là ou passent les écolos défenseurs des ZAD...

Quelques photos prises sur la zone de Sivens après le départ de nos écolos défenseurs de la nature...

Effectivement il y a des zones à défendre contre les sauvages qui se prétendent écologistes !

Au cas où ces quatre photos ne suffiraient pas j'ai quelques autres clichés aussi évocateurs en réserve.

Je dois même en avoir de NDDC pour ceux qui auraient besoin d'un rafraichissement de mémoire...

Nos écolos sont des interlocuteurs valables, raisonnables, pondérés, responsables avec qui on peut et doit "débattre" ! Avec de tels pacifistes qui occupent des sites qui ne sont pas à eux on perçoit immédiatement la qualité des interlocuteurs.

A noter qu'aucun élu écolo ne s'indigne de ce genre de situation...

Notre-Dame-des-Landes : l'opération d'évacuation coûterait entre 300.000 et 400.000 euros par jour

Notre-Dame-des-Landes : "On doit mettre le paquet", estime Manuel Valls sur RTL

Notre-Dame-des-Landes : une "guerre de position" au huitième jour d'évacuation

Orange avec AFP, publié le mercredi 25 avril 2018 à 08h15

Entre les 2.500 gendarmes présents sur place à loger et nourrir, l'hélicoptère, les camions, le carburant et les grenades, l'évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes coûte très cher, rapporte mercredi 25 avril RTL.

Trois mois après l'annonce d'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), l'État a officialisé mardi 24 avril les régularisations de quatre agriculteurs "historiques", à travers la signature de baux précaires, "nouvelle avancée vers le retour à l'état de droit" sur la ZAD.

Une signature médiatisée qui intervient deux semaines après le début des opérations sur le site de 1.650 hectares, qui mobilisent 2.500 gendarmes mobiles et ont conduit dans les premiers jours à la destruction de 29 squats sur 97 habitats recensés par les autorités.


Le Premier ministre Édouard Philippe doit présider ce mercredi 25 avril après-midi à Matignon une réunion avec les "ministres concernés" sur ce dossier et la suite à donner aux opérations d'expulsions des zadistes ne souhaitant pas se régulariser, a annoncé la préfète des Pays de la Loire, Nicole Klein. "C'est le gouvernement qui tranchera", a affirmé la représentante de l'État, rappelant "l'engagement" pris de "mettre fin aux occupations illégales" sur la ZAD.

L'entourage du chef du gouvernement est persuadé que le dossier évolue dans le bon sens et que "la méthode fonctionne", rapporte mercredi 25 avril RTL.

Un avis que ne partagent pas les élus locaux. Pour un élu régional, c'est du "perdant-perdant" : "On n'a pas l'aéroport et on brade les terres aux zadistes, et tout ça nous coûte très cher".

Notre-Dame-des-Landes : l'évacuation de la ZAD s'éternisepar franceinfo

Selon la station, entre les 2.500 gendarmes présents sur place à loger et nourrir, l'hélicoptère, les camions, le carburant et les grenades, l'évacuation coûte entre 300.000 et 400.000 euros par jour. Mais pas question de lever le dispositif pour le moment, estime Matignon.

Édouard Philippe est bien conscient que la situation à Notre-Dame-des-Landes pourrait créer un précédent et craint notamment l'émergence d'une nouvelle ZAD à Bure, dans la Meuse, où le projet d'enfouissement de déchets nucléaires provoque des passions.

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Dans cette affaire jupiter est aux abonnés absents...

Dormez bien braves gens et à vos poches.

NDDL : la facture très salée de l'opération d'évacuation
Par Auteur valeursactuelles.com / Mercredi 25 avril 2018 à 14:27 2

Exorbitant. L'opération des gendarmes sur le site de Notre-Dame-des-Landes coûterait chaque jour entre 300 000 et 400 000 euros par jour, selon RTL.

Deux semaines après le début de l'intervention des forces de l'ordre sur le site de Notre-Dame-des-Landes, RTL révèle que le coût de l'opération coûterait chaque jour entre 300 000 et 400 000 euros.

En effet, 25 escadrons et plus de 2 500 gendarmes sont présents nuits et jours sur les lieux. Mais ce qui fait encore grimper la facture ce sont l'hélicoptère, les camions, le carburant ainsi que les grenades.
Encore 68 squats à détruire
Malgré le coût élevé de cette opération, le gouvernement n'entend pas reculer. Depuis près de 50 ans, le sujet de la ZAD de Notre Dame des Landes est épineux. Alors que les zadistes sont parvenus à faire interdire l'installation d'un nouvel aéroport sur leurs terres, ils veulent maintenant y rester. Mais pour Matignon, il n'en est pas question. 29 squats ont déjà été détruits sur les 97 recensés sur le site de 1 650 hectares.

Le bourbier de NDDL, fardeau de Macron

Édouard Philippe tient une réunion ce mercredi après-midi avec les ministres concernés afin de trancher sur la suite des opérations d'expulsions des zadistes. Le gouvernement fait très attention et tente de prendre les bonnes décisions pour éviter la naissance d'une nouvelle ZAD à Bure dans la Meuse, où un projet d'enfouissement des déchets nucléaires fait polémique.

Les zadistes toujours pas contents après l'annonce d'Edouard Philippe
Par Auteur valeursactuelles.com / Jeudi 26 avril 2018 à 17:29 4

Opposition. Alors que le Premier ministre leur a donné jusqu'au 14 mai pour régulariser leur situation, les zadistes ne voit pas dans cette annonce « un geste d'apaisement ».

L'ultimatum du 14 mai donné par Edouard Philippe aux occupants illégaux de la ZAD n'ayant pas choisi la voie de la régularisation auprès de la préfecture pour quitter les lieux n'a pas plu aux zadistes. Cité par Europe 1, un de leur porte-parole a estimé que « le gouvernement semble incapable de sortir de cette logique de chantage à l'expulsion et à l'ultimatum qui ne permet pas de construire un vrai dialogue ».

Selon lui, la « pause » d'une quinzaine de jours annoncée par le Premier ministre au sujet des expulsions « n'est pas un réel geste d'apaisement ». Au contraire, ce porte-parole a affirmé que « cela aurait été absolument choquant qu'après le geste d'apaisement qu'on a fait, le gouvernement continue des expulsions et des destructions ».

Dans la matinée du jeudi 26 avril, les gendarmes mobiles déployés sur la ZAD ont débuté des opérations de déblaiement d'habitats détruits. Quelques heurts les ont opposés à des zadistes, qui ont montré « un peu de résistance » à ces opérations, rapporte Europe 1. « La situation est sous contrôle », a néanmoins assuré une source proche du dossier.

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Vive l'état de droit !

Que ne les a-t-on pas virer dès le début. Maintenant ils sont comme des moules collées à leur rocher mais n'apporte rien si ce n'est du désordre leur raison d'être !

Robin a écrit:

Que ne les a-t-on pas virer dès le début. Maintenant ils sont comme des moules collées à leur rocher mais n'apporte rien si ce n'est du désordre leur raison d'être !

Ils sont plus efficaces et courageux pour piquer le pognon des retraités nantis...