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 Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?

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tonton christobal

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MessageSujet: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 19:23

Par Auteur Kevin Bossuet / Lundi 14 mai 2018 à 15:25

Attentat. Emmanuel Macron, qui a fait de la défense de l’islam et de la négation de ses dérives la clé de voute de son idéologie multiculturaliste, a encore une fois préféré botter en touche après l'attentat du 13 mars à Paris, explique Kevin Bossuet.

Il était environ 20h40 samedi soir, à Paris, à proximité de l’Opéra Garnier, lorsqu’un homme, muni d’un couteau, a commencé à attaquer des passants en criant « Allah Akbar ». Une patrouille de police circulant aux alentours, alertée par des piétons, s’est alors lancée à la poursuite de l’assaillant avant de se retrouver nez à nez face à lui. A deux reprises, l’un des policiers a essayé, sans succès, de le maîtriser avec un pistolet à impulsion électrique. Mais face à l’agressivité de l’individu, son collègue s’est alors emparé de son arme avant de tirer à deux reprises. L’assaillant s’est alors effondré, touché au niveau du cœur, et est décédé en pleine rue quelques instants plus tard. Il aura, avant de disparaître, réussi à assassiner un homme de 29 ans et blesser quatre autres passants. Quelques semaines seulement après les attaques de Carcassonne et de Trèbes, la France vient de connaître un énième attentat terroriste dans l’un des quartiers les plus fréquentés de la capitale.

Quelques minutes seulement après l’attaque, les réactions ont commencé à pleuvoir sur les réseaux sociaux. Entre ceux qui racontaient avec un sentiment de supériorité à peine dissimulé qu’il fallait attendre avant de commenter car, même si l’agresseur a crié « Allah Akbar », il y avait de fortes chances pour que ce soit « un déséquilibré », ceux qui du haut de leur « tolérance 2.0 » dénonçaient d’emblée les amalgames honteux des « fachos » qui osaient associer l’expression « Allah Akbar » à « islam », et ceux qui voyaient dans cet évènement inopiné un complot orchestré par les lobbies extreme-droito-politico-médiatiques, la « conosphère » et la « naïvetosphère » ont encore samedi soir bien bataillé pour tenter de nous faire croire qu’il fallait circuler, tant il n’y avait rien à voir… C’est finalement Daesh, dimanche, vers 00h45, qui a sifflé la fin de la récréation en revendiquant l’attentat. Les éternels défenseurs du « pas d’amalgame » et de l’islamo-gauchisme débridé, rattrapés par l’effroyable réalité, se sont alors complètement effacés en laissant derrière eux leurs tweets, tous aussi grotesques les uns que les autres. Encore une fois, c’est leur petit monde imaginaire qui venait de s’écrouler.


Emmanuel Macron, en week-end au fort de Brégançon, a décidé lui aussi, face à la gravité de la situation, de s’exprimer sur les réseaux sociaux. « Toutes mes pensées vont aux victimes et aux blessés de l’attaque au couteau perpétrée ce soir à Paris, ainsi qu’à leurs proches. Je salue au nom de tous les Français le courage des policiers qui ont neutralisé le terroriste. » a alors déclaré le président de la République sur Twitter. Avant d’ajouter : « La France paye une nouvelle fois le prix du sang mais ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté. » Comme nous aurions pu nous en douter, il n’y a eu, chez le chef de l’Etat, aucun mot sur le caractère islamiste de l’attentat. Emmanuel Macron, qui a fait de la défense de l’islam et de la négation de ses dérives la clé de voute de son idéologie multiculturaliste, a encore une fois préféré botter en touche. « Ennemis de la liberté », quelle sublime métaphore au service du politiquement correct ! Nier l’évidence pour ne surtout pas diviser, voilà la piteuse stratégie du président de la République. Sauf que pour vaincre un ennemi, il ne faut pas avoir peur de le désigner, il ne faut pas avoir peur de l’identifier. Mais ça, apparemment, Emmanuel Macron ne l’a pas compris ou ne souhaite pas le comprendre. Autant dire qu’avec un chef de l’Etat aussi timoré et aveuglé, la France a quand même quelques soucis à se faire pour sa sécurité.

Cet énième attentat terroriste pose quand même d’importantes questions auxquelles Emmanuel Macron et son gouvernement vont bien devoir répondre. En effet, dès dimanche matin, nous apprenions que l’assaillant, Khamzat Azimov, né en 1997, était fiché « S » et inscrit au FSPRT, le fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation islamiste, depuis l’été 2016. Comment se fait-il qu’un individu potentiellement aussi dangereux et connu des services de renseignement ait pu agir ainsi en toute impunité ? A quoi servent les fiches « S » si ceux qui en possèdent une sont libres de leurs faits et gestes ? Cette attaque terroriste démontre encore une fois l’impuissance des services de l’Etat qui, même s’ils regorgent d’individus éminemment dévoués et compétents, ne peuvent se substituer aux lois et sont donc dans l’incapacité de prévenir efficacement tous les attentats, même ceux qui étaient pourtant évitables. Pourquoi dès lors ne pas davantage surveiller ces individus pour éviter qu’ils commettent l’irréparable? Pourquoi ne pas aller, pour certains, comme le propose Laurent Wauquiez, jusqu’à les interner de manière préventive ? Pourquoi ne pas expulser du territoire français les fichés « S » étrangers comme le propose Nicolas Dupont-Aignan ? Pourquoi ne pas déchoir de leur nationalité les binationaux radicalisés ? En quoi la préservation des libertés individuelles de ces islamistes vaudrait davantage que la préservation de notre sécurité collective ? Combien d’attentats faudra-t-il encore pour que la sauvegarde de notre sécurité nationale l’emporte sur les peurs et les freins idéologiques de nos gouvernants ?


En outre, c’est en 2010, par le fruit d’une naturalisation, qui fait suite, d’après le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, à « la naturalisation de la mère », que Khamzat Azimov est devenu français. Dès lors, plusieurs questions se posent. Comment les parents sont-ils entrés sur le territoire français ? Est-ce que toutes les conditions étaient vraiment réunies pour répondre favorablement à cette naturalisation ? Peut-on, sans acrimonie aucune et sans se faire traiter de tous les noms, nous interroger sur la façon dont nous accordons, parfois sans doute beaucoup trop facilement, la nationalité française ? En tout cas, quoi que l’on puisse en penser, il apparaît, à l’épreuve des faits, comme implacable, que ce processus de naturalisation a débouché sur un cuisant échec. En effet, c’est bien un attentat à l’encontre du pays qui l’a accueilli et vu grandir qu’a commis Khamzat Azimov, qui a pourtant fréquenté pendant des années les bancs de l’école de la République. Comment a-t-il pu passer plusieurs années entre les mains de l’institution scolaire sans que cette dernière ne sache ou ne puisse en faire un citoyen respectueux et fier du pays qui lui a tout donné ? Comment a-t-on pu abimer à ce point ce merveilleux outil d’intégration qu’était l’école de la République pour qu’elle ne parvienne plus à assurer aujourd’hui l’une de ses missions les plus fondamentales ?

En effet, derrière cet attentat, c’est aussi l’incapacité de la société française à assimiler les populations d’origine étrangère et immigrée dont il est question. Il faut dire que dans le quartier populaire d’Elsau, là où Khamzat Azimov a grandi, cela fait déjà plusieurs années qu’on assiste à une montée du communautarisme, et notamment du communautarisme musulman. C’est bien notre laisser-aller vis-à-vis de populations, qui ont tout fait pour importer sur notre territoire leurs manières de vivre et leurs valeurs sans se soucier si elles étaient compatibles avec celles du pays d’accueil, que nous payons aujourd’hui. La vérité, c’est qu’en voulant exalter les différences, au détriment de ce qui nous rassemble, nous avons détruit progressivement ce ciment commun pourtant indispensable au vivre-ensemble. Combien de jeunes français, issus de l’immigration, ne se sentent pas aujourd’hui français et vont même jusqu’à développer un sentiment de haine excessivement puissant vis-à-vis du pays d’accueil ? Incontestablement, des milliers. Car derrière le drame de samedi soir, c’est bien l’échec du multiculturalisme et les conséquences de la destruction progressive du modèle assimilationniste qui sont à l’œuvre. Alors oui, quand allons-nous enfin en prendre conscience et en finir avec le modèle multiculturel, fruit d’une idéologie extravagante et délétère, qui créé les conflits communautaires et les tensions identitaires qu’il prétend gérer ?


Toutes ces questions, il va bien falloir une fois pour toute se les poser et tenter d’y répondre, si nous ne voulons pas voir se multiplier encore davantage sur notre territoire, au cours des prochaines décennies, les attentats islamistes. En tout cas, ce qui est certain, c’est qu’on ne gagnera pas la guerre contre le terrorisme islamiste à coups de slogans compatissants, de bougies pacificatrices et de trémolos dans la voix. Ce qui est certain, c’est qu’on ne réussira pas à assurer la sécurité de la population française en niant les réalités et en adoptant des mesures qui sont davantage là pour rassurer que pour lutter efficacement contre le totalitarisme islamiste. La vérité, c’est que ce fameux « choc des civilisations », prophétisé dans les années 90 par le politologue américain, Samuel Huntington, est aujourd’hui, dans nos sociétés occidentales, très largement à l’œuvre. Et malgré ce que certains disent, nous ne gagnerons jamais cette guerre identitaire qu’est le terrorisme islamiste en nous comportant comme des mamelouks prêts aux pires compromissions et aux pires soumissions pour tenter de ménager, au nom de valeurs qui n’ont, dans un contexte de guerre, plus aucun sens, ces prêcheurs de haine qui, quoi que nous fassions, ne nous feront jamais de cadeaux. Alors oui, je pose ouvertement la question : combien de victimes faudra-t-il encore pour qu’ENFIN nous agissions


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oui combien d'attentats avant d'agir.... c'est une bonne question !
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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 19:26

[Attentat de Paris] Georges Fenech : “On ne peut pas exclure qu’il y ait d’autres attentats encore plus organisés”
Par Auteur valeursactuelles.com / Lundi 14 mai 2018 à 16:26 25

Entretien. L'ancien magistrat et ancien député, président de la commission d'enquête sur les attentats de 2015 Georges Fenech est revenu pour Valeurs actuelles sur l'attentat au couteau de samedi soir dernier à Paris.

Valeurs actuelles. Pensez-vous aujourd’hui que tout est mis en œuvre pour la prévention de la radicalisation ?
Georges Fenech. Non. Aujourd’hui, on doit encore améliorer tous nos dispositifs de surveillance. Il faut commencer par faire monter en puissance ceux qui existent déjà, et qui a ma connaissance n’ont pas pris leur plein effet.


Depuis que nous sommes sortis de l’Etat d’urgence, nous avons intégré dans le droit commun des nouveaux pouvoirs pour l’administration, comme les visites domiciliaires et la surveillance administratives. A ma connaissance, elles ne sont pas mises en œuvre correctement !

La surveillance administrative est efficace pour surveiller un individu qui présente un danger : il remplit des obligations. Ensuite, ns devons impérativement améliorer des dispositifs législatifs, comme notamment veiller à l’application des mesures de rétention de sureté et de surveillance judiciaire et la surveillance de sureté. La rétention de sureté ou la surveillance après peine ne s’applique pas à ce genre d’individus radicalisés. Il faut étendre ces mesures aux individus condamnées pour radicalisme et qui sortent de prison.

Valeurs actuelles. Que pensez-vous de la proposition de la rétention administrative de tous les fichés S ?
Georges Fenech. Pour moi, c’est un non-sens. On fantasme beaucoup autour de cet instrument de surveillance, qui n’est qu’un simple fichage ! On inscrit un individu car on a des soupçons et on doit le surveiller. Cela n’a pas de conséquences judiciaires. Et enfermer quelqu’un parce qu’on le soupçonne, ça ne tient pas la route judiciairement et c’est contraire aux principes généraux des droits fondamentaux.


Entre une privation totale de liberté et rien, il y a un juste milieu qu’il faut trouver. Je crois que la meilleure des solutions est d’aller au contact de ces individus. Il faut les convoquer, créer des groupes pluridisciplinaires d’évaluation de leur état dangereux.

Il ne faut plus hésiter et soumettre ces individus dangereux à des évaluations voire à des assignations à résidence plus contraignantes. Il faut aller au-delà et surtout évaluer sa dangerosité. Il faut que l’individu se sente absolument repéré. On le fait bien pour les malades psychiatriques, pour les alcooliques dangereux… le préfet peut prendre par exemple une mesure d’internement d’office ! Cette mesure est protectrice pour la société et pour le kamikaze en puissance.

Valeurs actuelles. Est-ce que ce Fichier S sert encore à quelque chose ?
Georges Fenech. Il faut se concentrer sur les 4.000 ou 5.000 individus les plus dangereux, et laisser les services de renseignements agir en toute discrétion. Mais pour le reste des individus qui sont dans la nature, les renseignements doivent aller au contact. Ce fichier est utile, oui. Et le travail a été bien fait car les individus ont été repérés. Mais il faut changer de braquet, il faut aussi dire à ces individus radicalisés « nous vous avons repéré ».


C’est un travail de surveillance de près. Ce fichier devrait aussi être communiqué à des responsables locaux, comme les maires par exemple. Il faut que le radicalisé sache qu’il est repéré.

Valeurs actuelles. Quel est, selon vous, l'avenir du pays en matière d'attentats ?
Georges Fenech. On vit déjà, depuis maintenant Mohamed Merah, sous la menace terroriste mais aussi avec le terrorisme, puisqu’on totalise 245 morts sur notre territoire depuis 2015. Cette menace ne va pas disparaitre du jour au lendemain, même si Daech est défait territorialement. Ne nous faisons pas d’illusions : la France est partie pour vivre longtemps avec des personnes qui épousent l’idéologie de l’Etat islamique, et il est certain que nous sommes dans un contexte qui va durer, et qui présente un vrai danger pour notre sécurité.

Doit-t-on s’attendre au pire ? On ne peut pas exclure qu’il y ait d’autres attentats encore plus organisés, même si c’est plus difficile aujourd’hui pour Daech. On doit garder une vigilance extrême.

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L'intervenant ex magistrat est loin d'être rassurant !
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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 19:34

«Prêches en latin» : les propos d'un élu LaREM font polémique
Par Jules Pecnard Mis à jour le 14/05/2018 à 14:16 Publié le 14/05/2018 à 13:00


LE SCAN POLITIQUE - Au lendemain de l'attaque terroriste du 12 mai à Paris, l'ancien patron du Raid a invoqué un curieux argument pour illustrer la difficulté qu'il y aurait à obliger les imams à prêcher en français.

Après les remarques de Christophe Castaner sur le «voile catholique», c'est au tour d'un autre cadre de La République en marche de faire hausser quelques sourcils au sujet de la religion chrétienne. Dimanche, au lendemain de l'attaque terroriste qui s'est déroulée en plein cœur de Paris, le député LaREM de Seine-et-Marne Jean-Michel Fauvergue a débattu des solutions à apporter pour combattre l'islamisme. Interrogé sur les prêches des imams, parfois donnés en langue étrangère, l'ancien patron du Raid a invoqué une curieuse comparaison.

Sur le plateau de BFM TV, l'élu issu de la majorité donnait la réplique à Virginie Calmels. «Ce que nous demandons, c'est que les prêches soient en français par exemple. (...) Ça peut être imposé», a proposé la numéro deux des Républicains. Doutant de la pertinence d'une telle mesure, le député a argué qu'il y a, encore aujourd'hui, des «prêches» et de «belles prières» qui se font «en latin».


Plus de prêches en latin depuis l'an 813


«Excusez-moi, mais les églises où il y a encore du latin n'incitent pas à la haine avec des tueries à l'arme blanche», a rétorqué Virginie Calmels, estimant qu'il n'y avait «rien de comparable» entre les deux phénomènes. «Vous avez raison», a ensuite reconnu l'élu LaREM. Précisons que les prêches se font en français dans toutes les églises de France depuis le Concile de Tours, en 813, comme le rappelle Europe 1.

La remarque de Jean-Michel Fauvergue a suscité quelques réactions indignées dans le camp conservateur. «Abasourdi d'entendre le député Fauvergue justifiant les prêches en Arabe dans les mosquées par l'utilisation du latin dans les églises. Propos aussi indignes qu'insultants», a tweeté Sébastien Pilard, membre du bureau politique des Républicains. C'est néanmoins surtout au FN que la phrase est reprise en boucle, certains accusant l'ex-chef du Raid de minimiser le défi posé par l'islamisme en le comparant au traditionalisme chrétien. «J'ai fait une connerie», aurait-il confié à Pascal Praud, animateur sur CNews, ce lundi matin.

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Nous sommes dans des séries d'assassinats commis au nom de l'islam par des terroristes et le seul argument d'un membre de la majorité est de s'en prendre au latin dans les églises catholiques... qui n'est plus en usage pour les prêches depuis 1200 ans...

Le tout pour justifier l'immobilisme des gouvernement qui depuis 3 ans n'arrivent pas faute de volonté de mettre en place des mesures sérieuses.


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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 19:39

Attentat à Paris : "Un peu de résignation chez Benjamin Griveaux", estime Adrien Gindre

DÉBAT - Le porte-parole du gouvernement était l'invité du "Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI" au lendemain de l'attaque au couteau, qui fait un mort et quatre blessés, à Paris.

Attentat à Paris : "Il y avait un peu de résignation chez Griveaux", estime Gindre

PUBLIÉ LE 13/05/2018 À 19:57

La France a une nouvelle fois été frappée par une attaque terroriste. Samedi 12 mai, peu avant 21 heures, un individu de 20 ans a mené une attaque au couteau dans un quartier prisé de la capitale. Une personne a été tuée et quatre ont été blessées.

Si Benjamin Griveaux appelait à ne "pas se résigner" lors du Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI, Adrien Gindre (LCI) a pourtant trouvé le porte-parole quelque peu résigné face à cette situation. "Il y avait un peu de résignation dans ses propos pour nous dire qu'on fait déjà beaucoup, qu'on est en train de faire plus, mais qu'on ne pourra pas tout régler, lance-t-il. Dis comme cela, quand on est porte-parole du gouvernement, ça peut être difficile à entendre. Ce qu'on attend de l'exécutif, c'est d'être capable d'intervenir".


Des propos poursuivis par Alexis Brézet (Le Figaro) qui évoque "l'épine des fichés S". "Un terroriste sur deux est fiché S... Il y a sûrement 1.000 arguments mais, c'est incompréhensible pour l'opinion", juge-t-il.

Attentats : l'agence de propagande de Daesh, Amaq, fonctionne toujours
Comment faire dès lors face à cette menace terroriste persistante ? La question resurgit à chaque attentat. "C'est très difficile de défendre l'état de droit dans ces cas là. Il y a une ambivalence. Les Français sont attachés à l'état de droit mais, en même temps, quand il y a une menace physique, les gens s'interrogent", explique Benjamin Sportouch qui assure que le discours du gouvernement n'est "pas facile à tenir".

Griveaux regrette sur RTL que Macron "n'ait pas été élu il y a dix ans"

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ça flotte dans les rubans... la promotion Senghor prend l'eau !



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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 19:45

Attentat à Paris : « Il n'y a pas moyen d'empêcher ce type d'événements », explique le gouvernement
Par Auteur valeursactuelles.com / Dimanche 13 mai 2018 à 18:57 134


Terrorisme. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux est revenu sur l'attentat qui a fait un mort et quatre blessés samedi 12 mai, à Paris.

Benjamin Griveaux s'en est pris frontalement aux Républicains au lendemain de l'attaque qui a fait un mort à Paris, samedi 12 mai. Le porte-parole du gouvernement a répondu aux critiques de l'opposition et a notamment dénoncé le manque « d'unité nationale » face au terrorisme, au micro du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, dimanche 13 mai.

Pas d'enfermement des fichés S
« Ceux qui expliquent qu'un coup de baguette magique ou que des mesures sorties du chapeau permettraient de régler le problème, ceux-là mentent ». Et de poursuivre : « Il n'y a pas moyen d'empêcher ce type d'événements. » Un peu plus tôt dans la journée, Laurent Wauquiez, le patron de LR, avait publié un communiqué dans lequel il reprochait à Emmanuel Macron « un aveuglement et une inaction qui n'ont que trop duré ». Sur BFM TV, dimanche midi, la vice-présidente LR Virginie Calmels a également évoqué « l'inaction » d'Emmanuel Macron. « Il a fait un discours remarquable aux Invalides [pour l'hommage au colonel Beltrame, après les attentats de Trèbes, Ndlr], mais depuis il n'y a pas une annonce pour prendre à bras-le-corps le problème », a-t-elle déclaré.

Benjamin Griveaux a également écarté les propositions avancées par LR, notamment sur l'internement des fichés S les plus dangereux. « Si vous les enfermez à nouveau, vous ne pouvez pas remonter les filières, démanteler des opérations qui adviendraient demain », a-t-il expliqué.

Enfin, le porte-parole du gouvernement a défendu Emmanuel Macron, à qui l'on reproche d'être resté en vacances au fort de Brégançon (Var) pendant l'attentat terroriste. « Le président a suivi les opérations minute par minute hier soir. L'État est pleinement mobilisé », a-t-il assuré.

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Au bout du compte on est à la ramasse on ne sait pas faire mais l'essentiel n'est pas de protéger les Français mais d'occuper le terrain pour garder notre place à la tête de l'état !

Cette fois c'est visible ! nous nous franchouillards n'avons rien à attendre, rien de sérieux ne sera fait on fait du vent pour rester en place.

Priez pour ne pas être les prochaines victimes d'un agité connu mais laissé libre avec tout son réseau pour l'aider et le protéger.
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 19:48

Pas besoin de faire un laïus tout est dit, il suffit de lire pour comprendre...

D'habitude on triture la vérité pour faire passer la pilule mais ce coup ci le chef est en vacances et la troupe n'assure pas.

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Salamandre

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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 21:17

Citation :
Virginie Calmels a également évoqué « l'inaction » d'Emmanuel Macron. (...) depuis il n'y a pas une annonce pour prendre à bras-le-corps le problème », a-t-elle déclaré.

La spécialiste de téléréalité (Endemol) devenue n°2 de LR, a sa solution contre le terrorisme : les effets d'annonce !
Moi qui croyais que l'efficacité des services en ce domaine allait de pair avec une certaine discrétion, voire confidentialité, concernant les moyens déployés - ceci pour ne pas trop informer l'ennemi.

Il est vrai que dans la vraie droite, nous avions des spécialistes de l'effet d'annonce : « Nous allons terroriser les terroristes. » (Charles Pasqua, 1986). Les media aimaient bien, mais efficacité nulle
Remis dans le contexte :
Citation :
Les élections législatives de mars 1986 se déroulent dans un climat de violence terroriste d’origine proche-orientale. Au début du mois de février, trois attentats parisiens blessent dix-neuf personnes. Le 8 mars, quatre journalistes d’Antenne 2 sont enlevés au Liban. Au moment où Jacques Chirac est nommé Premier ministre par François Mitterrand, la violence se déchaîne. Le 17 mars, on compte dix blessés dans le TGV Paris-Lyon. Le 20, une explosion dans une galerie des Champs-Elysées tue deux personnes et en blesse 28 autres.

Le nouveau ministre de l’intérieur Charles Pasqua répète à qui veut l’entendre que son équipe va terroriser les terroristes. L’expression, reproduite dans la presse écrite, fait aussitôt mouche dans l’opinion.

Mais lorsqu’il intervient au Journal télévisé du 12 avril, il n’emploie pas ces mots, sans doute trop brutaux. « Il faut se donner les moyens de lutter contre ce fléau, explique-t-il posément. L’insécurité doit changer de camp et entre les terroristes et nous, eh bien, la guerre est engagée. »

Le 7 août suivant, l’Assemblée vote des « lois Pasqua » très répressives. Pourtant, une succession d’attentats ensanglante la rentrée. L’horreur culmine le 17 septembre devant le magasin Tati de la rue de Rennes à Paris, avec sept morts et cinquante et un blessés. Les rodomontades du  ministre n’ont manifestement pas terrorisé les terroristes.

Seule moralité : il est plus facile de faire des annonces que d'avoir des résultats


Dernière édition par Salamandre le Mar 15 Mai 2018, 01:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyLun 14 Mai 2018, 22:48

On peut aussi annoncer la mise en place de mesures un peu plus efficaces que ce qui se fait actuellement qui ne tente rien n'a rien, mais on ménage sa clientèle.

Si nous admettons que ce qui se passe relève de la fatalité ne faisons surtout rien... le plus important étant de trouver des lampistes crédibles pour assumer les conséquences des carences de nos dirigeants. On a toujours besoin d'un bouc émissaire.. .

Un coup des cathos qui utilisaient le latin il y a 1200 ans..

Si on se penche sur l'actualité récente nul doute que l'arrivée des migrants compensera largement les pertes humaines consécutives à l'action des islamistes donc tout va bien.

En moins de 3 ans plus de 250 morts rien qu'en France les tronches molles nationales et européennes pourraient envisager de se bouger.

Je peux aussi faire le compte des trucidés "imputables" à la gauche qui sont sans doute moins morts que ceux crédités à la droite, avec de tels arguments on fera grandement avancer le dossier.
Visiblement nous en sommes encore aux querelles politicardes bien plus importantes que la sécurité de la population.
C'est sans doute en évoquant les attentats des années 80 en ne se remettant pas en question que l'on évitera ceux des années 2018...

On se dédouane comme on peut...
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MessageSujet: Re: Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?    Attentat au couteau à Paris : combien de victimes encore pour qu’enfin nous agissions ?  EmptyMar 15 Mai 2018, 07:34

Pour donner à réfléchir quelques rappels historiques de l'action de la gauche (puisque nous en sommes là)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_de_la_rue_des_Rosiers

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_Irlandais_de_Vincennes

https://fr.wikipedia.org/wiki/Action_directe

Le plus fort énant la remise en liberté en 81 des membres d'action directe dont  "on pensait" les socialistes étant au pouvoir qu'ils se tiendraient tranquilles.
Bilan des morts au mauvais endroit au mauvais moment et au tapis le général Audran et le PDG de renault G. Besse.

Ne parlons pas de l'attentat de la rue des rosiers que l'on vendait comme commis par des néo nazis en réalité perpétré par le groupe Abou Nidal ce que les initiés savaient mais qu'il ne fallait pas dire...

Sans oublier la mirifique cellule de l'Elysée qui devait diriger la lutte anti terroriste nationale et qui a laissé quelques traces dans les annales judiciaires.
A la clé l'affaire des irlandais de Vincennes et la moitié du tout Paris sur écoutes...

Des exemples de ce calibres il y en a plein la musette... faisons de la politicaillerie mais surtout ne changeons rien.
J'aime lorsque l'on me donne des leçons dans des domaines que j'ai malheureusement bien connus ( carrière commencée sous De Gaulle et achevée sous Chirac) le tout avec un argumentaire vérolé qui tient avec des ficelles et ferait rire un inspecteur de police stagiaire.

NB dans les tueries de masse les assassins ne demandent pas aux victimes pour qui elles votaient...
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