sont au manettes et régissent nos vies...

On peut s'interroger sur la compétence de ceux qui au top niveau placent ces zozos dans des positions où ils sont en charge des intérêts de la France et accessoirement de ceux des habitants.

En l'espèce on a une "cliente" ! et on se permet de donner des leçons à l'étranger... un comble.
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Salamandre

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MessageSujet: Re: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyMer 10 Juil 2019, 12:29

Avant l’élection
Citation :
L’influence française en perte de vitesse au Parlement européen
L’influence des eurodéputés hexagonaux décroit. Des stratégies sont esquissées pour tenter de renverser la vapeur après les élections.
Céline Schoen, correspondante à Bruxelles, le 22/03/2019
Au Parlement européen, tous les postes ne se valent pas et les Français entendent bien, après le scrutin de mai, rafler nombre de positions clés. Une opération qui s’annonce compliquée pour cette délégation en mal d’influence à Bruxelles et à Strasbourg.
À l’heure actuelle, sur 751 eurodéputés, 74 sont français. Mais plus d’un quart d’entre eux est issu du Rassemblement national, et n’a donc pas à cœur de faire avancer le travail législatif européen. La nouvelle répartition post Brexit réservera 79 sièges à la France sur un total de 705 élus. Seule l’Allemagne pèse plus lourd dans l’hémicycle, avec 96 places réservées.

« La clé : avoir des élus très présents »
Mais l’influence, dans ce Parlement où les députés se regroupent selon leur affinité politique et non selon leur nationalité, ne se mesure pas qu’en chiffres, loin de là. « La clé, c’est d’avoir des élus très présents, pas des députés ‘turbo’ qui ne prennent aucun dossier et participent juste aux plénières à Strasbourg », lance Michèle Rivasi qui, en 2e position sur la liste EELV, brigue un troisième mandat.
Sans ciller, l’écologiste fustige deux anciens ministres qui siègent au sein du groupe du Parti populaire européen (PPE), le plus grand dans l’hémicycle, et figurent en bonne place sur la liste Les Républicains (LR) en vue du scrutin de mai. Au sein du groupe PPE, la délégation française compte actuellement 20 noms. Objectif affiché, après mai : perdre le moins de sièges possible.
Pour peser dans l’enceinte européenne, il importe aussi et surtout de bien jouer ses cartes. « Tout de suite après les élections, il faudra s’organiser », anticipe déjà Anne Sander, eurodéputée alsacienne depuis 2014, huitième sur la liste LR. « Se fixer des priorités, voir qui a le meilleur profil pour tel ou tel poste. C’est un travail très subtil. »

Il faut un minimum de « bouteille »
Sans surprise, le poste de président du Parlement européen est le plus convoité. Plus accessibles, les présidences des commissions (ces groupes de travail thématiques, à l’image de ceux qui existent à l’Assemblée nationale) sont aussi très recherchées. Mais pas n’importe lesquelles : en priorité, celles vues comme stratégiques : les affaires économiques et monétaires, l’agriculture ou le commerce international. Car dans d’autres commissions, le travail législatif se limite à l’élaboration de résolutions, des textes non contraignants.
Or pour éviter de se laisser attirer par des intitulés prestigieux et savoir quels postes se révèlent réellement centraux dans l’organisation de cette grande maison, il faut un minimum de « bouteille ». Pour la socialiste Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy, cheffe des socialistes français au Parlement, « l’idée de La République en marche (LREM) de n’envoyer à Bruxelles que des petits nouveaux peut mettre plus à mal encore l’influence française ». Elle l’admet : « Il m’a fallu des années pour savoir qui sont les bons interlocuteurs pour former une majorité ! » Les Allemands, eux, restent rarement au Parlement européen pour moins de trois mandats. « Alors que pour nombre de Français, c’est un petit tour et puis s’en va », soupire Michèle Rivasi.
(..)
https://www.la-croix.com/Monde/Europe/Linfluence-francaise-perte-vitesse-Parlement-europeen-2019-03-22-1201010715

Après l’élection
Citation :
La France affaiblie au Parlement européen
Anne Rovan, envoyée spéciale à Strasbourg, le 04/07/2019
Aucun député tricolore n’est parvenu à se faire élire à l’un des 15 postes de président ou vice-président du Parlement européen. Et aucun Français ne dirige un groupe d’importance dans cet hémicycle.

Clap de fin de la toute première session plénière à Strasbourg depuis les élections européennes. Les trois journées de travail ont été animées mais, au final, moins difficiles qu’attendu. Dans le prolongement des nominations aux plus hautes responsabilités de l’UE décidées en début de semaine par les Vingt-Huit, le Parlement européen dispose maintenant d’un nouveau président, le socialiste Italien David Sassoli. Quatorze vice-présidents ont aussi été élus, sept hommes et sept femmes. Ainsi que cinq questeurs, dont deux Français, la Française Anne Sander pour le PPE et le macroniste Gilles Boyer. Le cordon sanitaire des formations «traditionnelles» autour des groupes nationalistes a fonctionné. Identité et Démocratie, dans lequel siègent les eurodéputés de La Lega de Matteo Salvini et du Rassemblement national de Marine Le Pen, n’est pas parvenu à faire élire les deux candidats issus de ses rangs qui s’étaient présentés.
(..)
http://www.lefigaro.fr/international/perte-d-influence-francaise-a-strasbourg-20190704
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: Parlement européen : comment se faire des alliés ?   Parlement européen : comment se faire des alliés ? - Page 2 EmptyMer 10 Juil 2019, 12:43

Et les mêmes qui forment un "cordon sanitaire" pour empêcher les vilains droitistes d'avoir la moindre des responsabilités viendront dans peu de temps ricaner en les déclarant invisibles et peu efficaces...

Discours déja tenu sur ce forum...
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