Autriche : importante déclaration de la ministre fédérale des Femmes concernant l’immigration
Autriche – «Nous n’aurions pas cette violence contre les femmes sans l’arrivée de tous ces migrants depuis 2015». Déclaration de la ministre fédérale des Femmes, Juliane Bogner-Straub, le 17 janvier lors d’une conférence sur le thème : «Violences et protection des victimes».
«Nous avons connu un nombre croissant de meurtres de femmes depuis 2015. Ces derniers jours quatre de ces meurtres m’ont beaucoup choquée, mais aussi beaucoup inquiétée. »
Sur 900 viols, 44% des auteurs sont des étrangers et les groupes les plus représentatifs sont ceux des Afghans et des Turcs, demandeurs d’asile. Déclaration de la ministre de l’Intégration, Karin Kneissl. Elle se souvient encore d’un cas l’année dernière où un Afghan a poignardé sa femme dans la rue, alors qu’elle avait déjà demandé la protection des autorités.
Karoline Edtstadler, secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur, a poursuivi :
«Le meurtre commis à Wiener Neustadt a été l’acte d’un Syrien. Celui d’Amstetten, celui d’un homme d’origine turque. Le dernier en date à la gare Centrale de Vienne est le fait d’un homme d’origine africaine.
Je me souviens aussi du cas tragique de Steyer, en décembre 2018, où un Afghan de 17 ans a poignardé sa petite amie de 16 ans dans sa propre chambre. Mais l’affaire d’il y a deux jours – un Kosovar qui a poignardé sa femme, qui voulait divorcer – en dit long et nous devons regarder très clairement ici, nous ne devons pas fermer les yeux.
Les flux migratoires de ces dernières années nous ont aussi importés des opinions comme l’antisémitisme, l’islamisme radical et, associé à cela, une image des femmes que nous rejetons clairement et qui n’a rien à voir avec nos valeurs. Je dis que c’est plus que cela, c’est associé à une dévaluation complète de la femme. Une situation où la femme devient un objet sexuel, où l’homme se débarrasse d’elle et où de plus en plus de crimes violents, extrêmes et graves se produisent jusqu’aux meurtres de ces derniers temps.
Je dis très clairement que nous devons nous opposer fermement à cette violence. Parce qu’il est évident que le respect à l’égard des femmes a diminué de manière préjudiciable pour aller jusqu’au meurtre. La raison en est une rupture culturelle que nous n’accepterons pas.
Je dis une chose très clairement : toute personne qui demande une protection et qui en a réellement besoin recevra également cette protection en Autriche. Mais quiconque rejette nos valeurs, quiconque agit contre elles ne mérite pas notre protection et nous emploierons donc toutes les possibilités légales afin d’expulser rapidement les demandeurs d’asile qui ont commis des crimes.
Depuis l’immigration de 2015, les femmes ne peuvent plus se déplacer dans l’espace public, quelque que soit l’heure du jour ou de la nuit, dans les mêmes conditions de sécurité qu’avant cette date. Le sentiment subjectif d’insécurité est désormais devenu un fait tangible. Nous vivons au milieu d’une vague de violence contre les femmes sans précédent comme nous l’indique la progression des statistiques en la matière, entre 2014 et 2018.
J’ai personnellement mis en garde dans plusieurs textes et livres depuis 2015, lorsque j’étais encore une experte du monde arabe. Et c’est un fait que sans la crise migratoire de l’été 2015, nous n’aurions pas cette forme de violence contre les femmes.
Cela tient à l’image complètement différente de la femme. »
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on va lui donner des "cours de vive ensemble" !