Le drame de Lampedusa , une analyse atypique.

Une analyse "atypique" sur le blog de Bernard Lugan :

Le drame de Lampedusa : une conséquence directe du renversement du colonel Kadhafi
http://bernardlugan.blogspot.fr/2013/10/le-drame-de-lampedusa-une-consequence.html

paulau a écrit:

Une analyse "atypique" sur le blog de Bernard Lugan :

Le drame de Lampedusa : une conséquence directe du renversement du colonel Kadhafi
http://bernardlugan.blogspot.fr/2013/10/le-drame-de-lampedusa-une-consequence.html

pas du tout c'est de la faute des ..." z'ophobes" de France.

Pour comprendre voir d'autres débats sur ce forum où tout est expliqué.

Le problème ne se situe pas dans le pays d'origine des gens qui partent d'un endroit où rien ne fonctionne et où parfois ils sont en danger mais chez nous et à cause des "z'ophobes"

analyse signée par.... vous l'aurez deviné.... un historien... à l'idéologie bien affirmée, sauf nouveau démenti explicite qui ne devrait pas tarder..

Né en 1946, à Meknès (Maroc), Bernard Lugan est enseignant de l’Université Lyon III après avoir enseigné pendant onze ans (1972-1983) à l'Université nationale du Rwanda, pays où il a notamment effectué des fouilles archéologiques. Son engagement à l’extrême droite marque la plupart de ses écrits. Il enseigne l’histoire de l’Afrique selon les thèses de l’idéologie coloniale et s’est particulièrement intéressé à l’Afrique du Sud dont il a été un soutien du régime d’apartheid. Il a passé sa jeunesse au Maroc et a récemment publié une histoire de ce pays dans un sens très favorable à la dictature d’Hassan II. Il a dirigé la revue d’extrême droite, L’Afrique réelle de 1993 à 2005.

« Spécialiste de l’Afrique, auteur de L’Occident sans complexe, autrefois militant de l’Action Française et monarchiste convaincu, M. Lugan paraît, chaque Mardi Gras devant ses étudiants de première année, déguisé en "colon", coiffé d’un casque et muni d’un fouet » (Le Monde, 2 avril 1993).

Bernard Lugan est un militant actif de l’extrême droite française, il collabore à Identités, la revue théorique du Front National où il a prôné la création d'un État blanc d'Afrique du Sud, seul susceptible de garantir la « survie de l'identité blanche ». On retrouve ses chroniques dans Minute-la France, Présent, National-Hebdo (où il a commémoré la mémoire de l’ex-SS français Saint-Loup), il collabore avec l’Association pour la défense de la mémoire du Maréchal Pétain dirigée par l’ancien OAS Hubert Massol… Il appartient à ce foyer de la droite la plus extrême que cultive l’université Lyon-III.

tonton christobal a écrit:

Pour comprendre voir d'autres débats sur ce forum où tout est expliqué.

Voir: https://fontenayplateau.forum-actif.eu/t1316-drame-de-l-immigration

On tourne en boucle quoi. et on découvre la vraie facette de gens à la pensée atypique... On dit même plus zapolitique

Libellule a écrit:

analyse signée par.... vous l'aurez deviné.... un historien... à l'idéologie bien affirmée, sauf nouveau démenti explicite qui ne devrait pas tarder..

Né en 1946, à Meknès (Maroc), Bernard Lugan est enseignant de l’Université Lyon III après avoir enseigné pendant onze ans (1972-1983) à l'Université nationale du Rwanda, pays où il a notamment effectué des fouilles archéologiques. Son engagement à l’extrême droite marque la plupart de ses écrits. Il enseigne l’histoire de l’Afrique selon les thèses de l’idéologie coloniale et s’est particulièrement intéressé à l’Afrique du Sud dont il a été un soutien du régime d’apartheid. Il a passé sa jeunesse au Maroc et a récemment publié une histoire de ce pays dans un sens très favorable à la dictature d’Hassan II. Il a dirigé la revue d’extrême droite, L’Afrique réelle de 1993 à 2005.

« Spécialiste de l’Afrique, auteur de L’Occident sans complexe, autrefois militant de l’Action Française et monarchiste convaincu, M. Lugan paraît, chaque Mardi Gras devant ses étudiants de première année, déguisé en "colon", coiffé d’un casque et muni d’un fouet » (Le Monde, 2 avril 1993).

Bernard Lugan est un militant actif de l’extrême droite française, il collabore à Identités, la revue théorique du Front National où il a prôné la création d'un État blanc d'Afrique du Sud, seul susceptible de garantir la « survie de l'identité blanche ». On retrouve ses chroniques dans Minute-la France, Présent, National-Hebdo (où il a commémoré la mémoire de l’ex-SS français Saint-Loup), il collabore avec l’Association pour la défense de la mémoire du Maréchal Pétain dirigée par l’ancien OAS Hubert Massol… Il appartient à ce foyer de la droite la plus extrême que cultive l’université Lyon-III.

La question est : le texte qu'il a mis sur son blog au sujet du drame de Lampedusa est-il ou non pertinent .

paulau a écrit:

Libellule a écrit:

analyse signée par.... vous l'aurez deviné.... un historien... à l'idéologie bien affirmée, sauf nouveau démenti explicite qui ne devrait pas tarder..

Né en 1946, à Meknès (Maroc), Bernard Lugan est enseignant de l’Université Lyon III après avoir enseigné pendant onze ans (1972-1983) à l'Université nationale du Rwanda, pays où il a notamment effectué des fouilles archéologiques. Son engagement à l’extrême droite marque la plupart de ses écrits. Il enseigne l’histoire de l’Afrique selon les thèses de l’idéologie coloniale et s’est particulièrement intéressé à l’Afrique du Sud dont il a été un soutien du régime d’apartheid. Il a passé sa jeunesse au Maroc et a récemment publié une histoire de ce pays dans un sens très favorable à la dictature d’Hassan II. Il a dirigé la revue d’extrême droite, L’Afrique réelle de 1993 à 2005.

« Spécialiste de l’Afrique, auteur de L’Occident sans complexe, autrefois militant de l’Action Française et monarchiste convaincu, M. Lugan paraît, chaque Mardi Gras devant ses étudiants de première année, déguisé en "colon", coiffé d’un casque et muni d’un fouet » (Le Monde, 2 avril 1993).

Bernard Lugan est un militant actif de l’extrême droite française, il collabore à Identités, la revue théorique du Front National où il a prôné la création d'un État blanc d'Afrique du Sud, seul susceptible de garantir la « survie de l'identité blanche ». On retrouve ses chroniques dans Minute-la France, Présent, National-Hebdo (où il a commémoré la mémoire de l’ex-SS français Saint-Loup), il collabore avec l’Association pour la défense de la mémoire du Maréchal Pétain dirigée par l’ancien OAS Hubert Massol… Il appartient à ce foyer de la droite la plus extrême que cultive l’université Lyon-III.

La question est : le texte qu'il a mis sur son blog au sujet du drame de Lampedusa est-il ou non pertinent .

Le texte est forcément contestable venant d'un réac... un journaliste de gauche lui ne se trompe pas et ne trompe personne !
chacun sait cela voyons... c'est gravé dans le marbre !

Tonton, qui a dit que le texte était contestable à par vous jusqu'à maintenant? Je ne fais que présenter l'auteur en effet. Paulau a raison de le faire remarquer. Paulau parle de son côté d'une analyse atypique.
Si vous considérez que cet atypisme tient du réac, on ne peut qu'en prendre note. Moi j'avais dit zapolitique.
Et pour pouvoir prendre en compte la deuxième partie de votre assertion, il conviendrait pour le moins que vous vous chargiez de nous communiquer un texte d'un journaliste de gauche sur le même sujet.    On ne va pas choisir à votre place hein?

Immigration sauvage.


Au sujet de l ' « Open Arms « , au large de Lampedusa

« Tout le monde est cassé psychologiquement, cette situation est devenue insoutenable, a décrit le commandant du bateau, Marc Reig, à la chaîne de télévision espagnole TVE. A chaque seconde qui passe, le déclenchement de la bombe se rapproche. Ou quelqu’un coupe le fil rouge et désactive la bombe maintenant, ou alors l’Open Arms va exploser. »

Les propos de ce commandant puent le pathétique culpabilisateur . Il tente de jouer sur la corde usée des plus primitives émotions.
Ce commandant doit assumer les responsabilités de ses choix et de ses actes, et ne pas de mettre tout le monde devant le fait accompli.
A lui ses choix, aux autres les leurs.
Ras-le-bol du terrorisme « humanitaire » anarcho-gauchiste.

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Vous avez raison, le commandant connaissait dès le départ le refus de l'Italie d'accueillir ces bateaux qui vont à la rencontre des clandestins, appeler au secours maintenant et évoquer une catastrophe imminente est rien moins que du chantage à l'émotion. Aller "chercher" ces individus c'était forcément les mettre en danger, pas honorable pour quelqu'un qui se dit humanitaire.
Moi aussi je dis ras-le-bol !

Lampedusa. Septembre 2023


Un journaliste dit une vérité. La majeur partie des illégaux viennent pour des raisons économiques
Ils visent en priorité une venue en France.
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https://www.youtube.com/watch?v=ad5jm9zqNjI