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 J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims

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tonton christobal

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MessageSujet: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyJeu 13 Fév 2020, 07:20

Une marche de soutien à l’éleveur qui a tiré sur un voleur de gasoil
La cour d’appel de Reims doit statuer sur le maintien en détention de cet agriculteur.
Par Eric de La Chesnais
Publié hier à 17:03, mis à jour hier à 17:04

L’éleveur Jean-Louis Leroux est placé en détention provisoire depuis dix jours après avoir tiré sur un voleur de carburant ayant pénétré dans son exploitation (ci-dessus) dans la nuit du 31 janvier au 1er février.

L’ambiance risque d’être tendue ce jeudi matin devant la cour d’appel de Reims. En effet, une marche de soutien à Jean-Louis Leroux, éleveur placé en détention provisoire depuis dix jours après avoir tiré sur un voleur de carburant ayant pénétré dans son exploitation dans la nuit du 31 janvier au 1er février, est organisée à l’appel des syndicats agricoles.
«L’insécurité dans nos territoires ruraux n’est plus supportable. Cela fait plusieurs dizaines de fois depuis 2015 que notre collègue a subi des vols dans son exploitation située à Ambrières, à la frontière de la Haute-Marne, déplore Carole Meilleur, porte-parole de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) dans le département de la Marne. Agriculteurs, viticulteurs, élus locaux, entrepreneurs, nous sommes tous confrontés à des actes de malveillance. Cela ne peut plus durer. Les pouvoirs publics doivent agir pour rassurer la population et assurer sa sécurité.»


la suite : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/une-marche-de-soutien-a-l-eleveur-qui-a-tire-sur-un-voleur-de-gasoil-20200212

-------------------

En ville nous avons les zones de "non droit" et à la campagne l'insécurité est permanente... en toute bonne logique celui qui se défend est en prison alors que l'on relache des auteurs de méfaits qui n'ont aucune garantie de représentation.

Tout va bien dans le nouveau monde...
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyJeu 13 Fév 2020, 18:58

Reims: l'agriculteur qui a tiré sur un voleur avait porté plainte à 30 reprises
13/02/2020 à 11h45
marne

La demande de remise en liberté de Jean-Louis Leroux, un agriculteur d'Ambrières dans la Marne, est examinée ce jeudi. L'homme a été incarcéré au début du mois après avoir tiré sur un jeune de 19 ans venu sur son exploitation pour, semble-t-il, lui voler du carburant.
Jean-Louis Leroux a tout le soutien de sa profession. Cet agriculteur d'Ambrières dans la Marne a demandé ce jeudi matin sa remise en liberté après avoir été incarcéré au début du mois de février pour avoir tiré sur un jeune de 19 ans qui avait pénétré sur son exploitation avec deux autres personnes. L'exploitant les soupçonnait d'être venus pour lui voler du carburant.

Depuis plusieurs mois, Jean-Louis Leroux est en effet la cible des vols et des actes de malveillance. Au total, l'agriculteur a porté plainte à une trentaine de reprises, la dernière a d'ailleurs été déposée la veille des faits. Dans la nuit du 31 janvier au 1er février, l'exploitant est alerté par un système anti-intrusion que des personnes ont pénétré sur ses terre, il prévient les gendarmes.

"Il ne pensait pas toucher quelqu'un"
L'agriculteur se munit de son fusil pour retenir les intrus. Il fait nuit, plusieurs coups partent, l'un d'eux blesse grièvement un jeune homme de 19 ans. Jean-Louis Leroux a été mis en examen pour "tentative d'homicide volontaire" et placé en détention provisoire. Il assure ne pas avoir voulu blesser le jeune homme.

"Il explique son geste en disant, d'une part, qu'il avait demandé à plusieurs reprises aux jeunes gens de s'arrêter, et d'autre part, il explique que c'est soit la panique, soit la peur, qu'il ne visait pas et qu'il ne pensait pas toucher quelqu'un", commente Me Gérard Chemla, l'avocat de l'agriculteur.

La remise en liberté requise
De nombreux agriculteurs sont venus soutenir ce jeudi Jean-Louis Leroux, dont la demande de remise en liberté a été examinée par la cour d'appel de Reims. Selon la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles, ils sont un millier.

"Il a été victime de nombreux vols, de nombreuses intrusions sur son exploitation depuis une dizaine d'années, il a toujours porté plainte, il a été voir les gendarmes, et là il incarne ce que tout le monde vit aujourd'hui, les agriculteurs, les vignerons, le monde rural, en terme d'insécurité et de vols à répétition", estime Hervé Lapie, président de la FDSEA de la Marne.

Lors de l'audience, le parquet a requis la remise en liberté de l'agriculteur. Mais pour la famille de la jeune victime, la remise en liberté de Jean-Louis Leroux est inimaginable. "Vous avez là des réquisitions qui ouvre les portes à ce qui a de plus atroce: la justice privée, estime Me Thomas Hellenbrand, avocat de la mère, de la soeur et des grands-parents du jeune homme. C'est vraiment la question qu'il faut se poser, c'est de savoir si on peut organiser une justice privée sous prétexte que les services de police et de gendarmerie seraient insuffisamment équipés." La victime se trouve toujours dans le coma.

__________________

Nous sommes dans un pays où sur un coup de téléphone le livreur de pizzas arrive plus vite ue les archers du roi...
et où à défaut d'emprisonner les truands on sanctionne ceux qui se défendent...

Doit on pouvoir penser que si on ne volait pas il n'y aurait pas d'affaire
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a.nonymous




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MessageSujet: Re: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyJeu 13 Fév 2020, 19:59

Citation :
Marne : l'agriculteur poursuivi pour tentative de meurtre sur un voleur présumé remis en liberté

Orange avec Media Services, publié le jeudi 13 février 2020 à 17h15

L'agriculteur de 46 ans a tiré au fusil à plomb sur un groupe de voleurs présumés de gasoil, blessant grièvement au ventre un jeune homme de 19 ans.

Jeudi 13 février, la chambre de l'instruction du tribunal de Reims a accepté la demande de remise en liberté de Jean-Louis Leroux, un agriculteur marnais poursuivi pour tentative de meurtre sur un voleur de carburant présumé. L'homme, âgé de 46 ans, a été placé sous contrôle judiciaire. Il devra pointer à la gendarmerie deux fois par semaine, a interdiction de se rendre dans la Marne et d'entrer en contact avec les personnes liées au dossier.

Dans la nuit du 31 janvier au 1er février, l'agriculteur, qui se dit victime d'une quarantaine de vols rien qu'en 2019 sur son exploitation d'Ambrières entre Vitry-Le-François (Marne) et Saint-Dizier (Haute-Marne), a tiré au fusil à plomb sur un groupe de voleurs présumés de gasoil.

Les coups ont blessé grièvement au ventre un jeune homme de 19 ans, appartenant à la communauté des gens du voyage. Le jeune homme est actuellement toujours dans le coma selon son avocat Thomas Hellengrand.

Jeudi matin, lors de l'audience de la chambre de l'instruction, l'avocat général Jacques Louvier ne s'était pas opposé à la remise en liberté de l'agriculteur, principalement parce que l'homme a trouvé un hébergement chez sa soeur, à 80 km de la ferme où s'est produit le drame.

Cette remise en liberté "est un mauvais signal et une caution donnée à une justice privée", a réagi Thomas Hellengrand, s'étonnant que le procureur général se soit montré favorable à la remise en liberté jeudi, après s'y être opposé dans son réquisitoire écrit mercredi soir.

À l'issue de la garde à vue de Jean-Louis Leroux, le parquet de Reims avait requis le placement en détention provisoire. La légitime défense n'avait pas été retenue, "en l'absence d'élément de proportionnalité à ce stade de l'enquête". "Nous n'avons pas d'éléments sur l'intention d'homicide", a plaidé Me Chemla, l'avocat de l'agriculteur, tandis que Me Thomas Hellengrand estimait que l'agression était un véritable "guet-apens".

Dans la matinée, environ 600 agriculteurs avaient manifesté à Reims, à proximité de la cour d'appel, pour soutenir la demande de libération de Jean-Louis Leroux, aux cris de "Ras le bol des vols", "Libérez Jean-Louis Leroux", "Stop à l'insécurité". Un important dispositif de sécurité avait été déployé autour des manifestants.

"Jean-Louis Leroux incarne ce que tout le monde vit dans l'agriculture et la viticulture", a commenté Hervé Lapie, président de la FDSEA (Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricole) de la Marne qui vient de lancer une cagnotte solidaire en ligne pour accompagner financièrement l'agriculteur et sa famille. "Il faut remettre de l'ordre dans nos campagnes", a estimé Maxime Toubard, président du SGV (Syndicat général des vignerons). "On alerte depuis longtemps", a ajouté Joël Lhospital, président de la FDSEA de l'Aube.
https://actu.orange.fr/societe/fait-divers/marne-l-agriculteur-poursuivi-pour-tentative-de-meurtre-sur-un-voleur-presume-remis-en-liberte-magic-CNT000001nEM8g.html

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a.nonymous




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MessageSujet: Re: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyJeu 13 Fév 2020, 20:07

Citation :
Vers la fermeture des brigades comptant moins de 10 gendarmes?

par Laurent Lagneau · 24 novembre 2019

Dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques [RGPP] menée entre 2008 et 2012, la Gendarmerie nationale avait revu son maillage territorial en créant des « communautés de brigades » [COB] et en fermant environ 500 casernes. Résultat : la capacité à détecter les signaux dits « faibles » en matière de renseignement s’est dégradée et le délai d’intervention s’est accru.

En outre, le contact avec la population s’est étiolé, comme le déplorait le général Richard Lizurey, l’ex-directeur de la Gendarmerie nationale [DGGN]. Aussi en appelait-il à revenir aux « fondamentaux ».

« On a longtemps oublié que le cœur de notre métier, c’est la relation humaine. […] Ces dernières années, on a industrialisé des ‘process’ techniques, on a rationalisé, on a posé des équations, on a fait des grands tableaux pour créer des schémas d’action nationale, mais la vocation du policier et du gendarme, c’est d’être là quand les citoyens ont besoin d’eux. D’être disponible, de prendre du temps pour discuter. Pour des raisons X ou Y, on a perdu ces bases posées par nos grands anciens », avait ainsi confié le général Lizurey dans les feuilles du quotidien Libération.

Seulement, il n’est pas dit que la Gendarmerie échappera à une nouvelle revue de son maillage territoriale. Ce qui préoccupe les sénateurs Philippe Paul et Yannick Vaugrenard, rapporteurs pour avis sur les crédits qui lui serotn alloués en 2020.

« Au cours de l’année 2019, la gendarmerie a organisé une série d »ateliers d’idéation’, avec l’aide de 1.483 réservistes citoyens, qui ont apporté leur vision de l’avenir de la gendarmerie en mobilisant chacun leur domaine de compétence. Ces ateliers, qui ont eu lieu à l’extérieur de la ‘maison gendarmerie’, ont permis au directeur général de la gendarmerie nationale de soumettre 101 propositions d’évolutions au ministre de l’intérieur. Certaines ont d’ores et déjà été retenues, comme la création d’un statut d’engagé pour les actuels gendarmes adjoints volontaires », commencent par rappeler les rapporteurs.

L’un de ces ateliers s’est penché sur les façons de « dégager des marges nouvelles pour investir ». Un « thème essentiel », selon les deux sénateurs, compte-tenu « la stagnation des moyens en investissement depuis des années au sein de la gendarmerie malgré les plans immobiliers récents qui permettent tout juste de traiter les problèmes les plus importants mais sont loin de correspondre à des investissements ‘normaux’ pour un parc d’une telle ampleur. »

Là, plusieurs propositions ont été retenues, comme la valorisation de certaines prestations externes [secours en montagne, Garde républiciaine, GIGN], la facturation systématique des « missions non spécifiques réalisées au profit d’un opérateur externe », ou encore donner la possibilité aux collectivités locales de financer les forces de sécurité sur les aspects de fonctionnement et d’investissement.

Mais l’une d’elles, qualifiée de « plus radicale » par les rapporteurs, consisterait à « contracter significativement le maillage territorial par regroupements d’unités et fermer les brigades de moins de 10 gendarmes. »

Or, les deux sénateurs sont vent debout contre cette proposition. Si une « telle réorganisation permettrait peut-être d’obtenir certaines améliorations en termes de rationalisation des moyens, de concentration des ressources au profit des unités restantes qui seraient alors mieux dotées », admettent-ils, il n’en reste pas moins qu’elle « représenterait en même temps un recul des services publics de proximité, ce qui semble particulièrement peu pertinent dans le contexte actuel. »

« Il est vrai que la situation actuelle, dénoncée à maintes reprises par la commission, risque d’aboutir dans les années qui viennent à la fermeture de certaines brigades et casernes en raison de problèmes de sécurité ou de salubrité », écrivent MM. Paul et Vaugrenard.
---/---


Dernière édition par a.nonymous le Jeu 13 Fév 2020, 20:09, édité 1 fois
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a.nonymous




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MessageSujet: Re: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyJeu 13 Fév 2020, 20:09

Citation :
---/---
Quoi qu’il en soit, pour maintenir sa présence territoriale, et donc le contact avec la population, l’une des pistes envigagées par la gendarmerie consisterait à « transformer les maisons de services au public en maisons ‘France service’, dont 300 doivent ouvrir d’ici janvier 2020 et, en principe, 2 000 d’ici 2022 », expliquent les sénateurs.

Ainsi, l’idée serait de « profiter du dense maillage des brigades de gendarmerie et des plages horaires larges des gendarmes qui y travaillent pour y installer d’autres services publics », ce qui permettrait de « mieux rentabiliser la présence d’emprises foncières parfois sous-employées, voire redondantes avec d’autres services publics. »

Mais là encore, cette solution n’est pas du goût des rapporteurs, dans la mesure où cette solution ne pourrait que conduire à une « banalisation de la gendarmerie et des services de sécurité. »

« En outre, poser le problème en ces termes revient à abandonner de facto l’idée d’une véritable remise à niveau tant du parc immobiliers que des moyens mobiles de la gendarmerie, alors que de nombreux rapports parlementaires plaident pour une telle remise à niveau et que les Gouvernements successifs affirment tous faire de la sécurité une priorité », préviennent les rapporteurs.

Ces derniers plaident en revanche pour un renforcement des moyens via une nouvelle loi de programmation de la sécurité intérieure [LOPSI], laquelle pourrait être mise à profit pour « remédier au déficit des moyens des forces de sécurité en termes d’équipements et d’investissements. »

De toute façon, il faudra trancher à un moment ou à un autre. « Soit les prochaines années verront une forte remise en cause de son modèle territorial, éventuellement partiellement compensée par des efforts drastiques de mutualisation avec les autres services de l’Etat, soit la Nation décide d’un effort d’ampleur en faveur du service public de la sécurité, ce qui implique le déblocage de financements importants et pérennes permettant de remettre à niveau l’ensemble des moyens matériels sur lesquels s’appuient la gendarmerie nationale […] pour remplir [ses] missions au service de nos concitoyens », résument MM. Paul et Vaugrenard.
http://www.opex360.com/2019/11/24/vers-la-fermeture-des-brigades-comptant-moins-de-10-gendarmes/
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyJeu 13 Fév 2020, 20:46

On surcharge de travail les éboueurs et on oublie de faire fonctionner l'usine de traitement des déchets...
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MessageSujet: Re: J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims   J'ai confiance dans la justice de mon pays ! - Agriculteur devant le tribunal de Reims EmptyVen 14 Fév 2020, 06:23

Dans l'affaire qui fait l'objet de ce fil un élément d'appréciation intéressant manque :

Un historique détaillé du passé des "victimes" de l'agriculteur... il est vrai qu'il ne faut pas évoquer les gens qui ont "payé leur dette à la société" sauf lorsque le touillage est intéressant pour discréditer un adversaire politique encombrant.

Je désigne sous le nom de "touillage" ces dossiers où on trouve savamment alignés des condamnations définitives, des affaire de mises en examen, de témoin assisté, de non lieu... le tout dans un brouillard à couper au couteau propre à tromper le client.

Au contraire, il y a des dossier curieusement allégé dans lesquels la personnalité et le passé des protagonistes bénéficie d'une discrétion évidente...
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