Tout ce qui concerne les Pre LEGISLATIVES de 2017

On en parle déjà

Mr Patrick Beaudoin a déjà annoncé sa candidature à la candidature chez les L R

Les noms des candidats sera connus avant les primaires la ou le choix entre plusieurs candidats ou candidates ne pose pas de problèmes

Logique en général les candidats sortants vainqueurs ou vaincus ont tendance à vouloir remettre le couvert.

Oui là je suis d'accord ! Mais une nouvelle génération serai apprécié de tous !

Citation :

Premières investitures LR pour les législatives 2017 en Val-de-Marne

La commission des investitures Les Républicains pour les élections législatives 2017 en Val-de-Marne s’est réunie ce mardi 14 juin.

Les noms de tous les heureux investis ne sont pas encore connus officiellement mais l’ensemble des députés sortants ont été réinvestis, ainsi que les anciens députés battus en 2012, a indiqué Christian Cambon, président de la fédération LR Val-de-Marne. Soit 7 élus qui sont tous maires de leur ville, et devront donc soit parier sur un changement immédiat de la loi en faveur du non-cumul des mandats après leur élection, soit renoncer à leur ville.  Le patron des Républicains du 94 indique également « qu’un effort particulier a été fait pour qu’il y ait davantage de femmes candidates ». Selon d’autres sources d’information, Thierry Hebbrecht a également été confirmé à Créteil (2e circonscription).

Concrètement, il s’agit donc, pour les députés sortants, de :

Michel Herbillon  8e circonscription (également maire de Maisons-Alfort)
Sylvain Berrios  1e circonscription (également maire de Saint Maur-des-Fossés)
Gilles Carrez 5e circonscription (également maire du Perreux-sur-Marne)
Jacques-Alain Bénisti 4e circonscription (également maire de Villiers-sur-Marne)

Pour les anciens députés :

Didier Gonzales 3e circonscription (également maire de Villeneuve-le-Roi)
Patrick Beaudouin 6e circonscription (également maire de Saint-Mandé)
Richard Dell’Agnola 7e circonscription (également maire de Thiais)

Pour les anciens candidats :

Thierry Hebbrecht 2e circonscription (également président du groupe d’opposition au sein du Conseil municipal de Créteil)
http://94.citoyens.com/2016/premieres-investitures-lr-pour-les-legislatives-2017-en-val-de-marne,15-06-2016.html#comment-236165

Tandis que :

Citation :

Réélu président de l’UDI Val-de-Marne, Laurent Lafon fixe le cap pour 2017

Président de l’UDI Val-de-Marne depuis 2013, après en avoir été le délégué dès le lancement du mouvement fin 2012, Laurent Lafon a été réélu à la tête de la fédération départementale ce samedi 11 juin.

Pour ce nouveau mandat de trois ans, le conseiller régional-maire de Vincennes a deux objectifs : poursuivre l’implantation du mouvement dans le département et préparer les élections de 2017, avec un focus tout particulier sur les législatives et les sénatoriales.

Actuellement, le mouvement de centre-droit compte un peu plus de 150 élus et 500 membres dans le département. Afin de se mettre en ordre de bataille, le bureau devrait s’élargir et la fédération désignera d’ici quelques semaines un délégué par circonscription législative.

Pas question en effet de faire tapisserie derrière LR dans les prochaines élections parlementaires. « Lors des élections régionales et départementales de 2015, nous nous sommes accordés sur une clef de répartition donnant conférant 30% au centre, nous veillerons à ce que la même répartition soit appliquée« , indique Laurent Lafon. Concrètement, l’UDI, qui investira ses candidats d’ici l’été, entend positionner des champions dans toutes les circonscriptions dont le député sortant n’est pas LR, avant de négocier un accord avec ses partenaires LR et Modem après les primaires LR de novembre 2016.
En clair, c’est donc dans les circonscriptions sans député LR sortant mais gagnables par la droite, que l’UDI entend jouer sa carte, comme celles qui ont basculé à gauche à la faveur de la vague rose par exemple

la 3e gagnée par Roger-Gérard Schwartzenberg (PRG) dans le sud du département,
la 7e emportée par Jean-Jacques Bridey (PS) à Fresnes – L’Haÿ – Thiais-Chevilly…  
la 6e prise par Laurence Abeille (EELV), à Fontenay-Saint-Mandé-Vincennes).

http://94.citoyens.com/2016/reelu-president-de-ludi-val-de-marne-laurent-lafon-fixe-le-cap-pour-2017,13-06-2016.html

Echos des cuisines, coté choix des candidats LR. Le nom du vainqueur de la primaire n'est pas connu, mais la tendance des candidats aux législatives se précise.

Citation :

Législatives : comment "Sarkozy roule Juppé dans la farine"
La commission nationale des investitures privilégierait les candidats qui soutiennent l'ancien chef de l'État, au détriment des proches du maire de Bordeaux.

La commission nationale des investitures des Républicains (CNI) s'est réunie mardi soir pour choisir de nouveaux candidats aux législatives 2017. Pour éviter les frictions, un pacte a été conclu entre les prétendants à la primaire de la droite et du centre : lorsqu'une investiture n'est « pas consensuelle », dixit un proche de Nicolas Sarkozy, celle-ci est « réservée », c'est-à-dire gelée jusqu'à la primaire, puis octroyée par le vainqueur après le vote. « Pas consensuelle », cela veut dire que plusieurs candidats à la primaire ne sont pas d'accord sur la personne à investir dans une circonscription.

Absolument pas consensuelles
Sauf que, dans les faits, les investitures ne sont absolument pas consensuelles. Et, comme d'habitude, Nicolas Sarkozy impose sa loi au détriment d'Alain Juppé, favori de l'opinion et des médias, mais beaucoup moins investi que le président des Républicains dans la cuisine du parti. Ainsi, dans plusieurs circonscriptions, des sarkozystes ont été imposés par la CNI au détriment de juppéistes.
()
Éternel bras droit de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux précise au Point.fr que l'ancien chef de l'État « n'assiste pas aux réunions » de la CNI et « ne l'influence pas ».
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Pas de liste des membres
« Sur les 123 circonscriptions qui ont été discutées, il y a eu 121 cas où il n'y a pas eu besoin de recourir au vote », affirme un poids lourd de l'UMP qui a tenu à rester anonyme. Sauf qu'il faut une contestation d'au moins deux « chapelles » différentes pour que la commission soit amenée à voter. En clair, les juppéistes peuvent toujours protester, rien ne changera s'ils sont les seuls à le faire. Surtout qu'en cas de vote ces derniers ne pèseront pas lourd. Avec 3 voix contre 18 pour sa rivale Paulette Picard, la juppéiste Frédérique Gerbaud a, par exemple, été battue à plates coutures.

« Les juppéistes sont des amateurs. Il y a deux tiers de sarkozystes dans la commission. Ils sont ultra-minoritaires. Ils se font rouler dans la farine », s'amuse un membre de la CNI proche d'un candidat qui n'est pas favori. Gilles Boyer, qui se présente lui-même comme le bras gauche d'Alain Juppé, admet s'être fait avoir : « Nicolas Sarkozy nous a demandé de présenter une liste d'une dizaine de représentants pour les inclure à la CNI. Sauf qu'il ne nous a pas dit qu'il y en aurait 81 en tout ! » La composition de la commission figure bien sur le site, mais celle-ci n'a pas été actualisée. En début d'après-midi, Le Point.fr a réclamé la liste exacte de ses membres à Christian Estrosi et aux cadres de l'UMP, qui ne l'ont pas communiquée. La transparence attendra...

La CNI se réunira encore plusieurs fois la semaine prochaine pour investir de nouveaux candidats dans d'autres départements. Nul doute que les juppéistes protesteront encore et que, encore une fois, ils n'auront que leurs yeux pour pleurer.

http://www.lepoint.fr/politique/legislatives-comment-sarkozy-roule-juppe-dans-la-farine-16-06-2016-2047079_20.php

PS législatives 2012, Hollande s'est soumis aux choix antérieurs d'Aubry. Erreur fatale. Si Juppé gagne la primaire et la présidentielle, possible que son premier acte d'autorité soit la validation (ou pas) des investitures aux législatives 2017.
Pouvoir se réclamer du président juste élu, un puissant booster du score aux législatives, n'est ce pas Laurence A. ?

Je m'étonne que personne n'ait remarqué que sur la 6e circonscription il n' y a en vue qu'un seul postulant pré désigné par le PS. Un article de 94 citoyens en fait mention pourtant.

"Les militants PS voteront le jeudi 8 décembre pour leurs candidats aux législatives 2017. Dans le Val-de-Marne, un seul binôme s’est présenté dans chaque circonscription, à l’exception de 2 circonscriptions.
En savoir plus sur https://94.citoyens.com/2016/candidats-a-linvestiture-ps-aux-legislatives-2017-dans-le-val-de-marne,27-11-2016.html

Madame Abeille a écrit sur son facebook : "Aujourd’hui, c’est une droite revancharde qui nous fait face. L’ancien député Patrick Beaudouin, qui n’a jamais digéré sa défaite, souhaite reconquérir « sa circonscription (sic) » et rejoindre ses petits camarades de la Droite populaire sur les bancs de l’Assemblée pour y poursuivre son action au service des conservatismes en tout genre et de la casse des acquis sociaux. A ses côtés, après une carrière bien remplie de conseiller politique professionnel, le très ambitieux candidat Gildas Lecoq veut prendre la lumière et « imposer l’UDI » (sic)."

J'ai bien apprécié le commentaire de l'un de ses "amis" : "Bravo belle entrée en matière Madame la députée. Rappelez nous quelle était votre profession avant d'être élue députée ? Conseillère politique professionnelle de qui ? D'un sénateur ? Mais qui comme sénateur ? Quand on essaye d'attaquer ses adversaires la moindre des choses madame la députée c'est d'être transparente ! Si le seul inconvénient de M. Le Coq c'est d'avoir, comme vous été collaborateur d'élu dans le passé, c'est donc une qualité... Quand à être ambitieux ... Vous devez bien l'être un peu pour vous représenter... "

La première des transparences c'est de connaître le métier de nos élus. Je le demande depuis des années mais je n'ai jamais eu de réponse.

Qui connait la profession de M. Abeille ? M. Baudouin ? M. Lecoq ? ...

A vérifier quand même, résultat d'un recherche sur Wikipédia.

Patrick Beaudouin est consultant en communication et relations publiques

Laurence Abeille est présidente de l’Agence régionale de l'environnement et des nouvelles énergies - Île-de-France (ARENE) jusqu'au 19 octobre 2012.

Et Gildas Lecoq est conseillé en communication ( pas trouvé d'info sur Wikipédia ).

Des nouvelles de la grande famille socialiste.

Un conseiller de Cambadélis quitte le PS et rejoint Macron (le Figaro)
Avant de quitter le navire, M'jid El Guerrab convoitait l'investiture de la neuvième circonscription des Français de l'étranger. Territoire qui a finalement échu à Didier Le Bret, compagnon de Mazarine Pingeot (fille de François Mitterrand) soutenu par l'état-major du PS jusqu'à l'Élysée.
«On savait qu'il partirait, il y avait une compétition acharnée sur cette circonscription», commente-t-on. «Il espère créer un mini-buzz! Nous ne craignons pas de défections, tous ceux qui devaient partir du PS sont partis.»

Bref, à partir d'ici tout va bien...
Mais visiblement, dans cette 9e circonscription des Français de l'étranger, a eu lieu une grande bataille entre valeurs de gauche : la Diversité contre l'Héritage par alliance. Au passage, je n'ai jamais digéré que la "2e épouse" (et sa fille) du président Mitterrand soient logées et entretenues, avec multiples serviteurs, aux frais de l'Etat. Dans le silence complice général (sauf JE Hallier) des médias, agrémenté de multiples écoutes illégales sur ordre du président.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-famille-de-jean-edern-hallier-indemnisee-25-07-2008-97065.php

salamandre a écrit:

Au passage, je n'ai jamais digéré que la 2e épouse (et sa fille) du président Mitterrand soient logées et entretenues, avec multiples serviteurs, aux frais de l'Etat. Dans le silence complice général (sauf JE Hallier) des médias, agrémenté de multiples écoutes illégales sur ordre du président.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-famille-de-jean-edern-hallier-indemnisee-25-07-2008-97065.php

Selon le Larousse, une épouse est une "Personne unie à une autre par le mariage." ce qui n'a jamais été le cas entre Anne Pingeot et François Mitterrand...

[quote="vieux-breton"]A vérifier quand même, résultat d'un recherche sur Wikipédia.

Patrick Beaudouin est consultant en communication et relations publiques

Laurence Abeille est présidente de l’Agence régionale de l'environnement et des nouvelles énergies - Île-de-France (ARENE) jusqu'au 19 octobre 2012.

Et Gildas Lecoq est conseillé en communication ( pas trouvé d'info sur Wikipédia ).[/quote]


Je crois que M. Lecoq est chef d'entreprise désormais d'une agence de conseils en communication.

@Pif Paf Pouf

Exact, il a créé son entreprise de conseil en communication.

a.nonymous a écrit:

Selon le Larousse, une épouse est une "Personne unie à une autre par le mariage." ce qui n'a jamais été le cas entre Anne Pingeot et François Mitterrand...

C'est encore pire, n'étant pas une "épouse" elle avait encore moins de droit à bénéficier des avantages de la république...

Pour ce qui concerne la "seconde famille" (appellation contrôlée) du président et les avantages dont elle jouissait ce qui est connu du grand public est encore très en dessous de la vérité.

La vérité du moment en rapport avec le sujet sauf erreur de ma part.
https://94.citoyens.com/theme/elections-legislatives-2017-val-de-marne

Ces candidatures aux législatives ont-elles le soutien de tous les élus du front de Gauche et de leurs alliés de la majorité du conseil municipal de Fontenay?

La question de Gérard est très pertinente, Stéphanie Michel et Vianney Orjebin seront-ils soutenus par le PCF fontenaysien ?

a.nonymous a écrit:

La question de Gérard est très pertinente, Stéphanie Michel et Vianney Orjebin seront-ils soutenus par le PCF fontenaysien ?

A ce que nous en savons, le PCF n'a pris encore aucune décision pour les législatives de 2017.

Où sont-ils ? Récapitulons

Patrice Bédouret, sur son blog :
Le 23.11.2016, annonce : « Je suis fier et motivé de porter ma candidature à l’investiture des socialistes de la 6 e circonscription du Val de Marne. »
(Candidature présumée confirmée le 8.12.2016 par vote des adhérents locaux)
LE 20.01.2017, annonce : « Dimanche, je voterai Manuel Valls, en pleine cohérence avec mon engagement au Parti socialiste depuis près de 30 ans. »
Le 31.01.2017, se félicite du succès (participation) aux ‘primaires citoyennes’ à Fontenay (B. Hamon 59 % et M. Valls 41 %)
Et maintenant ?
De qui un social-démocrate partisan de M. Valls est-il le plus proche ? B. Hamon ou E. Macron ?

Gildas Lecoq, sur son blog :
Le 13 octobre 2016 : « Primaires de la droite et du centre : Je soutiens Alain Juppé »
Le 19 octobre 2016 : « Législatives 2017 : je suis candidat ! », « Je me réjouis d’avoir déjà été investi par l’UDI pour mener ce combat. »
Le 23 novembre 2016 (entre 1er et 2e tours de la primaire) : « Pour ma part, je continue de soutenir Alain Juppé. »
Les 27-29 novembre 2016 : se félicite du succès (participation) aux ‘primaires de la droite et du centre’ (à Fontenay : F. Fillon 50,7 %, A. Juppé 49,3 %)
1 décembre 2016 : annonce comité de soutien
Et maintenant ?
De qui un centriste partisan de A. Juppé est-il le plus proche ? F. Fillon ou E. Macron ?


Pour se prononcer, peut-être attendent-ils un projet détaillé, qui s’il est (plus ou moins) disponible pour B. Hamon et F. Fillon, ne l’est pas encore pour E. Macron. Mais les positions déjà exprimées montrent un écart très important entre ces trois candidats, sans parler des extrêmes JL Mélenchon et M. le Pen encore au-delà. La question de la cohérence se posera, entre vote et convictions.
Pour EELV (député sortante) entre la navigation de Jadot vers Hamon, et la navigation locale sous escorte FdG, ...

Les messages de Salamandre sont épatamment ciselés. Il pose de très bonnes questions. a.nonymous, mamiea et quelques autres lui font écho.

(placé ici, bien que ça relève aussi un peu des présidentielles) Dans un grand élan de transparence, l'Assemblée nationale publie la liste des assistant(e)s parlementaires, par député.
http://www2.assemblee-nationale.fr/static/collaborateurs/liste_deputes_collaborateurs.pdf
article source :

Citation :

L’Assemblée nationale publie la liste des collaborateurs parlementaires
L’initiative fait suite à la révélation des emplois, supposés fictifs, de l’épouse et des enfants de François Fillon.
Le Monde.fr avec AFP | 21.02.2017 à 22h05 - Mis à jour le 21.02.2017 à 22h21

Après l’« affaire Fillon », l’Assemblée nationale a publié mardi 21 février sur son site Internet les noms des collaborateurs parlementaires, à l’image de ce que faisait déjà le Sénat. La liste, qui apparaît sous l’onglet « Nos députés », sera « régulièrement actualisée », selon le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.

Celui-ci a fait cette annonce lors de la réunion du groupe des députés socialistes et écologistes, à la veille de la fin des travaux parlementaires. L’annonce officielle devrait être faite mercredi, bien qu’elle ne soit pas annoncée à l’ordre du jour de la prochaine réunion du bureau de l’Assemblée nationale.

L’initiative fait suite à la révélation des emplois, supposés fictifs, de l’épouse et des enfants de François Fillon, le candidat de la droite à l’élection présidentielle, ainsi que des salaires qui leur ont été attribués à cette occasion. Sur cette liste datée du 21 février, un seul nom de collaboratrice pour le candidat de la droite à la présidentielle apparaît, celui d’Anne Faguer.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2017/02/21/l-assemblee-nationale-publie-la-liste-des-collaborateurs-parlementaires_5083301_823448.html

On peut supposer que la liste indique les collaborateurs/trices actuels, sans précision de durée, ni mention d'éventuels noms antérieurs en début de mandat (2012-2017).
Concernant la député de la 6e circonscription, Laurence Abeille, le tableau (lien en haut) indique :
. Mme Marine Ibba
. Mme Zoé Puype
. Mme Yasmine Bouzenad

M'enfin....où est la parité? D'autant qu'avec 3 attachéEs c'est difficile

Selon le point

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Emmanuel Macron et François Bayrou le jour de leur premier dîner, le 9 juillet 2016.
EXCLUSIF. Bayrou et Macron se sont rencontrés

Le candidat d'En marche ! ne serait pas pour rien dans le report par Bayrou de l'annonce concernant sa candidature. Les deux hommes discutent ferme.

PAR LAURELINE DUPONT
Publié le 21/02/2017 à 08:26 | Le Point.fr

Après un premier dîner en juillet 2016 révélé par Le Point , Emmanuel Macron et François Bayrou ont décidé de se revoir la semaine dernière, non plus pour faire connaissance, mais pour évoquer un éventuel rapprochement. Depuis plusieurs semaines, dans l'entourage des deux hommes, on plaide qu'une discussion, voire une entente – soyons fous ! –, pourrait être bénéfique aux deux ambitieux.

Bayrou veut des circonscriptions
Après avoir longtemps « joué au chat et à la souris », dixit un proche de Macron, l'amateur de chevaux et l'ancien banquier ont donc accepté de discuter. Mais il semblerait que l'entretien ait été ponctué de nombreux silences. Plus exactement, chacun aurait campé sur ses positions. Bayrou a réclamé des circonscriptions pour les législatives afin de reconstituer un groupe à l'Assemblée nationale. Macron, de son côté, a refusé de s'engager de façon ferme et définitive par crainte de sombrer dans les accords partisans qu'il a promis d'éviter. Conclusion, chacun est reparti en jugeant qu'il serait difficile de travailler ensemble...

Selon des proches de Bayrou, les deux hommes pourraient se reparler aujourd'hui. En effet, pour l'un comme pour l'autre, les avantages d'un rapprochement paraissent évidents. Pour Macron, avoir le centriste à ses côtés plutôt que contre lui peut apparaître comme l'assurance de ne pas se faire voler trois ou quatre précieux points qui pourraient lui coûter sa place au second tour. Autre avantage, la présence du Béarnais, rural, qui aime la terre et les chevaux, viendrait contrebalancer son image de banquier obsédé par l'économie.

Pour Bayrou, se rallier à Macron serait faire preuve d'un sens des responsabilités que certains, y compris parmi ses fidèles, lui reprochent d'avoir un peu perdu de vue en risquant une candidature qui hisserait le FN au second tour. Le patron du MoDem pourrait aussi espérer être mis en avant par un candidat qui manque encore de vraies figures autour de lui.

« Un truc alambiqué »
Quelle sera l'issue des discussions et Difficile à dire aujourd'hui tant le centriste semble encore hésitant. D'après ceux qui le connaissent bien, il se dirige vers l'annonce de sa candidature parce qu'il ne peut se résoudre à ne pas faire ce dernier tour de piste. Pour d'autres, il n'a pas les moyens humains et financiers pour se lancer, donc… Quelques-uns, enfin, croient à « un truc alambiqué » qui consisterait, par exemple, à faire un pas de plus vers une candidature avant... de se rallier à Macron dans les semaines ou les mois à venir.####

Gérard a écrit:

M'enfin....où est la parité? D'autant qu'avec 3 attachéEs c'est difficile

Cyclique http://laurence-abeille.fr/la-transparence-sur-mon-train-de-vie-de-deputee/

Laurence Abeille a écrit:

Je perçois chaque mois deux indemnités (env. 5 360 euros net chacune).
La première indemnité est le « salaire », la seconde est destinée à payer les frais liés à la fonction.

L’indemnité « salaire »
Le montant de mon salaire me semble correct, après quelques années d’expérience. Il correspond au salaire d’un cadre dirigeant d’entreprise moyenne.
Les écologistes membres d’EELV – ce qui est mon cas, reversent à leur parti 1 300 euros chaque mois. Il me reste donc 4 000 euros net.

http://laurence-abeille.fr/la-transparence-sur-mon-train-de-vie-de-deputee/

2 remarques :
Concernant le reversement de 1300 euros mensuels au parti : l'effort est notable, mais du tiers de la somme en fait. Un don ouvre droit à un crédit d'impôt de 66% de la somme, non ?
La plupart des salariés, "après quelques années d'expérience", ne sont pas cadres dirigeants d'entreprise... Ceci dit, "le principe de l'alignement de l’indemnité parlementaire sur la rémunération des hauts fonctionnaires" (indiqué plus loin) peut se justifier par la fonction. Le choix de l'élu restant à l'électeur.

Dans l'ensemble du texte publié, un louable effort de transparence. Une question, à propos de "pension moyenne pour un député 2 700 € nets par mois" :
Concernant cette pension, c'est le montant en lien avec le nombre de mandats, qui est le point crucial. "pension moyenne" avec 2 mandats (10 ans) par exemple ?
Pour la plupart des salariés, c'est ~42 ans (en trimestres 'cotisés' ou 'validés') qu'il faut maintenant, sinon décote sévère. Règles votées aussi par députés et sénateurs.

Autour de la moyenne évoquée : C'est vrai qu'avant 2010, cela s’apparentait à un jackpot : les députés pouvaient cotiser doublement à leur caisse de retraite lors des trois premiers mandats puis 1,5 fois sur le suivant. Donc en cotisant 22,5 années seulement, les députés avaient une retraite complète. Ainsi en 20 ans de mandat, les pensions pouvaient se monter à 5950€ par mois ! Cependant la réforme de 2010, a modifié la donne. Enfin un peu : les députés peuvent cotiser 1,5 fois sur les deux premiers mandats, 1,33 sur le suivant, puis 1,25 sur ceux d'après. Maintenant au bout de 5 ans de mandat, la retraite se monte à 1129€ contre 1500€ auparavant, soit une baisse de l'ordre de 31%.

A lire ici : http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170223.OBS5707/hamon-et-jadot-se-marient-les-coulisses-de-l-accord-electoral.html
"Isabelle Attard, Laurence Abeille, Sergio Coronado, Brigitte Allain, Jean-Louis Roumegas et les autres sortants n’affronteront pas de socialistes."
C'est Mr Bédouret qui doit être content

Dumez a écrit:

A lire ici : http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170223.OBS5707/hamon-et-jadot-se-marient-les-coulisses-de-l-accord-electoral.html
"Isabelle Attard, Laurence Abeille, Sergio Coronado, Brigitte Allain, Jean-Louis Roumegas et les autres sortants n’affronteront pas de socialistes."
C'est Mr Bédouret qui doit être content

Un article (cité par Dumez) à lire, sur les coulisses de l'accord. Il indique aussi : (à Paris) "la socialiste investie face à Cécile Duflot devrait se retirer comme le feraient tous les autres socialistes dans les autres circonscriptions réservées au partenaire écolo."

Sauf que même si ces états-majors imposent l'union d'en haut (et tant pis pour l'avis des adhérents locaux) les électeurs restent libres, autant ou même plus qu'en 2012. Ainsi, il y aura un candidat investi par Macron, à Paris et ailleurs. Ce qui peut intéresser des électeurs tendance social-démocrate ou social-libérale, par exemple.

Dumez a écrit:

A lire ici : http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170223.OBS5707/hamon-et-jadot-se-marient-les-coulisses-de-l-accord-electoral.html
"Isabelle Attard, Laurence Abeille, Sergio Coronado, Brigitte Allain, Jean-Louis Roumegas et les autres sortants n’affronteront pas de socialistes."
C'est Mr Bédouret qui doit être content

Si les investitures LR UDI sont conclues en sa faveur, G.Lecoq doit être content aussi

Sur le si... Jean-Christophe Lagarde et François Fillon ont dû directement se parler pour régler les conflits... Une discussion de boutique qui se déroule à l'abri des caméras, bien entendu.

Jc Lagarde aurait-il parié sur le mauvais cheval en soutenant Fillon?

IL est bon de se rappeler que les élections ne se gagnent pas sur des accords d' état major, mais sur le vote des électeurs.
Peut importe les magouilles électorales si le candidat ne plait pas il ppasse à la trappe.

Tout juste !

Je crois que sur ce forum, ç'est un point de vue partagé. Les électeurs ont toujours raison.

Il n'y a pas que les circonscriptions réservées EELV, dans la vie en rose et vert :
il y a celles pas réservées PS...
"Dans les quelque 530 circonscriptions qui ne sont pas concernées par l’accord, EELV compte bien présenter ses propres candidats ou s’allier avec d’autres forces politiques de gauche pour soutenir des opposants au PS."

Le PS et EELV sur le point de signer un accord pour les législatives
()
Des écologistes face aux macronistes
Le Parti socialiste profite également de l’accord pour régler un casse-tête interne. Il a ainsi décidé d’investir des candidats écologistes face à des députés socialistes qui sont partis chez Emmanuel Macron comme Richard Ferrand (Finistère) et Corinne Erhel (Côtes-d’Armor). Christophe Castaner (Alpes-de-Haute-Provence) pourrait aussi être visé. Solférino évite ainsi l’affrontement direct avec ses militants locaux, qui ont plutôt soutenu la démarche de leurs élus.

Restent quelques points de friction à régler. Si la circonscription de Cécile Duflot, à Paris, a bien été réservée, son cas a créé des mécontents chez les socialistes de la capitale. La direction d’Europe Ecologie-Les Verts n’est, par ailleurs, pas disposée pour le moment à lâcher la circonscription parisienne de Denis Baupin, exclue de l’accord. Le député, mis en cause dans une affaire d’agression et de harcèlement sexuels présumés, ne sera pas candidat à sa propre succession.

Dans les quelque 530 circonscriptions qui ne sont pas concernées par l’accord, EELV compte bien présenter ses propres candidats ou s’allier avec d’autres forces politiques de gauche pour soutenir des opposants au PS.
C’est le cas dans le 18e arrondissement de Paris où la militante féministe Caroline De Haas est en passe de se présenter pour EELV et le PCF face à la ministre du travail, Myriam El Khomri. Dans la Somme, le réalisateur du documentaire Merci patron !, François Ruffin, a reçu le soutien des communistes, d’EELV et de La France insoumise pour défier la secrétaire d’Etat aux personnes âgées, Pascale Boistard, proche de Manuel Valls.
De quoi rendre encore un peu plus illisible la stratégie des écologistes dans ces législatives.

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/02/27/le-ps-et-eelv-sur-le-point-de-signer-un-accord-pour-les-legislatives_5086431_4854003.html

François Fillon vient de déclarer sur Europe 1 qu'il serait le seul si il était élu à pouvoir obtenir une majorité au parlement. Au vu des déchirements tant à droite qu'a gauche et le rejet des électeurs pour la classe politique traditionnelle, obtenir une majorité quelque soit l'heureux élu s'avère être une gageure.Se pose le cas E.Macron avec son mouvement "En marche" qui pourrait le mieux s'en tirer si il continu à faire des listes avec des visages nouveaux s'appuyant sur la société civile.

La position du député étant plutôt assise, je ne vois pas comment vont fonctionner les députés en marche !
Plus sérieusement, votre post cousu de fil blanc (mais c'est bien d'avoir tenté) ne peut cacher que Macron rencontre quelque difficulté à organiser ses investitures aux législatives. C'est normal avec un mouvement aussi hétéroclite !

Alain a écrit:

La position du député étant plutôt assise, je ne vois pas comment vont fonctionner les députés en marche !
Plus sérieusement, votre post cousu de fil blanc (mais c'est bien d'avoir tenté) ne peut cacher que Macron rencontre quelque difficulté à organiser ses investitures aux législatives. C'est normal avec un mouvement aussi hétéroclite !

Il n' y a pas si longtemps Macron était considéré comme une bulle qui allait éclater, on voit le résultat ce sont les deux partis dit de gouvernement qui implosent.
Pour les législatives il peut très bien se faire que le résultat soit identique. Personnellement je ne pense pas que le problème de Macron soit un manque mais plus un trop plein de candidats à l' investiture. Quand je vois la division à gauche dans leurs investitures qui semble plus à des batailles internes je ne doute pas que les législatives vont leur être fatales. Dans la même veine on lui demande de désigner son premier ministre, chose qu' on ne fait pas pour les autres candidats.

La définition d'un vote juste et respectueux selon les communistes et le Front de Gauche de Fontenay :
- tu ne proposes qu'un seul choix : ou c'est MOI, ou c'est MOI !
- tu annonces les résultats du vote avant qu'il ne soit terminé ... #DemocratieEnCarton

Démocratie, vous avez dit Démocratie. ..

En Marche ! Première réunion de la Commission nationale d’Investiture (CNI) pour les législatives.
21 février 2017 - La Commission Nationale d’Investiture (CNI) d’En Marche ! pour les élections législatives s’est réunie pour la première fois le 16 février.
Les membres de la CNI ont procédé à l’élection de leur Président, M. Jean-Paul DELEVOYE, candidat proposé par le Conseil d’administration d’En Marche, puis à la nomination du Secrétaire général de la CNI, M. Samuel DEGUARA. Ils ont ensuite adopté le règlement intérieur de la CNI, avant de signer un engagement de confidentialité et de non divulgation de leurs délibérations.
Ils ont enfin échangé sur l’organisation des travaux de la commission et la méthode de travail qu’ils entendaient suivre pour retenir les 577 candidats En Marche ! aux élections législatives des 11 et 18 juin 2017, dans le respect des critères énoncés par Emmanuel MACRON.
La CNI débutera l’examen des candidatures le samedi 25 février.
https://www.en-marche.fr/article/communique-en-marche-premiere-reunion-de-la-cni-pour-les-legislatives

La commission comporte neuf membres et trois suppléants. En tant que membres de la Commission d'investiture d'"En Marche!", ils ne pourront pas eux-mêmes être candidats du mouvement aux Législatives. Parmi les membres de la CNI,
Personnalités politiques : Jean-Paul Delevoye, ministre de la Fonction publique de Jean-Pierre Raffarin puis président du Conseil économique et social. Anne Emery-Dumas, sénatrice (PS) de la Nièvre. Jean Launay, député élu dans le Lot, lui aussi PS comme François Patriat, sénateur élu dans la Côte-d'Or, qui fait partie des suppléants désignés auprès de la commission. Christine de Veyrac, ex-député européenne, fut membre de l'UMP et de l'UDI.
Personnalités issues de la société civile : Catherine Barbaroux, ancienne présidente de l'ADIE, association française de micro-crédit. Elle a été déléguée générale à l'emploi et à la formation professionnelle, et à ce titre, a travaillé auparavant avec plusieurs ministres du Travail (M. Aubry, E. Guigou, F. Fillon et J-L. Borloo).

Les investitures pour les législatives doivent être annoncées progressivement, à partir du mois de mars, puis d'ici au 15 mai.
Les candidat(e)s d' "En marche!" devront notamment "avoir un casier judiciaire vierge et n’avoir jamais été condamnés à une peine d’inéligibilité". Comme la commission, les candidatures devront être paritaires. Enfin, il est question de renouvellement. "Au moins la moitié des investis sera candidats à la députation pour la première fois et une grande partie d’entre eux seront issus de la société civile".
(BFMTV.com 9.02)

Le téléphone va retentir chez les habitants de la 6e circonscription (Fontenay-sous-Bois, Vincennes, Saint-Mandé). Au bout du fil, un sondeur qui pose un certain nombre de questions du type « Pour qui voteriez-vous entre Gildas Lecoq (UDI) et Patrick Beaudouin (LR) ? » L’UDI vient de commander un sondage auprès de l’Institut Elabe dans le cadre des législatives. Peu commun pour un petit parti comme le mouvement centriste. « C’est assez rare, c’est vrai, reconnaît Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI. Mais la 6e circonscription est une circonscription particulière, qui doit être discutée après la présidentielle avec les Républicains. Il est bien d’objectiver la situation pour savoir quel est le meilleur candidat. » Il doit se rendre sur place dans les prochaines semaines. Preuve aussi que le parti « tient à cette circonscription », souligne Laurent Lafon, président de l’UDI 94 qui a suggéré l’idée.

A l’heure où François Fillon dévisse dans les sondages, pour les centristes, leur candidat, élu d’opposition à Fontenay est en bien meilleure posture que le rival LR, Patrick Beaudouin, représentant du prétendant à la présidentielle dans le Val-de-Marne. « On n’est même pas sûr qu’il sera candidat », ajoute Jean-Christophe Lagarde. Alors que Gildas Lecoq a lancé sa campagne en octobre.

« On est dans une configuration politique qui montre la demande de renouvellement, de nouveaux visages avec de nouvelles pratiques », argue Laurent Lafon. Et tous de rappeler la défaite du maire de Saint-Mandé en 2012. Via un communiqué, celui-ci s’est étonné « que l’accord officiel signé entre l’UDI et Les Républicains », le désignant candidat unique, « soit encore commenté et débattu dans la presse ». « En me battant avec conviction et loyauté depuis plus de 36 mois pour François Fillon, je fais également campagne pour qu’il obtienne une majorité à l’Assemblée nationale qui portera son projet. Je serai donc naturellement le candidat de l’union de la droite et du centre dans la 6e circonscription du Val-de-Marne » conclut Patrick Beaudouin.

« La capacité à se réunir et à miser sur les bons candidats, fera la différence », glisse de son côté le patron de l’UDI 94. D’autant que cette circonscription est à portée de mains. Car à gauche, la division est aussi de mise. La députée sortante EELV fait cavalier seul, au grand dam du PS. Par le jeu d’un accord national, Patrice Bédouret, investi, ne peut être candidat. Et ne l’entend pas ainsi. « Nous refusons que notre sensibilité politique, première force de gauche sur la circonscription soit invisible », prévient-il ce jeudi dans un communiqué. De même PCF et France insoumise partent chacun de leur côté. Autant dire que les électeurs de la 6e auront l’embarras du choix.
leparisien.fr

[quote="Le Parisien"][ Peu commun pour un petit parti comme le mouvement centriste. ]

Juste pour information  on trouve sur le net 23000 adhérents en 2016 sans compter le Modem
Pour EELV le nombre d'adhérents se situe à un plafond de 5000
Pour le PC et le FN je n'ai pas trouvé

Pas commun de faire un sondage pour l'udi. Propos validés par Lagarde. Parti plus petit que Lr. On parle aussi de partis satellites. Pour ceux qui doivent s'allier avec plus gros qu'eux pour obtenir des mandats. Rien de péjoratif dans le choix journaliste du journal à mon sens. Ici l'alliance n'étant plus évidente, on va faire appel à un sondage dont le payeur semble devoir être l'Udi.

Je ne vois pas en quoi cela serait choquant qu'un parti comme l'UDI qui n'est pas un petit parti comme le souligne comme à son habitude libellule avec 32 députés à l'assemblée nationale et 42 au sénat, qu'un tel parti commande un sondage et d'ailleurs est ce vraiment l'UDI qui l'a commandé ce sondage.

Groupe parlementaire EELV " zéro " depuis l'éclatement du groupe de 17 députés élus en 2012 et il y aurait 10 sénateurs, alors quitte à parler de petit parti, libellule devrait plutôt parler du sien de parti.

Je ne trouve rien de choquant dans les propos du journalistes en effet. Et le commentaire de Lagarde me paraît clair.

pour les élections présidentielles comme pour toute élection ces magouilles et compagnie .

Parlons du théâtre, combien cela va couter aux administrés ( qui paye des impôts ) 9 10 13 millions d'euros ?

Bon un peu de positif ( macron va être élu avec toute les voix ( LR SOCIALISTE CENTRE CGT CFDT EELV et peut-être même N P A Mélenchon ) je plaisante hahahahaha