Montauban a désormais son rond-point des «Tontons flingueurs»

Et Fontenay ? Rien en vue du coté du bowling de la Matêne ?

Libération avec AFP a écrit:

Montauban a désormais son rond-point des «Tontons flingueurs»
AFP 5 février 2014 à 20:26

Montauban figure en bonne place dans une autre réplique mémorable de la comédie de Georges Lautner.

«On ne devrait jamais quitter Montauban», lançait Lino Ventura dans la comédie culte de Georges Lautner en 1963. En gage de reconnaissance, la ville du Tarn-et-Garonne rebaptise jeudi un de ses ronds-points «le giratoire des Tontons flingueurs».

Trois mois après le décès de Georges Lautner à 87 ans, la mairie de Montauban dévoilera jeudi après-midi ce rond-point où trôneront des sculptures des personnages du film.

Le maire UMP Brigitte Barèges convie ensuite à un cocktail au bar «Lulu la nantaise», nom bien connu des fans du film puisque c’est celui d’une tenancière de bordel d’Indochine dont deux des personnages gardent un souvenir ému.


«Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît»

Le long métrage de Georges Lautner a attiré 3,3 millions de spectateurs à sa sortie en 1963 puis fait les beaux soirs de la télévision. Surtout, «Les Tontons flingueurs» font toujours le bonheur de tous ceux qui connaissent par coeur les dialogues de Michel Audiard, à commencer par la réplique : «Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît».

Dans cette comédie cinquantenaire, dont tous les grands acteurs sont aujourd’hui décédés, Lino Ventura incarne un ex-truand reconverti dans le négoce de machines agricoles... à Montauban. L’homme se voit obligé de monter à Paris - où se passe l’essentiel de l’action du film - au chevet d’un ami gangster à l’agonie, avant de se confronter aux inénarrables frères Volfoni (Bernard Blier et Jean Lefebvre).

Montauban n’y apparaît que de manière anecdotique mais figure en bonne place dans une autre réplique mémorable de Blier, qui, préparant un engin explosif destiné à Ventura, lance : «Alors ? Il dort le gros con ? Eh ben y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges, le gugusse de Montauban».

AFP

Source: http://www.liberation.fr/societe/2014/02/05/montauban-a-desormais-son-rond-point-des-tontons-flingueurs_978211

Pas besoin de rue ou de place des tontons flingueurs à Fontenay sous Bois, ils sont déjà au conseil municipal.

a.nonymous a écrit:

Et Fontenay ? Rien en vue du coté du bowling de la Matêne ?

Justement si, les services travaillent à la création d'un parcours numérique QR codes dans le cadre de l'opération flashe ta ville sur le cinéma à Fontenay qui ne se limite pas à une scène de ce film...

Oui!Oui! ca travaille, ca travaille... mais pour voir le resultat, on reviendra!

Non, pour voir le résultat il suffit de participer aux prochaines journées du patrimoine au cours desquelles justement la question du cinema à Fontenay sera largement mise en avant.

Et bien plus rapidement que cela, dès le mois d'avril auront lieu dans notre ville des journées d'étude autour de l'oeuvre d'un cinéaste fontenaysien sur laquelle je reviendrai rapidement…

  

Loïc a écrit:

Non, pour voir le résultat il suffit de participer aux prochaines journées du patrimoine au cours desquelles justement la question du cinema à Fontenay sera largement mise en avant.

Et bien plus rapidement que cela, dès le mois d'avril auront lieu dans notre ville des journées d'étude autour de l'oeuvre d'un cinéaste fontenaysien sur laquelle je reviendrai rapidement…

  

Ah, vous serez toujours là en avril, c'est bien présomptueux de votre part, juste avant il y a les élections municipales.

Deux éléments mon brave monsieur.

Oui effectivement je reviendrai rapidement sur son action en terme de valorisation du patrimoine autour du cinéma. Quelque soit le résultat des élections d'ailleurs car le travail déjà engagé se poursuivra, l'administration municipale continuant d'être là quoi qu'il arrive pour mener à bien des projets déjà engagés.

Et d'autre part, vu le climat actuel dans la ville et la dynamique de rassemblement engagée à autour du maire Jean-François Voguet il me semble effectivement très probable que l'équipe qu'il conduit, même si elle sera renouvelée en grande partie, sera toujours là en avril (et même un peu plus tôt si je consulte le calendrier).

@Loïc

Se n'est pas la première fois que je vous le dis, je ne suis pas votre " brave monsieur ", je vous pris de garder vos distances avec moi et je demande à l'administrateur de ce forum d'intervenir auprès de cet élu pour qu'il arrête avec ses propos irrespectueux envers les intervenants de ce forum.

vieux-breton a écrit:

@Loïc

Se n'est pas la première fois que je vous le dis, je ne suis pas votre " brave monsieur ", je vous pris de garder vos distances avec moi et je demande à l'administrateur de ce forum d'intervenir auprès de cet élu pour qu'il arrête avec ses propos irrespectueux envers les intervenants de ce forum.

Si le webmaster n'y arrive pas à calmer loic qui s'adresse de manière méprisante à tous les intervenants qui lui déplaisent peut être devrait on trouver quelques qualificatifs déplaisant pour le définir :
Le sale gosse
Le chiard mal élevé
Le gaucho de la savane
Le moujik de Sibérie

Chacun est libre de proposer quelques appellations... mais ce ne serait qu'un juste retour des chose.
Lorsque l'on se conduit comme un gorêt il ne faut pas s'étonner d'être considéré comme un porc...

Sujet déverrouillé le 01.08.2016 22:02:29
Webmaster

Proposons alors : Les tontons flingués. Je blague.

Aux jeux de quilles chacun reconnaîtra les siens au bowling.

Fernand Naudin : Si un jour, on m'avait dit qu'il mourrait dans son lit, celui-là.
Théo : ... pst, das ist vorbei. Eschylle, quatrième siècle avant Jésus-Christ.
Henri : On naît, on vit, on trépasse.
Paul Volfoni : C'est comme ça pour tout le monde.
Raoul Volfoni : Pas forcément. Enfin, je veux dire, on meurt pas forcément dans son lit.
Paul Volfoni : Ben voyons.
Fernand Naudin : Dis donc, je tiens plus en l'air, moi. T'aurais pas une bricole à grignoter, là ?
Henri : Bien sûr.
Raoul Volfoni : Y'a vingt piges, le mexicain, tout le monde l'aurait donné à cent contre un flingué à la surprise. Mais c't'homme-là, ce qui l'a sauvé, c'est sa psychologie.
Paul Volfoni : Tout le monde est pas forcément aussi doué.
Pascal : La psychologie, y'en a qu'une, défourailler le premier.
Théo : C'est un peu sommaire, mais ça peut être efficace.
Raoul Volfoni : Mais le mexicain, ç'a été une épée, un cador. Moi j'suis objectif, on parlera encore de lui dans cent ans.
Paul Volfoni : Tu vois, Raoul, c'était pas la peine de s'énerver, monsieur convient.
Raoul Volfoni : Y'en a qu'abuseraient de la situation, mais mon frère et moi, c'est pas notre genre. Qu'est-ce qu'on pourrait faire qui t'obligerait ?
Fernand Naudin : Décarrer d'ici. J'ai promis à mon pote de m'occuper de ses affaires. Puisque je vous dis que j'ai eu tort, là. Seulement, tort ou pas tort, maintenant c'est moi le patron. Voilà.
Paul Volfoni : Écoute, on te connaît pas. Mais laisse-nous te dire que tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des nervous breakdown, comme on dit de nos jours.
Fernand Naudin : J'ai une santé de fer. Voilà quinze ans que je vis à la campagne, que je me couche avec le soleil, et que je me lève avec les poules.
Henri : Y'a du suif chez Thomas. Trois voyous qui chahutent la partie. Les croupiers ont les foies pour la caisse, ils demandent de l'aide.
Pascal : Ça doit pouvoir se régler à l'amiable.
Henri : Si tu tiens à regagner ta province rapido, t'aurais intérêt à aller voir. Toujours ça de gagné, c'est sur ton chemin.
Oh les Volfoni, t'inquiètes pas.
Théo : La bave du crapaud n'empêche pas la caravane de passer.
Pascal : C'est pas que vous gênez, monsieur Fernand. Mais je ne sais pas si ça va bien vous plaire.
Fernand Naudin : Et bien ça je te le dirai.
Ami de Théo : À ton avis, c'est un faux caïd ou un vrai branque ?
Théo : Pour moi, c'est rien du tout. Un coup de téléphone et dix minutes après, il n'existe plus.

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