les intervenants toxiques

et les menteurs qui ne savent pas de quoi ils parlent (on peut se demander si c'est volontaire ou non) ont l'avenir devant eux... il ne faut surtout pas d'incident... donc on laisse les pires accusations perdurer ! on protège la quiétude au dépends le la vérité.

Vous serez sous peu étonnés de constater que la supercherie ne fonctionne plus avec quelques conséquences dommageables à la clé.

Une association de quartier n'est pas nécessairement une sorte de club de râleurs jamais contents, c'est surtout la réunion de gens qui ont des préoccupations communes, des aspirations communes et qui en discutent, de vive voix, par écrit, en tête à tête, dans la rue, au marché, ou à l'occasion de réunions auxquelles peuvent participer des élus, des représentants des administrations...

Rien n'est plus désolant que le renoncement à faire valoir ses idées et ses droits. Trop souvent l'opinion majoritaire est celle qui reste silencieuse. Il y a bien l'expression fugitive d'une insatisfaction ou d'une approbation mais chacun regarde midi à sa porte. Ce qui se passe 50 mètres plus loin, sur l'autre trottoir laisse souvent indifférent.

Et puis il y a la lutte permanente entre l'intérêt général et les intérêts particuliers dont il n'est jamais la somme.

A l'unanimité, par exemple, on approuve la création d'une nouvelle ligne de bus. Il faut plein d'arrêts... très près de chez soi, mais pas devant, à cause du bruit, des mégots, de la privation de stationnement etc..., et tout le monde dit la même chose.

Seuls les échanges, le refus du fait accompli, l'exigence de la démocratie rendent possible la cohabitation surtout en milieu très urbanisé.

Si vous habitez dans ce quartier de Fontenay-sous-Bois rejoignez-nous, nous sommes déjà plusieurs centaines, mais nous ne serons jamais trop nombreux. Ecrivez-nous au siège. Nous ne sommes ni verts, ni roses, ni rouges, ni pro-ceci ou anti-cela, ...nous sommes des citoyens actifs.

Source (l'association Fontenay plateau).

Libellule a écrit:

Et puis il y a la lutte permanente entre l'intérêt général et les intérêts particuliers dont il n'est jamais la somme.

Un jour, on m'a posé une colle : quelle distinction entre l'intérêt général et le bien commun ?
Voici leurs définitions respectives telles que je les ai reçues :

- intérêt général : la personne renonce à ses aspirations personnelles pour ne se consacrer qu'à la collectivité

- bien commun: mise en oeuvre des moyens politiques, culturels, économiques et sociaux qui visent à faciliter la possibilité pour chaque personne de s'épanouir librement dans le respect des autres et l'égalité des chances. Il est une invitation à chercher le juste équilibre entre la préservation des intérêts particuliers légitimes et l'intérêt communautaire de l'entreprise ou de la société

Vu comme ça, je penche pour le bien commun.

Moi aussi, mais cela devient assez rare.
Je ne me mets pas hors des réactions égoistes ou intéressées, je ne suis ni un héros ni un saint. peut-etre que dans des circonstances exceptionnelles, je me révélerais à moi même et aux autres, comme certains ont su et pu le faire, mais au quotidien... je fais de mon mieux.
La position de l'association citée par Libellule, me convient très bien.