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| après les généraux au piquet c'est au tour des profs ! l'anti macronisme est un délit ! | |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: après les généraux au piquet c'est au tour des profs ! l'anti macronisme est un délit ! Ven 21 Déc 2018, 06:53 | |
| “Macron est terne” : une prof convoquée pour avoir critiqué le président Par Auteur valeursactuelles.com / Jeudi 20 décembre 2018 à 15:45 6
Punition. Une enseignante de Dijon s’est vue convoquée par sa hiérarchie jeudi 20 décembre, pour avoir critiqué Emmanuel Macron dans une tribune.
Il ne fait pas bon s’en prendre au chef de l’Etat. Après avoir publié une tribune attaquant ouvertement le président, une enseignante de Dijon (Côte-d’Or) a été convoquée par sa hiérarchie, ce jeudi 20 décembre, annonce Le Parisien.
« Le grand chef blanc a parlé » « Emmanuel Macron est terne, Emmanuel Macron est vieux, Emmanuel Macron n’est pas un président. Emmanuel Macron est un commercial arrivé au pouvoir par le pouvoir des urnes funéraires. Ton bulletin de vote signe ta perte, camarade ». Ces quelques phrases pourraient coûter cher à Sophie Carrouge, professeure de lettres au lycée Le Castel de Dijon. Publié le 12 décembre sur le site Dijoncter.info, le texte intitulé « Le grand chef blanc a parlé », n’est pas tendre avec le chef de l’Etat. Il revient notamment sur son allocution devant les Français il y a dix jours, en filant une métaphore qui s’accorde avec son titre : « Les jeunes Indiens sont sommés de ranger leurs flèches dans leur carquois au plus vite sinon ils finiront empalés sur le totem de justice et le grand chef blanc les enduira de goudron et de plumes », décrit par exemple l’enseignante, faisant référence aux mesures annoncées pour calmer la grogne des « gilets jaunes ».
Une manifestation de soutien Convoquée par sa hiérarchie, elle a reçu le soutien du site sur lequel elle a publié son texte, qui a lancé un appel à manifester devant les grilles du rectorat de l’académie de Dijon, selon Le Parisien. En effet, la professeure mise en cause est réputée, dans la région, pour ses prises de positions engagées, notamment dans la défense des lycéens sans papiers et contre Parcoursup. Cette affaire intervient dans un contexte particulier : le 5 décembre dernier, Jean-Michel Blanquer présentait en Conseil des ministres son projet de loi sur l’école. Un passage de texte prévoit notamment des sanctions disciplinaires contre les enseignants « qui chercheront à dénigrer auprès du public par des propos gravement mensongers ou diffamatoires leurs collègues et de manière générale l’institution scolaire », rappelle Le Parisien.
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Lorsque De Gaulle était président Beuve Méry patron du monde ( à qui de Gaulle avait confié le journal à la libération) ne se privait pas de le critiquer, Balladur était caricaturé, ne parlons pas de sarko traité de voyou de la république sur la première page d'un journal de gauche... avec le freluquet nous entrons dans le grand espace de liberté...
on censure les photos, on va sanctionner les généraux et ça continue... je vais finir par croire que nous sommes très mal barrés.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: après les généraux au piquet c'est au tour des profs ! l'anti macronisme est un délit ! Ven 21 Déc 2018, 07:05 | |
| “Non, tu ne sais pas tout mon pote !” : Tapie met en garde Macron Par Auteur valeursactuelles.com / Mercredi 19 décembre 2018 à 19:4110
Critique. L’homme d’affaires a en outre proposé aux “gilets jaunes” d’utiliser les imprimeries de son quotidien, La Provence, comme locaux pour pouvoir se structurer et prendre du poids dans le débat public.
Bernard Tapie continue de garder un œil sur le mouvement des « gilets jaunes ». Après avoir évoqué auprès du Parisien, au début du mouvement, un « fossé » qui « se creuse de plus en plus » entre le peuple français et ses élites, il avait invité Emmanuel Macron, dans les colonnes du Figaro, début décembre, à « renverser la table ». Ce mercredi 19 décembre, l’homme d’affaires était une nouvelle fois interrogé sur le sujet au micro de France Inter. L’occasion pour l’ancien président de l’Olympique de Marseille d’encourager les « gilets jaunes » à structurer leur mouvement et le chef de l’État à s’entourer des bonnes personnes pour faire avancer le pays.
« Faut s’entourer de gens qui ont la compétence que vous n’avez pas » Il faut selon l’homme d’affaires, qui se bat aujourd’hui contre le cancer, redonner le pouvoir aux hommes et femmes de terrain, au plus proche des Français et de leurs préoccupations. Et de tacler la fin du cumul des mandats qui, selon lui, ne va pas dans ce sens : « Le maire à qui on disait quelque chose le dimanche sur le marché allait à Paris trois jours par semaine ». Ainsi, le chef de l’État ferait bien, selon lui, de se doter d’un entourage compétent et expérimenté. « Quand vous avez l’aspiration de faire un métier au plus haut niveau, vous pouvez ne pas avoir l’expérience, mais entourez-vous des gens qui ont les expériences », martèle-t-il.
Bernard Tapie appelle Emmanuel Macron à s'entourer de gens compétents : "Non, tu sais pas tout mon pote"
Il fustige également au passage ceux qui, sous prétexte d’avoir fait l’ENA, pensent tout savoir. « Non, tu sais pas du tout mon pote », tranche-t-il. « Ce que tu sais c’est utile. Mais il faut aussi des mecs qui ont vécu l’action, faut s’entourer de gens qui ont la compétence que vous n’avez pas, pas des gens qui se ressemblent, sinon ça sert à rien ». Pourtant, Bernard Tapie semble fonder de grands espoirs en la personne d’Emmanuel Macron, qui a « inspiré l’affection et l’amour » lors de sa campagne, parce qu’« il est jeune, il parle avec son cœur, il a beaucoup d’empathie ». « Quand on veut, on peut », tonne-t-il, exhortant le chef de l’État à ce « qu’il recrée l’amour ».
« Se structurer » pour éviter « une forme plus violente » de la contestation En ce qui concerne les « gilets jaunes », Bernard Tapie estime que leur mouvement constitue davantage qu’une « étude d’humeur », mais pas encore une « étude d’opinion ». Aussi, il les appelle à se fédérer derrière des porte-parole. Le cas échéant, « ça recommencera sous une forme plus violente », prophétise-t-il. « Il faut qu’ils se structurent. […] Ils ont besoin de s’organiser maintenant de sorte que des têtes incarnent la volonté collective. Il faut leur donner l’assistance, des lieux dans lesquels ils peuvent venir, et des gens qui vont leur donner le résumé de ce qu’ils ont dit », insiste-t-il.
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"nanard le sévèrement burné" ne sera pas embastillé mais il y échappe de peu...
à croire qu'ils sont tous contre le gentil freluquet...
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