L’Etat doit payer pour les récidives commises par ces condamnés libérés et non expulsés
PUBLIÉ PAR MANUEL GOMEZ LE 2 AVRIL 2019
Ce n’est pas la première fois, ni, hélas, la dernière, qu’un criminel condamné et qui aurait dû être expulsé vers son pays d’origine à l’issue de sa peine, comme le jugement le précisait, soit resté dans notre pays.
Et ce n’est pas la première fois, ni, hélas, la dernière, qu’un criminel non expulsé malgré sa condamnation, comme le jugement l’exigeait, commet un nouveau meurtre, un nouveau viol, de nouvelles agressions, des vols, etc. après sa remise en liberté.
L’Etat doit être considéré comme responsable pour toutes les récidives commises en France par ces condamnés libérés et non expulsés, comme la justice en avait décidé !
Si le nommé Jean-Claude Nsengumukiza, d’origine ougandaise, condamné pour viol en 2011 et libéré en novembre 2015, avait été expulsé à l’issue de sa peine, Elise Chauvel, âgée de 24 ans, et Julien Tesquet, 31 ans, seraient toujours en vie.
Tous deux ont été assassinés, étranglés, et Elise également violée auparavant, en décembre 2015, dans leur appartement, rue de la Pucelle, par ce monstre qui n’aurait jamais dû se trouver à Rouen ce jour-là, moins d’un mois après sa remise en liberté et la non-exécution de son ordre d’expulsion.
Son procès a débuté lundi. Il va être condamné certes et, en ce qui me concerne, ce serait sans hésitation aucune « la peine capitale » afin qu’il ne puisse jamais plus « remettre ça ! ».
Son expulsion sera, une fois encore, réclamée, mais sera-t-il expulsé où s’échappera-t-il une nouvelle fois ?
Cette racaille a été interpellée quatre jours plus tard, par la police, lors d’un banal contrôle d’identité.
L’Etat est responsable pour cette faute lourde de conséquence, deux crimes, la mort de deux jeunes Français qui avaient toute une vie devant eux !
De nombreux rapports de l’IGS pointent régulièrement ces dysfonctionnements judiciaires mais qui en tient compte, il n’y a jamais de coupable, jamais de complice !
Ne serait-il pas temps qu’une loi affirme la complicité, sinon la culpabilité, de tous ces magistrats et psychiatres qui remettent en liberté des criminels qui, selon eux, selon « leurs expertises bidons », estiment qu’ils ne sont plus particulièrement dangereux pour la société ?
C’est leur avis, alors qu’ils prennent la responsabilité devant le peuple quand « leurs protégés » récidivent car leurs erreurs ont coûtées, et coûterons encore, la vie de combien d’innocents ?
Elise et Julien n’ont pas été les premiers, et ne seront pas les derniers, à payer de leur jeune vie les décisions de ces irresponsables qui ont droit de « vie et de mort » sans avoir à en rendre compte devant la société !
Nous allons être confrontés, d’ici fin 2019 et les années suivantes, à la remise en liberté de plusieurs dizaines de terroristes, d’assassins, de criminels. Ils tueront à nouveau, c’est une certitude !
Ils ne doivent pas rester en France métropolitaine, en aucun cas, car il y va de la vie de nos concitoyens.
Ces criminels doivent : soit être expulsés vers leur pays d’origine, soit « relégués » définitivement hors de nos frontières continentales.
Dans de récents articles j’ai proposé Saint-Laurent-du-Maroni, l’Île du Diable ou n’importe quel lieu aussi approprié et surtout qu’ils ne reviennent jamais !