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| Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants | |
| | Auteur | Message |
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tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:14 | |
| Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrantsPar Alexandre del Valle / Mardi 11 juin 2019 à 16:300 Les migrants venus d'Afrique continuent à affluer sur les côtes espagnoles. JORGE GUERRERO / AFP Immigrationnistes et lobbies/ONG pro-migrants voient comme une “ discrimination ” l'application des lois en matière de lutte contre l'immigration illégale. Pour le géopolitologue Alexandre del Valle, face à un droit jugé illégitime, cela aboutit à des exigences de plus en plus élevées et vindicatives de la part des migrants illégaux et une violence croissante de leurs revendications. Le combat des ONG pro-migrants visant à dépénaliser progressivement les flux migratoires illégaux et à réclamer l’abolition de toute différence de droits et avantages entre migrants illégaux, migrants réguliers et citoyens nationaux correspond à une tendance lourde. Ce processus est relayé en aval par les ONG pro-migrants et les militants (comme Cedric Herrou, voir infra) et en amont par les Nations unies et la Cour européenne des droits de l’homme. Et les gouvernements récalcitrants ou réfractaires à la doxa immigrationniste sont mis à l’index et bientôt sanctionnés par les Nations Unies. C’est ainsi que le 11 septembre 2018, l’ONU a condamné solennellement et moralement l’Etat italien pour avoir appliqué fermement la loi en matière de droits des migrants, visant la politique du vice-président du Conseil italien chargé de l’intérieur, Matteo Salvini. Le Haut-commissaire pour les Droits de l’Homme des Nations unies, Michelle Bachelet, ex-présidente chilienne, a ainsi accusé le gouvernement italien de “posture politique” dans la crise sur les réfugiés et annoncé l’envoi d’une « équipe d’enquêteurs de l’Onu en Italie pour examiner la forte augmentation signalée des actes de violence et de racisme contre des migrants, des personnes d’origine africaine et des Roms ». Comme le rappelle Cesare Sachetti, journaliste et politologue italien basé à Bruxelles, « cette affirmation n’a jamais pu être corroborée par aucune statistique et elle est apparue spécialement pour attaquer l’exécutif en charge (…), ce n’est pas la première fois que les Nations Unies attaquent le gouvernement italien Ligue/5 étoiles (…). L’ONU recommence maintenant à attaquer l’Italie concernant le décret sécurité bis, en citant des ‘violations des droits de l’Homme’, alors que Rome ne fait rien d’autre que respecter la Convention de Genève sur les réfugiés qui autorise l’expulsion des demandeurs d’asile pour motifs de sureté. En outre, la même ONU a accepté que l’Arabie Saoudite, pays notoirement connu pour ses violations nombreuses des droits humains, siège dans la Commission pour les droits de l’homme, alors que ce pays, étonnamment moins condamné que l’Italie par l’ONU, est le dernier à pouvoir donner des leçons à l’Italie ». Refus de manger la nourriture non-islamique et « trop occidentale » et autres exigences croissantes des Migrants La stratégie des lobbies pro-migrants consistant à diaboliser/délégitimer non pas seulement les milieux politiques souverainistes mais aussi toute volonté d’appliquer les lois en vigueur afin combattre les migrations illégales ou incontrôlées, a comme conséquence directe de donner aux migrants illégaux l’idée qu’ils sont dans leurs bons droits, qu’ils incarnent le camp du Bien et que celui du Mal est l’Etat occidental ex-colonial et les lois en vigueur à combattre au nom de la légitimité supérieure du Migrant paré de toutes les vertus progressistes et exotiques. Rappelons quelques exemples qui illustrent parfaitement cette tendance inquiétante et qui poussent les migrants à se comporter de façon de plus en plus revendicative et violente alors qu’ils sont arrivés illégalement. Le 3 novembre 2015, après la fermeture du lycée Jean-Quarré, des migrants accueillis dans un centre à Champcueil (Essonne) ont manifesté leur « mécontentement » relativement à leurs conditions d’accueil, exigeant notamment « un bon logement pour tous ; des « démarches plus faciles avec les médecins ; des cours de français et des tickets de transports gratuits ; une nourriture de meilleure qualité et même de l’eau minérale », ceci alors même que l’eau courante est potable en France. Les migrants ont ajouté que le personnel « ne doit pas manquer de respect aux réfugiés » et se sont également plaint qu’il y ait de l’amiante dans leurs logements. Une situation d’autant plus ubuesque que l’on imagine aisément ce que pouvait être la situation de ces « malheureux » dans leurs pays d’origine. | |
| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:17 | |
| Afin d’être entendus, les réfugiés ont manifesté devant la mairie de Mennecy et la préfecture d’Evry en RER en criant « nous sommes malades à cause de l’eau », des critiques qui ont étonné jusqu’à la très immigrationniste Croix-Rouge. Pratiquement tous mâles, âgés entre 30 et 40 ans, tous munis de portables derrière génération, de Nike flambant neuves, les migrants ont pris le soin d’arriver armés de cutters, couteaux, barres de fer puis capuches (pour déjouer la surveillance des caméras de vidéo)… Depuis, les cas de réfugiés - la plupart du temps faux et arrivés de façon illégale à travers des parcours migratoires criminels - qui se permettent d’émettre des exigences de plus en plus vindicatives et parfois violentes, est un phénomène constaté dans tous les pays européens de l’ouest. En mai 2018, des « protestations » de migrants se disant « maltraités » avaient dégénéré et des policiers avaient été blessés à la suite d’une émeute dans le centre de rétention administrative (CRA) de Cornebarrieu. Motif de la rixe : deux chambres jugées dégradées avaient été fermées et les migrants qui refusaient d’être transférés dans d’autres chambres avaient allumé un incendie après avoir recouvert les caméras de draps et déclenché ainsi un début d’incendie, heureusement maîtrisé par les surveillants selon le syndicat Alliance. Ce phénomène des revendications de plus en plus violentes des migrants clandestins ou pseudos demandeurs d’asile encouragés à se révolter par les ONG pro-migrants s’observe partout ailleurs en Europe. C’est ainsi que le 29 juillet 2015, en Vénétie et à Udine, en Italie du Nord, des « réfugiés » et migrants clandestins de plusieurs centres de rétention ont refusé de manger les pâtes à la sauce tomate des pizzas, jetant leurs nourritures par terre et exigeant avec véhémence des repas hallal ou/et plus « variés » et « moins occidentaux ». Là aussi, les intellectuels immigrationnistes ont accordé des « circonstances atténuantes » ou « atténuants culturels » aux migrants vindicatifs présentés comme des personnes à l’identité bafouée car victimes « d’acculturation ». Ainsi, pour la sociologue italienne et juriste Iside Gjergji, le fait que les journaux de droite et la Ligue aient vivement dénoncé les exigences des Migrants qui refusent de plus en plus de la nourriture trop italienne ou non-hallal serait en soi une forme de « racisme » et d’intolérance. L’idée est qu’il faudrait en fait céder aux demandes culinaires « variées » (hallal ou exotiques) des migrants car l’attachement à la nourriture du pays serait pour ces malheureux le « dernier marqueur d’appartenance »… Depuis, les ONG et les autorités italiennes cèdent aux revendications communautaristes et religieuses des migrants dont les requêtes et exigences ne cessent de croitre.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:18 | |
| Plus récemment, en Allemagne, des travailleurs sociaux chargés de la gestion de réfugiés/migrants irréguliers internés dans des centres de rétention ont déploré une « augmentation exponentielle des revendications, allant parfois jusqu’à des demandes de maisons et de voitures individuelles! » Mieux, face au constat selon lequel l’accomplissement de « tâches ménagères» peuvent constituer une « humiliation » et un « déshonneur » pour les migrants-mâles non-occidentaux issus de pays africains et islamiques notamment, en Allemagne du Nord, des classes entières de collégiens ont été envoyées dans des centres d’accueil de réfugiés pour débarrasser les ordures et faire les lits des malheureux demandeurs d’asile et migrants clandestins… Comment les filières d’immigration gardent-elles les migrants en France Au Royaume-Uni, des migrants de plusieurs centre de rétention se sont également plaint de la nourriture « trop occidentale » et ont exigé et obtenu des plats « plus diversifiés ». Les immigrés soupçonnés d’être ici illégalement doivent recevoir une nourriture plus « culturellement diversifiée », a déclaré un membre du personnel d’un centre de rétention. Les traiteurs affirment qu’on leur a dit que les repas à Yarl’s Wood, où des immigrés illégaux séjournent en attendant leur expulsion, sont « trop occidentaux ». Rappelons que Yarl’s Wood abrite plus de 300 migrants originaires de 61 pays, la plupart venant d’Inde, du Pakistan, d’Afghanistan, de Chine ou d’Afrique subsaharienne. L’entreprise privée Serco, qui gère le centre dans le Bedfordshire, a ainsi déclaré qu’elle allait « améliorer ses menus ». Dans son « rapport », Peter Clarke, l’inspecteur en chef des prisons, a conclu que : « la nourriture que nous avons prélevée était bonne, mais la plupart des plats étaient de type occidental et le menu manquait de diversité culturelle. Le repas du midi consistait principalement de baguettes ou de salade. » Intimidée par la rhétorique victimaire des lobbies et « sociologues pro-Migrants, l’Inspection des prisons de Sa Majesté (HMIP) a conclu, dans un « rapport » sur les droits des migrants illégaux détenus, que la nourriture devrait donc être plus « adaptée aux besoins religieux et culturels» des migrants et que les menus devraient «refléter les divers besoins de la population». Scandalisé par ces conclusions, le député conservateur Philip Davies a répondu que « ce sont des gens qui ne devraient pas être dans ce pays en premier lieu, alors ils devraient être reconnaissants qu’on les soigne si bien. Ce ne serait pas le cas dans beaucoup d’autres pays ». En réalité, le culot revendicateur décomplexé de ces réfugiés est le résultat de l’action subversive de longue haleine de maintes associations et ONG pro-Migrants qui leur donnent toutes sortes de ficelles, qui distillent une vision paranoïaque-victimaire totalement déresponsabilisante du migrant, et qui sont souvent manipulés par des milieux anti-régaliens d’extrême-gauche ainsi que par des associations islamiques : Secours Populaire (lié au PCF), Secours Islamique, Croissant Rouge, secours Protestant (Cimade/gauche chrétienne tiersmondiste), Secours Catholique (idem), organisations caritatives liées au Vatican, etc.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:18 | |
| De Lampedusa à Gibraltar… La ville (et île) italienne la plus connue dans le monde en raison de sa situation stratégique entre la Libye et la Sicile pour l’arrivée des migrants clandestins, Lampedusa, est au bord du chaos depuis des années, tant les migrants sont devenus de plus en plus incontrôlables et menaçants. Les forces de l’ordre présentes dans l’île se sentent d’ailleurs impuissantes à gérer des flux de demandeurs d’asile, vrais/faux réfugiés et autres clandestins, qui sont arrivés par les réseaux criminels de passeurs et qui sont aujourd’hui plus nombreux que les habitants siciliens de l’île. Dans le centre-ville de Lampedusa, qui avait été carrément saccagé il y a quelques années par une bande de migrants illégaux « mécontents » de leur sort exigeant d’être transférés dans le Nord, le centre de rétention est de plus en plus peuplé de Tunisiens et autres réfugiés économiques liés aux réseaux du marché noir et de trafics qui échappent de plus en plus aux contrôles. Ces migrants souvent vindicatifs, délinquants et ou sensibles aux idées islamistes anti-occidentales, investissent les rues et places de l’île en échappant à leurs surveillants du centre de rétention. Régulièrement interrogé par la presse italienne, le maire de Lampedusa, Totò Martello, affirme que le problème est bien réel et que ce n’est pas parce que Matteo Salvini le dit que cela est faux : « Il y a un grave problème d’ordre public, et nous sommes seuls. Le centre est normalement contrôlé par la police, les Carabinieri et la garde des finances, mais les Tunisiens entrent et sortent comme ils veulent. les touristes, hôteliers et commerçants protestent (…), les migrants menacent, agressent, volent, le hot spot doit donc être fermé ». Le hot spot est en fait un centre de premier accueil et identification. Le maire de Lampedusa, pas du tout issu de la Ligue de Salvini car élu avec le soutien d’une frange du Parti démocratique (PD ; gauche), poursuit son propos : « Les bars pleins de Tunisiens désœuvrés qui molestent les femmes, qui menacent et volent, cela ne peut plus durer ». Le maire signale des faits inquiétants : « Par deux fois, un vendeur de fruits se trouvant devant le poste de gendarmerie a été volé par des migrants. Les vols dans les boutiques d’habillements et d’alimentation sont constants ainsi que les agressions de touristes. Si l’on est pas en mesure de gérer cette situation, sachant que maints de ces migrants sont des délinquants, alors il faut les mettre en prison ou les expulser ». Même l’ex-maire de Lampedusa, Giuseppina Niccolini, très immigrationniste, qui fait partie aujourd’hui de la direction du PD, admet toutefois qu’après la fermeture de la « route libyenne » en 2018, un flux de migrants en provenance de la Libye a repris depuis la Tunisie, des flux par petits groupes arrivant avec des petites embarcations jusqu’à Lampedusa et jusqu’au littoral d’Agrigente afin de mieux échapper aux contrôles de la marine italienne. Les dirigeants de la ville et du centre de Lampedusa (mais aussi d’autres villes italiennes abritant des centres de rétention) reçoivent chaque jour des messages de touristes terrifiés, de directeurs d’hôtels, commerçants ou restaurateurs inquiets dénonçant les incivilités, vols et agressions régulières par des migrants échappés des centres de rétention. S’adressant à la Rainews24, un habitant de la ville témoigne : « Nous sommes seuls. Il y a un grave problème d’ordre publique. Nous sommes accueillants, mais l’ordre doit s’imposer à nouveau face aux infractions de la loi et à l’insécurité ». Il est vrai que les migrants, une fois « identifiés » dans le hot spot de Lampedusa, sont libres de circuler dans les rues et cela crée maints problèmes de sécurité. Les cas d’actes de violences et de délinquance des migrants placés en centres de rétention mais de facto libres de circuler en échappant à la vigilance de la police du fait de la dépénalisation progressive du délit de migration clandestine exigée par l’Union européenne et l’ONU, a conduit à des situations explosives dans des centres situés dans toute l’Italie.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:19 | |
| Cas parmi tant d’autres, citons celui survenu le 8 octobre 2018, à Foggia (sud de l’Italie), lorsque 50 migrants ont agressé des policiers afin d’empêcher d’éviter l’arrestation d’un migrant. Les clandestins extracommunautaires ont alors entouré les policiers, les ont frappés à coups de pieds et poings, et leur lancé des pierres et projectiles. Comme de coutume, les médias et intellectuels ou politiques de gauche qui ne manquent pas de défendre les droits des migrants illégaux face aux gardes-frontières, à Frontex ou à la police italienne se sont bien gardés de parler de ces cas de violences des migrants, ces derniers ayant toujours des « circonstances atténuantes », puisque les « vrais» responsables seraient la police, les autorités italiennes et bien sûr le Ligue de Matteo Salvini accusé « d’islamophobie » et de « xénophobie ». Enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla : la route « occidentale » des migrants illégaux et leurs méthodes violentes Autres points d’entrées de migrants clandestins vers « l’Eldorado européen » : le détroit de Gibraltar (île britannique entre la Maroc et l’Espagne) et surtout les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla au nord du Maroc. Ces points stratégiques sont l’équivalents de Lampedusa/Malte et Agrigente pour l’Espagne. Et l’on observe une arrivée accrue de Migrants illégaux dans cette zone depuis que les flux ont été réduits à Lampedusa du fait de la politique ferme de Matteo Salvini. Évènement parmi tant d’autres, mentionnons « l’attaque migratoire » du 26 juillet 2018, lorsque 600 migrants africains jeunes et costauds ont franchi la frontière espagnole dans une violence fulgurante - à l’instar d’un commando qui ne ressemblait à un groupe d’humains ni « victimes » ni « faibles » et encore moins respectueux des lois en vigueur et pacifique. Ces 600 migrants africains (majoritairement subsahariens) ont atteint l’enclave espagnole de Ceuta par un « assaut » de la double clôture qui a consisté à lancer de la chaux vive, des excréments et même de l’acide contre les policiers de l’autre côté des barbelés et qui n’ont pu résister à ce véritable abordage. Depuis février 2017 - lorsque 650 migrants étaient parvenus à pénétrer dans la ville de façon illégale et massive - Ceuta est devenue l’une des cibles favorites des passeurs. De fait, l’Espagne, est de nouveau (comme dans les années 2000) la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe devant l’Italie depuis que la « route par la Libye » est un peu plus contrôlée. José Cobo, porte-parole du syndicat de gardes civils espagnols (AEGC), raconte que des sprays lance-flammes sont souvent utilisés par les migrants et que les « assauts » de la barrière sont tous très violents. La Garde civile a dénoncé l’emploi contre les agents espagnols des récipients chargés d’excréments et de chaux vive, puis de sprays enflammés à la manière de « lance-flamme » en plus de pierres et de bâtons… Mais face aux indignations des « associations » et ONG pro-Migrants qui ont dénoncé le fait que nombre de migrants sont régulièrement blessés en escaladant la clôture, le gouvernement socialiste espagnol a annoncé son intention de retirer les barbelés coupants des clôtures de Ceuta et Melilla. En échange, la police espagnole réclame « plus de gardes civils et plus de matériel anti-émeutes et de protection ». Une fois de plus, les « associations » ou autres ONG « humanitaires » pro-Migrants sont parvenues à faire baisser la garde des pays européens chargés de la gestion des frontières extérieure de l’UE en invoquant les « droits de l’homme ».
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:22 | |
| Légitimation et dépénalisation de l’immigration illégale Ce phénomène visant à dépénaliser/légitimer/justifier l’immigration illégale afin d’empêcher les Etats-Nations occidentaux de défendre efficacement leurs frontières est le fruit d’une stratégie de longue haleine poursuivie par de puissantes forces immigrationistes composées des milieux onusiens et européistes et d’associations/ONG et de partis politiques relayés par des médias et autorités judiciaires et constitutionnelles. C’est ainsi que depuis un arrêt de juillet 2018, suite à un recours du militant immigrationniste Cédric Herrou et d’autres groupes de « soutien » aux migrants clandestins, le Conseil constitutionnel a affirmé qu’« une aide désintéressée au séjour irrégulier ne saurait être passible de poursuites », ceci au nom du « principe de fraternité ». Une véritable victoire pour toutes les ONG pro-migrants et les associations et partis politiques engagées dans le combat de démantèlement des Etats-Nations et de délégitimation des frontières nationales. Déjà, le 22 avril 2018, l’Assemblée nationale a dû assouplir le « délit de solidarité » pour « certaines personnes venant en aide aux migrants ». Cédant aux pressions des ONG, des associations et des instances onusiennes et droitsdel’hommistes pro-migrants, les députés français ont en effet majoritairement voté l’amendement d’un des points sensibles du projet de loi Collomb qui prévoyait des « exemptions » au délit d’aide aux migrants illégaux, notamment « lorsque l’acte reproché a consisté à fournir des conseils et de l’accompagnement, notamment juridiques, linguistiques ou sociaux, ou des prestations de restauration, d’hébergement ou de soins médicaux destinées à assurer des conditions de vie dignes et décentes à l’étranger ». L’exemption vise aussi « toute autre aide visant à préserver la dignité ou l’intégrité physique de celui-ci, ou bien tout transport directement lié à l’une de ces exceptions, sauf si l’acte a donné lieu à une contrepartie directe ou indirecte ou a été accompli dans un but lucratif ». Les droits croissants des migrants réguliers ou irréguliers : AME, transports gratuits… Cédant aux oukases moraux des lobbies droitdel’hommistes anti-souverainistes qui exigent depuis des années que les Etats européens octroient aux Migrants tous les droits et avantages des nationaux, même si l’immigré est illégal, ceci afin de détruire l’idée même d’Etat souverain et de frontières, la tendance des démocraties européennes de l’Ouest consiste à accorder de plus en plus des passe-droits et privilèges aux migrants quels qu’ils soient. Si l’on prend les cas de l’AME, des retraites d’étrangers ou des transports, on peut même parler dans certains cas de véritable « préférence étrangère ». lorsqu’un citadin français ou étranger en règle n’est pas muni de billet de transport dans les trains comme dans les bus, métro, trams ou RER, on connaît la sévérité des contrôleurs, du moins envers l’individu isolé solvable et non-violent… On sait par exemple que depuis des années, la SNCF, la compagnie ferroviaire nationale, a octroyé aux groupes d’étrangers clandestins plus ou moins demandeurs d’asile un privilège de gratuité de transports dont même les Français très pauvres et très âgés n’ont pas droit.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:23 | |
| La SNCF a en effet reconnu que ses contrôleurs « peuvent effectuer des réservations à 0 euro pour les groupes de migrants », c’est-à-dire de ne pas les verbaliser et leur attribuer ainsi des places gratuites pour le reste de leur trajet. La chose peut révolter maint usager « normal », citoyen solvable, qui aura déploré la grande sévérité des contrôleurs envers les usagers non-menaçants et honnêtes et assisté a contrario à des situations où des bandes de « jeunes menaçants » et violents ont bénéficié d’une totale impunité. Cette « tolérance » de facto qui est due au fait que les forces de police ne peuvent pas accompagner en masse tous les contrôleurs, s’accompagne aujourd’hui de la gratuité des transports pour les groupes de « migrants clandestins » ou demandeurs d’asile. Contactée par francetv info, la Direction de la SNCF a justifié sa politique laxiste vis-à-vis des migrants voyageant sans tickets : « On est parfois confrontés à des personnes sans billet ou qui n’ont pas le bon billet. Il n’est pas toujours facile, en effet, de choisir sa place et sa destination quand on ne parle pas français (…). On a donc donné aux contrôleurs de la latitude », explique la SNCF, afin d’éviter « qu’ils circulent d’une voiture à l’autre », ceci au nom d’une « vraie politique d’humanité ». Ainsi, « quand une famille monte dans un train sans billet, on ne va pas la faire descendre à la première gare et la laisser dormir dans le froid ». Retraites minimales plus favorables pour les étrangers n’ayant pas cotisé avant les 60 ans On rappellera que les migrants irréguliers qui arrivent sur le sol français font, dans leur quasi-totalité, une demande immédiate d’asile à l’OFPRA, qui leur propose alors l’Allocation de Demandeur d’Asile (ADA). Le migrant illégal devenu un demandeur d’asile (à 80 faux) touche alors, en plus de l’hébergement d’urgence, 205 euros par mois. Certes, l’ADA vise à compenser le fait que les demandeurs d’asile n’ont pas le droit de travailler. Toutefois, avec l’afflux de migrants et le manque de places dans les centres publics spécialisés, ces derniers sont de plus en plus logés dans des hôtels confortables assez chers et parfois situés en plein cœur des villes en raison du refus des migrants et des associations de demeurer en milieu rural. Ceci constitue une explosion des coûts pour l’Etat et/ou les collectivités territoriales, surtout si l’on inclut les 50 000 « mineurs non-accompagnés », en général des faux mineurs qui coutent des milliards aux départements totalement saturés. Et sachant qu’une grande partie des Migrants touchant l’ADA travaillent au noir dans la restauration ou le bâtiment (comme l’a montré l’inspection générale du travail), ils cumulent l’ADA avec leur « salaire » et les aides financières indirectes comme la gratuité dans les transports et surtout l’AME, l’Aide médicale d’Etat. Si l’on compare la situation d’un retraité qui n’est pas logé en hébergement d’urgence, sachons qu’un demandeur d’asile non bénéficiaire touche 7,4 euros par jours, soit 229,4 euros en plus des 204 soit 433 au total. S’ajoutent à ces aides publiques considérables, les nombreuses aides non-monétaires (alimentaire, vêtement, etc.) fournies par les « associations » et ONG, beaucoup plus mobilisées en faveur des migrants que des SDF et retraités autochtones les plus pauvres. Il faut savoir que certaines retraites de français sont extrêmement faibles pour celles et ceux qui ont très peu cotisé durant leur vie et le chiffre, notamment les petits artisans et petits commerçants et les agriculteurs. Certes, ces retraités pauvres peuvent demander l’Allocation de Solidarité pour les Personnes Âgées (ASPA), qui constitue un complément de retraite leur permettant d’atteindre 868 euros par mois. Une petite retraite de 433 euros correspond à plus de quinze années de cotisations pour une personne au SMIC. Quant à l’ASPA, elle permet de dépasser le revenu d’un demandeur d’asile, mais elle est remboursable par les héritiers sur la succession, ce qui incite souvent les retraités modestes à ne pas la demander afin de laisser « quelque chose » à leurs enfants. L’ASPA est en fait devenue une vraie source d’inégalité de traitement entre concitoyens et étrangers, au détriment des premiers. Ainsi, sur la simple base d’une présence en France depuis 10 ans, les étrangers n’ayant jamais cotisé en France peuvent bénéficier de l’ASPA dans sa totalité (868 euros) sans se soucier de l’impact sur leur succession car n’ayant aucun bien en France, alors que sur la même base, les retraités français bénéficiaires de l’ASPA devront quant à eux la rembourser lors de la succession.
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| | | tonton christobal
Messages : 19037 Date d'inscription : 06/07/2010
| Sujet: Re: Comment les lobbies immigrationnistes défendent les revendications de plus en plus violentes de groupes de migrants Mer 12 Juin 2019, 11:23 | |
| En réalité, en défendant la sécurité de migrants illégaux prêts à tout pour pénétrer illégalement le territoire européen, les lobbies, ONG et associations pro-Migrants poursuivent clairement un objectif idéologique subversif qui consiste, via la défense de la figure néo-christique du Migrant paré de toutes les vertus, à empêcher les Etats-Nations européens de contrôler des flux migratoires illégaux. L’objectif de cette stratégie vise en fin de compte à détruire in fine l’identité occidentale de l’Europe et à délégitimer l’idée même de frontières et de souveraineté des Etats. Cette entreprise mondialiste de délégitimation de l’Etat-nation est relayée par moult politiques de gauche et d’extrême-gauche ou écologistes, par la Commission européenne, par le Conseil de l’Europe et, bien sûr, par les Nations Unies, comme on l’a vu avec l’ubuesque pacte de Marrakech. L’idée est que la migration de masse de populations extra-européennes serait inéluctable et que le meilleur moyen de juguler les migrations illégales serait de les légaliser, donc de les dépénaliser purement et simplement, en assimilant les internements, incarcérations, refoulements, arrestations et contrôles des migrants illégaux à des « violations des libertés et des droits des étrangers ». De ce point de vue, le fait de migrer serait en soi un « droit inaliénable » qui participerait de la préservation des droits de l’homme. Ainsi, en persistant à appliquer les lois en vigueur qui pénalisent les migrations irrégulières puis en continuant à accorder des droits spécifiques et supérieurs pour les nationaux/citoyens et étrangers réguliers ou irréguliers, comme le fait n’importe quel Etat souverain, les Etats-Nations « violeraient » les droits de l’homme, eux-mêmes moralement supérieurs. En toute logique cosmopolitiquement correcte, les droits des citoyens autochtones des Etats ne devraient à terme jamais être plus nombreux ou supérieurs à ceux des étrangers, même illégaux ou délinquants. | |
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