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| le nouveau macron vient de sortir ! | |
| | Auteur | Message |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: le nouveau macron vient de sortir ! Ven 01 Fév 2019, 19:25 | |
| Macron promet de “faire attention” avec ses petites phrases
Jeudi 31 janvier 2019 à 20:138
Mea culpa. Le chef de l'Etat affirme avoir “appris de ces 20 mois de présidence” et admet que “cette franchise n'est peut-être plus possible”. Ce n’est pas une excuse, mais presque. Alors qu’Emmanuel Macron tente de redorer son image avec le grand débat, les Français n’oublient rien et ne se montrent pas tendres avec lui. Le chef de l’Etat semble être conscient d’avoir irrité ses concitoyens et a présenté ce qui pourrait s’apparenter à des excuses, rapporte BFMTV. Lors d’un entretien avec plusieurs médias, Emmanuel Macron est revenu sur les « petites phrases » qu’il a pu distiller depuis le début de son quinquennat. Il assure avoir « beaucoup appris de ces 20 mois de présidence » et a promis qu’il allait « faire beaucoup plus attention » à ses propos mais que « cela suppose une conversion personnelle ». « Dans le système où nous vivons, cette franchise n’est peut-être plus possible », a-t-il admis.
« Les gens qui ne sont rien » et « ceux qui réussissent » Depuis son accession à l’Elysée, le chef de l’Etat a connu plusieurs polémiques sur certains de ses propos : des « Gaulois réfractaires au changement » au « pays qui n’est pas réformable », il s’est attiré les foudres de l’opinion et des oppositions. Lors de l’inauguration d’un incubateur de start-up, Emmanuel Macron avaient évoqué les « gens qui ne sont rien » en opposition avec « ceux qui réussissent ». Il y a quelques semaines, il dénonçait le « pognon de dingue » dépensé par le gouvernement pour les minima sociaux.
Au milieu du mois de janvier, quelques heures seulement avant le lancement du grand débat, Emmanuel Macron a une nouvelle fois agacé l’opinion en évoquant les personnes en situation de pauvreté. Selon lui, il est nécessaire de les « responsabiliser » car « il y en a qui font bien » et d’autres « qui déconnent ». Une petite phrase lancée au très mauvais moment, qui avait fait dire au député Les Républicains Eric Ciotti que « le président de la République veut rajouter en permanence de l’huile sur le feu ». -------------------------
parler de franchise lorsque l'on insulte les électeurs.... les spin doctors de service alias les "mormons" ont encore du taf pour le remettre d'équerre !
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: le nouveau macron vient de sortir ! Ven 01 Fév 2019, 19:29 | |
| Emmanuel Macron : “Moi aussi je suis ‘gilet jaune’ !”
Vendredi 1 février 2019 à 06:5710 Indécence. Alors qu’il a reçu quelques journalistes à l’Elysée, jeudi 31 janvier, Emmanuel Macron a confié que lui aussi pourrait être un “gilet jaune”…
Il avait pourtant promis de faire « très attention » aux « petites phrases ». Pourtant, au cours d’un entretien de plus d’une heure avec des journalistes de Paris Match, BFMTV et du Figaro, le président de la République a reconnu qu’il aurait aussi pu être « gilet jaunes ».
« La vie des gens, c’est un sujet présidentiel » « Si être ‘gilet jaune’, c’est vouloir moins de parlementaires et que le travail paie mieux, moi aussi je suis ‘gilet jaune’ ! », a-t-il lâché devant les journalistes présents. Le chef de l’Etat a évidemment voulu aborder le dossier délicat de la crise sociale qui sévit maintenant depuis plusieurs mois. « La vie des gens, c’est un sujet présidentiel », a-t-il poursuivi avant de regretter le partage de la France entre « nihilisme » au nom duquel la parole d’un ‘gilet jaune’ vaut celle d’un élu, et « autoritarisme », avec la tentation d’un pouvoir fort.
Macron se justifie sur la crise des « gilets jaunes »… Au cours de cet entretien exceptionnel, Emmanuel Macron a voulu apporter des solutions, mais aussi se justifier. En premier lieu, il estime que la situation actuelle exige un compromis entre la restauration de la confiance et de l’autorité politique et la meilleure association de tous à la prise de décision avec une « démocratie délibérative ». « Si je voulais faire comme on fait toujours pour régler une crise, je ferais un ‘Grenelle’, une dissolution et un changement de gouvernement », a-t-il poursuivi, avant d’enchaîner : « Mais jouer sur le clavier institutionnel classique, c’est se défausser de sa responsabilité. En conscience, je ne le ferai pas ». Pour lui, la sortie de crise passera par le débat, à commencer par le Grand débat national, lancé début janvier.
… et veut responsabiliser son gouvernement Un peu plus tôt, le chef de l’Etat s’était dit « scarifié » par les premiers mois de sa présidence, tout en promettant de faire « très attention » à ses « petites phrases » qui ont contribué à son impopularité. Emmanuel Macron a également voulu mettre la « pression » à son gouvernement en les responsabilisant : « Ce que je dis en conseil des ministres, ça ne doit pas se retrouver dans le Canard enchaîné mais être répercuté auprès de services », a-t-il notamment insisté.
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Il y a urgence à trouver des fusibles pour sauver le soldat macron !
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: le nouveau macron vient de sortir ! Sam 02 Fév 2019, 07:19 | |
| “Gilets jaunes” : Macron étrille les médias et “la russosphère”
valeursactuelles.com Vendredi 1 février 2019 à 21:215
Colère. Le chef de l’État s’est indigné du traitement médiatique réservé au mouvement des “gilets jaunes”, selon lui biaisé et manipulé par les extrêmes et l’étranger.
Emmanuel Macron n’est vraiment, mais alors vraiment pas content du travail des médias vis-à-vis de la crise des « gilets jaunes », et a tenu à le faire savoir. Dans une série d’articles de Paris Match, BFMTV, Le Figaro et Le Point, nourris de nombreuses citations du chef de l’État, il critique vertement la « naïveté » des médias, manipulés, selon lui par la « russosphère », très présente sur les réseaux sociaux. Parmi les éléments qui ont choqué Emmanuel Macron, figure en bonne place la vidéo tournée par l’ancien boxeur Christophe Dettinger avant de se rendre aux autorités pour avoir frappé des policiers.
« Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ! » « Il ne faut pas se tromper. On est d’une naïveté extraordinaire. […] Le boxeur, la vidéo qu’il fait avant de se rendre, il a été briefé par un avocat d’extrême gauche. Ça se voit ! Le type, il n’a pas les mots d’un gitan. Il n’a pas les mots d’un boxeur gitan », s’offusque Emmanuel Macron dans les colonnes du Point, critiquant à demi-mot une presse qui ne ferait pas l’effort de parler de « l’envers du décor » de la mobilisation et de son « abdication […] à faire [son] travail de hiérarchisation et d’analyse ». Ainsi, il regrette de voir les chaînes d’information donner autant de place à de simples citoyens qu’à des élus de la République. « Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ou un député ! », lâche-t-il. Une nouvelle « petite phrase » qui ne devrait pas passer inaperçue.
« Drouet, c’est un produit médiatique » Toujours dans Le Point, le chef de l’État n’hésite pas à faire part du sentiment que lui inspire Éric Drouet, l’une des figures de la contestation, qui compte 300 000 abonnés sur sa page Facebook « La France en colère !!! ». « Drouet, c’est un produit médiatique, un produit des réseaux sociaux », explique-t-il avant d’ajouter : « Il y a eu une forme, aussi, de légitimation accélérée de ce qu’a été ce mouvement, qui est un problème ». Emmanuel Macron n’est guère plus tendre avec les médias, qu’il accuse ne pas s’être intéressés aux « différentes strates de ‘gilets jaunes’, la déconstruction de ce qu’est le mouvement, de ses influences, la déconstruction de ses influences extérieures ».
Un mouvement « fabriqué » par les extrêmes Le président de la République semble convaincu de l’influence russe sur le mouvement citoyen. « Les gens qui sont surinvestis sur les réseaux sont les deux extrêmes. Et après, ce sont des gens qui achètent des comptes, qui trollent. C’est Russia Today, Sputnik, etc. », indique-t-il, soulignant la prévalence de « la fachosphère, la gauchosphère, la russosphère » sur les réseaux sociaux, qui représenteraient « 90% des mouvements sur internet ».
Il reproche ainsi aux médias de ne plus savoir faire le tri dans le flux incessant d’informations concernant les « gilets jaunes ». « De plus en plus, des chaînes d’information disent ‘ceci est important, ceci est légitime’ parce qu’il y a du mouvement sur internet. Ce mouvement est fabriqué par des groupes qui manipulent, et deux jours après, ça devient un sujet dans la presse quotidienne nationale et dans les hebdos », déplore-t-il. Reste à voir comment les médias visés accueilleront ces critiques.
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les complotistes sont partout vite une loi anti fake !
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: le nouveau macron vient de sortir ! Dim 03 Fév 2019, 06:31 | |
| Sale temps… Publié le 2 février 2019par maximetandonnet
«J’ai beaucoup appris de ces vingt mois. Ça m’a scarifié […] Si être gilet jaune, ça veut dire qu’on est pour que le travail paie plus et que le Parlement fonctionne mieux alors je suis gilet jaune […] J’ai toujours été sincère et je n’ai jamais voulu blesser […] Cela suppose une conversion personnelle [la mienne] Dans le système où nous vivons, cette franchise [la mienne] n’est peut-être plus possible […] Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ou un député!»
Dans le naufrage de la politique française, de quinquennat en quinquennat, l’obsession du « je » a un sens. « Je » victime ou « je » provocateur, la fuite en avant dans la boulimie du « je » est le signe d’un indicible désarroi. L’échec à ramener la paix civile, par l’exercice du dialogue ou de l’autorité, est un signe supplémentaire de la débâcle de la politique française. Face aux déceptions, aux échecs, à l’impuissance, à la réalité qui se dérobe, au décalage entre le statut de demi-dieu et le trou béant laissé par la vanité blessé, il ne reste plus qu’à se noyer dans le « je » comme dans une eau saumâtre.
Mais attention, le sommet de la bêtise politique et de penser qu’il suffit de changer une tête par une autre, par ex M. Hollande par M. Macron ou ce dernier par M. le Pen, ou tout autre, pour espérer interrompre la marche à l’abîme. Nous ne vivons en ce moment qu’une étape supplémentaire dans un processus de déliquescence. Non, il faudrait bien plus qu’un simple changement de tête qui en soi n’aurait aucun intérêt.
Ce qu’il faut, c’est un bouleversement de la culture politique: l’intérêt général plutôt que la l’obsession narcissique; l’action au service du pays plutôt que la logorrhée communicante; la vérité plutôt que l’esprit de manipulation permanent et le mépris des gens; la politique plutôt que l’esbroufe; l’homme d’Etat désintéressé plutôt que le politicien en quête de réélection; bref, la res publica plutôt que le grand-guignol quotidien. Ce n’est pas seulement une affaire de personne. C’est une question d’état d’esprit, de mentalité, de prise de conscience collective. Et c’est là que les choses sont infiniment plus complexes mais c’est pourquoi tout se joue désormais dans la bataille des idées.
Maxime TANDONNET | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: le nouveau macron vient de sortir ! Mar 05 Fév 2019, 13:15 | |
| Petites phrases, coup de com' : les fourberies de Macron Lundi 4 février 2019 à 10:26 7
Avec un art consommé du théâtre, le chef de l’Etat endosse tous les rôles pour tenter de complaire à la sensibilité de tous. Au point que sa communication en est devenue schizoïde.
Macron, c’est Scapin : il joue tous les rôles. La théâtrocratie permanente de son personnage vise à complaire à des sensibilités différentes : ses partisans pour lesquels son « cash-langage » constitue une marque aussi vraie que mobilisatrice ; des opinions maltraitées par la brutalité d’un verbe insolent auxquelles il offre une résipiscence dans des intermittences aussi calculées que contraintes ; des médias auprès desquels il s’efforce de performer pour mieux générer l’image qui réactivera la machine spectaculaire… Macron « narcissise » toujours plus le pouvoir ; il s’y reflète avec une gourmandise à peine dissimulée, spectateur jouissant et jouissif de la propre scène qu’il produit. Il est le comédien, son double, et le mouvement perpétuel d’une comédie qui n’en finit plus de mimer les figures du souverain.
Or ce qu’il y a de souverain est par nature marmoréen, imperturbable, inextinguible dans sa forme comme dans son expression. C’est bien là que le bât blesse. Cette plasticité apparente censée illustrer une aptitude à se mouvoir sur le terrain des événements, à s’y adapter, à s’acculturer au contexte révèle surtout un « brownisme » communicant. Loin d’incarner, elle perturbe, brouille, suscite le doute quant à la sincérité présidentielle. La multiplication des postures - le Macron performé durant des heures face aux maires, le Macron « scarifié » et souffrant, le Macron qui clash et bash « Jojo le jaune », le Macron des sermons et discours officiels- offre le kaléidoscope d’une statue dont les transformations sont autant de godilles communicantes.
La repentance reste rarement le dernier mot d’Emmanuel Macron À force de vouloir endosser tous les costumes, le Président renforce cette idée qu’il s’en remet toujours plus au philtre de la com’ pour rétablir sa légitimité, restaurer son image, regagner la confiance. Les changements de pied sont autant d’aveux : la repentance reste rarement le dernier mot d’Emmanuel Macron qui en revient très vite à ses fondamentaux.
Le vrai faux off distillé à quelques journalistes en milieu de semaine dernière a même concentré dans une même séquence la dimension souvent schizoïde de la communication du chef de l’Etat. Le « travail sur soi-même » promis par ce dernier en guise de protocole compassionnel s’est vite retourné en propos moins amènes tant sur les gilets, « survalorisés » aux yeux du Président par les chaînes info que sur le boxeur incarcéré Christophe Dettinger dont les mots utilisés dans un Facebook live prouveraient, s’il le fallait, qu’il était instrumentalisé tant son vocabulaire ne correspondrait pas à sa culture gitane d’origine. Ces confidences là sur-signifient cette propriété du macronisme d’en revenir systématiquement à ses réflexes. Toute la com’ de Macron s’efforce par un jeu de cache-cache avec la réalité à « fabriquer du consentement » autour de sa politique ; mais son hic est qu’elle ne parvient pas à contrôler la personnalité d’un Président qui oublie qu’il n’est plus seulement Emmanuel Macron, mais aussi le corps rassemblé de la Nation. Les gilets jaunes expriment tout à la fois cette béance et cette fracture ! | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: le nouveau macron vient de sortir ! Ven 08 Fév 2019, 07:08 | |
| Emmanuel Macron contre la liberté de la presse GUILLAUME DE THIEULLOY POSTÉ LE 05 FÉVRIER , 2019, 3:30
Fin janvier, Emmanuel Macron a reçu des journalistes pour s’exprimer librement devant eux sur l’actualité. Le procédé était habituel pour ses prédécesseurs, mais c’est la première fois qu’il s’adonne à cet exercice étrange.
Je dis « étrange », car le statut de ce genre d’entretiens m’a toujours laissé songeur. À qui fera-t-on croire qu’un président de la république parle de l’abondance du cœur à des journalistes ?
En tout cas, comme souvent avec les « off » hypocrites, celui qui joue au chef de l’État, a clairement voulu faire passer des messages par l’intermédiaire de ces complaisants journalistes.
Or, le moins que l’on puisse dire, c’est que les messages en question sont inquiétants. D’autant qu’ils sont confirmés par un récent entretien au « Point ».
À ce propos, le seul récit disponible de l’entretien « libre » de M. Macron, est celui qu’en a donné Emmanuel Beretta dans « Le Point ». De là à supposer que le magazine est une pièce maîtresse de la communication présidentielle, il n’y a qu’un pas.
En tout cas, M. Macron fait preuve d’une inquiétante paranoïa. Pour lui, les gilets jaunes sont manipulés par l’étranger – spécialement la Russie. Éric Drouet pourrait ainsi être conseillé de l’étranger, affirme-t-il.
Qu’un mouvement aussi anarchique – et si typiquement français ! – ait pu être inventé par l’étranger me semble extrêmement douteux.
Mais, quand cela serait, où serait le plus grave : qu’Éric Drouet, simple citoyen, soit conseillé par l’étranger, ou que tant d’hommes politiques de premier plan soient financés par l’étranger (y compris par des pays soutenant notoirement le terrorisme) ?
Selon le président, 90 % des mouvements favorables aux gilets jaunes, sur internet et les réseaux sociaux, viendraient de « la fachosphère, la gauchosphère, [ou de] la russosphère ». Avec une analyse aussi fine de la société, nous sommes assurés de l’objectivité du « grand débat » !
J’ai toujours été fasciné par le complotisme des anti-complotistes patentés. Nous en avons un superbe exemple.
Mais le plus saugrenu est sans doute l’idée évoquée dans son entretien « libre ». On y lit ceci :
« Le bien public, c’est l’information. Et peut-être que c’est ce que l’État doit financer. Le bien public, ce n’est pas le caméraman de France 3. Le bien public, c’est l’information sur BFM, sur LCI, sur TF1, et partout. Il faut s’assurer qu’elle est neutre, financer des structures qui assurent la neutralité. Que, pour cette part-là, la vérification de l’information, il y ait une forme de subvention publique assumée, avec des garants qui soient des journalistes. »
J’ignore si le président pense réellement ce que je lis. Mais, si c’est le cas, bienvenue à Pyongyang ou bienvenue au « Pays des merveilles » d’Alice ! Car on ne sait ce qui est le plus frappant dans cette idée loufoque, de son absurdité ou de ses tendances totalitaires.
Comment diable M. Macron fera-t-il pour s’assurer que l’information soit « neutre » ? Faudra-t-il que les journalistes soient recrutés sur leur absence de conviction ? Croit-il vraiment que BFM ou TF1 sont neutres ou se moque-t-il tout simplement de son auditoire ? Et croit-il que seuls les médias « neutres » vérifient leurs informations ?
Si je comprends bien, dans « l’idéal », les journalistes bien-pensants seraient rémunérés par l’argent public et pas les autres. M. Macron a-t-il réfléchi une seconde au fait que la défiance générale envers les médias augmenterait vertigineusement ? Et a-t-il réfléchi au cadeau inouï qu’il ferait ainsi aux dissidents comme nous, qui recevraient ainsi un brevet de l’État de ne pas dépendre des puissants ?
Toujours est-il que Jupiter manifeste une fois de plus qu’il a des problèmes avec nos libertés !
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on va nous faire la "pravda" franchouillarde sans doute ! | |
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