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 Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée

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tonton christobal

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MessageSujet: Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée   Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée EmptyMar 12 Juin 2018, 13:59

Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée

Encombrant passé. Avant d'être au cœur d'une polémique pour son concert au Bataclan, le rappeur Médine se revendiquait ambassadeur de l’association Havre de Savoir qui organisait une « rencontre annuelle des musulmans du Havre », en compagnie des Frères musulmans et de l’UOIF.

On ne parle que de Médine. Mais le rappeur ne se contente pas de chanter : en 2013, il voulait que sa « lutte contre l’islamophobie » dépasse la simple dénonciation. Il trouve alors appui au sein d’une association dont il se proclamait « l’un des ambassadeurs ». Quelle est-elle ? Havre de savoir, « créée afin de présenter et faire connaître l’islam et ses valeurs d’ouverture et de tolérance ».

Deux ans plus tard, en janvier 2015, le rappeur suscitait la polémique, à la sortie de sa chanson Don’t laïk, une semaine avant l’attentat de Charlie Hebdo. Dans la douce mélodie, pêle-mêle : « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », « Islamo-caillera, c'est ma prière de rue », ou encore « J'mets des fatwas sur la tête des cons ». Ambiance. Mieux, son titre Le grand Médine contient des paroles limpides : « On est dans l'game pas venu pour ouer-j, mais j'arrive sur tous les sites comme un djihadiste de Daesh » agrémenté d’un « Appelez-moi Erdogan en Air Jordan de l'empire Ottoman ». Difficile d’y déceler le fameux islam tolérant.

Ce n’est pas tout. En 2013 toujours, une « rencontre annuelle des musulmans du Havre » se déroulait, organisée par Havre de savoir, à laquelle participait Médine, des membres des Frères musulmans et de l’UOIF. D’un côté, une organisation islamique classée comme terroriste par la Russie, les Etats-Unis, l’Arabie Saoudite et l’Egypte. De l’autre, une organisation proche…de la première ! Sympathique rencontre.

C’est ainsi qu’on retrouve les frères Tariq et Hani Ramadan, Hassan Iquioussen surnommé le « prêcheur des cités », membre de l’UOIF et connu pour avoir assumé des propos antisémites au cours d’une conférence en 2004. Le tout, en plein cœur du Havre, ville qui n’est autre que celle d’Edouard Philippe, aujourd’hui Premier ministre.

Médine, alors ambassadeur cautionne donc leur venue, et leurs propos. Rien d’étonnant en ce qui concerne Tariq Ramadan : « Médine c’est quelqu'un que je connais personnellement et de très très proche, qui suit mes enseignements et avec lequel on a beaucoup discuté. » Il avait par ailleurs pris sa défense pour la sortie d’un album lui aussi controversé.


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Tout va pour le mieux dans le pays qui marche cul par dessus tête !


Dernière édition par tonton christobal le Mar 12 Juin 2018, 17:23, édité 1 fois
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée   Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée EmptyMar 12 Juin 2018, 14:06

Pas de Médine au Bataclan
Par Auteur Charlotte d'Ornellas / Lundi 11 juin 2018 à 18:33 17

Des familles de victimes de l'attentat du Bataclan, le 13 novembre 2015, n'acceptent pas de voir aujourd'hui le rappeur Médine s'y produire.
Controverse. Depuis quelques jours, la polémique enfle autour d’un concert du rappeur Médine, organisé au Bataclan en octobre prochain. En cause, ses codes et chansons aux accents islamistes.

La plupart du temps, Médine chante pour ses fans, sans que personne ne s’en préoccupe. Mais chaque fois qu’il revient dans l’actualité médiatique, l’heure est à la polémique. Cette fois-ci, le rappeur Médine s’est annoncé au Bataclan, dans la salle de concert désormais connue du monde entier depuis le massacre islamiste qui coûtait la vie à 90 personnes le 13 novembre 2015. Certaines indignations ont été immédiates. Suivies pendant le week-end par celles du monde politique, plus ou moins radicales ou gênées selon les bords mais relativement unanimes. A l’exception attendue de l’extrême-gauche.

Du côté de la direction du Bataclan, c’est silence radio. On comprend la gêne puisque l’argument « artistique » ne tiendra pas de son côté : elle avait réussi à le laisser de côté au moment d’annoncer que le groupe Eagles of Death Metal (présent le soir du drame) ne chanterait plus jamais dans sa salle, en raison de propos jugés polémiques…

Revenons donc à Médine. En cause premièrement, l’affiche de promotion d’un album sorti en 2005 et intitulé Jihad, le plus grand combat contre soi-même, et une chanson écrite une semaine avant la tuerie perpétrée chez Charlie Hebdo, titre Don’t Laïk dans laquelle le rappeur appelle à « crucifier les laïcards », et revendique « une fatwa sur la tête des cons », dont il dresse évidemment la liste non-exhaustive.

Ses fans n’ont pas tardé à réagir, appelant les indignés à lire les textes de Médine avant de parler ou de s’indigner, sans comprendre que la réaction relevait d’abord de la symbolique. Peu importe les éventuelles subtilités du message dans la réaction des indignés : leur pays est régulièrement frappé par le terrorisme islamique et l’utilisation évidemment consciente des codes du djihadisme armé a de quoi insupporter.

Alors oui, l’album Jihad date de 2005. Et oui, Médine précisait alors que la forme la plus noble du jihad était le combat intérieur. Sauf que le chanteur, prétendument résolu à déconstruire « les préjugés, sémantiques galvaudées et autres symboles polluants le débat national », avait jugé malin d’user d’un sabre pour former le J de « Jihad »… On a connu clarification plus efficace.

Quant à la date, elle ne change absolument rien : le monde n’a pas attendu 2005 pour compter les morts de ces jihad armés lancés partout dans le monde par des islamistes peu soucieux des amalgames.

Que les moins convaincus patientent : les paroles de la chanson Don’t Laïk, sortie quelques jours avant l’attentat contre Charlie Hebdo, sont encore plus claires. Alors c’est vrai, le chanteur ne pouvait pas savoir. Sauf que la tribune qu’il avait alors publié sur Le Plus du Nouvel Obs vaut son pesant d’or : « Aurai-je le droit de continuer d’être acerbe comme Charb, à nouveau, qui répondait à ses détracteurs que ‘la plume n’égorge pas’ ». Le rappeur oubliait simplement que dans l’univers islamisé qui est le sien, certains passent à l’acte, précisément.

Bien sûr que Médine peut dénoncer le laïcisme. Evidemment. Appeler à « crucifier » ceux qui en sont parfois les adeptes zélés a un sens très précis. Ce sont des mots certes, que d’autres appliquent.

Bien sûr que Médine peut désigner des cons. Mais il ne peut ignorer que mettre une « fatwa sur leur tête » a une signification glaçante, que d’autres prennent déjà au mot.

Ces paroles sont des appels au meurtre. Que lui-même ou ses adeptes brandissent la liberté artistique est une chose. Que d’autres ne supportent pas que soient prononcées ces paroles à l’endroit même où leurs compatriotes sont tombés sous les coups d’islamistes ne se contentant pas de mots une autre, infiniment plus légitime.

Et la victimisation sur fond de censure est une indécence de plus. Médine chante depuis 2004, et personne ne l’en a jamais empêché. Le débat ne porte pas, dans les circonstances de cette polémique, sur le rôle de l’art, la violence des paroles de rap qui galvanisent une jeunesse déjà colérique, ou la légitimité qu’a Médine d’alimenter l’imaginaire victimaire des musulmans de France. Même controversé, même en appelant au meurtre, Médine a toujours pu chanter.

Au Bataclan, c’est non.  

En 2015 toujours, le rappeur écrivait – apparemment peu gêné du parallèle : « en tentant de tuer le caractère caricatural et provoquant de mon morceau, vous ne faites ni plus ni moins la même chose de façon symbolique, que ces deux bourreaux ont fait aux auteurs de ‘Charlie Hebdo’. » Médine se compare à Charlie Hebdo, et affirme lui-même user de la caricature. Inutile d’entrer plus profondément dans le débat : ces paroles suffisent.

De la même façon qu’il serait insupportable qu’une dédicace de Charlie Hebdo soit organisée au Collège des Bernardins (n’imaginons même pas l’idée d’un centre culturel musulman), un concert de Médine au Bataclan est inenvisageable. Parce qu’il le veuille ou non, le Bataclan n’est plus seulement une salle de concert privée.

Mais au-delà de ce différent sur le concert, c’est encore et toujours la lente partition qui s’installe dans le pays qui est l’enjeu ultime de ces réactions toujours plus franches. « On a colonisé, je viens rendre la pareille », chantait Médine en 2015, cette fois-ci plus Algérien que Français. En 2017, il rappait également « jusqu’à c’qu’elle m’aime, la France, j’vais la démographier ». Même sans la langue, le sens est accessible : Médine rêve d’un autre pays, qu’il s’applique à conquérir. Pour beaucoup, trop c’est trop.

-----------------------------

Maintenant on ose tout... Audiard le disait et tout le monde sait de qui il s'agit... malheureusement l'adage se vérifie trop souvent !
C'est d'autant plus dommage que même les supposées hautes sphères ne sont pas épargnées... la bataclan n'est pas une salle de spectacle de segonde zone.

Généralement on ne parle pas de corde dans la maison du pendu, au bataclan on chantera pour l'islam dans un lieu ou au nom de cette religion des dizaines de gens on été assassinés... c'est la France de la liberté sans doute, mais pas celle de la décence
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a.nonymous




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MessageSujet: Re: Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée   Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée EmptyMar 12 Juin 2018, 14:53

Mais aussi au delà du cas Medine au Bataclan....

On peut craindre que la vindicte populaire ne finisse par remplacer les ciseaux d'Anastasie...



Citation :
Bertrand Cantat met fin prématurément à sa série de concerts

Après un concert dimanche soir à Bruxelles, le chanteur a annulé les deux dernières dates de sa tournée, selon un communiqué publié sur Facebook.

LE MONDE | 11.06.2018 à 17h02 • Mis à jour le 12.06.2018 à 07h17

Après un dernier concert dimanche soir 10 juin à Bruxelles, le chanteur Bertrand Cantat a annoncé la fin de sa tournée, annulant deux concerts prévus en décembre à Pau et à Bordeaux, dans un communiqué publié sur Facebook.

« Après 27 concerts devant 35 500 personnes, la tournée (…) s’est terminée hier soir à Bruxelles, à l’Ancienne Belgique. Nous tenons à remercier chaleureusement le public si nombreux », a indiqué le chanteur, condamné en 2003 pour la mort de sa compagne Marie Trintignant, et dont la présence sur scène est contestée par des associations de défense des droits des femmes.

Dimanche soir, à Bruxelles, le chanteur avait évoqué la possibilité d’une fin prématurée de sa tournée, annonce répétée de manière plus solennelle au cours du même concert par son bassiste Pascal Humbert, rapportait le quotidien La Libre Belgique. « La dernière date de la tournée. Sans doute la dernière tout court » : la petite phrase lâchée lors de l’unique étape belge de la tournée s’est répandue comme une traînée de poudre, lundi, sur Internet. Contacté par Sud Ouest lundi, le chanteur avait confirmé que les deux concerts de Bordeaux et Pau n’auraient pas lieu.

Remonté contre les « censures », les « intimidations », les « journalistes » et « Bolloré », propriétaire de l’Olympia, où les concerts qu’il devait donner au mois de mai ont été annulés, Bertrand Cantat avait donné jeudi soir son unique concert parisien au Zénith, qu’avait précédé une manifestation d’une poignée de féministes.
https://abonnes.lemonde.fr/culture/article/2018/06/11/bertrand-cantat-met-fin-a-sa-tournee-de-concerts-en-annulant-les-deux-dernieres-dates-prevues-a-pau-et-bordeaux_5313081_3246.html

et

Citation :
Ivry-sur-Seine : levée de boucliers contre la venue du rappeur Niska à la fête de la ville
Lucile Métout (@lucile Métout)| 11 juin 2018

« Envoie ta ch--te sur Snapchat ! » « Copine rentre dans le bloc/On te fera du X et non pas l’amour » « Elle veut s’acheter des nouvelles fringues/Elle bosse pour nous sur Vivastreet (NDLR : entendez, elle se prostitue pour nous) ». Ça vous choque ? Les paroles de Niska, star de la scène rap et disque d’or l’an dernier, heurtent en tout cas des salariés de la mairie d’Ivry-sur-Seine. Des défenseurs de la cause féministe aussi.

Attendu samedi 16 juin sur le parvis de la mairie, l’invité d’« Ivry en Fête 2018 » suscite clairement la controverse. A tel point qu’un « collectif d’agents communaux et de citoyens » a pris l’initiative d’une pétition le 31 mai : « Nous nous interrogeons sur le choix de l’artiste », avouent les signataires, dénonçant les « propos méprisants, sexistes et violents envers les femmes » dont « regorgent » les titres de Niska.

Etonnant, estiment-ils, d’imaginer ces paroles résonner dans une ville engagée de longue date pour « l’égalité femmes-hommes ». Le collectif y voit d’ailleurs une « totale contradiction » avec la charte européenne signée en 2015, et la « lutte contre les stéréotypes » dont les axes ont été définis en mars dernier, durant la semaine des droits des femmes.

L’« émoi » est d’autant plus grand qu’il s’agit-là d’une « programmation à destination des jeunes ». Le concert gratuit est annoncé pour 22 heures sur la grande scène de l’hôtel de ville, soit en deuxième partie de soirée, moins de 24 heures avant Bernard Lavilliers. Plusieurs centaines de fans sont attendues.

« Dans le cadre de la programmation artistique d’une fête de ville, on doit tenir compte des disponibilités le jour envisagé et on cherche avant tout à faire plaisir au public, fait valoir le maire, Philippe Bouyssou (PCF). La réalité, c’est que les jeunes d’Ivry portent un grand intérêt à Niska. »

Il faut dire qu’à seulement 24 ans, le rappeur d’Evry (Essonne) né à Villeneuve-Saint-Georges n’en finit pas de grimper. Les ados raffolent de son franc-parler. C’est sûr : le « Charo » (pour « charognard ») ne fait pas dans la dentelle. Huit mois après l’avalanche de hashtags BalanceTonPorc sur fond d’affaire Weinstein, ses textes sulfureux pourraient-ils lui brûler les ailes ?

« Certaines paroles sont extrêmement violentes à l’égard des femmes, admet le maire. Mais c’est surtout dans son ancien répertoire. »

Commando, le dernier album sorti fin septembre et immédiatement certifié disque d’or puis de platine, n’est pourtant pas des plus… romantiques. « Ma chérie, m’raconte pas tes salades/Ce soir, j’vais te verser la mayo », dit la chanson Salé, proclamé single de diamant. Et dans Chasse à l’homme : « C’est moi qui fait l’oseille, pétasse fais le ménage (ramasse) ».

« Je ne partage évidemment pas ses propos, reprend Philippe Bouyssou, qui n’avait d’ailleurs pas connaissance de l’œuvre avant la polémique. Je vous invite tout de même à écouter Mélissa, de Julien Clerc. On peut chanter n’importe quoi quand on a une gueule de petit gendre. C’est plus difficile lorsqu’on vient de la banlieue… »

Pour autant, et faisant valoir les multiples « actions de prévention » menées à Ivry, l’élu assure prendre les « alertes très au sérieux » : « On va regarder ce qu’il est possible de faire avec la production pour que les chansons litigieuses ne soient pas chantées. »

C’est justement ce qu’a demandé au maire le comité ivryen de Femmes solidaires, par courrier le 3 juin : « Aucune chanson appelant aux violences envers les femmes, ou à la dévalorisation de l’image des femmes ». Alors Niska*, cap ?
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/ivry-sur-seine-levee-de-boucliers-contre-la-venue-du-rappeur-niska-a-la-fete-de-la-ville-11-06-2018-7766214.php
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MessageSujet: Re: Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée   Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée EmptyMar 12 Juin 2018, 14:56

Et rappelons-nous à Fontenay la Madelon 2017...

Citation :
Fontenay : polémique sur le choix d’Amir à la fête de la Madelon
Fontenay-sous-Bois|L.P.| 11 juin 2017

Il avait été choisi pour plaire aux familles, après ses succès au télécrochet The Voice et à l’Eurovision. Mais le chanteur Amir n’a pas fait l’unanimité, ce vendredi soir à Fontenay, alors qu’il donnait un concert pour la fête de la Madelon.

Une quinzaine de militants associatifs de la Ligue des Droits de l’homme ou du Comité Palestine notamment et même un élu, Nassim Lachelache (adjoint du groupe Fontenay Citoyen), ont tracté à l’entrée du stade Le-Tiec

« J’ai découvert tardivement qu’Amir est réserviste de l’armée israélienne et qu’il donne des concerts de soutien pour cette armée, justifie Nassim Lachelache, adjoint au maire délégué à la politique de la ville et à la réussite éducative. Choisir Amir c’est comme apporter son soutien à l’injustice, à une armée d’occupation, ce n’est pas en phase avec les valeurs de Fontenay. »

Déjà, en 2016, au plan national, une pétition intitulée « Je refuse qu’un soldat israélien représente la France au concours Eurovision » avait circulé sur les réseaux sociaux.

À Fontenay, c’est un comité, et non la municipalité, qui choisit l’artiste de la Madelon. Y figure par exemple le syndicat d’initiative. « Il faudrait au moins que le service culture de la ville, avec son expertise, participe au choix, défend Nassim Lachelache. Il ne s’agit pas de censurer mais d’être attentif. »
http://www.leparisien.fr/fontenay-sous-bois-94120/fontenay-polemique-sur-le-choix-d-amir-a-la-fete-de-la-madelon-11-06-2017-7040331.php
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tonton christobal

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MessageSujet: Re: Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée   Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée EmptyMar 12 Juin 2018, 15:42

Lorsque les groupes de pression remplacent la loi qui elle même peut être dévoyée par ceux là même qui sont en charge de la faire appliquer l'affaire se complique et le boxon général n'est pas loin.

Tout est possible... après la dictature bisounours, celle de la bien pensance... à qui le tour ?

Il va devenir difficile d'interdire à autrui ce que l'on se permet à soi-même... la permissivité gaucho anarchiste autorisée et les réacs interdits il y a un problème de liberté qui se pose.

NB nous n'en sommes encore pas à interdire les chanteurs qui incitent aux viols, aux pillages, au racisme anti blanc qui n'existe pas... voire à l'anéantissement de la France dont ils sont les produits... donc tout va encore relativement bien !
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Salamandre

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MessageSujet: Re: Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée   Médine au Bataclan : plus qu'un rappeur, l'ambassadeur d'une organisation controversée EmptyJeu 14 Juin 2018, 18:07

Citation :
Bertrand Cantat met fin prématurément à sa série de concerts

Note : le mariage peut aussi être dangereux pour le mâle, et mettre fin prématurément à sa vie.
Surtout quand (de dos ou de face) il est du mauvais côté du fusil...

Citation :
Abère (64) : la femme qui a tué son mari présentée à une juge d’instruction
La sexagénaire d’Abère, qui a reconnu avoir tiré sur son mari le 1er juin, va être mise en examen pour meurtre sur conjoint ce jeudi soir. Elle avait été placée en garde à vue le soir-même après son interpellation au domicile du couple.

Elle doit être présentée à un juge des libertés et de la détention ce jeudi soir. Le parquet a requis le placement en détention de cette femme de 60 ans.

Après une dispute conjugale, son mari de 63 ans avait été atteint d’une balle au thorax. Évacué dans un état critique à l’hôpital de Pau, l’homme était décédé le lendemain matin.

https://www.sudouest.fr/2018/06/14/abere-64-la-femme-qui-a-tue-son-mari-mise-en-examen-pour-meurtre-5145514-4344.php

"Osez le féminisme" oseront-elles plaider la légitime défense ?
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